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(#) Sujet: oy! what a knight. w/ dorian g. fawkes Lun 8 Fév - 0:52
oy! what a knight
Habillée avec des vêtements adaptés au sport, je regrette ma décision. Il n’y a rien de surprenant à cela il faut l’avouer. Le sport regroupe un million, si pas plus, de choses que je déteste… comme la sueur, l’effort physique et l’odeur qui se dégage malheureusement des gens avec qui je dois partager le local. Je ne sais pas pourquoi je m’inflige ça, avec mon métabolisme, je pourrais manger n’importe quoi et tout de même garder ma figure. Évidemment, c’est bien là l’une des seules raisons que je trouve justifiable et légitime. Mais voilà, je me suis promis à moi-même que j’allais essayer d’être plus en santé, que j’allais faire attention à mon corps. Mes amies à New York parlaient de leur sœur et la plupart m’avait fait part qu’après vingt ans, le métabolisme ralentissait… enfin, tout de sorte d’informations comme ça. Je ne sais pas si c’était vrai, c’est-à-dire prouvé scientifiquement, mais je préférais quand même ne pas prendre de chance. Et puis avec tous ses naufragés récemment arrivés, ce ne serait pas une mauvaise idée que j’apprenne à me défendre… au cas où ils seraient pris d’une rage meurtrière, ou a cas où ils auraient attrapés la rage. Bref, qu’est-ce que j’en sais moi. Je savais simplement qu’il valait mieux prévenir que guérir et c’est pour cette raison que je traînais mon corps vide d’énergie vers le centre de combat.
J’ouvre la porte d’une main alors que l’autre cache un long et douloureux bâillement. Je m’arrête un petit moment au seuil de la porte, me demandant pour une dernière fois si je ne serais pas mieux de rebroussé chemin et de retourner dans mon lit. C’est à ce moment que je vois quelqu’un du coin de l’œil. Je ne l’avais pas vu avant parce qu’il se trouvait à la gauche de l’entrée, ce qui veut dire directement derrière la porte que j’ai ouverte pour entrer. J’ai le loisir d’observer son dos musclé se mouvoir alors qu’il se hisse sur une barre avec la force de ses bras. C’est à ce moment que je décide finalement de rester, après tout, je suis déjà rendue, pourquoi me rendre la vie difficile en faisant demi-tour. Je lâche finalement la porte qui se referme derrière moi en claquant. Je me doute que le soldat m’a maintenant entendu entrer et je fais bien attention à ne pas le regarder plus qu’il ne le faut, disons même plutôt que je l’ignore. Je vais m’installer un peu plus loin pour m’étirer lentement. Je ne voudrais pas m’étirer quoi que ce soit ou me faire mal d’une quelconque façon que ce soit. Si je devais me blesser en m’entrainant, ça serait vraiment stupide sachant que c’est pour éviter ce genre de choses que je m’y mettais finalement.
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(#) Sujet: Re: oy! what a knight. w/ dorian g. fawkes Lun 8 Fév - 14:54
OY! WHAT A KNIGHT
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Quand on voyait Dorian, on pouvait tout de suite penser à complimenter son apparence physique. Seulement, si elle était ô combien plaisante à regarder, elle ne l’était pas tellement à entretenir. Même que le jeune homme devait passer énormément de temps à s’entrainer pour pouvoir maintenir une telle silhouette. C’était aussi essentiel pour son travail dans l’optique où il devrait maitrisé quelqu’un qui contreviendrait à un règlement ou ferait quelque chose d’horrible. Notons, que malgré le fait qu’il s’entrainait presque religieusement, l’hypothèse de devoir se servir de la force pour arrêter quelqu’un ne lui avait jamais traversé l’esprit. C’était donc dans une simple hypothèse existentielle qu’était son apparence qu’il se trainait jusqu’au centre de combat pour s’entrainer un peu. Il y était donc cette journée, comme tous les jours avant, à s’entrainer. Il avait commencé par un échauffement suivi d’un étirement et il passait à l’étape supérieure. Cette fois, il avait décidé de se soulever à l’aide d’une barre histoire de travailler des muscles qu’il n’utilisait sans doute pas tant que ça. C’était une routine qui lui plaisait plus qu’il ne l’aurait cru, même le presque silence qui s’était installé dans la pièce ne le dérangeait pas en outre mesure. S’il aimait la compagnie de quiconque sur cette île, il devait avouer qu’un peu d’entrainement solitaire était surement plus efficace. Seulement, sa solitude fut de courte durée puisque le claquement de la porte se fit entendre. En fidèle membre de la brigade - presque compétent qui plus est - Dorian se laissa rapidement tombé, prêt à appréhender quiconque n’avait pas lieu d’être dans la salle. Pour le moins, il fut surpris d’y apercevoir Sixtyn, une demoiselle qui était bien au-delà de lui dans l’échelle hiérarchique de la station et surtout une adorable (ou pas) rouquine qui faisait battre son coeur. Bref, autant agir comme si de rien était, paraitre cool pour un moment, voilà ce que disait le jeune homme alors même qu’il s’empressait de franchir l’espace qu’elle avait mis pour s’étirer. « Oh, princess » Merveilleux surnom dont il l’avait affublé intérieurement, mais qui était tout de même représentatif considérant qu’elle était la fille de la chef de cette station entière. « Je ne savais pas que tu t’entrainais. » Commentaire débile, mais c’était bien la première fois qu’il la croisait dans cet endroit. Enfin, ça ne l’empêchait pas de la regarder avec des yeux tout charmés, profitant de cette occasion pour passer du temps avec elle.
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(#) Sujet: Re: oy! what a knight. w/ dorian g. fawkes Lun 8 Fév - 22:22
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En toute honnêteté, je ne m’y connaissais absolument pas en sport. Mon sport quotidien consistant à monter les escaliers à pied et peut-être un jogging une fois de temps en temps. Et encore, c’était bien rare, je préférais encore travailler mon cerveau plutôt que mes muscles. Oui, j’étais une intellectuelle, pas un tas de muscle moi. Mais bon, tous ces problèmes de santé qui me flottait au-dessus de la tête telle une épée de Damoclès m’avaient rendue nerveuse et c’est seulement pour cette raison que j’étais venue à la salle d’entrainement. Je ne vais pas mentir que de savoir que les gardes s’y entrainaient aussi, il y avait quelque chose d’encourageant là-dedans, j’avais toujours apprécié regarder les belles choses, et laissez-moi vous dire que si notre staff ne comprenait pas beaucoup de cervelles, dieu qu’il y avait de beaux corps. Comme pouvait le prouver la présence de ce garde au dos exceptionnel. Cependant, je préférais encore mourir que d’avouer que je matais sans gêne, et c’est pourquoi je fis semblant de ne pas être intéressée du tout, ne faisant que jeter de petits coups d’œil lorsque j’étais certaine de ne pas être prise la main dans le sac.
