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(#) Sujet: « The hardest thing to do is letting go.. » ₪ not because you want to but because you have to. {IVY&HILARY} Lun 10 Fév - 3:00
« The hardest thing to do is letting go.. » not because you want to but because you have to
Tu poses lourdement les bouteilles dans un coin de la hutte. La nuit n'est plus trés loin, et Ivy ne devrait plus trop tarder à rentrer. C'est parfait. Tu as besoin d'elle. Tu as besoin de soutien. Tu as besoin de conseils. Tu as besoin d'être rassurée. Ce soir, c'est toi qui fait appel à elle pour régler un de tes soucis. Depuis que vous habites ensemble, vous organisez régulièrement vos petites soirées rien qu'à vous. Que ce soit pour se détendre, pour se retrouver, ou pour se consoler, vous avez toujours été là l'une pour l'autre. Après Alys, c'est systématiquement vers Ivy que tu te tournes quand tu en as besoin. Et ce soir, c'est le cas.
Tu arranges alors votre mobilier de fortune -une 'table', deux 'chaises' et deux paillasses qui vous servent de lit- comme de coutume lors de ces soirées là. Les deux couchettes se retrouvent collées l'une à l'autre et la table à leurs pieds. Une fois fait, tu reprends les quatre bouteilles de rhum et les poses sur la table.. Ce soir, vous allez boire. Vous allez boire parce que vous serez heureuses d'être ensemble. Vous allez boire parce que c'est comme ça qu'on fait la fête. Mais vous allez surtout boire parce que l'une d'entre vous a besoin d'oublier certaines choses. Ne serait-ce que le temps d'une soirée.. Ce soir, particulièrement, tu as besoin des conseils d'Ivy. Parce que tu ne veux pas en parler à Alys. Parce que cette dernière est trop impliquée. Et parce qu'à ce sujet là, vous avez déjà eu vos petits différents.. Il faut tout de même rappeler que lors des débuts de ta relation avec Oxford, Alys l'a séduit et mis dans son lit. Certes c'était Fenner, mais.. à tes yeux, c'était la même chose.. Ivy est déjà au courant de l'histoire. Tu ne le lui as pas caché. Tu ne lui as d'ailleurs pas non plus menti sur l'existence de Scott et ce qui lui était arrivé.. Avec Ivy, tu te sens bien et en confiance. Tu n'as pas peur de son regard quand tu lui parles de tes histoires de coeur. Et même si cela a souvent impliqué des hostiles tu as toujours été honnête.. Avec Alys, c'est différent.. elle juge, elle scrute la moindre de tes réactions, elle épie tous les signes que tu pourrais lui envoyer. Elle t'aime, tu en es certaine. Mais à sa manière, et parfois.. tu n'as juste pas envie de sentir son regard accusateur se poser sur toi. Tu as juste envie d'une épaule sur laquelle pleurer un bon coup, et d'une amie pour boire avec toi et t'aider à oublier.
Peu à peu le jour décline. Tu sors alors de quoi éclairer un peu la pièce pour y voir tout de même quelque chose. Puis en attendant Ivy, tu sors de quoi dessiner. Depuis le crash tu dessines sur des morceaux de feuilles. Tu économises ton papier au maximum. Il t'en reste peu, mais quand tu as un besoin urgent de t'évader, c'est le meilleur moyen : le dessin. Alors, armée d'un fusain, tu commences de noircir ton morceau de feuille. Les traits posés au premier abord ne ressemblent pas à grand chose. Mais peu à peu, les contours se définissent, des formes apparaissent et un paysage se révèle. C'est un paysage de l'île. Un paysage que tu connais bien. Un endroit que tu as arpenté en long en large et en travers ces deux derniers jours, depuis.. cette fameuse nuit.
