Où le vent me portera, le sang coulera sur les arbres.

❝ Lahas Brody❞ ♦ Feat Gaspard ulliel ;

Depuis que je suis enfant, on m'appelle Braviakt ✕ j'ai déjà 27 ans ✕ je suis née le 15 juillet 1987 dans un endroit nommé vallée des Dieux ✕ actuellement je suis un tueur en quête de territoire ✕ dans la vie d'tous les jours, on me décrit comme • Drôle, • Bon comédien, • Très discret. , mais aussi très • Menteur, •Manipulateur, • Radical✕ j'aime par-dessus tout les accrocher aux arbres ou les enterrer sous terre. ✕ je déteste encore plus les mauvaises blagues ✕ personne ne le sait, mais je n’aime pas manger du lapin ✕ je me distingue par mon humour démesuré ✕ j'avoue, mon orientation sexuelle est plutôt Bi ✕ puis en c'moment t'façon j'suis célibataire✕ vous me trouverez dans la team des Sigmas , car : les bonnes choses se trouvent dans les choses simples et le sang est quelque chose de facile à faire couler. ✕ et je porte aussi le rang des The villains parce que : cela me correspond assez bien je pense

Innocence

Un après-midi d’été en 1987, je vis le jour dans cette jungle humide et chaude à la fois. L’odeur de la terre foudroyée par la pluie empli mes narines, le bruit des feuilles au vent ainsi que les pleures de joie de ma mère. Toutes les nouvelles senteurs de ce monde submergèrent mon corps à peine conscient. Ici rien ne se faisait comme nulle part ailleurs, la nature était omni présente et avait tous les droits sur nous. Nous ne lui arrachions que ce que nous avions besoin pour nous nous nourrir, loger ou faire notre toilette ni plus ni moins. Nous étions en communions avec notre environnement et étions loin de toutes civilisations. Dans ce petit coin de paradis, personne ne s’aventuraient car nul ne savait ce qui se dressait derrière ces immenses fourrées. Nous avions eu des visiteurs, certes, car il reste des gens ayant le gout de l’aventure. Nombreux furent ceux qui ne jamais revirent leurs chaumière. Nous n’étions pas dangereux mais mon peuple tenait à garder sa culture intacte et la présence d’un « blanc » sur nos terres était signe de mauvais présage selon les anciens. Nous étions isolé de tous mais heureux comme cela. Mon enfance fut emplie de joie, j’aurais souhaité à n’importe lequel des enfants de ce monde de vivre ce que j’ai pu vivre à cette époque. Nous gambadions dans l’eau turquoise en sentant le sable doré se coller à la plante de nos pieds. Nous étions libres et nos yeux étaient ravis de pouvoir contempler les merveilles de notre monde. Chaque couleur, chaque son nous procurait un sourire au coin des lèvres.

