(M) LUKE NEWBERRY Ҩ samuel abendroth, i can’t stop smiling at you

❝ Samuel Abendroth ❞ ♦ Feat Luke Newberry ;

LIBRE PRIS

se présente sous le nom de Sam(my) ✕ a déjà vingt-quatre piges ✕ est pour l'instant, pas grand chose ✕ se dit associable, pessimiste, créatif ✕ aime par-dessus tout fermer les yeux et imaginer qu'il est ailleurs, oublier qu'il a déjà passé deux ans sur l'île, les feuilles qui tournent au orange, se sentir chez lui, dormir. ✕ personne ne le sait, mais il n'est pas déboussolé, ou perdu. Tout le monde autour de lui semble s'imaginer qu'il est mentalement instable depuis qu'il a remis les pieds en Amérique. Ils semblent effrayés, mais il n'a jamais été plus lui-même que maintenant. ✕ s'est classé dans le groupe des Gamma et a plutôt un rang de rebels ✕ car : il est revenu dernièrement à New York, grâce à un sauvetage. Rebelle, car il a toujours été du genre à détester l'autorité, ne pas hésiter avant de franchir des limites qui en arrêteraient bien d'autres et il en faut beaucoup pour le convaincre de changer d'idée .

© minie.

• les grande lignes de son passé : Il est né en Amérique, famille américaine moyenne, famille qui ne fait pas rêver, mais qui ne fait pas pleurer. Il y est né, il y a grandi, est devenu un jeune adulte moyen aux aptitudes moyennes, aux yeux trop grands et aux rêves habitués d’être piétinés.
C’est comme ça qu’il se retrouva les deux pieds à l’université, avec l’inextricable impression que ce n’était pas sa place, sans savoir où elle était, cette place.
Sam, c’est un peu le mec qui est toujours perdu, mais qui n’a jamais su où il allait. Il se laissait vogué sur la mer des Tu devrais, croyant que les autres sauraient mieux que lui.
Mais ils n'avaient jamais raison. Il est né pessimiste, habitué de voir sa petite famille mangé des miettes à chaque fin de mois et ne comprenant pas les injustices.
À l’université, c’est loin d’être une carrière qu’il trouva. C’était plutôt des convictions.
Il était celui qui criait fort à chaque manifestation, puis il devint celui qui les organisait. Il gueulait contre la démocratie, il détestait tellement de choses. Sauf ses amis, ceux qui étaient avec lui, bras dessus-dessous, prêts à tout.
Écolo, anarchiste, végétarien, nommez-les, il les pratiquait probablement.
Il était plus heureux comme ça, que dans un bureau.

• "l'île" ça lui évoque quoi ?
Au départ, il crût que l'île était un miracle. L'occasion de vivre une vie simple, harmonieuse... Rapidement, ce fut plutôt le contraire. Des conflits, des enlèvements, des véritables cauchemars. L’île, c’est un cauchemar. Un cauchemar à sa façon, un endroit où il a souffert, où il a perdu, où il est devenu une autre personne. Deux ans dans cet endroit sauvage, il en ressorti différent, mais pour le mieux. Il en ressorti en sachant c’est quoi que de survivre. Lorsqu’il y repense, maintenant, il n’a pas peur. Il est persuadé qu’elle est à jamais derrière lui.
S’il devait y retourner par contre… Ce ne serait pas avec gaieté.

• les aléas de sa vie actuelle : Actuellement, il est revenu à New York, sans vraiment savoir qui l’attendrait encore. Il savait qu’il aurait à tout reprendre à zéro et le mince appartement qu’un très vieux pote lui prête n’est que temporaire…
Après, comment il se sortira de là? Bonne question.
Il ne pense plus beaucoup à ce qu’il était avant l’île. Pourtant, tout le monde autour de lui semble vouloir le lui rappeler. Il ne sait pas comment expliquer qu'il ne pense plus comme eux. L'île a entièrement changé cette vision de monde parfait qu'il avait.

« has the world gone mad, or is it me? »
• Relationship’ :

relation principale :
Il ferme les yeux. Lorsqu’il les ferme, il peut presque sentir sur son visage le vent qui frappait constamment l’île, l’habitude probablement. Voilà à peine quelques jours qu’il est descendu du paquebot, a été examiné par quelques médecins et forcé à boire et prendre beaucoup trop de cachets pour que ce soit vraiment bon pour lui.
Il ne se sent pas vraiment bien, et il pourrait presque supposer qu’il a été empoisonné pour ne pas parler de toutes ces horreurs qu’il a vu sur l’île. De toute façon, il n’en parlera pas. Il n’a pas envie de les revivre, ou d’attiser de la haine sur un autre continent.
Aujourd’hui, c’est sa première rencontre avec les journalistes.
Il n’a jamais été un très grand fan des journaux, persuadés qu’ils n’étaient qu’une machine à sou géante payée pour mettre en valeur celui qui payait le plus cher.
Mais, maintenant, il s’en fout, tout le monde est rassemblé ici, et s’ils sont là pour expliquer à l’Amérique qu’ils sont encore en vie, il sera là aussi.