J’étais en train de m’étirer le dos et les jambes en touchant mes oreilles avec mes doigts quand une voix grave résonna derrière moi. Je me relève lentement, avant de me tourner vers le soldat, un petit sourire sur les lèvres. Je dois avouer que ce surnom qu’il m’a donné, je l’aime bien. Princess, c’est un peu vieillard, un peu amusant, et un peu adorable, je ne peux le nier. « J’ai décidé de prendre de nouvelles bonnes résolutions. » J’aime le regard qu’il pose sur moi, ses yeux brillants d’homme amoureux. C’est franchement flatteur et malheureusement pour lui, cela fait complètement ressortir mon côté joueur. Je me penche vers lui un sourire aux lèvres, comme si j’allais lui confier un secret. « C’est la première fois que je viens au centre de combat et je ne sais pas du tout ce que je fais. » Je suis secouée d’un petit rire embarrassé alors que je remets de la distance entre nous.
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(#) Sujet: Re: oy! what a knight. w/ dorian g. fawkes Mar 9 Fév - 19:30
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L’arrivée de Sixtyn venait de chambouler totalement son entrainement. C’était bien parce qu’il s’agissait d’elle, n’importe qui d’autre aurait sans doute perturbé la chose pendant un moment, mais il aurait pu retourné à ses exercices de musculation. Pas quand il s’agissait de la jeune femme, celle qui détenait habilement le titre de princesse et qui faisait - accessoirement - battre son coeur dès qu’elle était dans les parages. Cette fois ne faisait pas exception à la règle et Dorian se voyait bien mal arrivé à se concentrer suffisamment pour se remettre à la tâche. Non, à la place, il s’approcha tel un homme soumis et décida de faire un peu de conversation. Il ne pouvait pas faire autrement, il voulait lui parler, il voulait profiter de sa compagnie. Au-delà même de ses sentiments d’ailleurs, parce qu’il était surpris de la voir dans le centre de combat, ne l’ayant pas vu auparavant. En entendant la réponse, il esquissa un sourire, c’était une excellente idée ! Il hocha la tête pour signifier son approbation avant de lui dire : « Tu te sentiras mieux après ! » Oui, il était de ceux qui croyaient en les bienfaits du sport, il fallait lui pardonner. De toute façon, la chose lui était sortie de la tête alors que la jeune femme se rapprochait. Dorian était tout ouïe, prêt à boire toute parole qui traverserait les lèvres de Sixtyn. Et s’il était gêné par cette soudaine proximité - un peu à la manière d’un puceau - ce qu’elle disait éveilla tout son esprit chevaleresque. Peut-être que ce n’était pas ce qu’elle voulait, mais elle avait dit quelque chose qui s’apparentait à une demande d’aide. Et de nature, le jeune homme n’était pas quelqu’un qui pouvait résisté aux demoiselles - ou demoiseaux - en détresse, c’était encore moins possible face à Sixtyn, la princesse de son coeur, celle qui le faisait rougir derrière sa barbe. « Je peux te donner des conseils si tu veux ! » Et notons que c’était une proposition qu’il ne la laisserait pas refuser. La preuve, il enchainait déjà avec des questions pour pouvoir la conseiller aux mieux de ses capacités : « Tu veux t’entrainer pourquoi ? Te défendre ? Te mettre en forme ? » Il en voyait pas tellement comment elle aurait besoin d’affiner sa si parfaite silhouette, mais peut-être que l’amour le rendait aveugle - mais ce n’était pas le cas de toute évidence.
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(#) Sujet: Re: oy! what a knight. w/ dorian g. fawkes Mar 9 Fév - 22:18
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C’était un fait bien connu, j’étais une croqueuse d’homme. J’aimais qu’on s’intéresse à moi, qu’on me donne de l’attention. Il y avait quelque chose d’incroyablement grisant à l’idée de faire tomber les hommes à ses pieds et d’avoir une de pouvoir sur eux. Cependant, ce n’était pas donné à tout le monde. Aussi surprenant que cela puisse être, c’était beaucoup d’effort. Il fallait faire attention à ne pas abuser de ce pouvoir et faire fuir les prétendants, et il ne fallait pas complètement rejeter leurs avances sans quoi ils allaient se désintéresser et aller voir ailleurs. Tout ça pour dire qu’il fallait un certain talent pour ne pas tomber d’un côté ou de l’autre de la fine ligne. Heureusement, j’étais passée professionnelle dans l’art de ne pas faire de faux pas. Un sourire s’installe sur mes lèvres alors qu’il me vente les bienfaits du sport. Honnêtement, j’étais sceptique, je ne vois pas comment je pourrais me sentir bien si j’avais mal partout dût à des muscles endoloris, mais je n’allais pas le contredire. À voir son corps, il savait de quoi il parlait alors j’allais lui laisser le bénéfice du doute.
Il ne savait pas où se mettre, ne savait pas sur quel pied danser. C’était clairement amusant de voir un adulte réagir ainsi devant un geste aussi simple que celui de me rapprocher. Juste pour cette réaction, j’avais l’impression que mon voyage jusqu’à la salle de combat en avait valu la peine. Et à l’entendre parler, monsieur se proposait de me servir de coach personnel, alors le plaisir ne faisait réellement que commencer. J’allais avoir amplement le temps de profiter de ses réactions. « Tu ferais ça pour moi? » Je pose une main sur son bras. « Je ne voudrais pas te déranger dans tes tâches. » Plus ou moins vrai. Je crois que la station peut survivre une seconde sans un garde de plus, ce n’est pas comme si nous manquions d’effectif… mais d’un autre côté, je ne voulais pas être la responsable si on avait besoin de lui et qu’il était occupé avec moi dans la salle de combat. Il n’avait pas l’air particulièrement inquiet pour ça alors je laisse tomber. J’ai fait un effort en lui rappelant ses tâches, s’il préférait tout ignorer pour mes beaux yeux, eh bien je n’allais pas l’en empêcher. « J’aimerais apprendre à me défendre, et si ça m’aide à garder la forme alors c’est encore mieux. » Il faut dire que le sport, ça n’a jamais été mon fort, donc réellement, je n’y connais rien. Aucune idée de ce qui est bon pour quoi, je suis réellement dans le noir avec cette histoire d’entrainement, alors sa présence est rassurante j’imagine. Enfin, s’il me disait de me mettre sur un pied et de sauter en secouant les bras comme une poule, j’étais encore assez intelligente pour savoir qu’il se moquerait de moi. Je me doutais fortement qu’il ne ferait rien pour m’humilier cependant, ça se voyait tout de suite à ses yeux qu’il était sous mon charme, et ça n'avait rien à voir avec ma confiance en moi, n'importe qui aurait pu le voir.
