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(# ) Sujet: JAROD ▬ « I don't know what else to say I guess I'm .. Going Trough Changes » Ven 13 Juil - 23:50
identity card Jarod Aidan MacHalone . ♦ Feat Adam Levine ;
• Age, Date & Lieu De Naissance : Né le 1er avril 1984 à Cambridge
• Métier avant d'atterrir sur l'île : Jarod à fait pas mal de petits boulots.
• Un signe particulier ? Il a pas mal de tatouages sur le corps, et une cicatrice sur les côtes du côté droit.
• Orientation sexuelle : Hétéro
• Qualités : Des tas, généreux, aimant, solidaire, protecteur, chaleureux et j’en passe.
• Défauts : Perds le contrôle facilement, change d’avis ou d’humeur comme de chemise (quoi que sur l’île changer de chemise devient difficile), parfois un peu trop gentil etc.
• Manies : Il s’amuse souvent avec ses doigts, il faut toujours qu’il les bougent. Il passe souvent sa main sur sa barbe de quelques jours ou ses cheveux. Il bouge souvent, n’aime pas rester en place et je ne parle pas de ses nombreuses mimiques !
• Ma p'tite catégorie : Indispensables
• Pourquoi ce groupe ? Parce qu’il est indispensable, tout simplement & que ça colle avec son caractère.
• Post prédéfini [] - Scénario [] - Inventé [X] • Pourquoi ce perso/avatar ? : Parce que j’aime ce type, & puis parce que j’voulais le jouer depuis un bout de temps alors voilà me suis lancé.
• J'ai recensé ma célébrité ici :
[X] oui. [] pas encore.
© Jackspirit
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what about me • Physique : Il faut dire que sur l’île, Jarod ne passe pas in apercu, bien loin de là. Souvent, les enfants qu’il fréquente observent ses tatouages, son corps ayant de moins en moins de place pour en faire. Les tatouages ce n’est pas sa passion, cependant il aime ça, et trouve ça beau. Chacun de ses tatouages ont une signification particulière, et d’ailleurs, il a de l’imagination pour ses futurs. S’il sortait un jour de cette galère, il dessinerait les évènements récents sous une forme particulière et s’empresserait de se les incruster dans la peau. A par les dessins sur son corps, Jarod est un homme comme les autres. Il a la peau blanche, il est rare qu’il bronze ou qu’il prenne un coup de soleil, pourquoi ? Il ignore, il reste blanc comme un c*l, c’est tout. D’ailleurs, ses cheveux contrastent avec sa peau, car eux sont de la couleur des ténèbres, ce qui fait encore plus ressortir son regard gris. Son visage est fin, comme l’ensemble de son corps, bien que les quelques années sur l’île lui ont fait perdre ses airs de gringalet de 23 ans pour muscler son corps en un qui ferait chavirer le cœur de plus d’une en dehors de cette île. Sur cette île, Jarod est un peu comme… tous les hommes en fait, ou presque. Au niveau style vestimentaire –et c’est là qu’on rêve car sur une île on n’a pas de boutiques- l’homme adorait mettre des jeans troués, ou des slim de couleur sombre accompagné de tee-shirt également moulant ou choc. Ce qui lui a parfois valu des insultes genre « Peidei » ou autre, mais rassurez-vous mesdames, cet homme est un hétéro pure souche. Cependant, même s’il adore tout ce qui est moulant –et je ne vous parle pas du cuir, oula- Jarod adorait porter des chemises ou des costards entier, la veste lui allant à ravir, bien sûr ce n’était que pour les grandes occasions, mais il valait le coup d’œil dans cette tenue. Aujourd’hui… et bien aujourd’hui l’homme se contente de ce qu’il a, c'est-à-dire pas grand-chose. Une chemise, un vieux jean troué, un marcel qui passe de couleur comme passe les années, rien de bien fringuant pour draguer les minettes !
