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(# ) Sujet: [Terminer] Jimmy A.Doherty Dim 14 Nov - 22:07
identity card Jimmy A.Doherty ;; Feat Eddie Cibrian
• Age, Date && Lieu De Naissance : Boston le 4 Décembre 1981 • Métier avant d'atterrir sur l'île : Pompier, Mannequin pour un Pub Dont Je donnerais le nom • Un signe particulier ? A deux petite Fossette qui apparais quand il sourie • Qualités : Sportif, Joueur, Courageux,, Excessif, franc… • Défauts : Tête brûlé,Immature quand il et en présence enfant, Rancunier• Manies : Ce mordre L'intérieur des joues, quand il réfléchie • Ma p'tite catégorie : Meneur • Pourquoi ce groupe ? Car le métier et le caractère, tête brulé fais plus de lui un meneur d'homme, Qu'un homme a recevoir les ordres • Post prédéfini [] - Scénario [] - Inventé [X] • Pourquoi ce perso/avatar ? : Car j'avais bien aimé ce personnage dans la Série, il a une fâcheuse tendance a détruire tout ce qu'il accomplie sentimentalement, mais il et aussi très attendrissent a ces heurs, c'est un personnage complexe que je voudrais faire évolué loin de la vie urbaine © Crédit de l'avatar
what about me • Physique : Du haut de ces 1.85 et ces 95kg de muscles on ne peu dire de lui qu'il et passe partout, son regard noir n'empêche pas un sourire lumineux, et ces fossette cache bien mal ces expression pensive, ou sa gène, il et doté d'un sens de l'humour sur lui meme qui en fera rire plus d'un et a même tourné pour un pari un pub pour le viagra.
• Caractère : Je suis en général très joueur, j'aime prendre des risques dans ma vie, mais des que je prend l'uniforme de Pompier, Jimmy laisse place a James, sa vie passe derrière et seule la vie des autre prime, parfois même au détriment de la sienne. Courageux et serviable, il donne de sa personne pour aidée les autre dans sa vie, comme dans son travail. Il et fidèle en amitié, mais en amoureux très maladroit, du coup il laisse cela pour les autres et avoue rarement ces propres sentiment même amicale, il garde toujours un plan réserve, une porte de secours en ne ce dévoilant pas au autres.
• Pourquoi ai-je pris ce vol pour Tokyo ? : j’avais pour mission dallait avec le médecin de la caserne, a Tokyo pour accompagner la fille du chef des pompier de New-York qui devais subir là-bas une opération jamais pratiqué au États-Unis, afin de lui rendre la vue. Les soins du retour exigeant une attention particulier nous fus affecté a c’est tache.
• Mon passé avant de prendre l'avion : Quand je repense a ma vie, je me demande par quel bizarrerie, je me suis trouvais a devoir prendre soins naturellement, d’autre personne que moi. Petit je n’aspirais qu’a une chose, percé dans le domaine sportif être célèbres, adulé comme mes parents, je fus longtemps des années durant. Je voulais les surpassé, être la tête affiche. Ainsi des années durant j’ai brulé ma vie, dans l’alcool, les jeux, dans des boites de nuit. Mais chaque Week-end je resté Fidèle au poste m’entrainant pour rentré dans les Yankis, Mais a une semaine des sélections un crash avions a chamboulé ma vie, mon père la figure pour la quel je voulais être la plus grande des étoiles nous a quitté, perdu et j’ai lâché ma carrière pris mes distance avec le monde de la sécurité parental. Peu a peu je suis tombé dans les abimes, jouent le peu argents que j’avais emporté dormant dans ma voiture, un matin de décembre alors que je dormais dans mon duvet, je fus réveillé par des sirènes je restai la un long moment a regardais ce camion rouge, ces hommes ce battre contre le feu. Je ne pourrais vous dire pourquoi, je me suis retrouvais le lendemain dans c’est caserne postulant pour un poste passent avec brio, les étapes de sélection, mais je peu vous dire que les mois suivant mon apporté ce que je désiré, uniforme me donné la glorification, tellement recherché et le métier me donné tout le coté sportif que j’avais voulu. Mais le 11 septembre a tout changer, j’ai réalisé que j’avais bien plus que ces deux futile chose, que c’est adrénaline, J’avais trouvais une seconde famille, une raison d’être, une vocation… j’ai même trouvais l’amour, mais malheureusement tout mes défaut n’avais pas disparue avec ma prise de conscience, un soir de fête alors que venions tout juste de fêté les un an de notre fils, je pris une cuite mémorable et me réveilla au coté d’une parfaite inconnu, pris de remord de doute sur mes actes, je préféra tout avoué a ma femme, qui me quitta sur le champ emportant notre fils, je changea équipe lui laissant ainsi la tranquillité de me croisé que rarement, passant chaque week-end, chaque vacance au coté de mon fils. Mais pas ce week-end la une mission peu commun fus confier et je ne savait pas ce matin la en déposent mon fils que je le verrais pour la dernière fois….