Il est plus nerveux qu’il ne le croyait, tandis que son regard semble incapable d’arrêter de bouger. Quelqu’un face à lui s’éclaircit la gorge. Son regard tombe sur un jeune homme, qui lui semble beaucoup plus vieux que lui, mais il a toujours eu l’air plus jeune qu’il ne l’était lui-même. Enfin, avant qu’il ne passe deux ans à se laver de façon plutôt sporadique et… enfin, peu importe.
D’une façon ou d’une autre, celui-ci semble avoir la situation beaucoup plus en contrôle que lui. Il l’observe avec ce regard calme d’une personne qui n’a pas une once de nervosité. Il lui sourit, un petit sourire, puis lui tend la main.
« Moi, c’est Damyan. Damyan Stone. » Sam hoche la tête, se présentant à son tour, tout en serrant la main de cet inconnu.
Le badge autour de son cou et les différents appareils qu’il tient dans son autre main semble indiqué que celui-ci sera responsable de son entrevue de ce matin.
Celui-ci lui explique alors le déroulement de l’entrevue, comme pour confirmer ses pensées. Puis, il s’assoit face à lui, dépose une machine sur la table entre eux et illumine l’écran d’une tablette comme il n’avait pas vu depuis longtemps.
Sam s’attendait à beaucoup de questions sur sa vie sur l’île. Étrangement, les questions tournèrent plutôt sur son passé, puis le maintenant. Il ressortit de cette entrevue plus paisible qu’il ne s’était senti depuis qu’il était arrivé à New York. Celui-ci lui laissa son numéro, expliquant qu’il pouvait le contacter s’il avait besoin de dire d’autres choses. Puis, d’autres entrevues s’enchainèrent, durant toute la journée.

Ce fut une semaine qui se partagea entre ses différentes entrevues et un peu de temps pour lui-même. Certaines étaient plus difficiles que d’autres, les gens le poussant à aller dans des souvenirs qu’il essayait vraiment d’oublier. Ils ne semblaient pas comprendre ce que ça faisait, d’être pris entre le mirage d’un cauchemar et une réalité plus étrange encore.

Il recontacta Damyan, instinctivement. Il avait besoin de ne pas être seul pour une fois, et de ne surtout pas être avec ces vieux amis qui le regardaient comme s’il était débarqué d’une autre planète. Étrangement, le journaliste avait été la personne qui avait laissé la meilleure impression sur Sam, le seul qui avait su voir ses limites et qui ne lui avait pas parlé comme on parle à un enfant. Celui-ci l’invita à boire un café, et ce café-là se transforma en un autre café le jour d’après, puis à une bière ou deux une autre journée et ainsi de suite jusqu’à ce qu’il se retrouve à l’appartement de l’homme, ses lèvres s’étonnant de la douceur de celles de l’autre homme, et ses mains ignorant vraiment où s’arrêter.
Samuel s’attachait de plus en plus à Damyan, étonné de la vitesse à laquelle ils allaient, mais ne pouvant s’empêcher de ne pas s’en faire, trop heureux, trop satisfait, alors qu’il retrouvait une vie plus normale, lui qui sortait tout droit de l’enfer. Il se trouvait à passer plus de temps à l’appart du brun que ‘le sien’ et à tomber dans un piège, lentement, mais sûrement.

Ce qu’il ne savait pas, c’était qu’il ignorait tout de Damyan, qu’il ne connaissait pas l’ambition dévorante du brun et sa facilité à manipuler les gens. Le jeune homme calculait chacune de ses actions avec Samuel, persuadé que s’il devenait suffisamment proche du blond, il atteindrait cette boite de Pandore qu’il gardait si bien derrière ses yeux noirs.
S’il jouait avec le cœur du blond, il ne s’attendait pas à jouer avec le sien aussi. Il laissait Sam entré plus loin dans sa vie qu’il n’avait laissé qui que ce soit auparavant et il jouait avec ses propres limites. Il avait été attiré par celui-ci dès le premier regard, mais il ne s’était pas attendu à ce que tout prenne une telle envergure. Il se persuadait que c’était son plan dès le début, et qu’il réussirait assurément à tout détruire le temps voulu… mais étrangement les yeux de chiots du jeune homme avaient une surprenante façon de lui faire du bien.
Est-ce que Samuel découvrirait le jeu de Damyan à temps, ou serait-il plutôt pris par surprise, alors qu’il croyait que tout allait bien?
Surtout, lequel d’entre eux en souffrira le plus?

