(#) Sujet: “All my life, I was never there just a ghost.” Ven 26 Déc - 21:19
Dernière édition par Aron O. Rosenberg le Lun 29 Déc - 18:32, édité 2 fois
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(#) Sujet: Re: “All my life, I was never there just a ghost.” Ven 26 Déc - 21:20
cause we got holes in our hearts.
On lui avait raconté que la vie était comme un livre, et il y avait cru. Qu'il suffisait de tourner la page quand ça n'allait pas, pour pouvoir passer à autre chose. De simplement relire les phrases une dernière fois puis de glisser le doigt sur le bord de la feuille pour que tout s'en aille. Mais il n'existait pas de gomme de la vie. Aron le comprit simplement trop tard.
La nouvelle lui avait été annoncée de la manière la plus glaciale possible. La dame avait pourtant essayé de le lui dire gentiment, il l’avait compris, mais avait fini par supposer qu’elle n’était simplement pas très douée pour ça. On aurait dit qu’elle voulait qu’il s’effondre dans ses bras, ouvre les vannes et n’en sorte que quelques heures plus tard. C’est ce qu’il avait vu dans les films et, l’espace d’un instant, il hésita à le faire. Il avait eu envie de pleurer ; il en avait été incapable. Il ne l'aimait pas comme un petit garçon de dix ans doit aimer sa mère. Alors il se contenta de faire comme si de rien n'était et accepta son destin, certain que, quelque part, quelque chose l'attendait. Il ne savait simplement pas quoi. Il vit ces quelques personnes à l’enterrement, qui semblaient un peu triste, mais elles ne pleuraient pas comme à la télé, les dames ne portaient pas de lunettes noires pour cacher leur peine et les hommes ne se mordaient pas les lèvres pour se retenir de pleurer. Personne ne fit de joli discours, et le prêtre ne perdit pas son temps. Il supposa simplement que sa mère n’était pas une personne aussi aimée que celles des films, et qu’elle s’en allait exactement comme elle était venue sur Terre, seule et en silence. Il laissa à la vie le soin de faire son travail. Comme son père n’avait jamais semblé avoir envie d’entendre parler de lui, il passa quelques années à l'orphelinat, où la vie fit en effet ce qu’elle avait à faire. Il ne lui arriva rien de mauvais là bas ; rien de bien non plus. Pourtant, il savait se contenter de ce qu'il avait, c'est-à-dire pas grand chose, mais c'était déjà ça. Ni heureux ni malheureux, il se laissa voguer au gré du vent et devint une sorte de fantôme. Pas vraiment du genre qui fait peur, en fait, plutôt du style qu’on oublie assez rapidement. On lui avait répété qu'il devait être gentil avec les autres s'il voulait qu'on le soit avec lui, alors c'est ce qu'il fit. Il ne manqua jamais de dire bonjour aux personnes plus âgées que lui, de souhaiter une bonne nuit à tout le monde avant d'aller se coucher et de proposer son aide à la moindre occasion. Son existence s'esquissa de la sorte, mais il ne réalisa pas qu'il le faisait bien plus par obligation que par envie. Et il grandit de la sorte, avec une espèce d'envie de toujours bien faire, sans trop savoir pourquoi. On n'avait pas vraiment bien agit avec lui alors il avait au moins le devoir de l'être. C'est ce dont il finit par se convaincre, et ça l'aida à mieux grandir. Un peu. Un jour, un vieil homme croisa son chemin et, par un heureux concours de circonstance, décida de faire de lui son mentor. Il accepta et l’emmena chez-lui. C’était un très vieux professeur qui ressemblait un peu à Dumbledor et compagnie, et Aron se sentit presque en sécurité à ses côtés. Cet étrange homme que la vie n’avait, semble-t-il, pas non plus épargné, lui enseigna ce qu’un homme devait être. Droit, fort, fier, et surtout, intéressant. Alors, l’adolescent qu’il était devenu appris à bouffer des livres au rythme de son aïeul, se passionna pour des types dont quasiment personne n’avait entendu parler, compara des tas de théories et d’idées, et finit par se forger les siennes. Il était devenu un homme relativement correct et particulièrement respectable, grâce à cet homme à qui, il n’était sans le savoir, il devait tout, ou presque.