• Vie après le crash : Je me suis vite pris en main, et j’ai vite trouvais a faire, Forment des groupe de recherche, et des groupe de soins, je fus vite l’objet de beaucoup attention, mais je trouva vite un juste équilibre entre règlement de caserne et aide au gens, alliant fermeté et amabilité, je revécu, en somme le 11 septembre, mais je ne tarda pas a voir notre petit groupe comme une famille, une fratrie, et a délégué a d’autre des taches quand le calme fus revenu restant actif mais en second plan, vigilant au bien de tout un chaque un. Je me suis pas fais que des amis. Mes vieux démon étant ce qu’ils sont, je prends parfois un peu trop d’autorité, mais je sais aussi me faire pardonné, je fais à présent comme par le passé dans notre hôpital de fortune, je prends mes garde afin de laissé ce reposé nos deux médecin. Une fois par semaine je vais aidée a l’école pour les cours de sport, ou de secourisme, le contacte avec les enfants, comble en quelque sort le manque de mon fils….
- Love : Célibataire
- Ex : Kim Z. Doherty son ex femme, il ce sont séparé remis en couple, sans jamais reprendre de réel engagement, tout deux voulant donner les meilleur choses a leurs Fils Joey ils préférèrent au final resté de Bon ami.
- Friends : Amis avec Bonny J. Mac Namara & Arthurs S. Mac Namara quand il était enfants, leurs parents fréquenté les mêmes soirées mondaine, confiant a la garde les enfants a des jeune filles au père, il fut très longtemps comme un cousin pour eux, mais disparue, a la mort de son père et ne donna plus de nouvelle a personne. (Pour les autres on définira ensemble)
- Family : Joey qui a Aujourd'hui 7ans et qui et resté a New-york au coté de sa mere
- Hate : //.
behind the picture • Prénom/Pseudo : Aaron/ Jimmy A. Doherty• Age : 26ans• Pays : Partager entre La France et Italie• Fréquence de connexion [../7] : [6/7]• Niveau moyen en Rp ? 15/2o on Vas dire que vous jugerais sur le tas ok lolSpoiler: La main dans ma poche je regardait le soleil ce reflétait sur l'océan, je cherchais les mots juste, mais je n'était jamais satisfais, comment l'être en telle occasion, j'aimais ce moment de la journée, la chaleur ce mêlant a l'humidité de la nuit, les bruits de la nature qui changer peu a peu pour laissé place au chant des animaux nocturne. je jouais avec la boite dans ma main et j'écoutais les vagues, je n'avais jamais eux a vivre cela avant je ne m'était jamais vraiment sentie près, mais depuis quelques jours ce n'était plus le cas, j'avais trouvais ce qui me manqué sans même en avoir eu conscience au par avant, j'avais trouvais tout ce que je cherchez, jamais au par avant une telle quiétude emplis mon âmes mon cœur, je savais enfin ce que je voulais, mais comment l'avoir, comment être certain que mon choix était le bon pour elle. je me mis a faire quelques pas vers le bord et regarda la grevé les vas et viens, les remouds de la mère me faisais pensais a ma vie, j'avais tellement voyager, tellement fuit ma propre vie que j'en arrivais a me demander si je m'était jamais fixé quelques par, j'avais eu une famille de mon vivent une sœur une mère, un père, que m'aurait-ils conseiller. peu a peu la mer laissé pas a des image lointaine perdu dans une forme de brouillard mon père tapent le fer au dessus de sa forge pendant que ma mère près du four pétrissais un peu de patte pour nous faire du pain ma sœur jouent a dessiné dans la terre battu quelque figure, je savait avoir tout au plus quatorze printemps, nous étions pauvre mais heureux tous unie, on vivoté des chasses et des vente que mon forgeront de père faisais, mère était quand a elle ce qu'on appel aujourd'hui un vendeuse elle travaillé pour le compte du boulanger qui lui payé en grains ces service, mon père m'avait trouvais un travail de commis de ferme non loin et ma sœur seulement age de huit ans travaillé