Ton dessin te rappelle la fameuse nuit.. Cette nuit où tu as finalement réussit à le voir. Cette nuit où tu as failli accidentellement mourir. Cette nuit où vous vous êtes disputés. Cette nuit où vous vous êtes retrouvés.. Cette nuit dont tu ne sais quoi penser.. C'est dans cette posture -le dos appuyé contre le mur, ton dessin posé sur tes genoux repliés, et le regard dans le vide- qu'Ivy t'a trouvée en entrant dans votre chez vous. Au son de ses pas tu as immédiatement levé la tête et tu lui as sourit. Comment ne pas sourire à Ivy? Tu sais qu'elle te soutiendra quoiqu'il arrive. Alors ton sourire si joyeux à l'idée de la retrouver se fait si triste lorsqu'Oxford revient dans tes pensées. Tu salues son retour aussi joyeusement que possible. « Hey! Tu es rentrée! Tu as passé une bonne journée? » Mais tu ne tiens plus. Tu as trop retenu tes pleurs pour les garder encore plus longtemps. Et maintenant qu'Ivy est là, tu te permets de craquer, et tu fonds en larmes. Là, assise par terre dans votre hutte, tu te sens ridicule, minable et misérable. Tu tentes de sécher le flot de larmes qui coulent le long de tes joues, mais c'est peine perdue. Chaque fois que tu as l'impression que tu vas réussir à arrêter de pleurer, tu repars de plus belle, et tes joues sont inondées. Et tes manches trempées.
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(#) Sujet: Re: « The hardest thing to do is letting go.. » ₪ not because you want to but because you have to. {IVY&HILARY} Ven 21 Fév - 0:22
The hardest thing to do is letting go
ft. hilary & ivy-lizz ۰ in their hut.
“ Tears are the safety valve of the heart when too much pressure is laid on it, tears are words the heart can't express, they are the silent language of grief, they are summer showers to the soul ; so let your tears come, let them water your soul. ” on ne devrait pas voir si facilement des larmes dans les yeux d'une femme. La nature est si mal faîte. On dit qu'un homme qui pleure, c'est beau ; mais une femme qui pleure, c'est tout simplement triste. Stupide ! Pourquoi les larmes même existent-elles ? Si on est malheureux, si on a du chagrin, ne pourrions-nous pas garder nos yeux secs & passer à autre chose ? Ou alors c'est qu'on pleure, pour évacuer tout ça ; mais c'est bête. Car ça fait mal de pleurer, ça te prend à la gorge, ça te serre les tripes, ça te bouleverse les pensées. Ce serait mieux de ne jamais verser de larmes, ou plutôt ce serait mieux que rien ne nous donne jamais envie de verser de larmes ! On aime dire qu'on est des femmes fortes, des rebelles, des dures-à-cuire. Les gens croient qu'ainsi, on ne ressent rien, on est indifférentes et immunisées contre toute peine. Mais c'est idiot. On n'est pas des rebelles parce qu'on pleure rarement, on est des rebelles parce que, les rares fois où l'on pleure, on remonte juste la pente en un claquement de doigts, avec bien deux-trois bouteilles de rhum ou vodka.
Ivy avait eu son lot de soucis sur l'île. Pour résumer, un couple en discorde, une grossesse, une fille inassumée, des fights avec des hostiles, des prises de têtes avec des rescapés, des rencontres amoureuses, sexuelles, platoniques, peu importe, bref catastrophiques. Tout ça ramenait à quoi ? Aujourd'hui, elle pouvait crier haut & fort qu'elle était une jeune femme normale, rebelle, sans enfant, sans amour, sans embrouille. Elle faisait table rase. Elle était seule avec elle-même, elle aspirait au bonheur, elle s'entourait de vrais amis et elle vivait cette p*tain de survie comme il fallait, sans ressasser le passé. Elle s'en tiendrait à ça. Cette nouvelle vision de son existence, ça semblait utopique. En l'apparence ça l'était, évidemment. Après, à l'intérieur, elle devait avouer qu'elle se sentait souvent ravagée. Mais qu'importe, personne ne le voyait, puis on s'buvait une bouteille d'un trait, on riait comme des tarés, et tout était oublié. Stratégie stupide ? qu'est-ce qui est vraiment stupide ? être sur une île déserte depuis bientôt deux ans, c'est pas ça qui est totalement stupide ? alors vos gueules, on gère nos problème à notre façon ! Et on a un sacré remède à notre mal : ça s'appelle "fête, alcool & bidonnade".