“ Tu dois faire quelque chose de ta vie ”, voilà ce qu'on lui répéta quand il fut en âge de réaliser que tout le monde n'était pas si gentil qu'on voulait lui faire croire. Il n'avait jamais été mauvais à l'école, il était même plutôt doué à vrai dire. On lui avait répété qu'il fallait travailler, alors c'est ce qu'il avait fait, mais personne n'avait pensé à lui dire qu'il était bien plus intelligent que la moyenne. Il rendit toujours ses devoirs à l'heure escomptée, leva la main de temps en temps pour donner la bonne réponse, s'assit souvent devant et parfois derrière pour jeter des morceaux de gomme sur les autres, et c'est comme ça qu'il obtint ses diplômes, parfois avec mention, et souvent en essuyant la jalousie des autres. “ Tu réussis tout ce que tu fais ”, qu'ils lui disaient. Le vrai problème, c'est qu'il ne savait même pas ce qu'il voulait faire. En âge de chercher du boulot, il fit comme tous les autres ; ne continua pas ses études et se mit à fabriquer un semblant de bouffe pour une chaîne alimentaire bien peu scrupuleuse. Comme tout le monde, en somme. Son petit chèque lui permettait de remplir son frigo, plus souvent de bières que de viande, et de s'acheter quelques jeux pour sa console lorsqu'il ressentait l'envie de faire quelque chose de ses soirées. C'est à cette époque qu'il devint végétarien, par simple conviction que c'était un aliment commun qui coutait beaucoup trop cher pour ce que c'était. Il ne parti pas en vacances, s'acheta une télévision à l'écran légèrement plus grand, se fit voler sa voiture et perdit vingt dollars dans le métro. Sa vie n'était pas palpitante. Il s'en accommoda, comme à son habitude. Un beau soir, pourtant, il prit la décision qui le démangeait depuis bien des années. Alors qu’un homme lui avait dédié les dernières années de son existence, Aron prit la fuite. Il boucla son unique valise et sauta dans le premier avion. Un aller simple, sans retour, qu'il paya en revendant les misérables cadeaux qu'on lui avait offert pour fêter sa majorité. C'est ainsi qu'il abandonna cet homme à son sort. C’est ainsi qu’il décida de dire adieu à son passé, de relever la tête vers le monde nouveau qui lui tendait les bras. New York, ça faisait rêver tout le monde, et Aron n’échappait pas à la règle. Sa vie n’allait pourtant pas être aussi belle qu’il l’imaginait, ni même aussi palpitante. Mais, au moins, il avait, pour la première fois de sa vie, pris sa propre décision. Ne lui parlez pas de cet homme, il ne saurait quoi vous en dire. Son départ a marqué le point final de cette relation.
Il avait toujours eu quelques amis, certains auxquels il savait ne pas faire confiance, et d'autres plus précieux bien qu'il refusait souvent de l'admettre. L'une d'elle était belle comme le soleil et malgré toutes les années qu'ils passèrent ensemble, il ne sut s'en rendre compte. Elle l'aimait si fort et depuis si longtemps qu'il ne l'avait même pas remarqué. Eblouie par tant d'amour, il n'avait su voir qu'elle crevait d'envie de faire de lui le sien. Un soir, il la trouva, un peu à l'ouest, dans la minuscule chambre étudiante qu'ils partageaient de manière non officielle. Il comprit que quelque chose n'allait pas à son silence prolongé elle qui, habituellement, pouvait parler pendant des heures sans s'arrêter. Il l'écouta avec un semblant d'attention lui raconter comment elle avait surpris son petit ami la main dans le sac, ou plutôt dans le pantalon d'une autre qu'elle. Il n'avait pas vraiment su quoi lui dire, à part peut-être que, de toute façon, il n'était qu'un sale con que personne ne pouvait encadrer. Ses mots n'avaient eu pour seule utilité que de faire redoubler ses sanglots et, sans trop savoir pourquoi, il l'embrassa. Ils passèrent la nuit enlacés l'un contre l'autre, dans un silence qu'il sut, pour la première fois, apprécier à sa juste valeur. A ce moment là, il se laissa enivrer par son parfum, doux et apaisant et il réalisa, sans pour autant le comprendre immédiatement, qu'elle avait été là depuis ce qui lui semblait être le tout début. Il se demanda, avant de perdre le nord dans les bras de Morphée, s'il n'avait pas décidé de coller ses lèvres aux siennes pour qu'enfin elle se taise.
Il commença à voir le regard des autres mecs se poser sur elle, sur ses formes, et il n'apprécia pas vraiment. Il sut se rendre convainquant lorsque certains approchaient d'un peu trop près à son goût, et commença à ne plus apprécier aucun des types de son répertoire. Pour calmer ses drôles de pulsions, il prit un forfait dans une salle de sport, et fit de son mieux pour éloigner l'image de leur première nuit de son esprit. Lorsqu'il parvint enfin à mettre des mots sur tout ça, il lui fit la plus belle des déclarations. Le lendemain, il l'épousa. Mais on commence toujours à se dire adieu dès notre premier baiser. Ses sentiments s'estompèrent presque aussi rapidement qu'ils étaient apparus ; comme à son habitude, il s'en rendit compte bien trop tard.