au tache ménagère de la petite cabane ou nous vivions tous, les soir d'été comme celui si notre père aimais nous conduire a la rivière pour nous baigné, le temps était doux et agréable même si la pauvreté était grande déjà a l'époque on voyais venir des hommes pour compter les richesses et les taxe que notre bon roi louis imposais pour les besoin de l'autrichienne, ce pendant mon père ce refusé a nous laissé prendre par a ces dire, il n'aimais pas les histoires, il n'avait dit que cela n'était pas prudent vue notre lignage que nous devions resté hors de tout cela en effet père avait quitté par amour le girons familial, cela était déjà faute grave, il m'avais contais que par amour ou pouvais tout surtout quand ce dernier était l'âme sœur le souffle de votre vie, il avait connu ma mère qui était alors la fille de la femme de chambre et par amour avais demander a son marquis de père de lui donné un rang de le laissé l'épousé ce dernier avait catégoriquement refusé c'est ainsi que mon père un soir pris la fuite avec quelques denier et ma mère, et qu'il s'était établie a des lieux, il avait du apprendre par lui même beaucoup de chose, les nobles de l'époque était cultivé, apprenais l'art de la guerre mais nullement l'art manuel, il avait épousé ma mère et tenu tous ces engagement, quand la révolution a éclaté, j'avais tout juste dix-sept ans j'avais soif de gloire ces tout naturellement que je reproduit le modelé paternel et pris mon sac une nuit sans jamais revenir. je repensé a c'est époque que rarement, je ne m'était jamais pardonnais ma fuite, ni ma venu a Paris ou j'ai fini en vampire sous le jurons Amun, la encore j'avais trouvais une famille du moins, je le pensais, jusqu'à ma rencontre avec les Cullen. Un sons feutrais d'un cœur me ramena a la réalité, je ne bougea pas restant face a l'océan c'est mélodie m'était connu chaque cœurs battée différemment le sienne chanter, me calmé et me rappela combien jetait certain de se que je voulais. je sera doucement la petite boite dans ma main puis la relâcha et me tourna doucement pour la regardais paraitre a l'aurais de la foret, elle portais une superbe robe en volage qui donné a sais courbe une allure douce une démarche délicate, sa mutations lui avait aussi donné une grâce dans ces mouvement qui autre fois était un peu plus a brut, elle était sublime, elle avais l'air un peu fatiguer mais cela aurait pu paraitre inaperçu si je n'avais pas eu une vue disons vampirique, je regarda ces bras qui il y a quelques heurs encore possédée les stigmate de sa rencontre avec Rénata, mais a présent ils était maculé. je lui sourit me retenant pour ne pas allais a elle et la serais contre moi. Je devais gardais mon contrôle et lui parlais. sa robe était évasive et volé sous la brise, j'aimais c'est visions, elle était la telle un miracle dans ma misérable, vie, ou était elle un mirage, quoi qu'elle fut elle était la plus magnifique. je n'arrivais pas a comprendre cependant pourquoi contrairement a mes pères son odeur était toujours pour moi aussi délicate boisé et sucré, une odeur bien a elle, je devais pensé a rencontré un autre loup afin de comprendre, pourquoi depuis mon empoissonnement c'est odeur qui autre fois était insupportable sur les loups ne l'était plus, était-je encore malade, j'en avais que faire après tout cela m arranger dans le font, mais je devait aussi gardais mes distance et attendre sa venu afin de pas l'incommoder elle ce qui était mon cas n'était peu être pas le siens. j'avais noté quelques pâleur sur sais trais, était-elle malade a cause de ma présence, je ne savait pas que pensé, mais je l'aimais tellement et ne voulais pas qu'il lui arrive quoi que ce soit même a cause de ma présence, avait-elle seulement idée de l'importance quelle avait pris dans ma vie, je n'en savait rien mais, je savait ce que