Ivy passa le pas de la porte de leur mini-hutte, après quelques minutes de marche dans la forêt. Elle avait effectué sa tâche de cueillette de la journée, ça avait été chiant, mais au moins c'était fait, elle aurait le droit de manger demain. Elle avait ramassé aussi du bois, ça elle le ramenait à leur cabane, pour qu'elles puissent se faire un feu si la nuit se faisait trop fraîche. Elle ne faisait jamais ça de bon coeur, mais 'faut bien y passer, y'a pire dans la vie. A vrai dire, il y avait eu bien pire aujourd'hui ! Et Ivy avait de quoi se plaindre ; en entrant dans la hutte, elle se dépêchait donc d'exposer sa péripétie monstrueuse à sa chère colocataire : « p*tain Hil', tu vas pas croire c'qui m'est arrivé ! tout à l'heure j'suis allée pisser par là-bas dans un buisson, t'sais, y'a un machin qui m'a piquée, j'te jure, un insecte ou une plante-carnivore, j'en sais rien, bref j'ai eu envie de m'gratter le cul toute l'après-m.....» En fait elle n'eut même pas envie de terminer son explication ; son regard avait croisé celui de son amie, et elle sut 'de suite que quelque chose se tramait. Hilary faisait genre que ça allait, "t'es rentrée, t'as passé une bonne journée ?" mais 'fallait pas se leurrer, et elle tomba en sanglot la seconde d'après. Ivy posa au sol les brindilles & la bûche qu'elle avait dans les bras, et elle se rapprocha de la belle blonde. Elle détestait la voir dans cet état-là. Comment était-elle censée positiver si Hilary était toute décomposée ? Ivy sentit son coeur se froisser, pourtant, venant s'installer près de sa presque-femme, elle commença d'abord, assez involontairement, par un discours typique rebelle-agacée : « allez meuf, qu'est-ce qui t'fait déprimer ? si c'est encore un truc du côté de ces hostiles, j'te jure... bon sang, 'faut juste arrêter d'traîner avec les méchants quoi ! » Mais Ivy ne savait pas jouer la dure très longtemps, et surtout face à Hilary ; elle ne la jugerait jamais. Elles se ressemblaient trop, elles avaient eu toutes les deux leur lots d'erreurs, de risques & de déceptions, et dans tous les cas, elles étaient juste là l'une pour l'autre, pour se relever, pour surmonter chaque épreuve, chaque jour, avec un minimum de fierté.
Finalement, elle saisit la main d'Hilary fort dans la sienne, et elle vint appuyer son front doucement contre celui de sa coloc'. Elle l'aimait tellement, elle détestait la voir triste. « hey chérie, tout va bien, ça va aller. On va penser à autre chose, allez j't'en prie, sèche tes larmes, bébé. » Elle vint déposer un bisous sur le front de son amie, un autre sur sa joue, un autre au coin de ses lèvres. Puis elle plaça le visage d'Hilary entre ses mains, tendrement, et elle la regarda dans les yeux, avec une certaine conviction tout de même. Du revers de son pouce, elle essuya les larmes de la jolie blonde, puis elle ne résista pas de la serrer quand même dans ses bras. Elles montraient leur faiblesses à peu de gens, mais d'une manière assez naturelle, elles s'étaient autorisées à tout se dire, à tout dévoiler et à ne rien cacher de leurs pensées. Ivy avait d'ailleurs bien envie d'entendre Hilary lui raconter son histoire, qu'est-ce qui la tracasser au point de la faire ainsi s'effondrer ? Mais malgré la curiosité, elle ne rentrerait pas dans le cliché du "je te console avec des mouchoirs en papier". Non, c'était se torturer pour rien. Au lieu de ça, elles allaient ne pas en parler et avoir recours à leur méthode habituelle : elles allaient se détendre, se bourrer la gu*ule et s’esclaffer comme des bécasses. En plus, si ça se trouve, un peu plus tard dans la soirée, Hilary pourra même tout raconter de ses problèmes, mais au moins, avec une bouteille dans la main, elles parleraient de tout ça, et à ce moment-là, la jeune materson y repensera peut-être même avec le sourire aux lèvres cette fois... Ivy relacha donc son étreinte sur Hilary, et elle lui lança un regard communicatif, plein d'espoir et d'espièglerie. « c'est bon, tu gères, t'as déjà apporté le rhum ! go, débouchonne-moi ça, on va trinquer ; ta coloc' passera toujours en premier dans tes pensées, tu vas voir. » Ivy se pencha pour récupérer deux des bouteilles, et elle les tendit à son amie. Elles allaient passer une bonne soirée, ça elle en était plus que persuadée.
