(#) Sujet: (F) JENNA COLEMAN ∞ on avait dit toujours, faut croire qu'on s'est planté. Ven 20 Mar - 18:40
Dernière édition par Aron O. Rosenberg le Jeu 23 Avr - 16:00, édité 1 fois
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(#) Sujet: Re: (F) JENNA COLEMAN ∞ on avait dit toujours, faut croire qu'on s'est planté. Jeu 23 Avr - 15:56
❝ elle était belle à en crever les yeux ❞
HELLO mon chat. déjà j'te remercie d'avoir lu - ou pas - mon scénario, même si c'est juste parce que t'étais curieux et pas du tout intéressé, whatever. du coup, voici quelques explications & trucs en plus, histoire d'être sûr qu'on est sur la même longueur d'onde, toussa !
∞ déjà, presque tout est négociable. j’ai mis jenna parce que je la trouve parfaite, et qu’elle a cette bouille qui laisse croire qu’elle est adorable, alors que le personnage ne l’est pas du tout. Mais, si y’a un souci avec elle, je comprendrai & on pourra évidemment s’arranger. Le reste est assez flou (pourquoi ils quittent los angeles, pourquoi new york, etc) pour te laisser le choix ; tout est modifiable, sauf peut-être son métier, son groupe & ce côté apparemment parfaite mais pas moins manipulatrice. ∞ par rapport à moi, je n’ai pas l’intention de m’en aller du jour au lendemain. Ça fait un peu plus de sept ans que je suis là, si tu prends ce scénario, sache que c’est une histoire faite pour durer, forever & always. <3 ∞ j'ai l'habitude d'écrire au moins 1ooo mots en rp, je suis pas fan des fast rp je m'adapte pas aux fautes ; mais dans tous les cas, j’ai une passion ardente pour les rp prenants, compliqués, poignants, tristes et heartbreaking. Je suis pas vraiment du genre à apprécier quand c’est simple & sans vague – compte sur moi si t’as pas envie de t’ennuyer ! ∞ je n’ai aucune idée d’où ira ce lien, s’ils se remettront ensemble un jour, se haïront toute la vie ou deviendront les meilleurs amis du monde. La seule chose que je sais, c’est que je me laisse voguer au gré des rp, c’est tellement plus plaisant. ∞ et enfin, si tu hésites encore, sache que mademoiselle hazel n’a que des liens actifs & bogoss' sur le forum ; qu’elle est totalement adorable et carrément attendue, et j’te promets rien de trop sucré & qui ferait grossir, simplement beaucoup d’amusement & de délire – et peut-être aussi un peu de mièvrerie, sait-on jamais.
un petit extrait de ma fiche en attendant:
Il avait toujours eu quelques amis, certains auxquels il savait ne pas faire confiance, et d'autres plus précieux bien qu'il refusait souvent de l'admettre. L'une d'elle était belle comme le soleil et malgré toutes les années qu'ils passèrent ensemble, il ne sut s'en rendre compte. Elle l'aimait si fort et depuis si longtemps qu'il ne l'avait même pas remarqué. Eblouie par tant d'amour, il n'avait su voir qu'elle crevait d'envie de faire de lui le sien. Un soir, il la trouva, un peu à l'ouest, dans la minuscule chambre étudiante qu'ils partageaient de manière non officielle. Il comprit que quelque chose n'allait pas à son silence prolongé elle qui, habituellement, pouvait parler pendant des heures sans s'arrêter. Il l'écouta avec un semblant d'attention lui raconter comment elle avait surpris son petit ami la main dans le sac, ou plutôt dans le pantalon d'une autre qu'elle. Il n'avait pas vraiment su quoi lui dire, à part peut-être que, de toute façon, il n'était qu'un sale con que personne ne pouvait encadrer. Ses mots n'avaient eu pour seule utilité que de faire redoubler ses sanglots et, sans trop savoir pourquoi, il l'embrassa. Ils passèrent la nuit enlacés l'un contre l'autre, dans un silence qu'il sut, pour la première fois, apprécier à sa juste valeur. A ce moment là, il se laissa enivrer par son parfum, doux et apaisant et il réalisa, sans pour autant le comprendre immédiatement, qu'elle avait été là depuis ce qui lui semblait être le tout début. Il se demanda, avant de perdre le nord dans les bras de Morphée, s'il n'avait pas décidé de coller ses lèvres aux siennes pour qu'enfin elle se taise.
[...]
“ Alors c’est ça que tu faisais hein, tous ces soirs où je t’appelais et tu répondais pas ? Tu baisais tes élèves, c’est ça ? ” Le regard perdu dans le vide, il n’osait plus lui faire face. Il s’y était préparé, après tout, ça faisait des mois que ce petit jeu durait. Il était conscient, un jour ou l’autre, la vérité allait éclater. Il n’y avait jamais de bon moment pour ses choses là, alors il avait fini par lui laisser le plus gros indice du monde ; du parfum sur sa chemise. C’était une femme, il savait qu’elle finirait par faire le rapprochement. Il lui avait ensuite suffit de s’introduire dans son téléphone pour trouver l’épée qui venait de la briser. “ Arrête, s’il-te-plaît, tu… ” Il n’avait jamais eu l’intention de lui briser le cœur, vraiment. Certes, il avait fait passer son propre bonheur au tout premier plan mais, malgré cela, elle comptait toujours autant. Tout au moins, c’est ce qu’il se répétait, depuis des mois qu’il la trompait. Forcément qu’elle aurait mal. Même si la lueur dans ses yeux n’étaient plus la même qu’au premier jour, même si leurs nuits étaient beaucoup moins magiques et même s’ils ne se voyaient pour la plupart du temps qu’en coup de vent. Il venait quand même de ruiner sa vie. “ Tu m’as jamais aimé. T’es un p*tain d’enfoiré, un salaud d’enfoiré ! ” Il la connaissait par cœur, son tempérament fort et son exubérance, mais il comprenait. Il comprenait qu’elle aille jusque là, parce que, c’était ce qui se faisait, non ? Alors il la laissa le frapper de ses minuscules petites mains qu’il avait tant aimé caressées mais qui, aujourd’hui, ne lui inspiraient plus la moindre envie. “ C’est pour ça que tu voulais pas qu’on ait de gamins ? Pour pouvoir continuer à baiser des gamines ? ” Son silence se faisait lourd tandis que de grosses gouttes glissaient déjà sur les joues tremblantes de celle qu’il avait épousé de longues années auparavant. Il n’avait jamais su la consoler et, paradoxalement, il avait bien souvent été la cause de ses maux. C’est ainsi qu’il décida de rester à l’écart, les bras ballants. C’était toujours beaucoup plus simple. “ Je te déteste, d’accord ? Je te hais. Comme j’ai jamais haï personne, j’te jure. ” Ca aurait du être difficile à encaisser. Seulement, ses insultes glissaient sur lui comme un misérable crachin d’automne. Ça faisait si longtemps qu’ils n’étaient plus que ça ; et l’hiver arrivait sur leur histoire. “ Je veux divorcer. ”