Quand nous furent assez âgés, nos pères nous apprenaient à chasser de la manière la plus rapide possible. Je me rappelle de ma première fois qui fut plus que désastreuse. Mon père et moi étions cachés derrière de légère fourrée aux odeurs diverses et parfois nauséabonde. Il m’expliqua dans notre langue que pour être un bon chasseur il faut être aussi discret qu’un caméléon et aussi rapide qu’un guépard car si l’animale se sent traqué, il fuit et cela devient bien trop compliqué à rattraper. Je l’écoutais attentivement en fixant ma future proie entre les rainures de la plante. Je demandai à mon père si cela était vraiment nécessaire, je n’avais aucune envie de lui prendre la vie. Il me dit d’un air compatissant qu’il fallait bien nous nourrir et que si nous n’exagérions pas, mère nature ne nous en voudrait pas. Je le cru mais bien plus tard, je compris que quel que soit notre excès, la nature jamais ne nous puni réellement. Je pris mon temps avant de bondir sur le petit rongeur qui m’avait été dicté de tuer. Je croyais réellement pouvoir l’attraper mais l’animale était bien plus intelligent et moi bien trop peu discret. Quand à peine je posai un pied en dehors de la végétation, il prit son élan et se mit à gambader le plus rapidement possible. Je le suivis en agitant les bras- et en quelque sorte l’effrayant plus qu’autre chose- et en criant en lui demandant gentiment de s’arrêter car je devais bien me nourrir. Mon père me regarda faire en restant à l’écart afin de me laisser gérer la situation par moi-même. Je continuai un bon moment sans me fatiguer à accourir dans tous les sens. Je voulais absolument l’attraper mais j’avais conscience que j’allais plus vite me fatiguer que lui. Enfin, c’est ce que je cru. Sans m’en rendre compte, je l’avais poussé vers la zone où nous posions nos pièges à gibier. Je n’avais pas connaissance de cet endroit à mes débuts et c’est quand j’entendu un CRACK assourdissant et vis la corde qui se tenait à mes pieds se tendre que je compris que je m’étais piégé moi-même. La corde tressée frotta dangereusement contre le tronc de l’arbre autour duquel on avait passé l’objet. Alors que j’avais pied à terre il y a encore quelques minutes, je me retrouvai tête en bas en criant à l’aide. Mon père accourra pendant que le rongeur sautillait encore librement. Je croisai les bras en faisant la moue alors que mon paternel se contentait de se moquer de moi. Ce soir-là, mon histoire fit le tour du village et je me fis passer pour le plus piètre chasseur de notre tribu. Je n’avais pas apprécié que l’on me dénigre de la sorte malgré mon caractère fragile à cette époque-là. J’avais tout de même une fierté d’homme et un homme de tribu se doit de bien savoir chasser.

Le rite.

Le temps filait et mon innocence s’effaçait avec lui. Je devenais un homme et selon les prédictions de l’oracle à cet âge les jeunes garçons étaient appelés par la déesse Aquina. Nous devions passer de nombreux rites afin de prouver notre bravoure et nos capacités à survivre en milieu hostile. Ils nous disaient que c’était pour mesurer notre complicité avec la sainte mère nature. Je ne comprenais pas vraiment l’utilité de ces choses mais nous y étions obligés. Selon nos ancêtres passer par cette étape est peu agréable. Ce jour-là, je me rappelle des grandes flammes qui déchiraient le ciel ainsi que les chants et les danses consacrées à notre futur succès. Pas mal de ces enfants n’allaient pas survivre à cette nuit… Certains allaient mourir de froid, d’autre allait être tué par des prédateurs nocturne ou ils se perdront simplement car n’y verront rien. Nous étions tous éparpillé dans ce manteau de feuille dense et vicieux, nous étions à la portée de n’importe quoi. Les anciens disaient que ceux qui revenaient étaient bénis des Dieux et étaient assez fort pour mener les nôtre avec sagesse et force. Je les croyais et était intimement convaincu que mes parents ne feraient pas cela si ce n’était pas la volonté des hommes des cieux. Ma mère me serra contre elle fortement ce jour-là en me disant que je reviendrais et que je serais celui qui aura été le plus vaillant de tous. En réalité, elle avait juste peur de ne plus jamais me revoir comme toutes les mères du village. Je lui dis que rien ne pourrait m’empêcher de rentrer chez nous mais c’était simplement pour la rassurer car je doutais grandement de mes capacités de survies. Et puis, je doute qu’à treize ans on a foi en nombreuse choses même si l’on a été formé à ce moment pendant toute notre jeunesse. Je n’avais pas été comme les autres enfants, je n’en voyais pas l’utilité, je ne voulais pas souffrir de la sorte mais si je ne le faisais pas j’allais déshonorer ma casse et je n’aurais pas pu me permettre d’infliger cela à mes géniteurs. Je préférais mourir que de les rendre ridicule. On me banda les yeux et on m’emmena au cœur de la forêt et on me donna pour seule arme un couteau. On me dit de compter jusqu’à zepthna -cent- et d’ensuite enlever mon bandeau et non avant. Je respectai la clause et retrouvai la vue peu de temps après. J’étais seul, apeuré et perdu. Je regardai la lame dans ma petite main et me dit qu’avec si peu cela allait être compliqué. Je soupirai longuement et décidai de récolter des brindilles de bois afin de faire un feu pour éloigner les prédateurs et ainsi dormir le plus possible. N’importe quelles personnes savaient que voyager la nuit était de la pure folie ou de l’inconscience. Mon périple dans « mag hamata » -forêt vicieuse- dura une semaine entière, je dû me nourrir d’insectes, champignons construire des récipients et trouver un ruisseau auquel m’abreuver. Je n’avais aucunes idées d’où je pouvais être mais par contre je me souvenais que le courant de cette étendue d’eau descendait à mon village. Je décidai alors de le remonter et après une journée entière de marche et de pistage au sol je retrouvai le chemin de ma chaumière. Je n’étais pas le premier qui était revenu mais j’étais là et cela suffisait à mes parents. Je n’étais pas vraiment un leader en ce temps-là, je préférais laisser ma place à d’autres. Enfin, je le laissai paraitre assez longtemps pour qu’on y croie. On dit souvent qu’un ruisseau avec peu de courant est bien plus dangereux qu’un torrent car on ne s’attend pas à être entrainé et ensuite noyé.

