× Ma Célébrité : elizabethCUTIEolsen. × Nombre de messages : 2408 × Age du perso : 23 yrs-old. × Job : ex-étudiante à berkeley ; étudiante à colombia. × Côté love : lui, mon presqu'fiancé.
(#) Sujet: ❆ we could be immortals, just not for long. #teamtheta; Sam 14 Mar - 1:36
WE COULD BE IMMORTALS, JUST NOT FOR LONG. TEAMTHETA;
I'm bad behavior but I do it in the best way, I'll be the watcher of the eternal flame.
❆
I'm still comparing your past to my future, it might be your wound but they're my sutures.
does this darkness have a name ? this cruelty, this hatred, how did it find us ? did it steal into our lives or did we seek it out and embrace it ? when did we lose our way ? consumed by the shadows, swallowed whole by the darkness ; does this darkness have a name ? is it your name? C'était une fin d'après-midi ordinaire à New York. La ville, toujours aussi majestueuse, était particulièrement ensoleillée aujourd'hui. On n'était pas encore au printemps, mais l'hiver arrivait à sa fin, et le paysage de la Grosse Pomme reprenait de ses couleurs. On arrivait à cette fin de journée, c'était l'heure de pointe, et les rues grouillaient de monde. Eulally sortit du travail, elle descendit la grande avenue et tourna dans la première bouche de métro. Quelques marches s'enfonçant sous la ville, parmi la foule, et la voilà sur le quai, attendant la prochaine rame de métro. Tant de gens, tant de bruits, mais chaque personne était un peu dans sa bulle. Le métro arriva finalement en un coup de vent, les portes s'ouvrirent, un flot de new-yorkais en sortit, avant qu'Eulally ne suivent le mouvement de masse, pour se retrouver enfin dans un des wagons. Pas de place assise, dommage. Elle posa juste sa main contre une barre, et elle garda son esprit fermé, coupé du monde, juste impatiente de rentrer chez elle. Et le métro continua ainsi sa route dans les profondeurs souterraines de la ville. Il s'arrêtait à un arrêt, des gens sortaient, d'autres arrivaient, et la rame reprenait sa course ; comme chaque jour, un banal et habituel jour. ❝ Prochain arrêt : Station Rockefeller Center. ❞ La voix dans les haut-parleurs sortit Eulally de ses pensées, sans raison particulière. Elle leva distraitement le regard, et parmi la nuée de têtes inconnues, elle remarqua notamment sa grande soeur. Son visage se réveilla soudain, un léger sourire la tira de sa solitude, et elle tenta alors de se frayer un chemin jusqu'à Lou-Ann. Tout était noir par les fenêtres, et les lumières du métro, jaunes et froides à l'intérieur. Toutes ces passagers, debout, serrées les uns contre les autres, et Eulally arrivait à peine à se faufiler jusqu'à sa frangine. ❝ Pardon. Excusez-moi. Hey, Lou... ❞ et puis soudain, un BOUM. Un grand bruit. Une collision. Une explosion. Suivie d'un silence. D'un noir complet. Et puis des cris, des pleurs. Le métro semblait soudain immobile. Les lumières quasi toutes éteintes. Tout le monde s'était écroulé au sol, Eulally avait heurté brutalement une rampe. Elle regarda autour, mais ça ne ressemblait rien de ce qu'elle connaissait. La panique. La peur. Un brouillard commençait a envahir le wagon, l'obscurité, la poussière, le sang. En un instant, c'était le chaos. Le métro new-yorkais, le train de l'enfer.
