Tae Hyun + If you don't want to hear it, don't ask.

❝ Tae Hyun Hwan ❞ ♦ Feat Gong Yoo ;

depuis que j'suis gosse, on m'appelle Tae ✕ j'ai déjà 33 piges ✕ je suis née le 6 avril dans un endroit nommé Seoul, en Corée ✕ j'ai déjà été le proprio et chef du Sushi-Man ✕ actuellement je suis un pêcheur ✕ dans la vie d'tous les jours, on me décrit comme drôle, fort et confiant, mais aussi très trouble-fête, vulgaire et têtu ✕ j'aime par-dessus tout dormir (souvent pas seul, mais quand même dormir c'est le bien) ✕ je déteste encore plus c'est faire le gardien d'enfants, j'ai pas l'air d'une nounou ! Les jeunes, ça pu et ça pleur tout le temps ✕ personne ne le sait, mais j'aime les hommes, un seul, il est l'exception à la règle ✕ je me distingue par mes bons petits plats fait de poissons et de fruits de mer ✕ j'avoue, mon orientation sexuelle est plutôt Bisexuel, mais personne le sait en fait ✕ puis en c'moment t'façon j'suis en couple, ça aussi c'est un secret ✕ vous me trouverez dans la team des KAPPA , car : je ne suis ni méchant, ni quelqu'un qui a eu la chance d'être sauvé. je crois que ça fait de moi un KAPPA ✕ et je porte aussi le rang des Rebels parce que :Je suis paresseux et vulgaire. J'aime emmerder les têtes fortes et dégrader les plus faibles. Je n'aime pas lorsqu'on me dit quoi faire, je fuis toutes tâches qui ne sont pas liées à la pêche ou bien la cuisine. Je dormirai sans arrêt, s'il n'y avait plus la lumière du jour, je cherche justement une grotte où hiberner. Je suis quelqu'un qui boit fréquemment et ce, excessivement. Je suis plus quelqu'un qui s'en fou de tout et y'a personne qui peut m'obliger de faire quoi que se soit, à part Jun.

© BEENZEY

• caractère & physique : Ce qui ce passe dans ma tête est très compliqué. J'ai comment dire une tornade de niveau 10 dans le crâne, des maux de tête me font crier le jour et souffrir la nuit. En fait, les cris ne sont apparu que depuis que j'ai retrouvé ma sœur. Je ne sais pas pour quelle raison, mais peut-être que mes cauchemars ne m'aident pas non plus. Oui, la nuit des images me hantent, des films où je retrouve ma sœur ensanglanté dans mes bras. Je tiens absolument la tenir en sécurité avec moi, mais ce n'est pas possible, puisqu'elle est ailleurs. Tout ce qui ne me plait pas doit l'être. J'ai eu de grand manque dans ma vie, mon pays, ma famille, mes parents et puis ma sœur. J'ai accumulé ce manque et ce, le cachant au plus profond de moi. La pression était aussi mon maître, je m'en suis débarrassé depuis que je connais l'île, je suis dur à comprendre, mais c'est parce que je ne me laisse pas analyser. Tout ce qui ne vient pas de moi, je le rejette. Je bois et m'embarque dans des histoires qui n'ont pas d'issue pour voir ma fin de près sans vraiment l'atteindre. En bref, je suis un saoulon, un bagarreur et j'ai une rage de solitude sans vraiment l'être, car le monde qui m'entoure m'aide, mais je les repousse sans cesse. Ai-je changé ? Surement. Avais-je le choix ? Pas vraiment. C'est pour ça que je dois progresser, aider n'ai pas mon fort, je me contente de ramener quelque chose pour se remplir le ventre. À part ça, je ne fais pas grand chose ; je m’entraîne, je bois, je dors. Tout ce qui est dans la possibilité d'être manger, je le mange.

Pour me décrire physiquement, c'est tout simple. Je suis un asiatique, je semble jeune, cependant je suis un homme moyennement mature (Puisqu'il y en a des encore plus matures que moi...) Lorsque l'on parle d'asiatique, on imagine sans attendre un homme cheveux noirs, yeux bridés, ce qui n'est pas faux. Je ne fais pas attention à ce que je mange, mais je m'en balance, je n'ai jamais été dans une situation de «surpoids» de ma vie. J'ai une chevelure bien garnie, puis je dois dire que je ne m'en occupe pas vraiment (Pas tapé, on est sur une île). Ensuite, je suis un peu plus grand que Jun (Juste petite précision).

• les grandes lignes de mon passé :

Depuis tout petit, je rêve de former une famille comme celle que mon père et ma mère ont bâtis, cependant sans les blessures et dégâts qui sont apparus dans notre vie. Je dois dire que je ne parle pas beaucoup de ce j'ai vécu. Ni de ce qui me fait le plus peur, puisque j'ai la nette impression que ses réalités peuvent me retomber dessus comme de la chiasse de vache.