Dernière édition par Ivy-Lizz Eastwood Stilson le Mar 25 Fév - 19:59, édité 1 fois
» Endreya A. Hamilton-Wayne "
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(#) Sujet: Re: « The hardest thing to do is letting go.. » ₪ not because you want to but because you have to. {IVY&HILARY} Dim 23 Fév - 19:58
A peine rentrée, Ivy commence à te parler de sa journée, toute joyeuse, toute optimiste comme elle l'est toujours. Un sourire fugace éclaire ton visage l'espace d'un instant. La simple vue d'Ivy de rend déjà moins triste. Mais lorsque ses yeux croisent les tiens, et que tu éclates en sanglots, Ivy lâche tout et s'approche de toi. Ivy est une rebelle, comme toi. Les larmes et les consolations, c'est pas vraiment facile pour vous, en général, c'est pas dans vos habitudes de vous laisser aller comme ça. Mais c'est vrai qu'entre vous, il n'y a plus de secrets depuis longtemps. Ivy est au courant de tout. Elle est même souvent la première au courant, surtout depuis qu'Alys vit loin de toi. Alors quand elle commence par te parler des hostiles, tu ne dis rien. Elle a raison. Mais.. savoir que quelqu'un n'est pas fait pour toi ne change pas tes sentiments, ça les rend juste plus désespérés. Et le pire, c'est que tu le sais. Aimer un hostile n'est jamais facile. Jamais. « J'sais.. Mais.. j'y peux rien.. » Et les larmes de couler plus encore.
Mais Ivy est tendre. Ivy est là pour toi. Ivy te réconforte. A sa manière. A votre manière. Sa présence suffirait. Et quand sa main touche la tienne, tes larmes cessent de couler. Tes joues sont toujours mouillées de larmes, mais elles ont cessé. Sa voix est douce. Sa voix te berce. Sa voix te rassure. Elle t'embrasse et essuie tes joues. Déjà tu te sens mieux. Tu ne dis rien de plus. Tu n'es pas encore en état de raconter quoique ce soit, mais ça viendra. Plus tard dans la soirée, les paroles couleront au fil des gorgées avalées, et tu lui diras tout. L'alcool fluidifiant les mots. Puis après un calin, Ivy passe à la suite du programme de la soirée. Empoignant deux bouteilles, elle te les tend et avec un sourire tu les attrapes. Tu les coinces entre tes jambes le temps d'essuyer ce qui reste de larmes du revers de ta manche. Une fois fait, tu débouches une première bouteille que tu tends à Lizzie, puis débouches la tienne que tu portes tout de suite à tes lèvres. et glou et glou et glou. L'habitude. Déjà l'alcool te réchauffe de l'intérieur. Tu sens que tout ira bientôt mieux. Tu souris à Ivy, bois encore quelques gorgées de plus pour te donner du courage et trinque avec elle bouteille contre bouteille. Puis d'une voix plus forte et plus assurée que quelques minutes auparavant, tu portes un toast.« Je trinque en l'honneur de... nous! Parce qu'on est belles, parce qu'on est re-belles, parce qu'on est toujours belles, et parce qu'on est les meilleures!! » Après le cling émit par vos bouteilles s'entrechoquant, tu portes de nouveau le goulot à tes lèvres et renverses la tête en arrière. Ivy est rentrée, tu vas passer une bonne soirée. Il suffit juste que tu absorbes assez d'alcool pour oublier. « Merci d'être là, meuf.. » Tu lui souris. Franchement. Ce sera certainement les seuls remerciements de la soirée. Vous n'êtes pas trés excessives au niveau des marques d'affections. Quelques mots, quelques gestes. Et même si pour certains ça pourraient paraître trés peu, pour vous, c'est amplement suffisant. Vous êtes loin d'être trés démonstratives l'une envers l'autre. Vous vous connaissez. Trés bien même. Vous vous êtes tout dit. Vous connaissez chacune les aventures de l'autre. Ses peines, ses chagrins, ce par quoi elle est passée, vous connaissez tout de l'autre. Alors quelques mots, un regard et un sourire suffisent pour que vous vous compreniez, pour que vous vous déclariez combien vous vous aimez.