• Caractère : Jarod est une personne très complexe, il en vaut le détour. Souvent trompeur, il aime s’amuser à se faire connaître d’une autre sorte que lui-même. Pas très claire cette phrase, j’explique. En apparence, on pourrait croire que Jarod est un homme imbu de sa personne, un rebelle froid aux tatouages de prisonnier mais il n’en ait rien. Cet homme est débordant de vie, il aime rire –bien qu’il adore l’humour noir, l’humour tout court le satisfait pleinement-, il adore s’amuser d’un rien, il aime la vie, et non, ce n’est pas un hippie, il jouit des choses simples c’est tout. Cet homme adore consacrer son temps aux autres, très sociable, il s’entend avec pas mal de monde, cependant, lorsqu’il souhaite être seul car son moral flanche, il faut vraiment le laisser seul, sinon gare à vous. Très proche des gens, il est très protecteur que ce soit fille ou garçon, surtout depuis qu’il a pris quelques années. L’homme adore les enfants –non non il n’est pas prêtre- il passe souvent son temps à les occuper, s’amusant avec eux. Serviable il est capable de rendre de grands services sans rien attendre en retour. Dévoué et surtout aimant envers les jeunes femmes qui entre dans son cœur –et ce n’est pas bien difficile- il n’est peut-être pas si facile à amadouer aux premiers abords mais en fin de compte, cet homme est en vérité très romantique avec les demoiselles, très gentleman. Avant le crash, que ce soit amies ou petite amies, il les comblaient en leurs offrant des montagnes de cadeaux, en les invitant au restaurant etc, même si les moyens n’y étaient pas. Si ma première phrase n’était pas très claire, c’est pour la raison suivante. Lorsqu’il rencontre de nouvelles personnes et que son sixième sens –oui il a une intuition très fidèle- lui transmet un mauvais sentiment ou autre chose envers la personne désignée, Jarod aime jouer un double jeux, cachant son vrai comportement, jouant de l’homme qu’il aurait pu être, froid, distant, fière de lui, moqueur, bref un homme tout à fait différent –non non il n’est pas skyzo, quoi que…-. Alors, et vous, quel homme désirez-vous rencontrer ?
• Pourquoi ai-je pris ce vol pour Tokyo ? : La vrai raison ? Il l’ignore. Est-ce pour avoir la chance de trouver un travail dans ce pays ? Ou était-ce tout simplement pour visiter ce pays qui le fascine depuis tout jeune, ou encore pour se vider la tête, pour changer d’air et oublier les évènements récents ? Il l’ignore, tout ce qu’il sait c’est qu’il a pris ce vol, un point c’est tout.
• Mon passé avant de prendre l'avion : « Suivant ! » L’homme droit et fier de son uniforme s’avança à grand pas. Il s’arrêta devant le bureau en bois luisant et déclina son identité « MacHalone Jack ma demoiselle, commandant en chef mon capitaine ! » La jeune infirmière leva la tête vers l’homme qui semblait… débile ou était-ce de l’humour ? Au final, il était commandant, chef ou capitaine ? Son interlocuteur fit une grimace qui fit rire la jeune femme qui s’était précédemment déconfite. Il lui adressa un sourire et elle lui demanda de le suivre. Dans son uniforme d’infirmière elle se dandinait jusqu’à un endroit isolé suivi de près par le militaire. Une fois isolés, elle lui demanda d’ôter ses vêtements et l’examina. Les deux personnes s’échangèrent des phrases courtoises, rien de plus et l’examen fut terminé. La demoiselle aux cheveux blond raccompagna l’homme au bureau et tamponna son carnet, et son éternel « Suivant » retentit de nouveau. L’homme resta cependant devant elle, à bégayer, elle était si belle. « Puis-je vous inviter à… bruncher, hum… comment on dit chez vous… » « Diner ? » « Euh… oui » finit-il par répondre. La demoiselle resta coite, elle toisa son amie au bureau d’à côté qui lui fit un large sourire, elle était obligée