Les années défilèrent, modérément mystérieuses et palpitantes, beaucoup prévisibles et simples. Comme il avait appris beaucoup de choses dans ses lectures, il se décida à reprendre le chemin de l’école, encore une fois plus par obligation personnelle que par choix ; il n’avait plus envie d’être ce minable vendeur d’une quelconque entreprise. Il était intelligent, et il avait la certitude de devoir s’en servir. Alors, il décida de devenir professeur. Il n’était pas très bien payé, il travaillait plus qu’il ne l’aurait souhaité, et surtout, il ne s’amusait pas autant qu’il l’aurait cru. Mais qu’importait ; s’il pouvait répandre ne serait-ce qu’une once de son savoir, alors il se considérait gagnant. La plupart de ses élèves se fichaient éperdument de ce qu’il pouvait bien raconter, jugeant, sans nul doute, leur vie bien plus passionnante. Il ne pouvait les en blâmer ; à quelques années près, il avait été quasiment le même. Mais, parfois, il suffisait d’un regard, d’une attention particulière, pour illuminer sa journée. Il avait pourtant été à des années lumière de penser que cela finirait même par illuminer sa vie ; à quelques détails près.
“ Ecoute, tu sais, je crois pas que ce soit une bonne idée... ” Ça crevait les yeux, certainement que c'était une mauvaise idée. C'était même probablement la pire du siècle. Et pourtant, quelque chose les empêchait d'arrêter. Quelque chose plus grand que les conventions, que la normalité. Surement quelque chose de plus gros que le monde lui-même. “ Non, vraiment, tu crois ? ” Le regard perdu dans le vide, il ne savait plus vraiment quoi faire. Perdu, balancé sans arrêt entre son cœur qui lui hurlait de foncer, parce qu'on ne vit probablement ça qu'une seule fois. Et sa raison, qui lui crachait à la gu*ule qu'il était la plus mauvaise des personnes. Sa foutue raison qui, sans aucun doute, avait raison. Les doigts pris de sursauts et le cœur au bord de l'explosion, il ne savait plus quoi faire. Il avait l'impression d'avoir tout tenté, en vain. Il y avait une seule chose, pourtant, à laquelle il n'échapperait jamais : son destin, sans aucun doute. Il n'avait qu'une envie et c'était loin d'être celle qu'il aurait du avoir. “ Je récupère mes affaires et je m’en vais. Ce sera terminé entre nous. ” Il passa sa nuit à tourner en rond dans sa maison de banlieue débordante de faux-semblant, tel un animal en cage privé de soleil. Il avait pourtant trouvé sa lueur, son espoir, et on allait la lui arracher ? Pire, il devait s’en séparer. Il tourna en rond, vida quelques verres, se brisa la voix sur quelques tubes des Red Hot et, à peine une heure avant le lever du soleil, rédigea sa lettre de démission, qu’il déposa peu de temps après sur le bureau du directeur du lycée dans lequel il cessa de travailler. S’il voulait tranquillement sauter son élève, il en avait bien le droit, non ? Ce ne serait pas facile, mais qui avait osé dire que la vie l’était ? Il avait tout pour être heureux. Il ne l’était simplement pas.