relation(s) secondaire(s) : hayley j. fawkes, presque une amie. la jeune femme a changé de camps quelques semaines avant l'arrivée du paquebot, passant de hostile à kappa. Certains rescapés préféraient se tenir loin d'elle, elle qui a passé plus de temps avec les hostiles qu'avec eux, mais Sam ne pourrait pas en avoir moins quelque chose à faire. Si elle avait changé de camps, c'était qu'elle avait envie de changer aussi non? Il continua à agir normalement avec elle, comme si elle était un autre rescapé, ne se bloquant pas à cette image d'ex-hostile. C'est cette nonchalance qui lui permit de la faire sourire un peu et même de s'ouvrir un peu plus. Vers la fin, il aurait presque pu dire qu'ils étaient amis...
C'est d'ailleurs grâce à elle qu'il réussit à se forcer une place sur le paquebot, celle-ci venant le défendre et faire peur aux autres rescapés, lui permettant de monter à bord avec, à peu près, aucun problème. Assurément, il lui doit une fière chandelle, par contre, il ignore s'il pourra la remercier un jour.
charlie-joy billy delford, amie proche. ça a tout de suite cliqué entre eux lorsqu'ils se sont rencontrés sur l'île. Étrangement, c'était un peu comme si le fait qu'ils étaient tous les deux plutôt introvertis les ont poussés à bien s'entendre, à passer plus facilement à une amitié qui coulait naturellement. Depuis qu'ils sont rentrés à New York tous les deux, Samuel aime bien passer du temps avec la brune, même s'ils ne parlent pas si souvent que ça de l'île, ils s'amusent ensemble. Ils sont restés des amis, même plutôt proches, du moins aux yeux de Sam qui préfèrent dernièrement la présence de ces plus récents amis aux plus anciens.
D'ailleurs, Charlie-Joy est l'une des rares a savoir à propos de sa relation avec Damyan. À voir, après, ce qu'elle en pense.
israël m. jakarta, relation tendue. honnêtement, c'était rempli de bonnes intentions que Samuel était allé essayer de faire la morale à l'une des plus jeunes hostiles. Celui-ci ayant entendu des rumeurs qui racontaient qu'une gamine se tenait avec une bande de cinglés n'arrivait pas à comprendre pourquoi. Lorsque Sam la croisa par la suite, son premier réflexe, plutôt que d'être de la laisser vivre sa vie, fut plutôt d'essayer de la faire changer d'idée. Une très mauvaise idée, visiblement.
Par la suite, leurs quelques rencontres furent très tendues et, généralement, désagréables. Israël est définitivement une personne qui ne manquera pas à Sam à New York.
lysandre e. carington, amie d'avant le crash. ils se sont rencontrés deux ou trois ans avant le crash, dans une soirée. Ils étaient jeunes, elle avait flirté avec lui et il n'avait pas hésité à répondre à ses avances, parce que, franchement, qui dirait non à cette fille? Ils échangèrent leurs numéros, se rapprochèrent un peu, mais quand ils s'embrassèrent, ça cliquait pas, ça allait pas, c'était comme embrasser sa soeur et c'était clair que ça allait pas fonctionner. D'un commun accord, cela mit une fin abrupte à leur rencontre. Quelques semaines plus tard, Samuel sortait d'une soirée assez arrosé, il était ivre au point de plus trop savoir où il habitait, et on le poussait à appeler quelqu'un pour l'aider, du coup son doigt accrocha le mauvais nom et c'est la blonde qu'il appela. Elle n'avait pas eu le coeur de lui dire d'aller se faire voir, et elle l'aida, le ramena chez elle et le laissa squatter son canapé pour une nuit. Depuis, ils se sont liés d'amitié, Sammy se sentant autant protecteur de Lysandre qu'elle de lui et il est assurément toujours là pour elle. Après, ça c'était avant le crash, maintenant qu'est-ce qu'il en est de leur amitié, ça reste à voir.

❝ J'TE VEUX TOI, OUII TOI LÀÀ ❞
« walking with a friend in the dark is better than walking alone in the light. »

tu dois choisir mon scénario parce que c'est le meilleur ♥ et en plus j'suis sympa, on peut négocier pleins de trucs si tu veux ! tu vois, on peut en parler, mais ça s'pourrait bien que je te laisse changer : le prénom [x] . le nom d'famille [x] . l'avatar [x] . l'âge [x] . le métier [x] . le groupe [] . le rang [x] . le passé [x . un peu l'histoire [x] . ses relations [x] . notre lien [] . donc demande-moi <3

Déjà, merci de t'intéresser à mon scénario. I love you

Je tiens à dire, d'abord, que si tu prends le scénario, t'as le droit le droit de changer le moindre détail du personnage qui ne concerne pas le miens, du moment que le lien reste crédible et possible. Ici, j'ai mis une sorte de canvas, une toile de départ, mais si ça ne te convient pas, n'hésite pas à cogner à ma porte avec des idées de changement et si tu as des questions, des trucs que tu comprends moins, n'hésite pas. hon

Tu peux changer l'avatar si tu veux, tant qu'il reste assez jeune, par contre, je tiens à approuver avant sur ce point. Mais je n'suis pas très difficile si ça peut te rassurer.

Idéalement, je cherche quelqu'un qui ne disparaîtra pas dans deux semaines et qui aime rp, parce que, perso, j'adore rp ! Sinon, j'aime bien les longs rps, mais je suis aussi capable de me limiter dans mon nombre de mots, suffit de me le dire. Tu peux être certain de toujours m'avoir à ta disposition. amen

Dans tous les cas, si tu prends mon scénario, je vais t'aimer forever and ever, sans aucun doute, genre toutes les déclarations d'amour que tu voudras, tous les rps, toute le looooove dont tu rêves. :héhéé: iwantyou