Renaissance.

Tout changea quand j’eus dix-neuf ans. Mon corps appelait la chaire d’une femme, mes idéologies changeaient et ma curiosité était grande. J’allais toujours plus loin dans la jungle, je voulais tout connaître de cette île. Je voulais savoir ses secrets, ses cachettes, ses endroits reposants, je voulais tout savoir d’elle. Un jour, les feuillages dispersèrent et laissèrent place à un village comme je n’en avais encore jamais vu auparavant. Ils possédaient de grandes cahutes en bois solides qui ne semblaient pas pouvoir se déplacer. Leur eau n’allait pas se chercher à la rivière et ils avaient de la lumière dans des objets ronds. Plus besoin de feu pour s’éclairer. Je pensai que c’était « ga madrum » -l’interdit, l’enfer-. On ne nous avait jamais parlé de ces personnes et j’en avais peur. Je me fis discret et couru de toute mes forces jusqu’au village pour parler aux anciens de ce que j’avais vu là-bas. Ils me dirent qu’il ne fallait pas aller dans cet endroit car ils étaient dangereux et banni des Dieux, indigne de la nature. J’avais beau essayer de leur expliquer, ils ne voulaient rien entendre et étaient persuadé qu’ils étaient une menace. Selon eux, nous devions rester des hommes peu civilisé pour communier avec la nature mais je n’étais pas d’accord. Je pouvais la respecter en étant comme eux, il suffisait d’évoluer et de s’adapter. De garder nos rites et d’avancer pas à pas. Pendant des années, ils refusèrent mes propositions ou mes arguments. Seul les jeunes étaient curieux et voulaient bien se joindre à moi pour que je leur montre. Je ne connaissais pas grand-chose de cette civilisation mais je comptais bien leur apprendre le peu que j’avais pu comprendre en allant là-bas. Mon but était humble et non assassin ou destructeur mais les autres jeunes ne l’entendaient pas de cette manière. Ils étaient l’avenir de la tribu et s’ils ne pouvaient pas avancer maintenant il serait bien trop tard pour évoluer quand on sera des pièces de chaires sèches et plein de sagesse. Nombreux se mirent d’accord pour détruire nos pères et nos mères. Je tentai de trouver une autre solution mais leur progrès les aveuglait. Ils me proclamèrent chef car j’étais celui qui leur avait apporté le don du ciel et l’avancement. Je ne voulais pas de ce titre mais à partir ce moment précis, je ne voulus plus jamais le quitter. J’avais un don caché pour le commandement et pour obtenir du respect de mes semblables. Mais pour avoir du respect, il faut faire des choses qui ne nous enchantent pas ou nous rebute, des choses immorales…