(#) Sujet: Re: ❆ we could be immortals, just not for long. #teamtheta; Sam 14 Mar - 16:59
❝we could be immortals❞ teamtheta
La proximité des corps dans de tels endroits laissaient bien souvent inconfortables. C’était des intrusions qui étouffaient un peu, les regards s’en éloignaient et la tête partait bien souvent avec eux dans cette sorte de défense de son espace. Assis sur un banc entre une dame et son bébé et un homme qui dormait depuis aller savoir combien d’arrêts, il se sentait lui-même fatigué par la respiration rythmique de l’homme, tandis que l’enfant à côté le dévisageait. Son regard était absorbé par les murs et les stations qui défilaient, l’une après l’autre, depuis ce qui lui semblait être une éternité. Damyan n’avait jamais vraiment apprécié les transports en commun, y trouvant une trop grande accumulation de facteurs dérangeants. Le temps perdu, les gens perdus, les gens pressés, les gens qui se faisaient un plaisir de prendre trop d’espace, les gens dont l’idiotie lui rappelait que le monde était en constante régression, les problèmes qui semblaient toujours arriver lorsqu’il avait les deux pieds dans un des wagons… Le métro ressemblait étrangement à l’enfer : sous-terrain, une chaleur souvent étouffante et beaucoup trop de gens. Un soupir traversa son corps en entier quand il reçut un coup de coude de monsieur je-dors-pendant-l’heure-de-pointe. Son regard marron se tourna vers celui-ci, tandis que d’autres personnes montaient à bord et certains ressortaient. Une voix annonçait le prochain arrêt et sa main bousculait l’homme d’à côté pour le ramener à la réalité. À peine l’inconnu montra des signes de réveil qu’il retourna son regard ailleurs. Sa journée avait déjà été assez longue sans qu’il n’ait à supporter plus encore. Le travail avait été étonnamment ennuyant, on n’aurait pu croire que la vie à New York ne cessait d’être excitante, mais, parfois, même les choses incroyables devenaient redondantes lorsqu’on les croisait à tous les jours. Son téléphone vibrait dans sa poche et il y glissait la main pour le rattraper, mais son geste s’interrompit rapidement. Le bruit semblait résonner contre les parois du tunnel, se frappant contre sa cage thoracique, tandis que le bébé dans son panier roulait et la mère tentait désespérément de le rattraper. Instinctivement, il retenu le panier, se levant de là où il était assis pour mieux tomber. Sa main attrapait un poteau, un dernier boum résonnait avant de laisser toute la place à leurs incompréhensions. Des cris assourdissaient, cognant contre ses tympans et la majorité des lumières s’éteignaient, laissant l’obscurité reprendre sa place dans les confins souterrains qui les retenaient. Les gens autour paniquaient et lui sentaient son propre cœur battre un peu trop vite, tandis que l’immobilité du train se remplissait des râlements de douleur. Son regard trouva une personne à terre, à proximité, dont il s’approchait. « Ça va? Vous êtes blessé? » demanda-t’il, passant son regard à la recherche d’une blessure. Il posait la question, mais, en fait, il n'était pas vraiment certain de pouvoir aider. Déjà, l’esprit du journaliste analysait la scène. Un autre cri emplissait l'obscurité, relevant le regard de Damyan vers l'autre côté du wagon.
× Ma Célébrité : sarah gadon × Nombre de messages : 118 × Age du perso : née le 12 mars 1988 × 28 ans × Job : médecin × Côté love : Music expresses that which cannot be put into words and that which cannot remain silent
(#) Sujet: Re: ❆ we could be immortals, just not for long. #teamtheta; Lun 16 Mar - 17:04
WE COULD BE IMMORTALS × ft. TEAM THETA
Time square. Un café starbucks dans une main ton téléphone dans l'autre, tu marches sans avoir de but précis. Tu es sortie tôt aujourd'hui. Plus tôt que d'habitude. Tu pourras remercier Théo, d'avoir accepté d'échanger quelques heures avec toi. Tu déambules donc dans les rues de New-York, contemplant les hauts buildings mais rêvant de nature.. Demain. Demain tu irais te perdre dans Central park. Tu lâches un bref soupir, rêvant de quelque chose d'excitant. Tu sortirais avec ta soeur et Charlie un de ces soirs, elles sauront te faire passer une soirée hors de ton ordinaire. Tu jettes ton café vide, et ranges ton téléphone dans ta poche, avant de t'engouffrer dans la bouche de métro la plus proche. Direction Brooklyn. En voyant le nombre de personnes qui se pressent sur le quai, tu te dis que tu aurais plutôt du prendre un taxi, mais peu importe, maintenant que tu es ici. La rame arrive, et avec elle le début de la bousculade entre ceux qui sortent et ceux qui entrent. Oh god! comme tu aimes New-York.. Les gens y sont toujours pressés.. Tant bien que mal, tu te fraies un chemin pour monter dans la rame. Ouf.. Tu y es. Enfin. Certes tu te sens oppressée par tout ce monde qui s'entasse. Tu aurais vraiment du prendre un taxi. Tu sors ton téléphone de ta poche, et alors que tu allais brancher ton casque pour écouter de la musique, tu entends quelqu'un appeler ton prénom. Tu lèves la tête, surprise. Certainement une autre Lou.. Qui pourrait t’interpeller dans le métro? Mais la réponse ne se fait pas attendre longtemps, lorsque tu aperçois ta soeur qui tentes de parvenir jusqu'à toi. ❝ Eh 'Lally! ❞ A ton tour tu joues des coudes pour réduire la distance entre vous deux. Le trajet vous