d’accepter, et c’est ce qu’elle fit. Au diner qui a eu lieu quelques jours après, les deux personnes se plurent et se marièrent quelques années après, donnant ensuite naissance deux années plus tard à Jarod et quelques années après à sa sœur. Voilà la rencontre de ses chers parents, elle était Londonienne, bien que Française d’origine, et lui était un Américain de pure souche, du Texas plus précisément. Après avoir convolé en noces, la femme a arrêté son métier d’infirmière pour rester à la maison, s’occuper des enfants, en revanche, l’homme continua sa carrière militaire bien menée. C’est pour ça que Jarod, né un premier avril –la blague- à Cambridge, lieu où s’était installé le couple, n’a jamais vraiment connu son père. Bon il faut dire que les relations étaient tendues entre eux car le jeune garçon ne voulait pas suivre le chemin de son père, la gueguerre, non merci. Bref, Jarod grandit dans cette ville sans trop de soucis. Son enfance est banale, il a une sœur, ils se chamaillent, s’aiment pourtant, il ne pourrait se passer de sa mère, au niveau famille, rien à redire, bien que les présences de son père se font rare. Son enfance est donc banale, bon, on évite les taules et beuveries de l’adolescence, tout le monde connait ça pas vrai ? Un peu rebelle à l’adolescence, l’homme c’est très vite calmé avec les années. Les études ? Jarod n’aime pas ça, pourtant il est intelligent, très intelligent. Il vogue, par ci par là, et en grandissant il quitte tout, s’installant dans un taudis à Paris, ville qu’il a choisi au hasard sur la carte, et puis parce qu’il y a « l’effeil tower ». Ce qu’il aime ? La photographie, la musique –il joue du piano et de la guitare-, il est doué en langue, en histoire également, et il adore les livres. Son métier ? Il n’en a pas, il enchaîne les petits boulots, serveur, mannequin, chanteur dans un bar, bibliothécaire, et même professeur d’histoire et littérature ! Cet homme est un caméléon, et c’est volontaire que de changer de métier sans cesse, il n’aime pas se tenir à quelque chose pendant plus qu’un certain temps, sauf pour les demoiselles, ah les femmes… Fidèlement romantique, cette homme tombe les minettes, cependant, il est rare qu’il se consacre aux relations d’un soir. A Paris, il avait trouvé l’amour de sa vie. Une mannequin, blonde… c’est vrai qu’il a des lacunes en blonde. Une fille parfaite avec un sourire charmeur. C’est elle qu’il a failli épouser. Failli car c’est lui qui à renoncer. Pourquoi ? Parce que, la fréquentant plusieurs années, celle-ci tomba enceinte, un magnifique bébé naîtra donc neuf mois plus tard, une jolie petite fille, et Jarod était le meilleur des pères. Cependant… Rentrant du travail un jour, l’homme tomba sur sa fiancée et un autre homme, qui se trouvait en fait le père de la petite fille de plusieurs mois. Son cœur s’effondra, ainsi que son conscient. Il abandonna tout, et plaqua sa vie, c’était trop. Il prit alors le vol pour Tokyo pour changer de vie. Rien de passionnant non ? C’est une vie banale et simple contrairement à certains évènements qu’auraient pu vivre d’autres personnes sur l’île. D’ailleurs, il en a entendu durant ses 5 ans… Les personnes se confient souvent à lui, il a un visage de confiance, et il est différent, c’est peut-être pour ça. Et le voilà sur l’île, se remémorant son ancienne vie en flash, pas de trop grand souvenirs. Avant de partir au Japon, il avait assisté à l’enterrement de son père, il n’en gardait pas un très bon souvenir, mais après tout, il ne le voyait pas souvent et s’il le voyait c’était pour se faire traiter de clodo ou de bon à rien alors… Bref, voilà, contrairement aux autres, Jarod ne se confie que rarement sur son ancienne vie, alors pour tout connaître en détail… faut être persistant.