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(#) Sujet: Re: oy! what a knight. w/ dorian g. fawkes Mer 10 Fév - 22:56
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Se proposer pour lui servir de coach personnel n’était sans doute pas l’idée du siècle. Non pas que Dorian n’avait pas les capacités pour le faire, après tout il suffisait de jeter un coup d’oeil à son merveilleux physique pour le savoir. Ça restait une bien mauvaise idée pour de multiples raisons notamment le fait qu’il avait normalement un emploi à occuper, ce qui voulait dire qu’il devait éventuellement quitter le centre pour pouvoir retourner à son poste. Une idée comme une autre, après tout il ne croyait pas vraiment pouvoir être renvoyé alors qu’il travaillait sur cette station perdue au beau milieu de nulle part. Puis, il y avait aussi le fait que trop de proximité avec cette demoiselle risquait de faire battre son petit coeur jusqu’à ce qu’il explose. Sauf que voilà tout bon sens qu’il aurait pu avoir dans une vie ou dans une autre fut complètement chassé lorsque Sixtyn déposa sa main sur son bras, provoquant un contact physique dont il avait plus qu’envie. Si bien qu’il ne réalisa pas du tout qu’elle se servait potentiellement de lui, s’empressant de la rassurer quant à ses tâches : « Je pense que la station devrait survivre. » Sans doute pas la chose à dire à quelqu’un qui était techniquement son supérieur hiérarchique, mais elle ne semblait s’en soucier alors il n’allait pas le faire. De toute façon, il fallait savoir que Dorian était totalement incompétent, c’était donc un point positif pour la station. De toute façon, il avait totalement abandonné l’idée d’être raisonnable et préparer mentalement ce qu’il pourrait lui montrer pour qu’elle s’entraine. « Je pense qu’on peut arranger ça. » finit-il par dire avec un grand sourire. Ça ne devrait pas être très difficile, surtout pour la seconde partie. Après tout, vu sa silhouette il n’y avait aucune chance qu’ils n’arrivent pas à la maintenir en forme. Bref, ça n’avait pas tellement d’importance, tout ça pour dire qu’il était prêt à lui faire un cours d’entraînement. Il ne pouvait pas en bonne conscience commencer par lui montrer à se défendre. D’abord parce qu’il pourrait la blesser involontairement si l’écart de force était trop grand et ensuite parce qu’il valait mieux commencer avec quelque chose de plus simple. Dorian lui fit donc signe d’attendre alors qu’il s’éloignait pour aller chercher quelques haltères. « Il faut que je vois ta force physique avant qu’on puisse commencer sérieusement. » Il déposa la majorité des haltères sur le sol et lui tendit le poids le plus léger avec un sourire. Ce n’était pas qu’il la sous-estimait à ce point, seulement, il fallait bien commencer quelque part.
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(#) Sujet: Re: oy! what a knight. w/ dorian g. fawkes Jeu 11 Fév - 8:30
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Il buvait mes paroles comme si c’était de l’eau. C’était agréable de ne pas avoir à convaincre, de ne pas avoir à faire le moindre effort. Enfin, avec une certaine limite. Un peu de tension, de jeu, c’était toujours agréable. C’était ce qui permettait de garder de l’intérêt dans la relation. Je savais d’avance que ce garde ne m’occuperait pas pendant très longtemps. Il suffit de voir ce qui s’est passé avec son supérieur, Noam. Le physique ne fait pas tout, et je me suis rapidement désintéressée. Comme on dit, le passé ne fait que se répéter, tôt ou tard. Si l’on suit cette tendance, dans quelques semaines je serai passé à autre chose, mais ça ne m’empêchera pas de profiter pleinement de ce temps. Un sourire étire mes lèvres quand il me rassure que la station peut se passer de lui. Il me fait penser à un adorable chien, tellement mignon, loyal et prêt à tout pour faire plaisir à son maitre. Je peux presque voir sa queue frétiller de bonheur quand je pose ma main sur son bras. J’ai toujours voulu un chien, mais notre mère n’a jamais voulu en avoir un à la maison. Si ça se trouve, cette relation remplacera l’expérience d’avoir un animal de compagnie. Tout excité à l’idée de passer du temps avec moi, ou à l’idée de partager ses connaissances sur l’entrainement, monsieur le garde s’éloigne à la recherche pour aller je-ne-sais-quoi, ce n’est pas moi l’experte en sport ici. « Au fait, je ne me suis pas présentée officiellement. » Je ne pense pas que j’ai besoin de le faire puisqu’il sait sans doute qui je suis. En fait, j’en suis certaine puisqu’il m’a appelé princess alors qu’on ne s’était jamais rencontré avant, on s’était sans doute croisé une fois ou deux dans les couloirs, mais ça s’arrêtait là. « Moi c’est Sixtyn-Jull. » Simple règle de courtoisie, lorsqu’on veut connaître le nom de quelqu’un, il faut donner le sien en premier. Si je m’écoutais, j’aurais simplement demandé, mais la politesse et le respect, pour certains trucs seulement, nous avait été inculqué et personne ne voulait décevoir Orphielle-Rhine Iparys. S’il y avait bien une chose qui m’effrayait dans ce monde, c’était de la décevoir. Donc j'avais bien retenue mes leçons. Il revient finalement avec un assortiment d’haltères. Je sais déjà que je risque de détester ce qu’il a en tête, cependant je me garde bien de le montrer. « Sérieusement? » J’hausse un sourcil, clairement amusée par le poids qu’il a choisi de me tendre. Je sais que mes bras sont maigres, et que je ne semble ne pas avoir la moindre force, mais il abuse peut-être un peu. Je tends le bras et attrape l’haltère avant d’afficher une expression de surprise. J’ai un grand plaisir à lui faire croire que l’haltère est trop lourde pour moi et je me penche vers l’avant comme si le poids me tirait vers le sol. Une fois que je suis certaine qu’il a été surpris, et un peu paniqué, je me relève en riant, venant appuyer le poids contre mon épaule. « Je t’ai eu. » Je suis fière de moi pour le coup, peut-être un peu trop.
