(#) Sujet: Re: oy! what a knight. w/ dorian g. fawkes Jeu 18 Fév - 10:55
OY! WHAT A KNIGHT
sixtyn-jull && dorian
Le terrain n’était pas fait pour lui, voilà pourquoi Dorian s’était retrouvé derrière un bureau à s’occuper de quelconques dossiers pour d’autres officiers de police. Ça avait fait bizarre pour beaucoup de personnes au commissariat de police, tout comme ça semblait le faire pour Sixtyn. Il pouvait comprendre et se serait volontiers étendu sur les raisons qui l’avaient poussés derrière un bureau sauf qu’il n’était pas certain que ça l’intéressait. Voilà qui fermait cette parenthèse, si elle voulait en savoir plus elle pourrait toujours le cribler de question lui qui était un véritable livre ouvert. Avoir honte ne faisait pas tellement partie de ses préoccupations si bien qu’il n’en avait tout simplement rien à faire. Sauf que voilà, les questions semblaient bien inutiles considérant que la jeune femme eut droit à un exemple de premier ordre lorsqu’il lui échappa l’haltère sur le pieds. C’était différent de ce qui avait causé son retrait du terrain quand il était policier, mais ça illustrait bien le propos. Évidemment, il ne pensait pas à le lui signaler, trop occupé à se sentir terriblement mal. Il s’excusa, bien rapidement, et se retint de le faire encore et encore alors qu’il venait l’appuyer pour éviter qu’elle ne s’écrase sur le sol. C’était bien la moindre des choses à faire considérant qu’il était le responsable direct de la douleur. Il fallait qu’il l’aide, en l’occurence en l’amenant à l’infirmerie. Ce pourquoi il ne perdit pas de temps en effusion d’excuses supplémentaires et la prit directement dans ses bras. Sans doute qu’il aurait pu lui demander son avis, mais il prit le fait qu’elle passa ses bras autour de son cou comme étant une approbation du geste. De toute façon, si elle avait mal au pied, il serait idiot qu’elle marche dessus lui causant encore plus de douleur. Donc voilà, la chose la plus logique était que Dorian la transporte jusqu’à l’infirmerie pour la laisser entre les bonnes mains des infirmiers et infirmières.
Sauf que voilà, pour quiconque ayant suivi la situation : il était un boulet de premier ordre, une honte pour quiconque de compétent dans la vie. Alors trop préoccupé par son coeur qui battait à la chamade dans sa poitrine, du genre je vais exploser dans les trois prochaines secondes, le jeune homme ne remarqua même pas qu’il ne prenait pas la direction de l’infirmerie mais bien celle de sa chambre. Une absence d’esprit assez marquée, mais pour sa défense il paniquait plus qu’autre chose : entre le fait qu’il avait blessé la princesse de la station - et accessoirement la fille sur qui il avait un béguin monstrueux - et son coeur qui battait beaucoup trop rapidement, il ne savait plus trop où se mettre. C’était donc sans doute un réflexe qui le fit prendre le chemin de sa chambre, ce dont il ne se rendit que lorsque Sixtyn le lui fit remarquer. Ce n’était pas l’infirmerie ? « Ah non. Effectivement. » Il mit un moment avant de réaliser l’ereur monumentale qu’il venait de commettre. « Oh merde, désolé. » Des excuses fort inutiles et surtout bien louche considérant le fait qu’il s’empressait de ressortir de la pièce. Manque de chance, avant même qu’il n’arrive à rouvrir la porte qu’une boule de poils arriva à tout vitesse pour finalement commencer à sauter devant le duo. « Non arrête. » finit-il par dire à l’attention de l’adorable pug qui ne pouvait cacher sa joie. Considérant qu’il n’y avait aucune chance qu’elle ne l’ait pas vu - ou entendu - Dorian dut se résoudre à aller la déposer sur le lit. Il devait la convaincre de ne rien dire avant de pouvoir la laisser sortir.
