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(# ) Sujet: (M) CHARLIE COX Ҩ isaac gaultney, we live through scars this time Mer 22 Avr - 3:00
❝ Isaac Gaultney ❞ ♦ Feat Charlie Cox ; LIBRE PRIS
se présente sous le nom d'Isaac ✕ a déjà vingt-neuf piges ✕ est pédiatre au Brooklynn Hospital Center ✕ se dit à l'écoute, discret, généreux, distrait, brouillon, irréaliste ✕ aime par-dessus tout les soirs tranquilles, se sentir utile, la joie de vivre des enfants, s'endormir dans des draps chauds quand il fait froid à l'extérieur, les glaces à la vanille qui lui coulent sur les doigts, les dimanches matins où il peut oublier qu'il existe autre chose qu'eux. ✕ personne ne le sait, mais, pour la première fois, il croyait avoir pu prendre une décision sans hésiter et passer par toute la palette des choix possibles. Il allait faire la grande demande. Malheureusement, le destin aime bien rire de lui. ✕ s'est classé dans le groupe des thetas et a plutôt un rang de helpers ✕ car : il a toujours vécu à New York, et c'est sa raison de vivre d'aider les gens. Il ne peut pas fermer les yeux lorsque quelqu'un a besoin de lui.
© murdock • les grandes lignes de son passé : Isaac a toujours été désordonné. Tête en l’air, perdu, étourdi, brouillon, distrait. Il était l’enfant qui n’était jamais tout à fait attentif en classe. Silencieux, on ne le remarquait pas vraiment et il ne remarquait pas vraiment le monde autour de lui. Il était dans ses nuages et, du haut du ciel, le sol lui paraissait fade et ennuyant. Il rêvait, rêvait de sauver le monde. Il lisait ses histoires de bandes-dessinée qu’il affectionnait particulièrement et il rêvait d’être comme eux. Ses parents souriaient un peu bêtement, haussant les épaules face à ses fantaisies d’enfant. Lui, il y croyait dur comme fer. Il courait dans les rues de New York, sentait le vent frôler son visage et rêvait de voler. Il avait onze ans et il était un peu idiot. Désordonné, maladroit, lunatique. Spiderman combattait les vilains de New York et, lui, il voulait faire pareil. Valait mieux commencer tôt, non? Alors il glissait hors de sa chambre quand sa famille dormait et il allait aider les rues de la ville. Il voulait être utile. Isaac Gaultney, super-héros. Il voulait qu’on le regarde comme on regardait les étoiles, il voulait qu’on soit fier de lui. Alors, Isaac Gaultney, onze ans, se glissait dans les rues de New York à la recherche de quelqu’un à aider. Il revenait souvent les mains vides, mais le cœur gonflé d’adrénaline. Il le fit pendant des semaines avant de s’aventurer trop loin, de devenir la victime dans une histoire triste. Ses parents étaient furieux, les médecins inquiets, les policiers étonnés. Lui, il avait mal, plus mal à l’estime et à ses rêves qui s’écrasaient qu’à tout le reste. Ce fut sa première déception. Et Isaac Gaultney ne s’imagina plus jamais super-héros. À treize ans, il voulut devenir pompier, mais il comprit rapidement que le feu était chaud et qu’il brûlait trop rapidement pour lui. À quinze ans, il rêva d’être policier, mais les autres gamins riaient de lui en sport et son poing qui s’écrasa contre les os d’un crâne lui fit trop mal à l’estomac, pesa trop lourd sur ses épaules. Même les vilains avaient le droit à leur chance. À seize ans, il songea à devenir avocat. Peut-être pourrait-il défendre la justice, aider le monde avec sa voix? Mais il tomba à genoux devant des iris dorés et il n’arriva jamais à la convaincre de rester avec lui. S’il ne pouvait pas convaincre l’amour, comment pouvait-il espérer convaincre le monde? À dix-sept ans, il songea à devenir médecin et il réalisa que c’était ce qu’il avait toujours été. • "l'île" ça lui évoque quoi ? L’île, ça lui évoque désolation et horreur. Isaac a pu soigner quelques gamins qui étaient revenus de ce voyage en enfer et il ne peut que se sentir mal pour eux, pour tout ce qu’ils n’ont jamais fait pour ces victimes. Mais, en ce moment, l’île prend une toute autre couleur, alors qu’elle ramène à New York ses fantômes et que le passé essaie de reprendre trop de place dans une vie qui ne l’attend plus. Il se sent mal, parfois, de