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(#) Sujet: Re: oy! what a knight. w/ dorian g. fawkes Jeu 11 Fév - 22:40
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Les présentations officielles semblaient inutiles aux yeux de Dorian qui savait exactement à qui il avait affaire. Néanmoins il ne pensa pas vraiment à la contredire, surtout parce qu’il n’était pas certain qu’elle savait qui il était exactement. « Dorian. » dit-il avec un sourire avant d’ajouter rapidement : « Je suis un membre de la brigade. » Il n’était pas certain que son prénom suffirait à lui donner une idée concrète de qui il était. Autant lui donner un peu plus d’information, ne serait-ce que dans l’hypothèse qu’elle puisse le retrouver en cas de besoin. Il esquissa un nouveau sourire, avant de s’occuper de l’autre question à savoir le fait qu’il avait la chance de l’entrainer. C’était une activité qui lui plaisait après tout, il s’agissait d’un mélange entre le sport et son amour du moment, quoi demander de mieux ! Elle ne semblait pas particulièrement convaincue par le poids qu'il lui avait tendu. « Il faut commencer doucement. » Il voulait la convaincre et ainsi voir comment elle se débrouillait. Il était après tout bien difficile pour Dorian d’évaluer la force de la jeune femme. Et alors qu’il se disait qu’il avait peut-être exagérer en lui tendant l’haltère le plus léger, il fut surpris par ce qui se passa par la suite. Il sentit son coeur sauté un coup en la voyant perdre l’équilibre - ou faire semblant - craignant d’avoir fait une erreur. En entendant ce qu’elle dit par la suite, il fut tiraillé entre une vague de soulagement - il aurait été bien triste de merdé aussi rapidement - et une certaine gêne. Ce n’était pas parce qu’il la regardait avec des yeux plein d’amour, ce qui le rendait généralement aveugle, qu’il ne réalisait pas qu’elle l’avait bien eu. Il avait un peu honte, quelque chose qu’il ne pouvait pas cacher avec une gêne apparente qui se lisait sur son visage. « Je m’inquiétais vraiment ! » Un reproche qui n’en était pas un. La logique aurait voulu qu’il fasse un peu plus attention, mais à la place il passa rapidement à autre chose. Dorian tendit la main pour reprendre le poids tout en lui tendant un autre, plus lourd. « Mais maintenant, on va voir ce que tu as dans le ventre. » Une petite provocation tout à fait affectueuse, mais bon, elle avait semblé être découragé de voir qu’il la sous-estimait alors il avait monté considérablement la barre.
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(#) Sujet: Re: oy! what a knight. w/ dorian g. fawkes Ven 12 Fév - 0:29
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Je le regarde s’activer alors que je décide finalement qu’il est temps de connaître son nom. Il faut dire que s’il devient réellement mon coach personnel, ce sera sans doute plus facile de simplement dire son nom. Je n’avais pas de problème à référé à lui comme « tu », mais si on me demandait qui m’aidait à m’entraîner, je me voyais mal avoir à le décrire. Un nom, c’était beaucoup plus rapide que de dire, le grand barbu avec un corps d’apollon. Il me donne finalement son nom et malheureusement, ça ne sonne aucune clochette. J’ai sans doute vu son nom écrit sur des papiers à gauche ou à droite, et j’ai surement entendu son nom dans les couloirs de la station un jour ou un autre. Cependant, il n’y a pas eu d’histoire ou d’occurrence assez marquante pour le graver dans ma mémoire. Enfin, ce n’est pas plus grave que ça. Je ne peux pas reconnaître tout le monde non plus. Un petit rire me secoue quand Dorian trouve important d’ajouter qu’il est un membre de la brigade. « C’est ce que j’ai cru comprendre avec… enfin, tu comprends. » Ton corps ? Tes muscles? Ce serait comme d’avouer que je l’ai maté sans scrupule en entrant dans la salle, et je refuse de m’abaisser à cela. Je décide plutôt de faire un geste vague, un peu comme un cercle dans les airs avec ma main pour désigner sa personne en général, et plus précisément son corps musclé.
Puis il revint vers le sujet principal de notre conversation. Ironiquement, c’était la partie que je détestais le plus. J’aurais passé cette étape sans le moindre problème, sauf que voilà, ça défierait la raison même de ma présence ici et j’allais donc faire un effort de taille pour égaler (si seulement c’était possible) l’enthousiasme du plus vieux. Je suis gravement déçue par sa réaction… ou plutôt son manque de réaction à ma petite blague. C’était adorable qu’il se soit inquiété, et voir le rouge lui monter aux oreilles avait été très agréable, mais je m’étais attendue à quelque chose de plus… je ne sais pas, de plus. Tout simplement. J’aurais aimé avoir une réaction quelconque, un rire, une engueulade, enfin n’importe quoi qui aurait pu être amusant. Mais non, il préféra simplement faire comme si de rien n’était en passant à autre chose. C’est avec une moue déçue que je lui tends le petit poids avant de me saisir du nouveau. Il est tout de suite évident qu’il est plus lourd, et pas qu’un peu. Disons qu’il est assez lourd pour que je sente son poids dans ma main, mais pas assez pour que ce soit entièrement difficile à soulever. Je me surprends moi-même à ne pas le trouver trop lourd. Il faut croire que soulever des piles de dossiers, ça finit par muscler un minimum. « C’est encore assez facile. » Probablement que juste un poids un peu plus lourd serait parfait pour moi, mais je laisse néanmoins Dorian prendre les décisions. Je ne voudrais pas me surestimer et me retrouver avec les bras en compote demain, j’avais encore du boulot à faire. Et comme je travaillais dans un bureau, il y avait de bonne chance pour que j’aie besoin de mes deux bras.