je voulais, son bonheur, je savait que je la voulais a moi pour l'éternité mais pas au péril de ca vie, pas au péril de ca santé, je devait donc lui parlé, la questionnais, avant toute chose, je lâcha la l'écrin dans ma poche et sortie doucement ma main. -Tu et renversante, Je te remercie d'être venu, comment te vas-tu, enfin ... je la laissa parcourir les dernier mètre qui nous séparais, tout en serrant les poing pour ne pas la brusqué tellement j'avais soif de le serait dans mes bras, tellement javait envie de l'embrassé et de lui dire comme ces longue heurs sais jours sans elle avait était un enfer. mais je devais la laissé venir a moi, lui laissé le choix. je resta donc a ma place attendant une réponse un sourire un geste positif de ca part.2 Eme Exemple : La main dans ma poche je regardait le soleil ce reflétait sur l'océan, je cherchais les mots juste, mais je n'était jamais satisfais, comment l'être en telle occasion, j'aimais ce moment de la journée, la chaleur ce mêlant a l'humidité de la nuit, les bruits de la nature qui changer peu a peu pour laissé place au chant des animaux nocturne. je jouais avec la boite dans ma main et j'écoutais les vagues, je n'avais jamais eux a vivre cela avant je ne m'était jamais vraiment sentie près, mais depuis quelques jours ce n'était plus le cas, j'avais trouvais ce qui me manqué sans même en avoir eu conscience au par avant, j'avais trouvais tout ce que je cherchez, jamais au par avant une telle quiétude emplis mon âmes mon cœur, je savais enfin ce que je voulais, mais comment l'avoir, comment être certain que mon choix était le bon pour elle. je me mis a faire quelques pas vers le bord et regarda la grevé les vas et viens, les remouds de la mère me faisais pensais a ma vie, j'avais tellement voyager, tellement fuit ma propre vie que j'en arrivais a me demander si je m'était jamais fixé quelques par, j'avais eu une famille de mon vivent une sœur une mère, un père, que m'aurait-ils conseiller. peu a peu la mer laissé pas a des image lointaine perdu dans une forme de brouillard mon père tapent le fer au dessus de sa forge pendant que ma mère près du four pétrissais un peu de patte pour nous faire du pain ma sœur jouent a dessiné dans la terre battu quelque figure, je savait avoir tout au plus quatorze printemps, nous étions pauvre mais heureux tous unie, on vivoté des chasses et des vente que mon forgeront de père faisais, mère était quand a elle ce qu'on appel aujourd'hui un vendeuse elle travaillé pour le compte du boulanger qui lui payé en grains ces service, mon père m'avait trouvais un travail de commis de ferme non loin et ma sœur seulement age de huit ans travaillé au tache ménagère de la petite cabane ou nous vivions tous, les soir d'été comme celui si notre père aimais nous conduire a la rivière pour nous baigné, le temps était doux et agréable même si la pauvreté était grande déjà a l'époque on voyais venir des hommes pour compter les richesses et les taxe que notre bon roi louis imposais pour les besoin de l'autrichienne, ce pendant mon père ce refusé a nous laissé prendre par a ces dire, il n'aimais pas les histoires, il n'avait dit que cela n'était pas prudent vue notre lignage que nous devions resté hors de tout cela en effet père avait quitté par amour le girons familial, cela était déjà faute grave, il m'avais contais que par amour ou pouvais tout surtout quand ce dernier était l'âme sœur le souffle de votre vie, il avait connu ma mère qui était alors la fille de la femme de chambre et par amour avais demander a son marquis de père de lui donné un rang de le laissé l'épousé ce dernier avait catégoriquement refusé c'est ainsi que mon père un soir pris la fuite avec quelques denier et ma mère, et qu'il s'était établie a des lieux, il avait du apprendre par lui même beaucoup de chose, les nobles de