paraîtrait moins long si vous êtes deux. Quand soudain, un grand fracas, la rame tremble, et tu perds l'équilibre. Les lumières vacillent pendant un instant, et l'obscurité envahit peu à peu les tunnels. Tu te frappes la tête contre une barre métallique, l'épaule droite contre un siège. Un peu sonnée tu ne comprends pas vraiment ce qui se passe par la suite. Des cris, des gémissements, des pleurs. ❝ Oh p*tain.. ❞ croasses-tu. Tu te relèves tant bien que mal. Et portes ta main à ta tête, là où tu t'es cognée. ❝ Eh m*rde.. ❞ gémis-tu lorsque tu comprends que ton front et tes cheveux sont imbibés de sang. Tu presses ta main sur la blessure tandis que tu peines à te relever. L'adrénaline fait son effet, tu ne ressens pas la douleur, pourtant tu ne sembles pas capable de lever le bras droit. ❝ Eulally, où es-tu? ❞ demandes-tu à la foule, inquiète de retrouver ta soeur en vie. Mais autour de toi règne le chaos. Et lorsque tu poses tes yeux sur les gens autour de toi, aucun visage familier, mais d'innombrables blessés. Tu ne sais pas où donner de la tête. Il allait bien falloir trouver un moyen d'aider ces gens, mais avec un bras en moins, tu n'es pas vraiment en possession de tous tes moyens. Tu t'approches d'un jeune homme qui n'a pas l'air blessé et qui semble vouloir aider une jeune femme à terre. ❝ Eh! Tu as l'air daller bien.. Lou. Je suis médecin, mais je peux pas m'servir de mon bras.. Tu fais ce que je te dis? Tu veux bien être mes mains? ❞ En disant cela, tu enlèves ta veste pour pouvoir mettre ton bras en écharpe dans un gémissement. La douleur commence à te rattraper.. Tout en te concentrant sur la jeune femme à vos pieds, tu continues de jeter des coups d'oeil inquiet vers l'endroit où se trouvait Eullaly quelques instants auparavant. Lorsque tu distingues finalement son visage, tu es rassurée, au moins, elle est en vie. Tu reportes alors ton attention vers la jeune femme et le jeune homme.
Dernière édition par Lou-Ann C. Austen-Jameson le Mer 25 Mar - 22:47, édité 1 fois
» Beatriz M. Alvarez "
❝ Survivor. × Learn to survive this world ♤ ❞
× Ma Célébrité : lindsey morgan. × Nombre de messages : 218 × Age du perso : vingt-deux ans. × Job : mécano. × Côté love : qui sait ?
(#) Sujet: Re: ❆ we could be immortals, just not for long. #teamtheta; Mar 17 Mar - 22:05
we could be immortals team theta
Il n’était pas dans les habitudes de Deborah de se retrouver dans le métro, à vrai dire, la voiture ou même le taxi lui seyait mieux, mais l’horreur des embouteillages avaient eu raison de son peu d’affection pour les transports en commun. Elle avait du temps devant elle et le métro aurait au moins le mérite d’être… une expérience disons. Tout au moins, elle n’aurait pas à tolérer la rage au volant de tous les automobilistes, voir la sienne. Ainsi, elle se retrouvait dans le métro new-yorkais, installée au beau milieu des rangées, faute de places assises. Ça ne la gênait pas, elle ne faisait que garder une main bien placée de façon à éviter que son arme de service soit visible sous le blazer qu’elle portait. Précaution inutile, sans doute, mais qui la rassurait malgré tout. Bien concentrée sur un point fixe, elle ne fit que se pousser légèrement lorsqu’elle sentait que quelqu’un devait passer, mais elle était davantage dans son monde que bien concentrée sur ce qui se passait autour d’elle.
Ce qu’elle n’avait évidemment pu prévoir, c’était la suite des événements. Un instant elle se tenait debout et l’instant suivant elle se trouvait projetée sur ce qui était sans doute une personne ou un banc. Elle s’était probablement blessée assez sérieusement, peut-être même sérieusement, mais l’adrénaline fit son travail pour lui permettre de se relever. Elle se sentait étourdie, ses tympans résonnaient encore du bruit soudain qui avait précédé son vol plané dans le métro et plus que tout elle avait l’impression d’avoir l’épaule détachée du corps. Une fausse impression, mais elle avait très certainement une dislocation doublée d’une blessure au bras assez considérable. Pas certaine d’être suffisamment solide pour tenir sur ses jambes bien longtemps, elle s’agrippa sur le poteau le plus proche pour observer la situation autour d’elle. C’était le chaos, il n’y avait pas de doute là dessus et comme toute situation de chaos, il fallait remettre un peu d’ordre Plus facile à penser qu’à faire, Deborah sachant pertinemment qu’elle se tenait debout davantage grâce à l’adrénaline et au poteau que parce qu’elle se sentait bien. Elle savait aussi que ses piètres connaissances de premiers soins ne seraient d’aucune utilité dans une telle situation. Il fallait agir selon ses capacités qui était plus de l’ordre… de l’organisation disons. Elle s’approcha tant bien que mal d’un groupe qui s’était formé, et surtout de la personne qui semblait le plus savoir quoi faire dans cette situation. « Vous êtes médecin ? » Elle allait droit au but, mais c’était nécessaire pour la prochaine étape de ce qui pourrait être presque qualifié de plan. Sans attendre une réponse, elle pouvait s'en passer dans l'immédiat, elle se releva le plus droit possible et dit de sa voix la plus forte : « J’aurais besoin de tous ceux qui sont aptes à bouger autour de moi. » Elle ne savait pas si sa voix avait bien traversé le wagon, mais il fallait commencer à s’organiser, réagir.