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(#) Sujet: Re: oy! what a knight. w/ dorian g. fawkes Ven 12 Fév - 23:45
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A entendre Sixtyn rigoler en entendant son occupation, Dorian se surprit se demander si c'était vraiment évident. Il n'eut pas de réponse alors qu'elle disait qu'elle s'en était douté en désignant sa personne entière. Ce n'était pas très clair et il ne savait pas s'il pouvait prendre la chose comme un compliment. Il était fier de son appartenance à la brigade, malgré le fait que ca ressemblait à un travail de garde dans un centre commercial. Il fallait vivre avec des occupations aussi importantes qui lui permettaient de tout laisser en plan pour s'improviser coach de fitness pour la princesse de la station. « J’imagine que c'est bien différent de ce que tu fais. » Le moins qu'on puisse dire c'est qu’il était difficile de deviner ce qu'elle faisait rien qu'avec son physique... Mais ça devrait sans doute être un compliment venant de Dorian qui considérait qu’elle avait un air de mystère (ou pas). Enfin en attendant, il comptait bien l'aider avec son physique, pas qu'elle en avait vraiment besoin. Il commençait par quelque chose de simple, à savoir tester sa force en lui donnant des poids. Le premier avait été un échec, notamment parce qu'elle l'avait bien fait marcher. Dorian avait fait comme à son habitude - à savoir ignorer tout ce qui le dérangeait moindrement. Il passa donc à autre chose, assez rapidement d'ailleurs en lui tendant un nouveau poids. Il était beaucoup plus lourd mais visiblement pas assez pour Sixtyn qui lui indiqua que c'était encore trop léger pour elle. « Je t'ai sous-estimé on dirait. » Assez amusé parce qu'il avait plutôt l'œil pour ce genre de chose. Enfin, il pouvait admettre ses tords, ça n'avait jamais été un problème aa ses yeux. Autant faire confiance à la principale concernée, quitte à ajuster par la suite. Il prit donc le poids un peu plus lourd et se tourna vers elle pour le lui tendre. « Celui-là devrait faire. » Maintenant qu’il savait à peu près ce qu'il lui fallait, ils pouvaient commencer un exercice. Dorian comptait réserver les enseignements de défense pour une autre occasion. Il alla se placer derrière la jeune femme avant de dire : « Si tu permets » Puis, il lui prit la main qui tenait l'haltère en se rapprochant suffisamment pour la guider dans l'exercice. Cette soudaine proximité le gênait tout particulièrement, mais il ne pouvait pas expliquer l'exercice aussi bien autrement. Quoi que vue la gêne qui l’envahissait, il n’en serait peut-être même pas capable de se concentrer. Pour l’instant, il entendait surtout son coeur se débattre dans sa poitrine.
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(#) Sujet: Re: oy! what a knight. w/ dorian g. fawkes Sam 13 Fév - 19:00
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Différent… En effet, c’était un mot que l’on pouvait utiliser pour comparer nos emplois respectifs. Et pourtant, j’avais l’impression qu’il y avait quelque chose de semblable. Oui, mon job semblait me demander beaucoup de temps, mais au final, je ne faisais que signer des papiers. Ma mère passait au peigne fin tous mes dossiers et des fois je me demandais si je servais réellement à quelque chose ici. Si tous mes dossiers étaient regardés et changés au besoin, à quoi est-ce que je servais réellement? Au final, j’étais presque aussi utile à la station que lui. Je lâche un soupire déprimé avant de secouer la tête pour me reprendre en main. Ce n’était pas mon genre de me douter ainsi. Et j’avais bien l’intention de me faire valoir auprès de ma mère comme d’un élément indispensable au déroulement de la station. J’allais lui prouver qu’elle pouvait me faire confiance et me donner plus de liberté, que j’étais compétente et que je ne méritais pas seulement mon poste parce que j’étais sa fille, mais aussi parce que j’étais celle qui le faisait le mieux. « Probablement oui. Je ne crois pas que tu passes tes journées enfermé dans un bureau avec des piles de dossier. » Parce que de un, c’était impossible d’avoir un tel physique quand on passait le 2/3 de sa vie assis dans un bureau à signer des papiers. Et de deux, la brigade était un peu notre ordre policier sur Tullis, donc forcément, c’était complètement différent de ce que je faisais. Tout en parlant, je bouge le poids dans ma main, le testant un peu avant de finalement donner mon verdict : un peu trop léger. Je lui tends l’haltère souriant à sa réponse. « Tu n’es pas le premier. » j’avais connu ça toute ma vie. On me croyait stupide parce que je faisais attention à mon apparence. Ma mère me sous-estimait toujours. Personne ne savait réellement mes capacités, sauf moi et Ludwig. C’était le seul qui ne me sous-estimait jamais, voire même qu’il avait tendance à me surestimé parfois. Je me saisis du nouveau poids et tout de suite, je crois deviner que c’est un bon poids pour moi. Assez lourd pour que chaque mouvement fasse travailler des muscles, mais pas assez pour que ce soit impossible. Enfin, j’imagine que c’est ce qu’on veut lorsqu’on s’entraine. On verra bien si je me suis mis le doigt dans l’œil. Alors que je me tiens droite avec le poids dans la main, mon coach vient s’installer derrière moi. Je me concentre sur l’exercice qu’il m’apprend, ignorant la proximité entre nous. Je ne suis pas vraiment du genre timide avec le contact physique et la proximité. Encore moins avec les gens qui ne m’intéressent pas plus que ça. Dorian est trop facile, il n’y a pas de challenge, mais il est agréable à regarder, alors autant le garder autour pour le moment. Comme j’aime bien voir son visage rougir comme un puceau au moindre contact, je fais semblant de perdre l’équilibre pour venir écraser mon dos contre son torse. Je me retourne pour m’excuser et non visage ne sont qu’à quelques centimètres. Et j’ai l’angle parfait pour voir sa réaction.
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(#) Sujet: Re: oy! what a knight. w/ dorian g. fawkes Sam 13 Fév - 22:23
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En entendant la description de l’emploi que remplissait Sixtyn, Dorian ne put s’empêcher de grimacer. Passer ses journées derrière un bureau avec comme seule distraction des dossiers à remplir lui semblait être un triste sort. Et à vrai dire, ce n’était pas simplement un triste sort, c’était aussi quelque chose qu’il connaissait ayant été relégué à un rôle plus ennuyant après le triste accident qui avait mené à la mort d’un pauvre mannequin en plastique. Cela dit, son emploi actuel était bien différent, donc différent de celui de Sixtyn et malgré le fait que c’était peu glorieux, c’était au moins divertissant par moment. « Je ne pense qu’on voudrait me confier des dossiers moindrement important. » finit-il par lâcher en plaisantant. Ce n’était pourtant pas faux, il était effectivement la pire personne à qui confier des informations importantes. Il supposait que Sixtyn en connaissait plus que lui au sujet de la station, notamment du au fait qu’elle en était la princesse. Enfin ça importait peu, à la place, il préféra partager une anecdote à son sujet, histoire de lui donner un peu plus d’information à son sujet - elle en saurait davantage sur lui : « Mais tu sais, avant d’être ici, c’était exactement ce que je faisais. » Il opta pour ne pas trop donner de détail, d’autant plus que ça venait généralement avec une information primordiale au sujet de l’accident qui était arrivé pour expliquer cette occupation. Puis, il y avait le fait qu’il pouvait toujours se recycler dans l’emploi de coach fitness. Il serait peut-être plus utile ainsi sur la station ! Bon, certes, il fallait avouer que ça n’avait pas exactement bien commencé, du fait qu’il avait totalement sous-estimé la jeune femme. Ça avait été le but de commencer doucement pour s’assurer qu’elle ne se fasse pas mal. Dorian se sentit pourtant bien mal lorsqu’elle lui apprit qu’il n’était pas le seul à l’avoir fait. Après tout, il avait l’impression d’avoir touché une corde sensible - ce qui était sans doute plus une invention de son imagination. « Je ne ferai plus l’erreur. » Il n’allait quand même pas continuer à la sous-estimer ainsi. Même qu’il lui tendit un poids parfait pour elle pour se faire pardonner - ce qu’elle n’avait surement pas compris. Puis, il s’approcha pour lui montrer un exercice. Il fallait bien le faire, mais c’était surtout difficile pour lui de se concentrer. Si bien qu’il n’était pas très étonnant que lorsqu’elle vint s’écraser contre lui, il perdit ses moyens. Voir son visage si près du sien lui gêna au plus haut point et il lâcha le poids qu’il avait dans sa main. Poids qui vint s’écraser sur le pied de Sixtyn comme pour ajouter à la gêne qu’il ressentait.