Cette nuit-là, les flammes dévorèrent le camp, les temples furent profané, la fumée recouvrit le ciel étoilé. Les tambours sonnèrent le glas de cette erre maintenant révolue. Je me rappelle de leur son sourd et oppressant. Chaque coups étaient pour la mort de l’un des autres, ils s’enchainaient sur un rythme endiablé et enivrant. Je les regardais fuir, crier et supplier, je semblais fermé et déterminé à faire mon devoir de chef mais le plus dur resta à venir. Ils m’amenèrent mes parents à mes pieds, je voyais leur amour pour moi mélangée à leur déception. Ils ne me croyaient pas capable de cela et auraient préféré mon exil que de devoir supporter ce massacre. Je leur dis qu’ils n’avaient pas à le supporter et n’auraient plus à souffrir s’ils me rejoignaient et acceptaient mes idéologies. Plus de Dieux, plus de logements miséreux. Je leur demandais seulement deux choses mais cela était trop pour eux, ils ne voulaient pas. Je fermai les yeux en soupirant, mon cœur battait la chamade, j’allais devoir les abattre comme des chiens. Eux qui m’ont aimé, soutenu, élevé. Je ne voulais pas que cela se finisse ainsi mais c’est ce que ma nouvelle tribu attendait de moi. Je serrai la dague entre mes doigts forts et épais. Je senti la transpiration se former au creux de ma paume et de mon front. Je les regardai une dernière fois et mis fin à leur jour en les poignardant. Ce fut les dernières vies que je pris de manière aussi douce et rapide. Je ne montrai pas la peine qui envahissait mon corps, je leur cachai mes mains tremblantes emplies de sang. J’avais envie de me laisser tomber genoux à terre et de crier au ciel qui pleurait sur tous ces corps maintenant refroidi. Cette nuit-là, je perdu toute humanité. La suite de ma vie ne fut qu’une suite de chutes et de cruauté.

Bad trip

Nous avions tout reconstruit au fil du temps, avions amené l’électricité et l’eau courante mais nous chassions toujours notre gibier car cela nous permettaient de rester en condition. Nous ne voulions pas perdre nos capacités de chasseurs. Personnes ne venaient jusqu’ici auparavant mais depuis qu’ils ont entendu dire que la tribu avait disparue, plus de curieux firent leurs apparitions. Chaque personne qui entrait dans mon territoire avait le droit à avoir son corps enterré dans le sol avec seulement sa tête dépassant de la terre. Ils restaient là plusieurs jours assoiffés et apeurés à l’idée de rencontrer la mort. Tous périssent et restèrent là quelques temps à titre d’exemples. Ils étaient généralement à l’entrée du village pour dissuader ou apeurer. Cela marcha un temps mais l’homme a soif de destruction de ce qui est différent. Nombreux virent s’aventurer sur nos terres et chacun périrent uns à uns. Tous savaient qu’un chef dangereux gouvernait cette partie de l’île mais aucuns ne revenaient pour leur dire à quoi il ressemblait réellement. S’il y avait des femmes dans l’expédition, on les gardait prisonnière afin qu’elles nous apprennent le langage parlé par leur peuple. Nous n’avions pas la certitude qu’elles étaient honnêtes mais quand nous nous en rendions compte elles finissaient pendue par leurs propres tripes. Parfois, on en laissait une s’échapper pour qu’elle raconte ce qu’elle avait vu et ainsi semer la terreur de l’autre côté de l’île ou on se contentait de lui donner de l’espoir avant de la traquer comme un vulgaire gibier. À mes 22 ans, je connaissais leur langage, leur commerce. Je les avais assez observés et étudiés pour voler de mes propres ailes. J’étais respecté des miens, craint des autres, il ne me fallait rien de plus. Enfin si ! Il me fallait plus de terres, je voulais m’étendre mais en silence. Ainsi allait commencer peut-être mon futur règne sur cette île.