“ Alors c’est ça que tu faisais hein, tous ces soirs où je t’appelais et tu répondais pas ? Tu baisais tes élèves, c’est ça ? ” Le regard perdu dans le vide, il n’osait plus lui faire face. Il s’y était préparé, après tout, ça faisait des mois que ce petit jeu durait. Il était conscient, un jour ou l’autre, la vérité allait éclater. Il n’y avait jamais de bon moment pour ses choses là, alors il avait fini par lui laisser le plus gros indice du monde ; du parfum sur sa chemise. C’était une femme, il savait qu’elle finirait par faire le rapprochement. Il lui avait ensuite suffit de s’introduire dans son téléphone pour trouver l’épée qui venait de la briser. “ Arrête, s’il-te-plaît, tu… ” Il n’avait jamais eu l’intention de lui briser le cœur, vraiment. Certes, il avait fait passer son propre bonheur au tout premier plan mais, malgré cela, elle comptait toujours autant. Tout au moins, c’est ce qu’il se répétait, depuis des mois qu’il la trompait. Forcément qu’elle aurait mal. Même si la lueur dans ses yeux n’étaient plus la même qu’au premier jour, même si leurs nuits étaient beaucoup moins magiques et même s’ils ne se voyaient pour la plupart du temps qu’en coup de vent. Il venait quand même de ruiner sa vie. “ Tu m’as jamais aimé. T’es un p*tain d’enfoiré, un salaud d’enfoiré ! ” Il la connaissait par cœur, son tempérament fort et son exubérance, mais il comprenait. Il comprenait qu’elle aille jusque là, parce que, c’était ce qui se faisait, non ? Alors il la laissa le frapper de ses minuscules petites mains qu’il avait tant aimé caressées mais qui, aujourd’hui, ne lui inspiraient plus la moindre envie. “ C’est pour ça que tu voulais pas qu’on ait de gamins ? Pour pouvoir continuer à baiser des gamines ? ” Son silence se faisait lourd tandis que de grosses gouttes glissaient déjà sur les joues tremblantes de celle qu’il avait épousé de longues années auparavant. Il n’avait jamais su la consoler et, paradoxalement, il avait bien souvent été la cause de ses maux. C’est ainsi qu’il décida de rester à l’écart, les bras ballants. C’était toujours beaucoup plus simple. “ Je te déteste, d’accord ? Je te hais. Comme j’ai jamais haï personne, j’te jure. ” Ca aurait du être difficile à encaisser. Seulement, ses insultes glissaient sur lui comme un misérable crachin d’automne. Ça faisait si longtemps qu’ils n’étaient plus que ça ; et l’hiver arrivait sur leur histoire. “ Je veux divorcer. ” Il garda la voiture et elle prit la maison. Il lui laissa l’écran plat et accepta même de lui céder le chien, parce qu’elle ne cessa de répéter qu’il était incapable de s’occuper de qui ou quoi que ce soit. En fait il lui laissa presque tout ; il n’emporta que ses quelques vêtements rescapés du feu de joie qu’elle décida de faire en l’honneur de leur mariage brisé. La vérité, c’est qu’ils ne s’aimaient plus depuis longtemps. Ils n’avaient simplement pas osé se l’avouer, alors il avait tout foutu en l’air avant qu’il ne se retrouve coincé entre deux gosses un clébard et une vie merdique. De toute façon, il avait toujours été du genre à tout gâcher, sans jamais vraiment s’en rendre compte. Il avait trop pensé aux autres. Il était temps de faire de lui le plus parfait des égoïstes. Une nouvelle fois, il boucla sa valise et prit la route. Parce que toutes ses pensées s’étaient emmêlées, il grimpa dans le premier avion, direction Tokyo. On lui avait raconté que le paysage y était beau et que la vie semblait plus belle, comme colorée d’un doux filtre rosé. Il l’avait appelé, avant de s’en aller. Il ne l’avait pas mise au courant, mais il ne comptait pas rester longtemps ; à peine assez de temps pour prendre une décision. Sauf qu’au moment d’embarquer, il en était certain : elle était déjà prise, sa décision.
“ sometimes it seems you gain less than you lose. ”
Les lumières des lampadaires brûlent les yeux, l’étourdissement est de taille. La multitude de sons forme une spirale infernale, prenante, dangereuse. Les voix s’entassent, se mêlent et se délient ; les corps se meuvent telles de grandes ombres effrayantes. Tout se veut hostile, effrayant, dérangeant. Il tremble un peu.
Haletant, il cligne des yeux encore une fois, juste pour s’assurer qu’il ne s’agit pas d’un rêve. Non, c’est bien réel ; il peut le sentir jusqu’au plus profond de ses poumons, où, pour la première fois depuis deux longues années, l’air semble s’être enfin renouvelé. Il a quitté cette île. Il est parti, il a pris la route d’un nouvel avenir. Il n’en croit pas ses yeux ; mais ça fait mal, ça fait si mal. Oui, il est de retour à la maison. Mais quelle maison ? Que reste-t-il d’un fantôme, disparu pendant deux longtemps années ? Un poster, deux photos et trois cartes postales. Pas beaucoup plus. Un fantôme, de retour là où il pensait être encore désiré. Mais la réalité fait souvent bien plus mal.
Dernière édition par Aron O. Rosenberg le Lun 29 Déc - 18:20, édité 1 fois
» Lahas Brody "
❝ Immune. × I can't forget but I can pretend ∞ ❞
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(#) Sujet: Re: “All my life, I was never there just a ghost.” Ven 26 Déc - 21:49
Bienvenu et bon courage pour ta fiche
» Invité "
❝ Invité ❞
(#) Sujet: Re: “All my life, I was never there just a ghost.” Ven 26 Déc - 21:59
Bienvenue et bon courage pour ta fiche.