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(#) Sujet: Re: oy! what a knight. w/ dorian g. fawkes Dim 14 Fév - 1:23
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Sa grimace de dégout fait naitre un sourire sur mes lèvres. J’arrive à le comprendre, ce n’est pas exactement fait pour tout le monde. Je n’y vois aucun inconvénient. Certes, il y a des jours à j’aimerais faire autres choses, avoir un emploi avec un peu plus d’actions, mais ce n’est pas aussi chiant que les gens ont tendance à penser. Et puis c’était le job que ma mère m’avait donné, et Orphielle n’était pas du genre à accepter non pour réponse. Soit j’acceptais le rôle qu’elle me proposait dans la station, soit je restais à New York tout de seule. De toute façon, j’étais incapable de m’imaginer dans un autre emploi que celui que je faisais présentement. Il continue en plaisantant et je ne fais que sourire. Je ne sais pas trop quoi dire pour être honnête. Je ne sais pas s’il s’agit vraiment d’une blague, ou pas du tout, ou si c’est entre les deux, un mix de vérité et de plaisanterie. Je ne voudrais pas le vexé en acquiesçant trop vite. Heureusement, il ne réalisa pas vraiment mon questionnement intérieur puisqu’il continua à parler. Mes sourcils s’élèvent légèrement suite à la confession qu’il me fait. « Tu veux dire travailler dans un bureau à lire et signer des dossiers? » Mon ton est incrédule et je ne sais pas si c’est vexant pour lui ou non. Disons simplement que j’ai été trop surprise par cet aveu pour me contrôler. J’avais beau essayé de l’imaginer derrière un bureau, mais ça ne collait pas. Il y avait quelque chose de drôle et de bizarre à cette image. « Je vais t’avouer que j’ai du mal à l’imaginer. » Notre conversation continue alors que l’on se met finalement à la partie fitness de notre rencontre. Les choses vont relativement bien, enfin, j’avoue que je déteste devoir faire un effort pour lever ce satané poids. J’ai déjà mal aux bras et je suis déjà blasée après quatre répétitions. Mais je continue tout de même parce que je sais que c’est comme ça s’entrainer. Évidemment, je ne peux pas m’empêcher de décider de m’amuser avec Dorian. J’utilise une ruse vieille comme le monde pour me rapprocher de lui et c’est à ce moment que tout tourna à la catastrophe. Je m’attendais à une réaction adorable comme le rouge qui lui monte aux oreilles, pas au fait qu’il me lâche un haltère sur le pied. Mes yeux s’agrandissent sous la douleur alors que je le lève dans les airs pour le toucher avec mes mains. C’est un réflexe des plus stupides parce que ça ne fait rien du tout pour la douleur, mais en plus, ça nous débalance, on se retrouve soudainement sur un seul pied à sautiller à gauche et à droite. Il faut croire que le karma se venge d’avoir faire tourner Dorian en bourrique parce que je retombe mal sur ma cheville et cette dernière ne me supporte pas, m’envoyant directement au sol. Si la douleur dans le premier pied s’est estompée légèrement, c’est la cheville du deuxième qui me fait souffrir à présent. Je ne sais pas exactement ce qu’il s’est passé, mais je sens que je me suis foulé quelque chose.
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(#) Sujet: Re: oy! what a knight. w/ dorian g. fawkes Lun 15 Fév - 21:32
OY! WHAT A KNIGHT
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Dorian devait bien avouer qu’il était soulagé de voir qu’elle n’avait pas mal pris la grimace - à peine camouflée - qui était venu tordre son visage à la mention de passer la majorité de sa journée derrière un bureau. D’expérience, il savait que c’était une horreur, mais même sans cette profonde joie qu’il avait pu ressentir en classant des papiers lors de son passage derrière un bureau, il n’aurait pas pu être enchanté d’entendre sa description de tâche. Il était un homme d’action, quelqu’un qui ne supportait pas être immobile trop longtemps - ce qui expliquait pourquoi il bougeait constamment lorsqu’il remplissait son rôle de garde. Ainsi, la tâche que Sixtyn faisait et que lui avait fait dans le passé était un peu le pire scénario possible pour lui. Sauf que voilà, il aurait été possible qu’elle adore son emploi - ça aurait certes été étonnant vu comment elle l’avait présenté - et si ça avait été le cas elle n’aurait peut-être pas apprécié qu’il réagisse ainsi en entendant une description de tâche. Ça ne semblait heureusement pas être le cas puisqu’elle s’attarda surtout sur l’anecdote, avec un ton bien incrédule. Dorian ne s’en soucia pas vraiment et se contenta de sourire en hochant la tête. Sans doute que ça ne semblait pas simple à croire vu son apparence, hypothèse qu’elle confirma en disant qu’elle avait du mal à imaginer. Il décida donc d’offrir quelques précisions, sans toutefois trop s’étendre sur le sujet - puisqu’il ne savait pas si ça l’intéressait vraiment de le savoir : « C’était des dossiers de police, mais j’imagine que ça revient au même. » Il n’en doutait même pas, le contenu ne changeait que peu de chose dans un tel métier. Il ajouta donc, histoire de donner quelques détails supplémentaires : « Je faisais du travail de terrain à la base, mais je crois que je n’étais pas trop fait pour ça. » Un euphémisme total considérant l’état du pauvre mannequin qui avait subi son manque de contrôle sur ses nerfs. Puis, il fallait aussi croire qu’il n’était pas trop fait pour être coach de fitness. Ça avait pourtant bien commencé au début, aucun problème, mais elle s’était joué de sa gêne quant à la proximité et… son pied en paya le prix. Évidemment, Dorian était bien loin de vouloir lui faire mal et s’en voulut terriblement en voyant l’haltère tomber de sa main pour s’écraser sur le pied de la jeune femme. « Oh mon dieu, je suis désolé. » Réaction parfaitement normale considérant qu’il venait - involontairement - de lui faire assez mal. Sans compter que vu comment elle avait réagi et surtout comment elle était retombée sur son autre cheville, elle avait l’air de ressentir un certain niveau de douleur. Bref, il s’empressa de la supporter pour éviter qu’elle ne mette trop de poids sur la cheville ou le pied blessé. « Attends je vais t’amener à l’infirmerie pour qu’ils s’occupent de toi. » Il aurait sans doute eu les capacités de lui faire un bandage à sa cheville ou quelque chose comme ça, mais il n’avait pas franchement envie d’empirer les choses. Il n’attendit pas davantage et la prit dans ses bras pour l’amener. Sauf que voilà, dans la panique, il ne se dirigeait pas vers l’infirmerie mais bien vers sa chambre… même chose quoi.
