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Laïla-Chilali G. Liliana
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Message(#) Sujet: RP DE GROUPE AMAZONES ✈ un retour sur le passé RP DE GROUPE AMAZONES ✈ un retour sur le passé EmptyVen 17 Jan - 20:19



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un retour sur le passé + vaut mieux ne plus penser que d'y penser toujours

Ce sujet est un rp de groupe remontant au jour où les amazones, encore enfants, sont arrivées sur cette île en bateau. Il n’y a pas d’ordre de passage, mais l’idéal est de laisser passer deux personnes après soi avant de reposter. N’oubliez pas d’aller recenser vos points rp ici (les points normaux + 45 au premier post, puis normalement par la suite.) Bon jeu !


Il y avait le vent, les vagues et la mer. Et le bateau tanguait sans cesse, et l’eau se jetait contre le bois. C’était un vieux bateau, comme ceux que l’on voit dans les films. C’était un bateau qui semblait ne plus rien avoir à faire au milieu de l’océan. Mais il voguait, cependant, et il gardait le cap. C’était un vieux bateau, oui, et son capitaine semblait aussi anachronique que lui. Il se tenait dans sa cabine, l’air préoccupé, la main démêlant sa barbe grise. La nuit était clair, les étoiles visibles, ce n’était pas le trajet qui lui posait problème. Il avait accosté cette drôle d’île plusieurs fois, déjà. Elle n’était répertoriée nulle part, cette Ile, cette grande île pourtant. Il était passé à côté par hasard, une fois, il y a bien longtemps. Il s’y était arrêté pour réparer son bateau, une autre fois. Et à chacun de ses voyages, il passait à proximité. Il n’avait jamais cherché à comprendre le mystère de cette Ile. Toujours est-il qu’il ne tenait pas à en parler. Mais ses matelots, ses marins, eux, n’avaient pas hésités à faire courir le bruit que, quelque part au milieu de l’océan Pacifique, se trouvait une île inconnue. Le capitaine s’était inquiété, bien sûr, de cette révélation. Il craignait qu’on ne vienne abimer cette île sauvage. Mais personne ne s’y était risqué, personne ne s’y était même intéressé. Personne sauf cette vieille dame, qui gérait un orphelinat. Elle était venue le voir sur le quai, un jour qu’il se trouvait à Douvres. Elle lui avait demandé un service, moyennant récompense. Ho, rien de bien sorcier, lui avait-elle assuré. Il s’agissait seulement de débarquer un petit groupe de fillettes sur cette Ile, et de n’en parler à personne. Il avait hésité, bien sûr, question d’éthique et de responsabilité. Mais, devant l’acompte présenté, toute réticence s’en était allée. On peut faire faire n’importe quoi à un homme moyennant de l’argent. Et c’est ainsi que, en cette douce nuit d’avril, il se dirigeait vers l’Ile, avec à son bord une vingtaine de fillette. Une vingtaine de fillette et un bébé. C’était encore un nourrisson, que tenait dans ses bras une des plus âgées du groupe. Il ne pleurait pas, le bébé, et regardait tout autour de lui avec l’air curieux. Il pointait du doigt, tour à tour, tous les membres du groupe, en cercle autour de lui. Elles semblaient toutes s’aimer, se connaitre telles des sœurs. Il soupire. Il avait eu une fille, lui aussi. Une fille que les médecins, par leur incompétence extrême, avaient laissé mourir. Il n’était plus vraiment lui-même, depuis ce jour. Et voilà que maintenant, il envoyait des enfants à une mort certaine. Car, comment pourraient-elles survivre, seules au milieu de cette nature sauvage ? Pour un peu, il aurait fait demi-tour et les aurait ramenées à l’orphelinat. Mais la promesse de la vieille dame lui faisait oublier cette idée. Il aurait de quoi racheter un nouveau bateau, plus beau, plus neuf, plus rapide. Alors il continue, et reprend le cap. Et sur le pont, les fillettes se mettent à danser, à chanter, à faire une ronde autour de l’ainée qui porte la benjamine. Elles se donnent les mains, au milieu de la nuit, pour repousser le sommeil et la peur de l’inconnu. Mais voilà que l’Ile est en vue, et que le bateau ralentit. La ronde se défait, et les petits pas des fillettes courant vers le pont craquent sur le bois.
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Message(#) Sujet: Re: RP DE GROUPE AMAZONES ✈ un retour sur le passé RP DE GROUPE AMAZONES ✈ un retour sur le passé EmptyMar 11 Fév - 15:48


« The past is a hard thing to think of.. »
and it comes harder when you actually remember..