Moi, Tae Hyun le plus vieux des deux seuls enfants que mes parents ont eu, ils était très jeunes lorsque ma mère tomba enceinte et j'ai même eu la chance de naître en Corée, par contre j'y ai vécu seulement 8 ans. Puisque mon père et ma mère décidèrent d'aller en Amérique. J'ai peu de souvenir, mais ses petits souvenirs étaient les plus précieux à mes yeux. Ma famille, plus précisément ma halmeoni (grand-mère), chez qui j'allais toujours puisque à cause de moi, mes parents devait travailler la plupart de leur temps. J'ai donc gardé précieusement ses souvenirs avec moi, n'ayant plus aucun contact avec mon pays natal depuis.

Ma famille n'était ni riche, ni pauvre. Nous étions quatre dans ce temps là ; mon père, ma mère, ma sœur, qui est la cadette, et moi-même. Nous vivions d'amour et d'eau fraîche, c'était ainsi depuis ma toute tendre enfance. Aimant et surprotecteur, le paternel était celui qui tenait les reines, qui prenait les grandes décisions. C'était un homme d'honneur et rempli de passion dans tout ce qu'il entreprenait. Dong-Sun était le nom qu'il portait et qu'il avait donné à ses 10 restaurants. Le Dong-Sun Sushi bar était l'un des plus populaires Sushi bar du quartier. Je me souviens encore du sourire sur ses lèvres lorsqu'il allait et revenait du travail, je pouvais voir le bonheur sur ses lèvres. À l'époque, où je ne pouvais pas tout comprendre encore, je croyais que ce sourire était sincère. C'est avec le temps que ce sourire se fatiguait, sans vraiment en comprendre la raison, je constatais que mon père avait de moins en moins de joie, mais que son sourire y restait, toujours à la même place de la même grandeur sauf qu'il manquait de passion.

J'ai rapidement appris les techniques du métier. J'ai été plongeur, nettoyeur de table, puis serveur. À la maison le soir, pour l'heure du souper, j'avais le droit à quelques cours et toutes les astuces pour enfin pouvoir atteindre les cuisines. C'était sincèrement ma partie préféré de toutes celles que mon paternel m'avait enseigné. J'avais le poste de chef des cuisines mes 20 ans.

Lorsque l'on atteint un certain âge, les parents asiatiques s'attendent que leur enfant, surtout s'il n'en ont qu'un, forme à son tour sa propre petite famille. Je passais le plus clair de mon temps en cuisine et je n'avais ni ami, ni fille dans ma vie. Je n'étais ni près pour être père, ni près d'avoir une femme dans ma vie. À cette époque, j'étais comment dire, ~~puceau~~, en manque d'expérience dans ce domaine. Alors, savoir que mes parents me voulaient voir partir ma propre affaire. J'en était terrifié. Un matin, ma mère était assise dans le salon avec un air inquiet, mon père avait l'air surpris. « Tae, approche. » avait dit ma mère. « Tu seras grand frère. »

J'ai donc pris bien soin d'elle. J'ai essayé de faire de mon mieux, parfois c'est plus difficile puisque lorsque les parents se font vieux, on ramasse de plus en plus de responsabilités. J'allais donc la porter et la ramener de l'école. C'est moi qui lui montrait comment faire à manger, puisque le paternel n'avait pas le temps pour elle. Suni Lu a tout simplement eu moins de chance que moi, mais autant d'amour, c'est moi qui lui en donnait. Le jour de mon anniversaire, mes 26 ans plus précisément, j'ai du partir plus tôt à cause de la fin des cours de Suni. Cet après-midi là, la seule qui me souhaita bonne fête et qui était présente, c'était ma petite soeur. Elle avait fait à la main, cette carte que j'ai encore avec moi, d'elle et moi dans une maison avec un gâteau. Ce que nous savions pas encore, c'est qu'à cette même date et à la même heure tous les problèmes que mon père nous cachaient, c'était éteint. Un accident d'autos que les médecins disaient avec toutes leur condoléances, mais comment nos parents sont morts tous les deux, en auto à cette heure achalander au restaurant principal.

Nous étions maintenant seul, Suni et moi. Elle ne voyait pas la différence, mais je n'avais qu'eux et Suni. Je n'avais pas le temps pour une vie social hors de celle que j'avais avec ma petite soeur et les clients que je servais. Comment j'allais m'en sortir, mon père et ma mère ? Oui j'avais la maison, un travail, mais il a des choses que je ne savais pas comment faire. J'étais même devenu le propriétaire des restaurants, qui apparemment je n'en avais plus que 5 puisque les 5 autres on pris en feux. J'ai pris une grande respiration et puis je souris. « Aller, Suni il faut y aller, tes bagages sont prêt ? »

• "l'île" c'est quoi pour moi ? C'est un p*tain de cauchemar, y'a rien de positif -si y'a bien une chose, mais bon c'est entre moi et lui quoi, shh!- . Je n'aurais pas du partir si vite sur un coup de tête. J'ai rêvé de voyage, de découverte. Faire une pause et en faire profiter à Suni. En clair, j'ai voulu des vacances. Fermer mon restaurant et recommencer ailleurs. Tokyo était ma destination, mais pour tout vous dire je voulais retourner en Corée, voir des cousins, mais cette idée n'était pas si bonne, je suis égoïste, comme si Suni ne me suffisait pas en tant que «famille». J'ai fait les bagages de ma soeur et nous sommes partis, évidemment que j'allais partir avec elle, la perdre me détruirait.

