« -Mercredi Alyxine Sheppard, veut tu bouger tes fesses et venir ici de suite. »

La personne qui l’appel comme ça n’es autre que sa tante, la jeune demoiselle prénommer Mercredi ou encore Didi sort la tête de sa chambre et lui crie en guise de réponse :

« - Même pas en rêve Tata Vicky, je ne tiens pas à mettre cette robe... »

Vicky autrement appeler Victoria monta les marches des escaliers, et n’eu pas le temps de retenir la porte de chambre que Mercredi s’empressa de fermer aussi sec... Vicky pesta et lui dit :

« -Jeune fille tu veux sortir d’ici pour venir au mariage de ton père... »

« -NON »

Vicky tapa sur la porte pendant que Mercredi elle se contenter de s’appuyer contre cette dernière en enlevant l’horrible coiffure que toute les demoiselles d’honneur devait porter, déjà qu’elle n’aimer pas les mariages mais celui de son père avec cette peste de belle mère. Celle qui ce prenait déjà pour la grande personne qui tenait les rênes de la famille, et ça Mercredi ne lui laisserait jamais le faire foi de Didi elle ne lâcherait pas la bête. Oui elle la surnommer la bête en même temps c’était bizarre sa « belle-mère » lui faisait penser à un caniche enragée, avec ces cheveux bouclées qu’elle à tendance à mettre comme une choucroute sur sa tête.

Même pas en rêve elle n’irait pas même si son père venait la chercher directement, et taper contre cette porte de toute manière tant que Didi serait enfermée dans cette chambre le mariage n’aurait jamais lieu. Son père lui avait promis et si il casser cette promesse Didi lui en voudrait comme jamais, ça il le savait et n’oserait pas lui faire... De peur que sa propre fille l’ignore pendant un bon moment jusqu’a demander le divorce, et ce retrouver sans un sous par la faute de la bête enragée. Oui bon d’accord son prénom c’était Sarah au caniche enragée, mais tout de même...
D’ailleurs en parlant du loup, la voix aigue et méprisable de Sarah parvins aux oreilles sensibles de Mercredi, qui cacha un dégout :

« - Didi chérie c’est maman tu veux bien ouvrir cette porte et me laisser te parler... »

« - Que tu rêve ouai... je n’ouvre pas à Tante Vicky tu crois que je vais t’ouvrir la porte ? Même pas en cauchemars, je ne veux pas que tu sois avec mon père que tu lui pique tout son fric et qu’après mon père tombe en dépression par ta faute... Et d’abord tes pas ma mère j’en es eu une quand j’étais enfant je les toujours dans mon cœur donc tu ne la remplaceras jamais... »

« - Mais Didi... je l’aime ton père. »

Mercredi se retint de sortir une réplique bien cinglante avec une insulte mais répondit seulement :

« - Mais bien sur et tu va dire que dans le parc de Cardiff tu n’étais pas avec un autre homme, avec qui tu sors depuis plus longtemps qu’avec papa... A qui ta fait croire que « mon petit frère » était de lui... je ne suis pas sur que ça soit le cas si tu veux mon avis, arnaquer les gens c’est ton truc ça... »
Didi avait fait des recherches après tout soit on est journaliste soit on ne les pas... et la sa belle mère ne pouvait rien dire, puisque les informations elle les détient du « copain » de cette dernière donc. Et la bizarrement sa belle mère n’avait rien dit, mais tellement Mercredi s’énerver que certaines choses dans sa chambre commencer à voler dans tout les sens... oula pour elle le « fantôme » était de retour... du coup sa boule de neige tomba à terre et se cassa... c’était irremplaçable. Mais trop tard elle l’avait cassé... Didi avait peur, sa tante toujours derrière la porte sortit :

« - Mercredi dit moi ce qui se passe... »

Aucune réponse de la jeune fille qui finit par sortir en trombe de sa chambre poussant sa tante et la bête, elle c’était changée en jean basket pull over et veste beige suivit de son sac en bandoulière. La jeune fille les ignora et partit en direction du hall descendant aussi vite les marches qu’elle le pouvait et sortie de la maison avant de casser un autre truc, arriver dehors elle prit le premier bus pour aller au parc en descendant à l’arrêt prévue Didi arriva en remettant correctement son manteau. Ainsi quand elle se décida à se poser sur un des bancs espérant ainsi être tranquille... manque de chance quelqu’un vint lui demander, un truc son chemin bon ça à la rigueur ce n’est pas super méga grave, mais quand un vendeur ambulant vint la voir pour lui demander si elle voulait une fleur, et qu’il commença un peu à la draguer. Mercredi lui dit :

« - ça va aller je suis assez grande pour me promener toute seule... maintenant laisser moi en paix... »

Comme elle s’énerva un petit moment ce que le jeune homme avait en mains vola en éclat éparpillé un peu n’ importe où... Didi avait peur mais en même temps elle ne savait pas quoi faire... du coup elle à préféra se poser contre la statue dans le parc en essayant de faire en sorte d’oublier ce qui se passer, et surtout de ce calmer car ça partait en cacahuète la... qui pouvait l’aider ? Qui voulait surtout l’aider...

Where were you when everything was crashing?