• Vie après le crash : Que dire de ses cinq années ? Au départ, ce fut très dur, le crash, les morts, ce fut très dur de se dire qu’au final, ils étaient perdus, que personne n’allait venir les chercher, et puis… les années passent et on se fait à l’idée. Certaines personnes fondent des familles, d’autres essayent de se marier, et puis on enterre ce qui meurent d’un accident ou autre. La vie quotidienne, tranquille s’installe, et Jarod, tel un mouton suit le troupeau, se faisant peu à peu à sa nouvelle vie, regrettant parfois, mais pas tout le temps son ancienne vie, celle qu’il avait quitté brutalement. Puis comme je l’ai dit, les années passent et des évènements étranges surviennent. Il y a eu d’abord ses changements climatiques, ses catastrophes naturelles, puis l’apparition de personnes étranges qui ont semés la discorde sur l’île apeurant même les adultes. Jarod est resté fidèle à lui-même, protégeant et rassurant tout le monde autour de lui, en ne s’autorisant pas une seconde à avoir peur. Puis une autre année est passée, un poison c’est répandu, il n’a pas été touché et à soigner les personnes qu’il pouvait, ayant fait une année de médecine et ayant étudié beaucoup de bouquins. Et ce fut l’arrivé d’un groupe de militaire qui furent capturés par des amazones. Il a connu des amazones, il a même eu une histoire avec l’une d’elle. Cinq ans… Que le temps passe vite… Même si certains cauchemars ont disparus, il se revoit au premier jour, sa chemise entrain de flamber, les hématomes sur son corps, cherchant à tout prix où il était, aidant les personnes coincées sous les débris à s’en dégager. Il se revoit encore construire une vulgaire cabane qui ressemblerait presque à une maison aujourd’hui. Il revoit les terres en friche qui sont aujourd’hui de vrai cultures, des potagers, et puis il voit les famille se développer, en espérant un jour avoir la chance d’en avoir une, même s’il est un peu plus réticent aujourd’hui à cause de ce qu’il a vécu juste avant de partir, et puis à cause du faite qu’il se trouve sur une île, mais après tout… il ne faut pas s’empêcher de vivre car ce n’est pas sûr qu’il ressorte un jour vivant de ce bout de caillou… Qui vivra verra.
► Love : Aucune pour l’instant.
► Ex : Jarod a failli se marier… & a failli avoir un enfant… Oui oui failli car la femme n’était pas la bonne, l’enfant non plus d’ailleurs.
► Friends : L’homme n’a pas de difficulté à s’entourer d’amis.
► Family : Jarod a une sœur qui est plus jeune que lui. Son père est décédé, il espère que sa mère est toujours envie.
► Hate : Bon, il arrive qu’on ne s’entende pas avec tout le monde, c’est normal après tout, mais dans le cas de Jarod, faut vraiment le vouloir.
behind the picture • Prénom/Pseudo : Secret, j’chui un ancien, à vous de trouver !
• Age : Vieux, très vieux.
• Pays : DTC
• Fréquence de connexion [../7] : Régulière
• Niveau moyen en Rp ? J’peux pas me noter étant donné que ça dépend de mon inspi.