Maintenant que je suis sur cette île, c'est l'enfer. Ma soeur ne me parle presque plus, elle reste dans la tente à pleurer tous les soirs et je suis carrément inutile. Je n'y arrive plus, je ne sais plus quoi faire. J'aimerais ravoir ma vie d'avant.

• les aléas de ma vie actuelle :

J'ai changé. J'étais doux et patient. En fait, je crois que mon manque, le social, avait fait en sorte que je ne l'étais qu'avec Suni.

Tout change rapidement, sans vraiment que l'on s'en aperçoive. Elle a changé en premier, celle qui était pourtant si cher à mes yeux, elle était une boule de joie et souriait toujours, elle faisait en sorte que moi-même je sois heureux. Oui, notre train-train de vie a légèrement été modifier, elle ne devrait pas s'ennuyer autant. Je lui fais à manger, nous allons faire des marches ensemble, la baignade, je lui ai même montré comment pêcher. Rien ne la fait réagir.

Le soir lorsqu'elle s'endort, si elle y arrive, je sors un peu pour aller sur la plage, au feu ou bien au bar. Je reviens tard la nuit, après une grosse bagarre, puisque c'est l'une des seules choses qui me fait croire que je suis en vie. Recevoir une bonne droite, me tient debout pendant quelques jours et je recommence à insulté tout le monde pour pouvoir taper et avoir des coups. « Tu n'as que ça dans le ventre, pauvre minable. » j'ai craché une fois à un homme qui avait un couteau long comme son bras. Cette fois là, j'y ai goûté, je m'étais retrouvé attaché à un arbre, mon sang coulant de partout. Il m'avait laissé en vie.

Je nourris aussi très bien tout le monde, je pêche et cuit le poisson. Je fais quelques recettes spéciales pour Suni et Jun de temps en temps. Lorsque l'envie me prend. Oh, Jun. J'ai un secret, un énorme, parfois même je me dis une chance que mon père n'y est plus. Je crois que c'est moi qui y passerait. Je n'ai pas honte, je suis gêné. Gêné de ressentir quelque chose de si fort pour quelqu'un. Il est secrètement la première personne pour qui je ressens ce genre de sentiment.

Je suis devenu une brute amoureux.

« Y'a que les fous qui ne changent pas d'idée, ouais c'est ça. »
• Relationship’ :

Love : « Ta respiration et la sienne ne font qu'un et tes mains se faufilant sur ses bras pour trouver enfin ses mains qui te font rêver. Si au moins, vous pourriez faire qu'un. [...] C'est lors de cette soirée de pluie que tu lui demandas de rester avec toi et ce, à jamais. » Jun Hanazawa
Family :«Tu voudrais la protéger, cependant tu ne l'as pas retrouvé. Elle est hors de ta porté et ça te démange de l'intérieur, tu voudrais parcourir la terre entire et tout démolir pour pouvoir lui parler, élas, tu ne peux que l'imaginer à tes côtés, puisqu'il ne te reste qu'elle.» Suni Lu Hwan
Friends : «Un verre par ici, un autre par là. Tu bois avec eux et t'amuse comme jamais à chaque fois. Alors que c'est eux qui t'ont tout montré. Tu as fait d'eux tes amis, tes alliés.» rebels
Ex : «Les mains baladeuses, s'étaient les tiennes. Tu avais ce charme qui faisait tomber les dames, cependant tout c'est arrêté le jour de votre rencontre, enfin presque tout.» À venir.
Hate : «Une grande haine lorsque l'on parle d'hostile t'envahit. Puisque c'est eux qui ont ta soeur. Certes, c'est ce que tu crois.» Les hostiles
Other : « Tu ne sais ni ce qu'elle te veut, parce que sa voix est disparu, ni qui elle est vraiment. Elle est la seule que tu veux protéger des autres, elle semble fragile, mais ne l'est pas du tout, elle en cassera des coeurs et en fera des jaloux.» Haru Sky Lee

sinan bah en vrai, moi j'suis Polochon, Frédérike pour les intimes✕ en réalité j'ai 19 ans ✕ j'habite du côté de CANADA ✕ sur TI, vous m'verrez 4/7 ? ✕ il m'semble que j'ai connu le forum par oh mon dieu, heu, je m'en souviens plus. Sérieux, j'ai la mémoire qui dérape ✕ ce qui m'a plu, c'est l'ambiance, le design bleu doux et Alys . ✕ le personnage que je vais jouer, il tue, en fait c'est un perso inventé ✕ j'lai choisi car : il est trop bien quoi, c'est Tae. ✕ j'vais d'ailleurs m'empresser d'aller recenser mon avatar ici ✕ j'ai d'autres comptes ✕ puis comme j'suis sage, j'ai lu&signé le règlement , et j'vais peut-être même demander ~~un parrainage~~ là si jamais j'me sens perdu(e) ✕ allez j'finis en vous disant : JE FAIS PIPI PLUS LOINNNNN ! *out* .