penser une telle chose, mais il aurait presque souhaité que ce paquebot n’ait jamais existé. • les aléas de sa vie actuelle : En ce moment, Isaac peut dire qu’il est heureux. Les dernières années n’ont pas été faciles, mais si le reste de sa vie ressemble à ce qu’elle est maintenant, alors il ne peut qu’être comblé. Il a tout ce qu’on pourrait demander. Il a le bonheur, l’amour, un travail qu’il aime et des étincelles dans les yeux. Il a hâte de se réveiller le lendemain et il n’a pas peur du futur. Même qu’il était prêt à sauter avec les deux pieds joints dans le futur. On lui a toujours dit qu’il rêvait trop. Rêveur, irréaliste, romantique. Voilà un an que sa planète gravite autour du même soleil et, si un an peut sembler court pour certain, pour lui c’est tout ce qu’il faut pour ne plus vouloir quitter sa chaleur. Alors, un jour, il a acheté cette bague. Dans l’espoir de le lui demander, un jour, peut-être pas aujourd’hui, ni demain, mais peut-être l’an prochain. Il a acheté cet anneau qui signifie tout l’or du monde, parce qu’il n’y a plus qu’elle qu’il arrive à voir. Dans l’espoir qu’elle lui dise oui, qu’elle dise qu’elle aussi. Mais le futur change si facilement. Et ses rêves tombent à ses pieds, encore une fois, on marche dessus, on les piétine et Isaac n’a jamais vraiment été doué pour se tenir debout quand le navire coule. Et elle a beau lui dire qu’il se fait des idées, parfois, il se demande s’il n’est pas le seul qui voit vraiment clair dans cette histoire. Le problème, c’est qu’Isaac ne sait plus trop comment vivre différemment, alors il s’accroche, mais il a toujours eu les doigts glissant. Apprendra-t’il à résister? Ou se laissera-t’il emporter par la vague?
« please don't say you love me, 'cause i might not say it back » •
Relationship’ :
relation principale : Sa main dessine avec tendresse des cercles irréguliers sur son torse, tandis que son poids pèse sur lui. Elle a les yeux rivés sur l’écran qui éclaire son minuscule appartement, les rires idiots d’un animateur de talk-show populaire résonnent dans le silence paisible qui les étreint et il peut voir dans la lourdeur de ses paupières que le sommeil est sur le point de l’attraper. Cette chaleur, la sienne, qu’elle a glissé au fond de son estomac le fait sentir tout drôle encore. Il a les mots qui le chatouillent depuis trop longtemps et il les sent lui échapper, un peu comme on échappe un verre, les mains en l’air, forcé à le regarder tomber. Je t’aime. Les mots tombent, mais, au contraire du verre, ils tombent tout doucement, comme une plume. Ils flottent dans les airs entre eux, tandis que le vert de ses yeux retrouve, s’éprend du bleu des siens. Sa main s’est arrêtée contre lui, ses paupières retrouvent toute leur vivacité, tandis qu’il peut lire ses émotions qui traversent ses iris. Surprise, stupeur, panique. Elle le regarde de ses nuages et il sait qu’elle l’aime, mais il sait aussi qu’elle en est terrifiée. Mais il ne sait pas pourquoi. Il ne peut pas comprendre, ni se l’expliquer. Il ne sait pas pourquoi, parfois, lorsqu’il croise son regard et qu’il y trouve toute sa tendresse, elle glisse de ses doigts à chaque fois. C’est comme s’il essayait d’attraper la pluie qui tombe du ciel, elle tombe de ses paumes et glisse sur le sol vers un cycle infini. Il sent qu’elle a peur, mais il ne croit pas pouvoir rattraper les mots et les remettre dans leur cage. Alors il les laisse s’étendre devant lui, atterrir entre eux, leur avenir avec eux. La première fois qu’il l’a vue, il a cru que son cœur arrêtait de battre. C’est tellement cliché et, pourtant, c’est tout ce qu’il se souvient. Comment il croyait voir un ange, et qu’il ne croyait vraiment pas avoir une quelconque chance. Surtout qu’il était dans cette firme d’avocat parce qu’on lui avait collé un procès sur le dos. Un enfant avait été trop malade et, même si ça a toujours été les risques du métier, ça fait toujours trop mal au cœur. On dit qu’on ne doit pas montrer que ça fait mal, qu’on doit apprendre à se détacher, mais Isaac n’a jamais été si doué là-dedans. Et les parents qui le regardaient comme s’il était le diable, et