» Invité "
❝ Invité ❞
(#) Sujet: Re: “All my life, I was never there just a ghost.” Ven 26 Déc - 22:48
Bienvenue ici. J'espère que tu te plaira parmi nous :3
» Hayley J. Fawkes "
❝ Failure. × It's like I'm losing my mind ϕ ❞
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(#) Sujet: Re: “All my life, I was never there just a ghost.” Ven 26 Déc - 22:49
Bienvenue
» Eulally W. Austen-Jameson "
❝ ADMIN Speedy. × Tell me your dreams ♧ ❞
× Ma Célébrité : elizabethCUTIEolsen. × Nombre de messages : 2408 × Age du perso : 23 yrs-old. × Job : ex-étudiante à berkeley ; étudiante à colombia. × Côté love : lui, mon presqu'fiancé.
(#) Sujet: Re: “All my life, I was never there just a ghost.” Ven 26 Déc - 23:37
omg oliver laisse-moi mourir réserve-moi un lien ♥ bienvenue aron hâte de lire ta fiche ; bonne chance pour la suite (: et bon jeu parmii nous <3
» Susie-Joddy Lewis Hunprey "
❝ ADMIN Crazy. × It's only the beginning ღ ❞
× Ma Célébrité : jessica marie alba <3 × Nombre de messages : 11158 × Age du perso : 26 ans - née en 1988 à NY × Job : maman à temps plein, c'est déjà bien × Côté love : lui, malgré tout
(#) Sujet: Re: “All my life, I was never there just a ghost.” Dim 28 Déc - 10:54
ahh stephen-oliver welcomeee sur ti, aron je te souhaite bonne chance pour ta présentation & bon jeu parmi nous <3
» Invité "
❝ Invité ❞
(#) Sujet: Re: “All my life, I was never there just a ghost.” Dim 28 Déc - 22:44
Bienvenue ! Très chouette choix d'avatar
J'espère que tu te plaira ici, et surtout bonne chance pour le reste de ta fiche
» Invité "
❝ Invité ❞
(#) Sujet: Re: “All my life, I was never there just a ghost.” Lun 29 Déc - 17:50
eheh, merci vous tous. et je pense aussi que j'vais m'amuser par ici, en tout cas y'a pas de raisons que ce soit plus pas le cas. ça a pas l'air, mais j'ai très bientôt fini ; je peaufine et j'attendrai sagement ma couleur.
» Invité "
❝ Invité ❞
(#) Sujet: Re: “All my life, I was never there just a ghost.” Lun 29 Déc - 17:59
Omg quel excellent choix d'avatar
Sois le bienvenu en ces terres & je te souhaite bon courage pour la fin de ta fiche Bon jeu parmi nous le yummie
» Invité "
❝ Invité ❞
(#) Sujet: Re: “All my life, I was never there just a ghost.” Lun 29 Déc - 18:33
merci très chère ; et j'ai bien l'intention de m'amuser bref, j'ai fini les copains.
» Invité "
❝ Invité ❞
(#) Sujet: Re: “All my life, I was never there just a ghost.” Lun 29 Déc - 19:56
Ton histoire ♡ bienvenue officiellement et quoi qu'il arrive je veux un mega lien qui tue de la mort qui fracasse tout ♡♡
» Eulally W. Austen-Jameson "
❝ ADMIN Speedy. × Tell me your dreams ♧ ❞
× Ma Célébrité : elizabethCUTIEolsen. × Nombre de messages : 2408 × Age du perso : 23 yrs-old. × Job : ex-étudiante à berkeley ; étudiante à colombia. × Côté love : lui, mon presqu'fiancé.
(#) Sujet: Re: “All my life, I was never there just a ghost.” Lun 29 Déc - 20:06
❝ after five years on a hellish island, i have come home with only one goal, to save my city...❞ *out*
roh punaise, d'la bombe ce perso ahh j'ai mis trois ans à capter (a) héhé i know who you are fiou je bave devant tes images (l'gif mygod ♥) tout est parfait, j'te valide quoi <3 j'te dis bon jeu à new-york alors yeah, et j'me répète mais j'veux un lien obligééé (:
» Nemo-Gregory Sumpter "
❝ Master. × Plotting to rule the world ♛ ❞
× Ma Célébrité : Taron Egerton × Nombre de messages : 1182 × Age du perso : 21 ans × Job : Geôlier × Côté love : Moi-même
(#) Sujet: Re: “All my life, I was never there just a ghost.” Mer 31 Déc - 12:13
Bienvenue, amuse-toi bien
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(#) Sujet: Re: “All my life, I was never there just a ghost.”