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(#) Sujet: Re: oy! what a knight. w/ dorian g. fawkes Mar 16 Fév - 15:49
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Imaginez ce grand gaillard avec tous ses muscles assis derrière un bureau avec des lunettes sur le bout du nez et un costard cravate. Avouez que c’est assez amusant à se représenter. Je regrette de ne pas l’avoir connu dans le temps, parce que je suis certaine que j’aurais eu un bon fou rire à chaque fois que je le verrais derrière son bureau. J’hoche légèrement la tête, affirmant qu’elle effet, c’était plus ou moins la même chose. Même si les informations dans le dossier étaient différentes, ça ne changeait rien au fait que les tâches étaient les mêmes, que la monotonie était présente. Bref, ça revenait au même pour reprendre ses paroles. Si je ne compris pas immédiatement ce qu’il voulait dire lorsqu’il exprima qu’il n’était pas fait pour le terrain, je crus comprendre assez rapidement ce qu’il sous-entendait lorsque l’haltère lui glissa des mains pour tomber sur mon pied. En fait, monsieur était un gros boulet. Oui c’est ce que je conclus alors que je sautillais sur mon pied encore potable, tentant sans succès de faire disparaitre la douleur. Je finis mon chemin au sol, le deuxième pied en aussi mauvais état que le premier, si pas plus grave. Alors que j’allais tomber, le responsable, du moins à moitié, de la catastrophe me supporte afin que je ne m’étale pas tête première au sol. C’était déjà ça de pris, je n’allais pas me plaindre. Et j’avais trop mal pour l’insulter et lui lancer des injures à la figure. Et quelque part dans mon subconscient, je savais bien que ce n’était pas voulu et que c’était un malheureux accident. Peut-être que mon subconscient avait encore une once de gentillesse et retenait le reste de ma personne de dire tout ce que je pensais. Et dieu seul sait à quel point je pensais beaucoup. Je lâche un petit cri de surprise quand je sens mes jambes rompre contact avec le sol. Mes mains viennent automatiquement se placer autour des épaules larges du garde. Je n’étais pas du genre à rougir, ou à être embarrassée en général, mais le rouge me monta néanmoins aux joues. C’était tout simplement parce que la position était embarrassante, ça n’avait rien à voir avec la proximité… ou autres. Enfin, c’est ce que je me disais.
C’est peut-être parce que je suis occupée à ne pas mourir de honte dû à cette position, mais je ne réalise pas tout de suite le chemin qu’il prend. Si j’avais fait attention, j’aurais évidemment réalisé qu’il avait pris une direction étrange pour aller à l’infirmerie. Cependant, ce n’est que lorsque les portes s’ouvrent sur une chambre que je réalise qu’il a fait une autre boulette. « Je suis presque certaine que ce n’est pas l’infirmerie ici. » Je pointe d’ailleurs le lit au centre de la pièce pour soutenir mes paroles. Si je ne sentais pas mon cœur battre dans ma cheville foulée, je trouverais presque ça drôle qu’il ait pu se mélanger entre sa chambre et l’infirmerie.
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(#) Sujet: Re: oy! what a knight. w/ dorian g. fawkes Jeu 18 Fév - 10:55
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Le terrain n’était pas fait pour lui, voilà pourquoi Dorian s’était retrouvé derrière un bureau à s’occuper de quelconques dossiers pour d’autres officiers de police. Ça avait fait bizarre pour beaucoup de personnes au commissariat de police, tout comme ça semblait le faire pour Sixtyn. Il pouvait comprendre et se serait volontiers étendu sur les raisons qui l’avaient poussés derrière un bureau sauf qu’il n’était pas certain que ça l’intéressait. Voilà qui fermait cette parenthèse, si elle voulait en savoir plus elle pourrait toujours le cribler de question lui qui était un véritable livre ouvert. Avoir honte ne faisait pas tellement partie de ses préoccupations si bien qu’il n’en avait tout simplement rien à faire. Sauf que voilà, les questions semblaient bien inutiles considérant que la jeune femme eut droit à un exemple de premier ordre lorsqu’il lui échappa l’haltère sur le pieds. C’était différent de ce qui avait causé son retrait du terrain quand il était policier, mais ça illustrait bien le propos. Évidemment, il ne pensait pas à le lui signaler, trop occupé à se sentir terriblement mal. Il s’excusa, bien rapidement, et se retint de le faire encore et encore alors qu’il venait l’appuyer pour éviter qu’elle ne s’écrase sur le sol. C’était bien la moindre des choses à faire considérant qu’il était le responsable direct de la douleur. Il fallait qu’il l’aide, en l’occurence en l’amenant à l’infirmerie. Ce pourquoi il ne perdit pas de temps en effusion d’excuses supplémentaires et la prit directement dans ses bras. Sans doute qu’il aurait pu lui demander son avis, mais il prit le fait qu’elle passa ses bras autour de son cou comme étant une approbation du geste. De toute façon, si elle avait mal au pied, il serait idiot qu’elle marche dessus lui causant encore plus de douleur. Donc voilà, la chose la plus logique était que Dorian la transporte jusqu’à l’infirmerie pour la laisser entre les bonnes mains des infirmiers et infirmières.