lui qui les comprenait trop bien. Il avait le moral à terre, le cœur en miettes et elle lui faisait du bien avec un seul sourire. Un sourire poli, une gentillesse pourtant sincère. Elle le pointait dans la bonne direction, littéralement et figurativement. Et elle écouta aux portes, probablement quelque chose qu’elle faisait plus souvent qu’elle ne l’avouait, et lui offrit une épaule pour la soirée. Isaac ne vit pas de raison de dire non, il vit toutes les raisons de dire oui. Laura. Lentement, son prénom prit plus de poids dans sa vie, jusqu’à ce qu’il lui laisse toute la place sans comprendre comment c’était arrivé. Il lui sembla que, du jour au lendemain, ils étaient passés de rien à tout, la trouvant presque chaque matin à ses côtés, cherchant son sourire quand il en avait besoin et lui offrant sa main quand elle le demandait. Il l’aimait. Les mots tombaient entre eux et elle avait peur, mais il voulait que sa peur se transforme en acceptation. Elle enfouit sa tête contre son torse, cherchant, il le savait, à cacher son regard du sien. Elle parlait sans mots, elle lui disait « Je t’aime aussi, mais je n'suis pas prête. » et il comprenait. Sa main s’appuyait sur son dos, ses lèvres déposaient un baiser sur le dessus de son crâne. « C’est bon, je comprends. » qu’il disait sans mots. Et les jours et les matins se suivirent. Ils grandissaient main dans la main et il ne craignait plus l’avenir, parce qu’il était à ses côtés. Il en était persuadé. Il était patient, attentif, amoureux. Mais, un jour, le destin frappa à sa porte.aron o. rosenberg, c'est le passé qui a l'allure de tous ses pires cauchemars. Isaac n'était pas au courant, pas conscient que Laura avait une histoire si compliquée derrière elle et qu'elle revenait aujourd'hui pour leur rendre la vie plus difficile. Laura, elle ne cesse de lui dire qu'il n'est plus rien pour elle, qu'elle a tourné la page et fait son deuil, qu'elle est passé à travers tout ça depuis longtemps, lui, il voit la lueur qu'elle a dans le regard quand elle le regarde, cet Aron. Un ancien amant, qu'elle lui dit. Une histoire compliquée, qu'elle ajoute lorsque son regard se fait insistant. Il l'entend, l'amour qu'il y a eu entre eux. Isaac n'est pas idiot, même s'il n'est pas toujours adroit. Des exs, ça va, mais des anciennes relations qui reviennent des morts, c'est une toute autre chose. Il comprend, Isaac, que Laura n'a jamais désiré que ça se termine entre elle et Aron, qu'elle y a été forcé. Et elle a beau lui dire à sa façon qu'elle l'aime, lui, maintenant, il ne peut s'empêcher de se demander depuis quand l'amour ne se partage pas en deux. Surtout, pourquoi n'arrive-t'elle pas à le lui dire franchement? Il voit qu'elle est plus distante, qu'elle est perdue dans des nuages qu'il connait trop bien, qu'elle a peur du passé comme lui. Il la voit se perdre et il panique, parce qu'il ne sait pas s'il peut gagner, qu'il n'est pas persuadé d'avoir toutes les bonnes cartes en main, qu'il n'a pas de lampe torche pour lui éclairer le chemin. Il l'aime, elle, mais est-ce que ça suffira? Elle croit l'aimer, mais est-ce vrai? Ou un mensonge? Qui dit vrai dans toute cette histoire? Et cet inconnu qui s'est promis de regagner le coeur de Laura. Isaac n'a jamais été doué pour la compétition. Il glisse, il tombe, il s'écroule. Mais il a trop mal à l'idée qu'il la lui prenne pour ne pas essayer de prouver son amour à la blonde, même si, pour ça, il doit tout perdre. Il sait, au fond, que rien n'est vraiment une compétition. Que, même s'il y aura perdant et gagnant, on ne contrôle pas de sentiments. Mais il l'aime, et il ferait tout pour elle. Et il le déteste, même s'il ne le connait pas. Aron, son prénom suffit pour qu'il en grince. Il le hait de croire qu'il peut revenir dans la vie de Laura, leur vie, pour tout rafler. Une haine qu'il ne se connaissait pas, une colère qui le dégoûte lui-même. Il le hait d'être revenu des morts, sur ce paquebot, de cette île de misère. Pour la première fois de sa vie, Isaac n'est pas prêt à abandonner dès la première manche. relation(s) secondaire(s) : avery wolfe , elle était son élève