-sujet flashback : l'arrivée des amazones sur l'île-
Tu le savais. Il t'avait bien semblé l'entendre, mais tu ne voulais pas y croire. Tu avais entendu cette conversation. La directrice de l'orphelinat. Elle parlait avec Rosa, la gouvernante qui s'occupait de nous. Tu ne voulais pas y croire. Alors tu n'as rien dit. Parce que tu t'es dit que si tu le disais, à voix haute, ce serait.. plus réel.. Mais maintenant, tu es forcée d'y croire. Quand ton pied se pose sur la passerelle qui te mènera du quai au pont, tu regardes en arrière, les yeux remplis de larmes. Tu regardes la directrice qui vous as accompagné pour vous dire au revoir. Pour vous dire.. à dieu. Une larme coule sur ta joue, que tu essuies sur ton épaule. Tu portes Laïla et avances sans rien dire. Tu as l'impression d'être la seule à comprendre ce qui se passe. Tu as l'impression qu'elle ne se rendent pas compte. Mais comment pourraient-elles? La plus âgée des fillettes qui t'entourent a six ans. Et tu en as douze. Tu es la seule qui comprend ce qui se passe. Et tu as compris qu'il allait falloir que tu veilles sur elles quand on vous abandonnera. Tu n'as pas pu protester. Qu'aurais-tu pu faire? Tu as douze ans, et vous êtes entourées d'hommes, de matelots. Tu serres Laïla un peu plus fort contre toi. Tu angoisses. Une boule gonfle dans ta gorge, ton regard se fixe sur la directrice et tu ne la quittes plus des yeux. Ton regard est chargé de haine, de violence, de ressentiment. Tes yeux sont secs. La tristesse s'est changée. La tristesse s'est sublimée. Un goût amer envahit ta bouche, et les yeux toujours rivés sur cette femme qui vous abandonne au mains du capitaine, tu craches dans sa direction pour lui signifier ton dédain. Laïla s'éveille, tu la berces. Les filles se mettent à jouer, à danser. Puis leur danse devient une ronde, et elles tournent autour de toi. Maintenant tu le sais. Tant que vous serez ensemble, elles seront rassurées. A les voir danser et chanter avec tant d'insouciance, tu te rappelles l'historie de Peter Pan.. Les garçons perdus.. Vous serez les filles perdues. Et tu te devras de leur servir de maman, parce qu'à leur âge, elles ne sauront pas se débrouiller seules.

Cet instant a été décisif dans ta vie. C'est l'instant où tu as abandonné ton innocence. Tu l'as laissée sur le quai à côté de Rosa et de Mrs Collers, cette sorcière infâme, cette immonde raclure. Cet instant a été celui ou tu as du t'élever de toi-même du rang d'enfant à celui de grande personne. Cet instant a été celui où tu as juré que si tu remettais un jour un pied sur le continent, tu ferais payer à cette horrible mégère l'abandon de la vingtaine de fillettes dont tu devras t'occuper.

Tu ne connais pas la destination. Aucune de vous ne la connais. Tu sais seulement que ça fait un moment que vous ne voyez plus la terre. Plus d'Angleterre, plus de continent. Tu ne vois que de l'eau à perte de vue. Des vagues, de l'écume, et quelques goélands qui s'aventurent au large. Les nuits ont passé et cette nuit encore, vous dormez sur le pont dur et humide. Tu es assise, Laila toujours dans tes bras. Tu la lâches rarement. Mina est assise à côté de toi, la tête sur ton épaule. Et tu chantes des berceuses à celles qui en ont besoin pour dormir.  « Lullaby and good night,  In the sky stars are bright,  'Round your head,  Flowers gay,  Set you slumbers till day. » Ta voix d'enfant a déjà changé. Tu as déjà beaucoup changé pendant ces quelques jours de voyage. Ta détermination a chassé toute peur. Il te reste un peu d'appréhension, mais tu sais que vous y arriverez. Tu n'as pas le droit à l'échec. Déjà tu sais que pour quelques temps, la vie de ses enfants et entre tes mains. « Close your eyes now and rest, may these hours be blessed. Close your eyes now and rest, may these hours be blessed»  Ta voix s'éteint dans un murmure. Beaucoup dorment, d'autres cherchent encore le sommeil, mais leurs petits yeux fatigués ont peine à tenir ouverts. Tu les regardes avec tendresse..