- 2 heures plus tard -
Tu as bu. Tu as beaucoup bu. Beaucoup plus que d'ordinaire. Ivy aussi. Vous avez descendu au moins deux bouteilles chacune. Mais aux grands mots, les grands remèdes. Et d'ailleurs, aussi étonnant que ce soit, vous tenez encore debout. Enfin.. plus ou moins. Disons que vous ne vous êtes pas encore endormie sur place et qu'assises vous êtes encore à peu près stable. « Les mecs sont tous des salauds.. » Tu vascilles. Ton corps se balance de lui-même, d'avant en arrière, et d'arrière en avant. Tu tiens encore une bouteille dans ta main gauche et de temps à autres tu avales une gorgée, mais c'est plus de la gourmandise qu'autre chose. Tu es déjà bien bourrée, et à part Ivy, tout le reste est flou. Peu importe. « Hier soir.. Oxf.. Fenner il m'a dit que c'qu'il y avait eu entre nous c'tait du vide, du rien, de la comédie. Mais.. » Tu reprends une gorgée supplémentaire. Parler de Fenner est douloureux, et il faut boire pour tenir le coup. « Et après, il a rien trouvé de mieux à faire que de m'prendre sur place.. J'dois penser quoi d'tout ça moi? » Ta bouteille virevolte dans les airs. Tu risques de la lâcher à tout instant. Elle risque de s'éclater au sol, mais peu importe. Tu es bourrée, tu parles avec les mains. T'y peux rien, c'est comme ça. Tu espères qu'Ivy saura trouver les mots juste pour calmer tes appréhensions. Qu'elle saura te dire quoi en penser sans bloquer sur le fait que Fenner est un hostile. Tu espères qu'elle saura t'aider à y voir plus clair.
» Lizzie-Ivy Eswood Stilson "
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(#) Sujet: Re: « The hardest thing to do is letting go.. » ₪ not because you want to but because you have to. {IVY&HILARY} Ven 28 Fév - 0:37
The hardest thing to do is letting go
ft. hilary & ivy-lizz ۰ in their hut.
“ i didn't want to wake up. I was having a much better time asleep. And that's really sad. It was almost like a reverse nightmare, like when you wake up from a nightmare you're so relieved. I woke up into a nightmare. ” quel bonheur d'entendre leurs bouteilles s'entrechoquer, en trinquant à leur amitié, à leur colocation, à leur soutien mutuel. Hilary avait toujours été là pour Ivy quand elle en avait eu besoin - et dieu sait que c'est arrivé souvent - et donc c'est tout naturellement qu'elle se devait d'être là pour sa petite femme chérie. Elles commençaient une bonne soirée, elles allaient évacuer toutes les ondes négatives qui planaient dans cette cabane, et elles allaient faire table-rase des mauvais jours ; l'odeur intense de l'alcool, le gout fort du rhum, voilà qui était parfait pour se noyer quelques heures dans un état d'extase, où chagrins d'amour & autres désillusions, n'auraient certainement pas leur place. Suivant la motivation d'Hilary, Ivy se mit donc à boire à grandes gorgées également, et très vite, les larmes firent remplacées par de grandes esclaffades, des rires, des cris, de la folies, les deux jeunes femmes se mirent même à danser un moment, en chantant on ne sait quelle chanson. Enfin l'alcool monta rapidement à la tête des demoiselles, et la fête était à son plein même si elles n'étaient que deux paumées dans une mini-hutte (x' Plus elles buvaient, plus elles s'enflammaient... et puis forcément à un moment, leur excitation alla en decrescendo. Au fur et à mesure que l'alcool fuit son effet, elles étaient de plus en plus bourrées et elles ne contrôlaient quasiment plus leur gestes. Ivy sentit vite un barre de fatigue lui peser sur le crâne, et même si elle tenait d'habitude très bien l'alcool, il faut avouer que quatre bouteilles de rhum pur à deux, ça faisait buller le cerveau. Mais la jeune rebelle gardait la pêche ; c'est comme si son inconscient lui rappelait qu'elle faisait cette soirée pour soutenir son amie, et donc elle ne comaterait pas tant qu'Hilary serait toujours debout. Party all night !