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(#) Sujet: Re: oy! what a knight. w/ dorian g. fawkes Ven 4 Mar - 17:33
oy! what a knight
Je regrette. Oh oui, à un tel point que c’est impossible pur vous d’imaginer. Je n’aurais jamais dû mettre les pieds au centre de combat. Qu’est-ce qui avait bien pu me passer par la tête. Le sport ce n’était pas pour moi, ça ne pouvait que terminer en catastrophe. Cependant, j’étais loin de m’imaginer que cette catastrophe ne serait pas causée par moi. Je n’avais absolument aucune faute dans cet événement. Mais voilà, mon pied avait été attaqué, et j’avais mal. Si c’était loin d’être aussi douloureux qu’un membre brisé, ça l’était tout de même beaucoup. Il fallait que ça le soit pour que j’accepte d’être portée comme une princesse par un semi-inconnu. Je ne laissais pas n’importe qui me toucher et encore moins me porter ainsi. C’était tellement gênant. Ce fut encore plus gênant lorsque la porte s’ouvrit sur la chambre du garde. Je ne me fis pas prier pour lui faire part de son erreur, et alors qu’il tenta de ressortir rapidement, manquant d’ailleurs cogner mon pied douloureux contre un mur, un bruit attira mon attention, un bruit autre que la voix grave de l’ainé. Je m’étire le cou pour regarder par-dessus son épaule et c’est à ce moment que je suis tombée en amour. Littéralement. Je n’avais jamais cru au coup de foudre, mais il faut croire que les choses venaient de changer du jour au lendemain. « OH MON DIEU. » Impossible de dire si c’était une expression de joie ou de surprise… ou de toutes autres émotions. C’était plutôt un mélange de plusieurs émotions positives mélangées. J’attends à peine que Dorian me pose son lit pour me pencher et tendre la main vers l’adorable bête. J’avais toujours adoré les animaux, particulièrement les chiens pour leur amour inconditionnel. J’avais toujours voulu en avoir un, sauf que ça n’avait jamais été une possibilité chez nous. La petite boule poilue s’approche en gambadant, ses petits replis de peau se secouant légèrement sous ses pas. Je sens sa petite langue contre ma main et je ne peux m’empêcher de lâcher un petit « oooh », complètement attendrie par la bête, à un tel point que je ne sens presque plus la douleur dans ma cheville. « Comment il s’appelle? » Il me devait bien ça! Je ne regarde pas le maître, trop obnubilée par le petit carlin.
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(#) Sujet: Re: oy! what a knight. w/ dorian g. fawkes Dim 13 Mar - 18:22
OY! WHAT A KNIGHT
sixtyn-jull && dorian
Savoir qu’il avait été aussi idiot était tout de même gênant, même pour Dorian qui ne connaissait habituellement pas cette sensation. Toute la gêne qu’il pouvait alors ressentir l’étouffait et le fait qu’il se trompa de pièce n’aida certainement pas la chose. Certes, c’était justement expliqué par cette drôle d’émotion, mais ça n’arrangeait rien, notamment parce qu’il ne pouvait pas le dire. Parce qu’on ne pouvait pas vraiment se vanter d’avoir échappé un haltère sur le pied de quelqu’un à cause de la gêne occasionnée par la proximité, pas plus qu’on pouvait se vanter de s’être trompé de pièce à cause de cette même proximité. Tout ce qu’il pouvait faire, c’était s’excuser platement avant de la ramener à l’infirmerie pour ne plus la revoir après. Non pas qu’il n’avait plus envie de la voir, loin de là, mais sans doute que Sixtyn n’aurait pas envie de se faire remémorer cette catastrophe (et elle n’aurait sans doute plus l’envie de faire du sport). Sauf que voilà, ses deux erreurs monumentales avaient une conséquence toute autre : la découverte de Macaroni (meilleure référence) par la jeune femme. Oh, il avait bien tenté de cacher la bestiole, mais la réaction de Sixtyn ne lui permettait pas d’espérer pouvoir la leurrer. Au moins… elle avait l’air… contente ? Ça ne l’empêcha pas d’hésiter alors qu’elle lui demandait le nom. C’était problématique, même que c’était plus que ça, parce qu’à la base, il n’avait pas le droit d’avoir une bestiole sur la station. Si briser un règlement était déjà plutôt problématique, mais que quelqu’un d’aussi haut placé sur la station ne le découvre… c’était une catastrophe. « C’est hm. Macaroni. » Devait-il vraiment expliquer l’histoire du nom ? Probablement pas surtout qu’elle était d’un ennui. À la place, il préféra sauter dans le vif du sujet en lui demandant la question la plus importante. « Tu vas me dénoncer ? » Bon normalement, c’était son travail de dénoncer les gens qui ne respectaient pas les règlements, voir de les punir, mais bon. « Je sais que je n’ai pas le droit normalement… mais je pouvais pas l’abandonner. » Un petit accompagnement de violon ne serait pas de refus pour rendre ça plus tragique, mais il se demandait même si Sixtyn l’écoutait en fait. (bon il fallait avouer qu’il faisait pale figure face à une adorable bestiole comme Macaroni).
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(#) Sujet: Re: oy! what a knight. w/ dorian g. fawkes