Quand le ciel pleura l’acier.

Le calme des environs, l’écoulement innocent de l’eau, le vent chaud et délicat. Je profitais des vertus apaisantes de la nature quand soudain un bruit sourd résonna à travers les nuages. Une trainée de feu galopait derrière une chose qui chutait. Je le suivis du regard et le vis chuter vers l’ouest. Cela dépassait mon territoire mais ça m’intriguai. Avec le temps, j’avais réussi à m’intégrer à l’autre civilisation. Nombreux sont ceux qui me connaissaient mais qui ne savaient pas mes véritables origines. Je trainai quelques jours dans leurs rangs et grâce à mes talents de tromperie et de menteur, j’appris qu’un avion venait de se crasher sur l’île. La nouvelle ne semblait pas trop les réjouir mais cela allait être un nouveau terrain de jeu pour moi et ma tribu. Certes, le lieu était éloigné de nos terres mais il était possible de nous déplacer jusque là-bas. Je mis plusieurs mois avant de me décider réellement et quand j’eus pris ma décision un nouvel oiseau de fer s’écrasa sur notre île mais cette fois sur notre territoire. Je ne pouvais pas permettre à des étrangers de profaner nos terres alors j’attendu qu’ils viennent à moi. Enfin, du moins ceux qui tombaient sur notre potager humain. Ces gens n’étaient pas comme ceux de l’autre côté, ils étaient hanté par le pouvoir de domination, la soif de sang ou le simple plaisir de détruire. Chacun avaient leurs particularités et leurs buts. Certain étaient juste là pour profiter des corps qui avaient été porté disparu il y a peu, d’autre suivaient par simple curiosité. Je regardai la ligne d’homme qui se postait devant moi du haut de mon « trône » joncher d’os humains. Ils étaient peu mais cela me suffisait pour découvrir leurs véritables intentions. Je leur demandai de nous rejoindre afin de pouvoir semer la terreur dans l’ombre ensemble. Peu acceptèrent mon offre généreuse. Seulement trois sur sept acceptèrent. Pour ceux qui refusèrent, je leur dis qu’ils étaient libre de partir mais que si j’apprenais qu’ils avaient parlé à mon sujet, je les tuerais. Que l’océan les noie pour m’avoir cru. À peine avaient-ils le dos tourné que mes hommes leur enfonçaient un coup de machette à chacun dans le dos. Le coup n’avait pas pour but de les tuer mais de les faire souffrir. Je me relevai doucement de mon socle et m’approchai d’eux d’un pas félin. Ils furent tous mis sur le dos alors qu’ils agonisaient. Je posai mon regard sur chacun d’eux et leur dis :

-Vous ne pensiez tout de même pas que j’allais faire confiance à des étrangers. Nul ne refuse les offres du chef des Taykar. Car tous ceux qui sont contre nous ne franchissent jamais la frontière avant d’avoir embrassé la mort.

Je me redressai en agitant mon arme en affichant une mine triste en regardant le ciel.

-Vous croyiez que vous auriez pu venir sur mes terres et ensuite partir comme bon vous semble ? C’est comme cela que ça fonctionne au-delà de l’île ? Et bien ici ce n’est pas le cas.

Dis-je en criant de toutes mes forces. Je les maudis en notre langue natale en ne cessant pas de vociférer à tout va. Je me calmai ensuite pour marquer un blanc et reposer mon regard sur eux. Je soupirai en les regardant d’un air neutre.

-Il ne faut jamais faire confiance à un sauvage.

Je levai ma machette et donnai un coup sec sur l’une des jambes de l’un d’eux.

-Jamais !

