• Physique :Tom n'est pas beau mais ressemble à un fou, le genre de fou qu'on ne voit que dans les films et pour lequel on se dit "Heureusement qu'il n'existe pas réellement". Il n'est pas musclé, ni enrobé, juste mince et marche avec grâce, vêtu très souvent de noir car il se prend pour la faucheuse. Ses cheveux sont châtains, et en bataille, il ne les coiffe jamais et y passe souvent sa main, surtout quand sa folie est au summum. Pourtant à une certain période de sa vie, il avait été mignon et ne ressemblait pas à ce qu'il est aujourd'hui. Pendant sa jeunesse il avait eu un beau visage. Ses longs doigts maniaient parfaitement les armes. Mais ce qui le caractérise le plus, c'est son regard, mélange d'ironie et de cruauté. Un regard de tueur dingue.

• Caractère : Tuer...Continuer à tuer... Voir du sang couler... Beaucoup de sang... C'était la pensée même de Tom. Pour lui la vie n'avait aucune valeur et plus il tuait, plus il devenait puissant. Oui la puissance signifiait le pouvoir et il en rêvait depuis tout petit, du pouvoir. Cela avait commencé alors qu'il était tout jeune. N'importe quel enfant de son âge aurait peur du noir mais lui il l'aimait, il l'adorait. Il avait l'impression que le noir renfermait un secret. Personne ne peut imaginer la noirceur d'esprit de ce gamin. Il haïssait l'amour, trouvait ça ridicule. Jamais vous ne verrez Tom flirter avec quelqu'un. Il trouvait cela aussi idiot que l'amitié. Il n'y avait que des esclaves pour lui. Le monde lui appartiendrait, quoi qu'il arrive. Il sèmerait la terreur. Vous l'avez deviné, Tom était fou, avait de la fierté et aimait manipuler les gens jusqu'à ce qu'eux-même deviennent fous. Sa cruauté était sans égale. Ne pensant qu'à lui, il se fixait des buts ne profitant qu'à lui et ne lâchait jamais prise. Quiconque l'a déjà rencontré dirait qu'il est un cauchemar. Le genre de cauchemar qui vous glace le sang, et vous laisse sans voix.

• Mon passé avant de prendre l'avion : Tout avait commencé alors qu'il n'était qu'un gamin. Enfermé dans sa chambre, il contemplait le noir. Et chaque nuit, des pensées sombres le gagnaient. Il aimait ce noir que tout le monde trouvait effrayant. Pour lui, plus il tuerait et plus il serait puissant et la puissance signifiait le pouvoir. Devenu fou par cette idée de pouvoir, il passa à l'action. Quoi de plus cruel que de tuer ses parents  ? C'est ainsi qu'un soir il se dirigea vers leur chambre et alors qu'ils dormaient, planta un couteau dans le cœur de son père. Évidemment cela alerta sa mère qui lui déroba le couteau, et appela une maison pour jeunes délinquants. A ses sept ans il était déjà dans un «  pseudo-asile  ». A l'âge de ses quinze ans, il réussit à manipuler le juge, lui faisant croire qu'il allait bien maintenant. Sa cruauté ne cessait de grandir, nul ne sait pourquoi - peut être à cause de quelque chose s'étant déroulé dans cette maison ou peut être parce qu'il était juste fou -. Il avait soif de pouvoir, encore plus qu'avant. Il fonda alors une secte. Pour qu'elle devienne plus puissante, il lui fallait plus d'esclaves pour gagner des batailles contre d'autres sectes. C'est lors d'une de ces batailles qu'il fut défiguré. Une bombe explosa à côté de lui et par chance il survécut. Cet accident provoqua en lui encore plus d'idées sombres. Une de ses décisions les plus folles fut de partir au Japon pour étendre sa secte, et en faire une organisation mondiale, dont il serait le maître.

• Vie après le crash : Il ne comptait plus le nombre de victimes qu'il avait fait. Certains l'avaient rejoint dans sa secte, d'autres avaient refusé et, par conséquent, en avaient payé le prix. Cependant, il n'avait pas encore commis de meurtres, juste des tortures. Toujours habillé du même T-Shirt et pantalon noire, pensant avoir le droit d'ôter la vie aux gens ou de la pourrir, il errait sur l'île tel la Mort elle-même. Il avait une arme, sa précieuse arme qui était un couteau de boucher. Et ainsi, il parcourait l'île de jour comme de nuit pour avoir de plus en plus d'adulateurs et de plus en plus de victimes et aussi, pour se faire connaître. Pour que les personnes aient peur de lui, lui obéissent. Chaque jour il s'approchait un peu plus de son rêve. Il s'en fichait de ne pas pouvoir retourner à New York car son travail ici n'était pas encore fini. Tant qu'il n'aura pas vu toutes les personnes, tant qu'il n'aura pas plus d'adulateurs alors, oui, il voulait rester sur cette île plus longtemps. C'était devenu son seul but dans la vie.