Sauf que voilà, pour quiconque ayant suivi la situation : il était un boulet de premier ordre, une honte pour quiconque de compétent dans la vie. Alors trop préoccupé par son coeur qui battait à la chamade dans sa poitrine, du genre je vais exploser dans les trois prochaines secondes, le jeune homme ne remarqua même pas qu’il ne prenait pas la direction de l’infirmerie mais bien celle de sa chambre. Une absence d’esprit assez marquée, mais pour sa défense il paniquait plus qu’autre chose : entre le fait qu’il avait blessé la princesse de la station - et accessoirement la fille sur qui il avait un béguin monstrueux - et son coeur qui battait beaucoup trop rapidement, il ne savait plus trop où se mettre. C’était donc sans doute un réflexe qui le fit prendre le chemin de sa chambre, ce dont il ne se rendit que lorsque Sixtyn le lui fit remarquer. Ce n’était pas l’infirmerie ? « Ah non. Effectivement. » Il mit un moment avant de réaliser l’ereur monumentale qu’il venait de commettre. « Oh merde, désolé. » Des excuses fort inutiles et surtout bien louche considérant le fait qu’il s’empressait de ressortir de la pièce. Manque de chance, avant même qu’il n’arrive à rouvrir la porte qu’une boule de poils arriva à tout vitesse pour finalement commencer à sauter devant le duo. « Non arrête. » finit-il par dire à l’attention de l’adorable pug qui ne pouvait cacher sa joie. Considérant qu’il n’y avait aucune chance qu’elle ne l’ait pas vu - ou entendu - Dorian dut se résoudre à aller la déposer sur le lit. Il devait la convaincre de ne rien dire avant de pouvoir la laisser sortir.
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(#) Sujet: Re: oy! what a knight. w/ dorian g. fawkes Ven 4 Mar - 17:33
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Je regrette. Oh oui, à un tel point que c’est impossible pur vous d’imaginer. Je n’aurais jamais dû mettre les pieds au centre de combat. Qu’est-ce qui avait bien pu me passer par la tête. Le sport ce n’était pas pour moi, ça ne pouvait que terminer en catastrophe. Cependant, j’étais loin de m’imaginer que cette catastrophe ne serait pas causée par moi. Je n’avais absolument aucune faute dans cet événement. Mais voilà, mon pied avait été attaqué, et j’avais mal. Si c’était loin d’être aussi douloureux qu’un membre brisé, ça l’était tout de même beaucoup. Il fallait que ça le soit pour que j’accepte d’être portée comme une princesse par un semi-inconnu. Je ne laissais pas n’importe qui me toucher et encore moins me porter ainsi. C’était tellement gênant. Ce fut encore plus gênant lorsque la porte s’ouvrit sur la chambre du garde. Je ne me fis pas prier pour lui faire part de son erreur, et alors qu’il tenta de ressortir rapidement, manquant d’ailleurs cogner mon pied douloureux contre un mur, un bruit attira mon attention, un bruit autre que la voix grave de l’ainé. Je m’étire le cou pour regarder par-dessus son épaule et c’est à ce moment que je suis tombée en amour. Littéralement. Je n’avais jamais cru au coup de foudre, mais il faut croire que les choses venaient de changer du jour au lendemain. « OH MON DIEU. » Impossible de dire si c’était une expression de joie ou de surprise… ou de toutes autres émotions. C’était plutôt un mélange de plusieurs émotions positives mélangées. J’attends à peine que Dorian me pose son lit pour me pencher et tendre la main vers l’adorable bête. J’avais toujours adoré les animaux, particulièrement les chiens pour leur amour inconditionnel. J’avais toujours voulu en avoir un, sauf que ça n’avait jamais été une possibilité chez nous. La petite boule poilue s’approche en gambadant, ses petits replis de peau se secouant légèrement sous ses pas. Je sens sa petite langue contre ma main et je ne peux m’empêcher de lâcher un petit « oooh », complètement attendrie par la bête, à un tel point que je ne sens presque plus la douleur dans ma cheville. « Comment il s’appelle? » Il me devait bien ça! Je ne regarde pas le maître, trop obnubilée par le petit carlin.
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(#) Sujet: Re: oy! what a knight. w/ dorian g. fawkes Dim 13 Mar - 18:22
OY! WHAT A KNIGHT
sixtyn-jull && dorian
Savoir qu’il avait été aussi idiot était tout de même gênant, même pour Dorian qui ne connaissait habituellement pas cette sensation. Toute la gêne qu’il pouvait alors ressentir l’étouffait et le fait qu’il se trompa de pièce n’aida certainement pas la chose. Certes, c’était justement expliqué par cette drôle d’émotion, mais ça n’arrangeait rien, notamment parce qu’il ne pouvait pas le dire. Parce qu’on ne pouvait pas vraiment se vanter d’avoir échappé un haltère sur le pied de quelqu’un à cause de la gêne occasionnée par la proximité, pas plus qu’on pouvait se vanter de s’être trompé de pièce à cause de cette même proximité. Tout ce qu’il pouvait faire, c’était s’excuser platement avant de la ramener à l’infirmerie pour ne plus la revoir après. Non pas qu’il n’avait plus envie de la voir, loin de là, mais sans doute que Sixtyn n’aurait pas envie de se faire remémorer cette catastrophe (et elle n’aurait sans doute plus l’envie de faire du sport). Sauf que voilà, ses deux erreurs monumentales avaient une conséquence toute autre : la découverte de Macaroni (meilleure référence) par la jeune femme. Oh, il avait bien tenté de cacher la bestiole, mais la réaction de Sixtyn ne lui permettait pas d’espérer pouvoir la leurrer. Au moins… elle avait l’air… contente ? Ça ne l’empêcha pas d’hésiter alors qu’elle lui demandait le nom. C’était problématique, même que c’était plus que ça, parce qu’à la base, il n’avait pas le droit d’avoir une bestiole sur la station. Si briser un règlement était déjà plutôt problématique, mais que quelqu’un d’aussi haut placé sur la station ne le découvre… c’était une catastrophe. « C’est hm. Macaroni. » Devait-il vraiment expliquer l’histoire du nom ? Probablement pas surtout qu’elle était d’un ennui. À la place, il préféra sauter dans le vif du sujet en lui demandant la question la plus importante. « Tu vas me dénoncer ? » Bon normalement, c’était son travail de dénoncer les gens qui ne respectaient pas les règlements, voir de les punir, mais bon. « Je sais que je n’ai pas le droit normalement… mais je pouvais pas l’abandonner. » Un petit accompagnement de violon ne serait pas de refus pour rendre ça plus tragique, mais il se demandait même si Sixtyn l’écoutait en fait. (bon il fallait avouer qu’il faisait pale figure face à une adorable bestiole comme Macaroni).
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(#) Sujet: Re: oy! what a knight. w/ dorian g. fawkes