» Connor-Néoh McMillan "
❝ Failure. × It's like I'm losing my mind ϕ ❞
× Ma Célébrité : Cameron Monaghan × Nombre de messages : 2329 × Age du perso : 21 ans × Job : étudiant bien sage, ou pas trop. × Côté love : tu l'sens, que je suis totalement à fond ? et puis que j'me fais arnaquer ? il faut croire que c'est l'histoire de ma vie.
(#) Sujet: Re: ❆ we could be immortals, just not for long. #teamtheta; Jeu 30 Avr - 17:50
Apocalyptica Path
click
#subwayaccident #teamtheta« We could be immortals, just not for long. »Je pensais que ça allait être un jour comme les autres. Un de ces jours où je passe la journée à me languir d'arriver au soir, où j'allais prendre le métro et où j'allais juste aller au club pour bosser. Pour oublier à quel point ma vie me semble merdique en ce moment. Je pensais que tout allait se passer comme tous les jours.
Ça avait commencé comme tous les jours.
J'étais dans le métro. Il y avait du monde alors j'étais debout, adossé contre une vitre. Je savais que la plupart de ces personnes rentraient chez eux, ou ils allaient s'amuser pour se détendre après une journée de taf. Moi j'allais bosser. Bosser et me détendre après une journée d'ennui. Mais ces gens, je ne les regardais même pas. Je fixais un point dans le vide, tant et si bien qu'il y aurait très bien pu y avoir un ami, une connaissance dans la rame... Je ne l'aurait même pas remarquée. J'oublie de faire attention à ce qui m'entoure. J'oublie qui j'étais avant de devenir ce mec qui se fout de quasiment tout et qui supporte de plus en plus mal sa routine qui est pourtant en marge de celle des autres.
Ça avait commencé comme tous les jours. Ça aurait du continuer ainsi. Finalement, je l'aime ma routine. Mais elle s'est cassée avec la brutalité d'un poing dans la gueule. Non. Avec plus de violence que ça même.
Soudainement, y'a eu un bruit de tous les diables, et ce choc qui a projeté les gens au sol. Même moi. J'ai essayé de me retenir, mais au final ça m'a fait plus de mal qu'autre chose. Puis juste après j'me suis bouffé le sol puis ça a été le noir. Pendant quelques secondes seulement me semble-t-il. Quand j'ai rouvert les yeux, il faisait presque aussi sombre que sous mes paupières. Et j'entendais les plaintes de tous ces pauvres gens. Et j'humais l'odeur si reconnaissable, métallique, du sang qui avait coulé. J'en avais même le goût dans ma bouche. J'me suis fendu la lèvre, une arcade sourcilière aussi. Mais sinon... J'crois que ça va pas trop mal. Ou alors, c'est la situation qui fait je le ressens pas. L’adrénaline qui est montée en moi m'a aidé à me relever, doucement. A contempler les dégâts pendant quelques secondes. J'avais les oreilles qui sifflaient et je ne savais même pas quoi faire si ce n'est me retenir de paniquer.
Finalement, je l'aime ma routine.
Je n'suis pas fait pour ce genre de chaos. J'sais pas ce qu'il faut faire dans ce moments-là. Mince. Mais qu'est-ce que je dois faire ? Puis soudainement, au milieu de tout ce brouhaha qui m'semblait comme sourd, j'ai entendu ce mot. Ce mot magique pour ce moment là. « Médecin ». Y'a un médecin par là ? Et une personne qui semble bonne pour l'organisation. C'est là-bas qu'il faut aller.
J'veux pas me faire soigner, j'en ai pas besoin. Je veux juste aider, parce que c'est dans ma nature.
Alors j'y vais, tant bien que mal, je m'approche du petit attroupement de personnes qui sont debout et sûrement mal en point. Elles résistent. Parce que c'est ce qu'il faut faire.
« Je voudrais aider. » J'ajoute : « Dites-moi ce que je dois faire, je le ferai. »
J'me sens idiot, je ne sais pas prendre d'initiative. Faut dire que... Y'a tellement de monde. Comment savoir par où commencer ? Je n'ai aucune connaissance dans le secourisme ni dans les soins médicaux, mais je tiens à donner un coup de main.