Au matin, une fois de plus, les fillettes se mettent à jouer, courir, danser. Et puis voilà qu'une île est en vue. Pas n'importe laquelle. C'est l'Île. Le bateau a perdu de la vitesse. Le capitaine fixe l'Île. Son île. Tu suis son regard et jusqu'à ce que le bateau atteigne le rivage, tu ne la lâcheras plus des yeux. Tu avales ta salive. Une fois. C'est donc que vous allez être débarquées et abandonnées sans remords, sans un regard en arrière, sans appel. La présence de Laïla dans tes bras est rassurante. Tu n'as pas souvent voulu la lâcher. Tu t'es sentie responsable d'elle. Tu te sens responsable de toutes. L'une vient s'accrocher à toi, une autre de l'autre côté. Une autre cherche ta main. Ses petites filles ont certainement peur. Peur de l'inconnu. Peur de l'Île, peur de bien des choses. Mais tu sais comme elles le savent, que tant que vous resterez ensemble, tout ira pour le mieux. Enfin, tu l'espères. Tu serres la main de celle qui te l'a attrapée. Peu importe de quelle petite fille il s'agit, tu sais qu'elles comptent toutes autant à tes yeux. Ce sont tes petites sœurs et tu prendras soin de chacune d'elle comme il se doit, sans préférence aucune. Car chacune aura autant besoin de toi, à sa manière. Parce que tu seras la seule grande. Parce que tu seras la seule à te souvenir. Parce que tu seras la seule à en être capable.

L'Île ne te fait pas peur. Non. Ce dont tu as peur c'est de ce qu'il pourrait y avoir sur l'île. Et avant même d'avoir posé un pied sur cette terre inconnue, tu cherches des abris, tu cherches un moyen d'être en sécurité. 
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Laïla-Chilali G. Liliana
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Message(#) Sujet: Re: RP DE GROUPE AMAZONES ✈ un retour sur le passé RP DE GROUPE AMAZONES ✈ un retour sur le passé EmptyDim 16 Fév - 16:35



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Bien souvent, les gens pensent qu’un bébé ne ressent aucune réelle émotion. Les gens pensent qu’un bébé ressent juste la faim, la soif, et l’inconfort. Aussi on n’hésite pas à parler de beaucoup de choses en présence des nourrissons, et parfois même des choses sérieuses, tristes ou cruelles, en s’imaginant que cela ne portera pas à conséquence. Comme beaucoup d’autres choses, cette croyance est fausse. Un bébé, tout bébé qu’il est, comprend parfaitement ce que disent les personnes autour de lui. C’est bien pour cela que de nombreux nouveau-nés abandonnés dès la naissance restent fragilisés toute leur vie. Non pas vraiment à cause de l’acte d’abandon, mais bien souvent à cause des paroles prononcées lors de cet abandon, même s’ils ne se souviennent plus des mots exacts. La signification reste marquée profondément dans leur esprit, à toujours. De la même façon, un bébé peut réagir à ce qui l’entoure, de manière positive ou négative. Un bébé, avant d’être un bébé, est avant tout un être humain, et réagit donc comme tel, cela est bien souvent oublié. La grande différence entre le nourrisson et l’enfant, c’est que le premier cachera ce que le second exprimera. Voilà tout. C’est pourquoi, tandis que le petit groupe découvrait au lointain l’Ile qui allait les accueillir, la toute petite Laïla gigotait dans les bras de Lorelaï. Celle-ci, pensant sans doute qu’elle était mal installée, la recala contre elle. Laïla était furieuse, furieuse de constater qu’elle ne savait toujours pas se faire comprendre. Elle voulait regarder, elle aussi ! Cela avait l’air tellement intéressant. Curieuse, elle l’était déjà, et cela allait devenir sa plus grande qualité, mais aussi son plus grand défaut. Déjà, pour tenter d’apercevoir ce que les autres observaient depuis de nombreuses minutes, le bébé rejetait la tête vers l’arrière, tout en repoussant de ses tous petits bras l’épaule de Lorelaï, pour avoir plus de liberté de mouvements. Mais elle ne voyait toujours rien, ses yeux de bébés encore trop immatures pour voir de loin.