en pédiatrie, sa première d'ailleurs. Il n'a pas fallu plus d'une journée après qu'il l'ait rencontré pour savoir qu'ils étaient un duo idéal. Avery était passionnée par le métier, tout comme lui, et cette passion-là leur permettait d'être sur un même pied d'égalité, de découvrir quelqu'un de qui il pouvait apprendre et à qui il pouvait enseigner aussi. Malheureusement, cette passion-là la mena directement à sa perte. Une conférence à Tokyo, Isaac ne pouvait pas s'y présenter, mais il y incita son élève à y aller avec enthousiasme, persuadé que c'était une superbe occasion d'apprendre plus. Il insista grandement, même si Avery ne fut pas tant que ça difficile à convaincre. Une semaine plus tard, il apprenait la nouvelle du crash de l'avion dans lequel était Avery. Celui qui se dirigeait vers Tokyo. Isaac en avait mal au coeur, la culpabilité le serrant douloureusement. Il se présenta à des funérailles et en voulut au destin, au hasard pendant deux ans. Il se rappelait Avery comme une jeune passionnée, positive, une amie peut-être, sa protégée en quelque sorte. Lorsqu'il apprit pour le paquebot, les rescapés du même vol qui l'avait hanté si longtemps, il espéra qu'elle revienne pour effacer cette culpabilité qui le hante encore aujourd'hui. Elle n'était pas à bord, alors il fit son deuil, persuadé qu'elle est bel et bien morte maintenant.lou-ann c. austen-jameson , elle est arrivée au Brooklynn Hospital il y a de ça environ un an et, fidèle à lui-même, Isaac est tout de suite allé l'accueillir parmi eux. Il en ferait presque son devoir d'au moins se présenter à tous les nouveaux médecins de l'hôpital, lorsqu'il a le temps en tout cas. Ça a tout de suite cliqué entre eux, ils s'entendaient bien et même que Lou-Ann en est devenue une amie, ou, du moins, une collègue avec qui il s'entend bien. En tout cas, il ne se gêne pas pour dîner avec elle une fois de temps à autre. Mais, voilà, un jour, Isaac travaillait tout bonnement et découvrit Lou-Ann et son patron en pleine aventure sans lendemain. Le choc. Le brun rentra chez lui et, tout de suite, paniqua. Et si ça lui retombait dessus? Avec sa chance, ça pouvait tout à fait arriver. Si on apprenait qu'il savait et qu'il se faisait virer en même temps qu'eux? Isaac, il est médecin avant d'être quoi que ce soit d'autre. Enlever lui son boulot, et il ne sait plus trop qui il est. Et il déteste les aventures sans lendemain. Il trouve ça idiot, stupide, irresponsable. Ça ne veut rien dire, ça ne sert à rien, et c'était visiblement risqué. Il alla en parler à Lou-Ann le lendemain, paniqué, presque essoufflé d'y avoir penser toute la nuit. Il lui fit la morale, le genre de sermon qu'il servait aux gamins qui se chamaillaient dans la salle d'attente - ceux qui venaient bien souvent plus pour des vaccins ou des rhumes que d'autres choses. Lou finit par lui promettre qu'elle ne recommencerait plus, ce qui calma les ardeurs du brun... Mais c'était un mensonge, et s'il apprenait un jour qu'elle avait menti?tobias e. colt-delford (scénario ), il est chirurgien à l'hôpital et le patron de Lou-Ann. C'était une relation purement professionnelle qui les rejoignait. Il ne l'aimait pas particulièrement, ni le détestait. Il hochait la tête d'un simple 'bonjour ' lorsqu'il le croisait dans les couloirs. Rien d'extraordinaire en soi. Puis, Isaac le découvrit avec Lou-Ann et ce fut le commencement d'une certaine haine, certainement pas d'un amour fou. Si Lou passa sous ses sermons, Tobias n'en échappa pas non plus. Mais Tobias le prit moins bien que la blonde, se demandant bien pourquoi Isaac se permettait de se mêler de sa vie privée, surtout pourquoi il venait mettre son nez dans ses affaires ET le juger en plus. Depuis cette mésaventure, les deux jeunes hommes sont en moins bons termes, s'ignorant dans les couloirs et n'hésitant pas à grimacer lorsqu'ils entendent le nom de l'autre médecin. Le problème, dans un monde petit comme le leur, c'est qu'il devient plutôt difficile de s'éviter et, plus ils se voient, moins ils s'aiment.deborah k. greyson , elle est policière et, forcément, ils se sont rencontrés au travers