Spoiler: Kiaria l’avait scié sur place. Il ne bougeait plus, il était simplement face à elle, planté dans le sol, bien droit alors qu’il se décomposait de l’intérieur. Il venait à peine d’entrer dans la pièce, la jeune femme se tenait dos à lui, regardant par la fenêtre et lorsqu’il se dirigea vers elle pour l’enlacer tendrement elle lui lâcha un simple « Attends » pour qu’il ne fasse pas un pas de plus. Son ton était froid, il crut alors apercevoir la Kiara froide qu’il connaissait dans les mauvais jours, les très mauvais… Le blond ne bougeait donc pas, prêt à recevoir son châtiment, sa sentence, et la rousse ne tarda pas à lui lancer. « Pars, dégage j’te dis, je t’aime pas, j’ai fait ça pour la célébrité, tu n’es qu’un jouet pauvre abruti ! J’te croyais pas aussi facile à berner … » et j’en passe. Non, cela ne lui ressemblait pas, pas ce genre de réflexion, elles ne pouvaient pas venir de l’esprit de son interlocutrice, en tout cas pas envers Sacha. Essayant de se rapprocher en l’appelant par son prénom, elle le stoppa une nouvelle fois et il comprit que c’était la fin. Réfléchissant quelques secondes, sans dire un mot, il ne savait quoi penser. Son cerveau allait exploser, ses mains tremblaient de colère, et de peur de la perdre, même si c’était déjà trop tard. Il bouillonnait sur place, en se disant que tout cela était faux. La femme qu’il avait connu pendant tout ce temps ne pouvait pas être si fausse, et se révéler une vrai traitresse aujourd’hui. Ses caresses, ses baisers, ses heures à rire pour rien… Non, c’était tout à fait impossible, il n’y croyait pas. Sacha fronça les sourcils, bien décidé à la secouer s’il fallait, pas pour la brusquer, simplement pour la garder près de lui. Il l’aimait… oh oui il l’aimait, bien plus que ce n’était permis. Ouvrant la bouche, et essayant de prononcer quelque chose, elle le stoppa une nouvelle fois par un cinglant « Dégage ». Il baissa la tête, se taisant, n’ayant pas la force de continuer, sentant sa poitrine se déchirer en des milliers de morceaux. Une boule se forma au sein de son ventre lorsque ses mâchoires c’étaient serrées. Sa main passa dans la poche de veston, et il y tritura une petite boite qu’il serra un moment, juste le temps de se retourner. Il attrapa alors son sac de cette main, laissant la boite dans la poche d’un air nostalgique et se dirigea vers la porte qu’il ouvrit. Il donna un dernier regard en la direction de la jeune femme qui ne daigna même pas se retourner vers lui. Sacha passa la porte qu’il claqua. S’en était fini de leur histoire. O’Connor rentra directement chez lui, sans un mot. Il coupa son portable, ce qui inquiéta ses collègues, et il resta chez lui pendant quelques jours, à boire, dans son canapé, n’ouvrant pas lorsqu’on sonna, qui que cela pouvait être : ses amis qui venaient le réconforter, les groupies qui venaient faire de même, les journalistes ou autres vautours, personne. Il n’allumait pas la télé, n’écoutait pas la radio, car il savait que tôt ou tard, sa rupture serait annoncée suivit d’un tas de commentaires dont il pouvait se passer. Restant dans le noir, verre à la main, ses cheveux blonds totalement décoiffés, sa barbe de plusieurs jours commençant à le gratter, il se décomposait littéralement. Puis d’un coup, un soir, il se leva, jeta son verre par terre, monta dans sa luxueuse chambre puis prépara quelques affaires, une vulgaire valise, rien de bien fringuant. Il enfourna son passeport dans sa poche lorsque son portable retentit une dernière fois, une dernière fois avant qu’il ne l’attrape et l’explose contre le mur. L’homme descendit alors les escaliers avec sa valise, son espèce de sac de sport à la main et il se planta devant la porte. Il enfila des lunettes de soleil noires et posa sa main sur la poignée. Il était déterminé, plus que jamais. Il ouvrit celle-ci, et se dispersa ensuite dans la foule qui le flashait à tout moment, direction l’aéroport. Russie, Amérique du Nord, du Sud, France, Japon… il enchaîna les destinations, se faisant discret, et ayant laissé tout son boulot en plan. Pour les journalistes, il était fini. Ce n’est que quelques semaines après qu’il