Dans la cabine, quant à lui, le capitaine soupire. Voilà, son Ile allait devenir leur Ile. Il essayait de se convaincre que ce qu’il faisait n’était pas mal, après tout, il ne faisait que suivre les conditions d’une cliente. Il observait les petites filles, et son regard était attiré par ce bébé, si petit, qui gigotait tellement dans les bras de la pré-adolescente qu’il risquait de tomber. Et alors, à ce moment-là, Laïla tourna la tête, et leurs regards se croisèrent. Le très vieux capitaine et la toute petite fille. Celui qui allait sceller leur sort, et celle qui ne savait ce qu’allait être son avenir. Ils semblaient si différents, au premier abord, mais ils étaient si semblables. Il avait perdu sa fille, elle avait perdu ses parents. Il détourna le regard, car il savait que, s’il continuait de la regarder, il n’allait pouvoir aller jusqu’au bout. Mais il avait besoin de cet argent, pour payer ses marins qui en avaient marre, pour remplacer ce vieux rafiot en ruine par un bateau flambant neuf. Il allait changer de vie, radicalement, grâce à l’argent qui lui avait promis cette femme, si seulement il déposait ces fillettes sur cette Ile. Cela n’était pas quelque chose de si compliqué, dans le fond. On met quelques chaloupes à la mer, on fait descendre les fillettes, on conduit les chaloupes sur la plage, on fait de nouveau descendre les fillettes, et on s’en va. Dit comme ça, cela semblait vraiment enfantin. Mais lorsqu’on y réfléchit plus, cela devient un acte horrible, quelque chose de cruel et lourd de conséquences.

Laïla fronce ces petits sourcils. Elle ne connait pas cet homme, mais pourtant, cela lui a fait tout bizarre de croiser son regard. Elle n’arrive pas à savoir pourquoi, l’esprit d’un nourrisson ne sait pas gérer ce genre d’interrogations. Tout ce qu’elle sait, ce qu’elle arrive à identifier, c’est que l’homme avait peur. Son regard était rempli de noirceur. La petite Laïla n’aimait pas cela. Elle préférait quand elle entendait les autres filles chanter, quand elle voyait Lorelaï sourire. Elle aimait tellement quand tout le monde était heureux. Cela remplissait son petit cœur de joie. « Badada ! ». Laïla gazouille, en espérant que, cette fois-ci, quelqu’un comprendra ce qu’elle demande : une chanson. Elle fait mine de s’endormir, puis de se réveiller, mais les grandes semblent bien trop concentrées sur ce qu’elle ne peut pas voir. Mais autre chose a changé. Le roulis n’est plus le même, il semblerait que le bateau s’est arrêté. « Didiii ? ». Elle veut qu’on lui parle, qu’on lui explique ce qui se passe. Cela la berçait, pourquoi ça s’est arrêté ? Et pourquoi les hommes ils crient, plutôt que de se parler ? Et pourquoi le ciel il est pas bleu comme avant ? Tellement d’interrogations dans une si petite tête ! C’est dans les premiers mois de la vie qu’un enfant découvre le plus de choses, et comprend le plus de phénomènes de la vie courante. Et cela passe essentiellement par les paroles des personnes qui l’entourent, qui sans le savoir instruisent le petit être en devenir. Alors Laïla aimerait entendre les grandes, plutôt que d’écouter la mer se jeter contre le bois fragile. Et soudain, dans le ciel, un oiseau lance son cri. Laïla gigote, bat des bras et s’écrit également. « Gada, daga ! ». Du haut de ses quelques mois, la petite fille aimerait déjà être à la place de cette mouette, qui est bien plus libre que n’importe qu’elle être humain. Sans le savoir, elle vient d’apprendre quelque chose de fondamental dans la vie d’une femme : la liberté n’est jamais tout à fait acquise …
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