Evidemment, après avoir bu comme un trou ainsi, Ivy titubait un peu dans tous les sens dans la cabane, avec son sourire immense qui ne quittait plus son visage. C'était rare de la voir si positive, si joyeuse, mais généralement, quand elle était saoule, elle arrivait à un des deux extrêmes : soit elle déprimait à mort & elle s'endormait ivre morte dans un coin, soit elle fasiait la fête, déchaînée comme pas possible. Et ce soir, elle était donc une pile électrique. Bon ses gestes étaient quand même maladroits, au ralenti, voir plutôt mous, mais elle était quand même pas mal agitée, comparée à d'habitude du moins. Les mecs, tous des salauds ! ahh Ivy ne pouvait pas être plus d'accord . On les emmerde ces pauvres cons, quand est-ce qu'ils auront fini de nous rendre malheureuses ? Ivy lacha donc un rire étrange, communicatif, après cette phrase tellement vraie de la part d'Hilary. Cette dernière expliqua ensuite des choses, à propos de Fenner, de comédie, de la prendre sur place... Lizzie regarda longuement son amie, imitant ses gestes et buvant quelques gorgées de plus de rhum. Puis elle essaya de se canaliser, pour lui répondre quelque chose de concret. Dur-dur de se concentrer. Elle était même pas sûre d'avoir compris tout ce que lui avait dit Hil' ! Mais bon, l'important était là : sa coloc' était triste à cause de Fenner, à cause de cet Hostile qui la jetait puis la reprenait, qui semblait se servir d'elle... rahh une vague d'indignation submergea la miss Stilson, en même temps qu'elle s'exclama alors, avec une voix un peu étrange : « put*ain il perd rien pour attendre ; si je l'avais en face de moi, j'te jure, j'lui casserai la gu*ule à cet enfoiré...» Ivy leva sa bouteille au ciel pour mimer sa révolte, et cette dernière lui échappa des mains, allant se fracasser sur le sol. Heureusement, le parterre de leur cabane n'était autre que le même que celui de la forêt qui les entourait, et l'herbe molle avait évité l'explosion d'éclats de verre. Juste la fin de rhum qui s'était un peu écoulée, mais ce n'était pas un gaspillage conséquent, donc tout va bien ; Ivy pouffa de rire, puis elle reposa ses yeux sur son amie. Même saoule comme elle l'était, elle se rendait finalement compte qu'insulter l'homme de la vie d'Hilary, ce n'était pas non plus une solution. Alors elle calma le ton, et elle se rapprocha de sa coloc, la saisissant plus ou moins tendrement par les poignées, et elle lui murmura doucement : « Dis-toi qu'il agit comme un crétin parce que c'est tout simplement un hostile peut-être, mais que dans tous les cas, toi t'es une fille merveilleuse, et c'est pour ça qu'il a craqué sur toi en premier lieu, et qu'il est vraiment dingue de toi j'suis sûre, même si il sait pas te le dire correctement ! » La voix de la raison a parlé. Ivy était devenue très sérieuse dans son intonation de voix, ça sortait du coeur, et c'est justement le genre de chose qu'elle n'aurait probablement pas dite à Hilary si elle avait été sobre. Mais là elle était dans un état second, dans une phase de "je dis toute la vérité rien que la vérité", et à croire qu'au fond d'elle-même, elle pensait un peu que Hilary devait croire en son couple avec Fenner ; faire confiance à un hostile ? oui c'est bien Ivy qui était en train de suggérer ça ! En attendant, elle n'allait pas laisser plus longtemps la jeune femme s’apitoyer