Je la relevai une seconde fois et répétai l’action autant de fois qu’il y avait des membres à détacher de leur corps. Défoulant ainsi ma frustration et semant la peur dans ceux qui pensaient pouvoir me trahir ou même tenter de se dresser contre moi. Je savais que jamais ma tribu me trahirait mais les étrangers, eux, n’étaient pas encore assez dressé pour obéir avec honneur. Leur sang était absorbé par la sainte terre de mes ancêtres. Tantôt il ruisselait tantôt il stagnait. Je me saisis de la jambe dépareillée de l’un d’entre eux et la pointai vers les trois personnes qui avaient accepté mes conditions.

-Si vous vous avisez de tenter que ce soit contre moi, je vous réserve le même sort sauf que vous, je vous ferrez avaler vos membres jusqu’à l’étouffement.

Je quittai ma mine sérieuse pour leur faire un grand sourire en étant limite enjoué.

-Voyons ne faites pas cette tête ! C’est la fête ce soir !

Je remuai le bassin en riant comme pour leur dire que l’on allait danser. Je trouvai ce moment assez amusant. Voir leur visage ne pas savoir comment réagir était adorablement attirant. Ce soir-là, nous firent la fête comme promis, les cadavres avaient été pendus à des arbres non loin pour garder l’effet de dissuasion. Nous fêtions la futur apogée de notre peuple. Mon regard fleuretait avec les flammes du grand feu. La guerre des territoires allait pouvoir commencer…

Un destin détruit par la déesse Gravga

Tout avait été prévu, nous étions prêts à agir mais il fallait croire que notre heure de gloire n’était pas encore arrivée. L’année 2013 fut semée d’embuches. Le ciel ne cessait de cracher du métal comme pour nous faire parvenir un message et la mer elle aussi nous vomissait des cadavres. Nous ne savions plus où donner de la tête. Nous avions sans cesse de la distraction, certes cela noircissait nos cœurs mais nous retardait dans notre but premier. Des hommes armés de cracheur de feu pénétraient dans nos fourrées et volaient nos proies de chasses. Nous ne pouvions pas nous permettre d’ignorer cet affront et comme à notre habitude nous réagissions de la manière la plus violente possible. Aucuns ne passèrent nos frontières vivant. Au fil des années, nous nous sommes assez agrandit et nos forces ne cessaient de s’accroître. Nous avons appris à manier les armes à feu, le commerce légal ou illégal. Nous avons appris à garder des otages et de les renvoyés en échange de rançons ou en les vendant simplement. Les femmes blanches se vendaient assez bien d’ailleurs mais c’était une denrée rare en ces lieux. Nous ne sommes pas une tribu honnête mais si personne ne vient nous provoquer ou encore fourrer leur nez dans nos affaires, nous n’avons aucune raisons de les tuer. Ne posez aucun de vos pieds au-delà du rocher brisé et aucunes flèches ne vous transpercera le crâne, ne vous baignez dans aucunes de nos rivières et vous ne serez pas noyé dans l’eau sacrée. La jungle est dangereuse et vicieuse, nous sommes la jungle. Nous sommes peut-être derrière vous ou à vos côtés, prenez garde. Prenez garde à la fureur des Taykars ! Car nous ne resterons plus longtemps dans cette nature.

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Sur l’île, quand une nouvelle journée débute, je sais que je vais…
[ ] Aller chasser et trainer dans le camp ennemis.

Les Hostiles, pour moi c’est juste…
[ ] C’est moi ?

Internet, un lit douillet ou une bonne douche sont des concepts bien lointains…
[ ] Inter quoi ?

Un bateau s’approche et semble sur le point de voir la présence des habitants de l’île.
[ ] J’espère qu’il accoste car je meure d’envie de jouer.

C'est nouveau, il y a des voisins, une autre île, l'Hydre...
[ ] Faisons la guerre et exterminons-nous, que les meilleurs gagnent !

« There is something in your face, it was pain ! »
• Relationship’ :

Love : Je ne l'ai encore jamais été.
Family : Je 'en ai plus. : )
Friends : A venir ?
Ex : Rien de tout cela
Hate : impitoyable
Other : j'ai mangé une baie bleu dans mon enfance qui m'a fait uriné bleu pendant des semaines.