d'un enfant. Une triste histoire pour le gosse, mais une belle rencontre pour eux. Au travers de l'autre, ils découvrirent une personne qui savait les équilibrer. Ils sont tellement différents, mais c'est probablement la raison de leur amitié et du pourquoi ils se sont si facilement acceptés. Deborah, c'est l'une des rares personnes sur qui il peut compter pour le remettre debout lorsqu'il tombe, c'est cette amie qui est capable de lui mettre une baffe sur les idées quand il en a besoin. Et, bon sang, Isaac a souvent besoin d'encouragements. C'est maladroit, pas forcément délicat, mais c'est exactement ce dont il a besoin. En échange, il lui montre ce que peut offrir un peu plus de douceur dans une vie. Il est le côté gentil, elle est le côté plus dur, mais ils ont tous les deux envie d'aider le monde et ça leur suffit. Ça risque de devenir un peu plus compliqué avec le retour d'Aron à New York... Isaac a toujours sût que Laura n'appréciait par particulièrement la brune, mais il n'avait jamais vraiment compris jusque-là. aislynn j. jenkins ,
Dernière édition par Laura G. Villanova le Lun 27 Avr - 0:20, édité 20 fois
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(# ) Sujet: Re: (M) CHARLIE COX Ҩ isaac gaultney, we live through scars this time Mer 22 Avr - 3:00
❝ J'TE VEUX TOI, OUII TOI LÀÀ ❞ « walking with a friend in the dark is better than walking alone in the light. » tu dois choisir mon scénario parce que c'est le meilleur ♥ et en plus j'suis sympa, on peut négocier pleins de trucs si tu veux ! tu vois, on peut en parler, mais ça s'pourrait bien que je te laisse changer : le prénom [x] . le nom d'famille [x] . l'avatar [x] . l'âge [x] . le métier [] . le groupe [] . le rang [x] . le passé [x] . un peu l'histoire [x] . ses relations [x] . notre lien [x] . demande-moi <3
Hello toi
Déjà, merci de t'intéresser à mon scénario.
Du coup, t'as peut-être remarqué, mais je te laisse changer pas mal de trucs. Franchement, si t'as envie de prendre mon p'tit chouàlacrème, j'me la jouerai pas en mode ultra possessive 'c'est mon perso, t'y fais pas c'que tu veux'. Au contraire, je crois que c'est important que tu puisses en faire le tiens. Ici, j'ai écris l'idée de base, un personnage donc un peu brouillon, qui vient se joindre à la partie la plus importante; les liens. Tu peux y changer ce que tu veux, tant que le tout reste logique avec notre lien et avec les autres aussi. D'ailleurs, je considère que j'ai laissé le passé assez libre, justement dans ce but-là.
En même temps, si t'as envie que je te guide plus, tu peux toujours demander et j'te donnerai des idées.
Par contre, of course, si t'as envie de changer un lien avec un autre membre, faudra en parler avec lui! Sinon, j'peux pas vraiment te laisser changer le métier, ni le groupe, parce que ça viendrait chambouler trop de trucs. Pour ce qui est de l'avatar, j'ai envie d'un mec qui a une bouille aussi adorable que Charlie (et aussi canon par moment, tu vois le mélange.
), mais n'hésite surtout pas à proposer.
Pour ce qui est de notre lien, comme t'as vu, c'est un peu compliqué - et j'crois que c'est ce qui fait toute la beauté de la chose.
J'ai pas d'idées précises de où on ira avec tout ça, s'ils finiront ensemble, s'ils finiront par se haïr, si y'en a un qui se brisera le coeur - et lequel? Franchement, j'crois que le plus beau là-dedans, c'est qu'on verra où on s'en va dans nos rps et qu'on pourra s'amuser comme des p'tits fous en mode drame déchirant.
Ce qui m'amène au nombre de mots, j'm'avoue ne pas être une grande adepte du fast rp, tout simplement parce que je n'suis pas très douée pour faire court.
Mais si t'es à l'aise de faire à peu près 1000 mots, un peu moins ou un peu plus, ça va parfaitement.
Tout ça pour dire que mon p'tit scénario est à ton entière disposition s'il t'intéresse et que moi aussi par la même occasion.
Je t'aimerai pour toujours et ever, j'te promets tellement de love et de cookies, tu vas prendre genre 20 kilos d'amour au ventre.
(et bien sûûûr, tous les liens sont actifs et tellement sympas, tu y croiras pas.
)
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