sur son sort, et elle la regarda dans les yeux, en ajoutant : « Surtout ne te mets pas à pleurer, sinon je chiale aussi... » Et tout à coup, sans raison apparente, Ivy se mit à pleurer. Oups il fallait peut-être juste que ça sorte. Pourtant elle n'avait pas de raison d'être triste ; Ivy n'avait pas connu de chagrin amoureux depuis longtemps maintenant, elle laissait trop peu les hommes entrer dans sa vie en ce moment, pour leur donner une quelconque chance de la blesser. D'humeur changeante à cause de l'alcool, elle sécha brusquement ses larmes, et un petit rire sortit finalement de sa bouche. Elles allaient bien, elles étaient toutes les deux, elles étaient fortes, et leur amitié, ça, personne ne la leur prendrait.
Ivy contempla Hilary, l'air un peu béâ, avec un sourire, et une petite lueur espiègle dans ses yeux. Sa coloc était si belle, elle était sexy et à croquer, elle avait tout pour elle. La jeune Stilson aimait si fort cette femme surtout quand elle était pêtée. Et donc, finalement, elle vint faire glisser ses doigts dans les cheveux blonds d'Hilary, elle toucha son visage qu'elle adorait tant, et elle fixa ses yeux noisette, avec une note enjouée. Puis, elle posa ses lèvres sur celles d'Hilou, et elle l'embrassa suavement. C'est pas la première fois qu'elles faisaient ça, c'était réconfortant, endiablant, et avec la dose d'alcool qu'elles avaient dans les veines, c'était plus qu’excitant. Elle éloigna son visage de celui d'Hilary, et elle lacha un nouveau petit rire, amusée. Il se passait toujours des trucs bizarres quand elles buvaient beaucoup, et Ivy ne se souvenait à vrai dire que rarement de la fin de ces genres de nuits-là. Mais il faut dire que quand elles étaient bourrées à ce point-là, ça retirait toute barrière et toute gêne entres les deux colocs, et tout était tellement plus facile. C'était aussi pour ça qu'Ivy adorait Hilary ; elle était son amie, sa colocataire, sa confidente, sa femme. Et elle n'avait cette relation avec personne d'autre. Ivy eut un regard ce genre de regard très malicieux, où elle ne sait plus trop ce qu'elle fait, mais où en même temps elle est très sûre de ce qu'elle veut. « Je défie Fenner de t'embrasser aussi bien que ça. » Elle sourit, puis elle vient reposer ses mains contre la nuque d'Hilou, en recapturant ses lèvres avec fougue & passion. Peut-être qu'Hilary ne serait pas d'humeur joueuse ce soir, si elle était encore trop nostalgique ou autre, à cause de son petit hostile, mais peut-être qu'Ivy avait justement pris le pari de lui faire oublier tout ça le temps d'une soirée, et cette façon-là pourrait bien marcher aussi, nan ?
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(#) Sujet: Re: « The hardest thing to do is letting go.. » ₪ not because you want to but because you have to. {IVY&HILARY} Dim 21 Déc - 11:26
La soirée 'annonçait à merveille. Vous aviez déjà rit beaucoup, bu beaucoup aussi. L'alcool vous va à ravir, vous donnant des couleurs, de l'entrain, et de l'énergie. Vous aviez dansé, ri, chanté, dansé, gloussé... bref vous aviez jusqu'alors passé une bonne soirée. Surexcitées comme vous l'étiez, vous aviez probablement empêché tous vos voisins de dormir, mais peu importe, ce n'est pas comme si vous faisiez la fête dans votre hutte tous les soirs après tout. Et puis comme on dit ; aux grands mots, les grands remèdes.