Ou sinon bah en vrai, moi j'suis Lise ✕ en réalité j'ai 22ans ✕ j'habite du côté de la Belgique✕ sur TI, vous m'verrez 10/10 ✕ il m'semble que j'ai connu le forum par internet✕ ce qui m'a plu, c'est le design et le coté survie, l’activité et l’accueille ✕ le personnage que je vais jouer, il tue, en fait c'est un personnage inventé ✕ j'lai choisi car : j’aime être un méchant ? ✕ j'vais d'ailleurs m'empresser d'aller recenser mon avatar ici ✕ j'ai/j'ai pas d'autres comptes ✕ puis comme j'suis sage, j'ai lu&signé le règlement ~~ou pas~~, et j'vais peut-être même demander un parrainage là si jamais j'me sens perdu(e) ✕ allez j'finis en vous disant : On va bien rire : D.

Je tiens à dire que je suis absolument fan de ton personnage. J'ai le sentiment qu'il va nous en faire voir de toutes les couleurs. laugh

Bienvenue parmi nous en tout cas.

Oh merci *-* c'est super gentil ^^ Je trouve avoir été soft dans ses agissements mais je ferrais de mon mieux pour vous en faire voir hourraa

XD

oh mondieu c'est encore mieux que ce à quoi j'm'attendais

bienvenue officiellement gaga

le perso de taré, & ta fiche est trop belle (: tout est bon <3 le seul soucis c'est pour ton vava, car adam l. a été repris récemment, du coup il n'est plus dispo, pardon pardon pardon *.* n'hésite pas à nous dire si on peut t'aider à trouver quelqu'un d'autre, et en tout cas après j'pourrais te valider du coup ♥

Bouh bouh bouh je pensais ne pas l'avoir vu dans le recensement il y a deux jours *pleure* Je ne sais vraiment pas sur quoi je vais partir car je trouvais que ce visage se prêtait super bien au perso et ne le vois dans personne d'autre XD
Je ne sais pas du tout du coup, je vais chercher ^^". Merci pour les compliments en tout cas cela fait plaisir ^^ <3

wow quel perso bienvenue à toi, Lahas comme tous les autres, j'aime beaucoup ta fiche, j'espère que tu trouveras un autre visage à mettre à ton personnage *.* en tout cas, si tu as besoin d'aide pour des idées de célébrités, comme a dit lizzie, n'hésite pas à nous demander c: en attendant, je te souhaite de très bien t'amuser parmi nous

Bienvenue sur l'île oho

, powaa je confirme ce que les autres membres ont dit, ton histoire est fucké" , en tout cas tu vas tout déchirer youhou

, j'espère que tu trouveras un autre avatar de la mort qui tue han

(désolé c'est mon frère qui a Adam en vava cache

)

Merci à tous : D <3
@susie: Je vais demander l'aide de ma petite soeur je crois haha ( c'est le genre de petite soeur qui garde plein de photos de beaux mecs juste parce qu'ils sont beau mais chut c'est un secret
@Evan: Ha c'est ton frère ? *se frotte les mains* Se sera le premier sur ma liste *-*

yeah c'est parfait, jolie fiche loveme

j'te valide, mon cher lahas futtfutt

tu vas faire un malheur avec gaspard ♥ très bon jeu chez les sigma <3

Muhuhuhuhuhu merci : D

Lahas Brody a écrit:: Merci à tous : D <3
@susie: Je vais demander l'aide de ma petite soeur je crois haha ( c'est le genre de petite soeur qui garde plein de photos de beaux mecs juste parce qu'ils sont beau mais chut c'est un secret
@Evan: Ha c'est ton frère ? *se frotte les mains* Se sera le premier sur ma liste *-*

tant que ce n'est pas moi ça me va Razz