l'époque était cultivé, apprenais l'art de la guerre mais nullement l'art manuel, il avait épousé ma mère et tenu tous ces engagement, quand la révolution a éclaté, j'avais tout juste dix-sept ans j'avais soif de gloire ces tout naturellement que je reproduit le modelé paternel et pris mon sac une nuit sans jamais revenir. je repensé a c'est époque que rarement, je ne m'était jamais pardonnais ma fuite, ni ma venu a Paris ou j'ai fini en vampire sous le jurons Amun, la encore j'avais trouvais une famille du moins, je le pensais, jusqu'à ma rencontre avec les Cullen. Un sons feutrais d'un cœur me ramena a la réalité, je ne bougea pas restant face a l'océan c'est mélodie m'était connu chaque cœurs battée différemment le sienne chanter, me calmé et me rappela combien jetait certain de se que je voulais. je sera doucement la petite boite dans ma main puis la relâcha et me tourna doucement pour la regardais paraitre a l'aurais de la foret, elle portais une superbe robe en volage qui donné a sais courbe une allure douce une démarche délicate, sa mutations lui avait aussi donné une grâce dans ces mouvement qui autre fois était un peu plus a brut, elle était sublime, elle avais l'air un peu fatiguer mais cela aurait pu paraitre inaperçu si je n'avais pas eu une vue disons vampirique, je regarda ces bras qui il y a quelques heurs encore possédée les stigmate de sa rencontre avec Rénata, mais a présent ils était maculé. je lui sourit me retenant pour ne pas allais a elle et la serais contre moi. Je devais gardais mon contrôle et lui parlais. sa robe était évasive et volé sous la brise, j'aimais c'est visions, elle était la telle un miracle dans ma misérable, vie, ou était elle un mirage, quoi qu'elle fut elle était la plus magnifique. je n'arrivais pas a comprendre cependant pourquoi contrairement a mes pères son odeur était toujours pour moi aussi délicate boisé et sucré, une odeur bien a elle, je devais pensé a rencontré un autre loup afin de comprendre, pourquoi depuis mon empoissonnement c'est odeur qui autre fois était insupportable sur les loups ne l'était plus, était-je encore malade, j'en avais que faire après tout cela m arranger dans le font, mais je devait aussi gardais mes distance et attendre sa venu afin de pas l'incommoder elle ce qui était mon cas n'était peu être pas le siens. j'avais noté quelques pâleur sur sais trais, était-elle malade a cause de ma présence, je ne savait pas que pensé, mais je l'aimais tellement et ne voulais pas qu'il lui arrive quoi que ce soit même a cause de ma présence, avait-elle seulement idée de l'importance quelle avait pris dans ma vie, je n'en savait rien mais, je savait ce que je voulais, son bonheur, je savait que je la voulais a moi pour l'éternité mais pas au péril de ca vie, pas au péril de ca santé, je devait donc lui parlé, la questionnais, avant toute chose, je lâcha la l'écrin dans ma poche et sortie doucement ma main. -Tu et renversante, Je te remercie d'être venu, comment te vas-tu, enfin ... je la laissa parcourir les dernier mètre qui nous séparais, tout en serrant les poing pour ne pas la brusqué tellement j'avais soif de le serait dans mes bras, tellement javait envie de l'embrassé et de lui dire comme ces longue heurs sais jours sans elle avait était un enfer. mais je devais la laissé venir a moi, lui laissé le choix. je resta donc a ma place attendant une réponse un sourire un geste positif de ca part.
• Ton opinion sur le forum : Génial• Comment as-tu connu le forum : Des amis Joueurs• Un double compte ? Si oui, qui ? Non• Souhait d'un Parrainage être mieux intégré ? pourquoi pas • Mot de passe du règlement : Spoiler: you, know, that, you're, not, alone.
« « Sauver ou Périr, Affronter, Lutter, Secourir, Sans avoir peur de mourir » »
Dernière édition par James A.Doherty le Dim 14 Nov - 22:57, édité 1 fois