C'est lorsque ta vision a commencé à devenir vraiment trés floue et ton équilibre vraiment trés précaire que tu as fini par t'asseoir en tailleur. Position qui reste encore la plus stable dans ton état. Pourtant, bourrée comme tu l'es tu as l'impression que tout est cool, et que tu es encore à peu près alerte, mais tu sais trés bien que ce n'est pas le cas. Tu en as conscience. Tu te sens toute groggy et ralenti, tes idées sont confuses et tu n'arrives pas à penser comme il faut. Mais ce n'est pas plus mal, ainsi tu oublies toute cette histoire avec Fenner et tu ne penses qu'à passer du bon temps avec Lizzie. C'est le moment que tu choisis pour parler de tout ça. Le moment d'acalmie. Le moment ou posées toutes les deux contre le mur de la hutte ou vous regardez en silence ce l'espace qui vous sépare de la porte.
A la première réaction de Lizzie tu ne peux t'empêcher de t'esclaffer. Imagine ; Une jeune Lizzie, complètement pétée qui mime une révolte après la déception amoureuse de sa coloc'. Non mais imagine rien qu'un instant. N'est-elle pas belle ta Lizzie? N'est-elle pas merveilleuse? Si, Lizzie est une fille magique. Une fille qui quoiqu'il arrive te remontera le moral dès que tu en auras besoin. Puis Lizzie s'assied face à toi et te prend doucement les poignets. Puis, avec toute la maladresse d'une personne imbibée d'alcool Lizzie essaye de te réconforter. Elle te dit que Fenner agit comme un crétin parce qu'il fait partie de ceux qu'on appelle les Hostiles, mais qu'il doit certainement t'aimer au fond. Tu ne peux t'empêcher de penser avec amertume ; "s'il est capable d'amour.." Puis tes yeux cillent et regardent immédiatement vers le sol. Lizzie a du comprendre les signaux parce qu'elle te lance un avertissement. Larmes interdites. Ravalant les tiennes, c'est avec surprise que quand tu relèves les yeux ton regard tombe sur celui de Lizzie tout humide de larmes.
A la vue d'une Lizzie en larmes à son tour tu ne peux t'empêcher de le prendre dans tes bras. Chacune son tour. Ce n'est jamais facile de voir une amie pleurer. Jamais. Et tu as beau être au plus bas, Lizzie pleure aussi. Et tu n'aimes pas ça. Après un instant, Lizzie essuie ses larmes et laisse échapper un éclat de rire. Ce rire tu le connais bien et tu l'aimes beaucoup. Alors à ton tour tu souris. Le rire de Lizzie est un des meilleurs remontants qui puissent exister sur cette Terre. Alors à ton tour tu sèches tes larmes. La soirée s'annonce plus joyeuse que tu ne l'escomptais. Tu savais que tu pourrais compter sur Lizzie pour te remonter le moral.
Puis Lizzie fit preuve de tendresse et te caressa les cheveux puis les joues, avant de se pencher vers toi et de poser doucement ses lèvres sur les tiennes. Instinctivement tu fermes les yeux et profites du baiser. Ce n'était pas la première fois. Lizzie et toi avez des rapports qui peuvent paraître ambigus et spéciaux aux yeux des gens, entre vous pourtant, tout est trés clair. Lizzie s'écarta un instant et lança un défi dans le vent destiné à Fenner qui ne le saurait probablement jamais. Puis elle recommença. Plus intensément cette fois-ci. Et après avoir simplement répondu à son baiser tu lui souris, et lui réponds ; « Fenner n'aura jamais ta sensibilité..» Puis avec un regard plein de malice, tu poses à ton tour tes lèvres sur les siennes pour un baiser plein de fougue et d'angoisse.
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(#) Sujet: Re: « The hardest thing to do is letting go.. » ₪ not because you want to but because you have to. {IVY&HILARY}