refit son apparition, beau, fringuant, en pleine santé. Il s’était vidé la tête – et les journalistes ignoraient comment étant donné qu’ils avaient perdu sa trace – et revenait pour de plus belles. Il avait soit disant tiré un trait, et cela paraissait en étonner plus d’un qui pensait qu’il n’allait pas se relever de cette rupture, et c’est à la tête des personnes choquées lorsque, par exemple, il se pointa sur le plateau de tournage qu’il remarque cela. Il s’en foutait, après tout, tout cela était du passé non ? Ce n’était, ce qu’on appelle « une mauvaise passe » et elle était finie. C’est à partir de ce moment qu’on avait commencé à lui inventer des aventures à droite, à gauche, allant même jusqu’à dire qu’il était père, ou qu’il aurait tué quelqu’un durant son voyage, de rage. Foutaises ! Sacha repensait à tout cela en étant planté devant la jeune femme. Il avait un peu l’impression de revivre le moment de rupture, sauf qu’aujourd’hui c’est lui qui voulait mener les rênes, et puis… Kiara ne lui tournait pas le dos. Il était exaspéré, peut-être un peu blessé qu’elle ne lui ait rien dit, que personne ne lui ait rien dit. Il tenta de dire quelque chose mais il s’énervait tout seul en voulant parler, il abandonna alors très vite, ce qui est bizarre il faut l’avouer car Sacha est souvent coriace dans ce genre de situation. Il tourna alors les talons mais une main délicate venu se poser sur son poignet. L’homme ne se tourna pas complétement, il se contenta de regarder la rousse par-dessus son épaule d’un regard… méprisant et emplis de rage. « Pourquoi je te l’aurais dit ? Tu m’as oublié m*rde ! J’ai voulu reprendre contact, plusieurs fois mais… » Il ne répondu rien, laissant la demoiselle trouver encore des excuses. « … Je t’ai vu avec toutes ces nanas, ces pétasses et en quoi cela t’aurais intéressé ? Si je t’ai quitté c’est pour la distance et parce que…, alors je me suis sentie bien c**** sur le coup. » Elle le sidérait… vraiment… il n’en revenait pas. « Une étoile, c’est la danseuse phare de l’Opéra. Un salaire plus élevé mais je dois faire des apparitions publiques comme ce soir. Crois-moi, je ne te courrais pas après, lançais-je en relevant mon regard douloureux pour rencontrer le sien, nous deux c’est fini. Alors amuse-toi bien. Je ne t’embêterai plus. » Elle avait fini, et maintenant, elle se dirigeait aux bras d’une amie dehors, à la vue de personne. Sacha resta quant à lui planté, restant de marbre, n’affichant aucune expression sur son visage. Le caméraman qui est censé lui faire office d’ami se dirigea vers lui, ne sachant pas trop quoi dire, et se faisant tout petit. Ne lui lançant même pas un regard alors que ceux de toutes les personnes de la pièce étaient tournés vers lui, il attrapa le verre de son collègue qu’il descendit d’une traite. Il avait besoin de réfléchir, rien d’autre, alors, il s’installa au bar et y resta un moment. Malheureusement, le jeune O’Connor n’allait pas pouvoir rester ici éternellement. L’équipe, qui s’inquiétait en restant toutefois à distance commençait à fatiguer, et l’assistante de l’homme se dirigea vers lui, peureuse, pour lui demander de rentrer, car c’était lui qui faisait le chauffeur. Bon, il n’était pas en état de conduire, mais son chauffeur si. Il resta de marbre, encore, ce qui apeura la demoiselle qui avait peur de se faire trucider sur place. Cependant, Sacha se leva et se dirigea vers la sortie, entouré par ses collègues. A sa grande surprise, lorsqu’il franchit la porte, il aperçut la chevelure rousse de la jeune femme qui était toujours en compagnie de son amie. Il désigna la voiture à ses collègues en leur ordonnant de partir sans lui, qu’il allait renter à pied, et après un brève « t’es sur ? » de ami, ils mirent les voiles. Et c’est les mains dans les poches que Sacha s’approcha près de la rousse, donnant l’ordre à son amie de les laisser quelques secondes seuls, et elle n’avait pas intérêt à discuter. « Ecoute moi bien Kiara, qui te dit que j’ai oublié ? Comment veux-tu que j’oublie quoi que ce soit te concernant ? C’est tout bonnement impossible. Et te fou pas de moi en parlant des filles qui m’entourent, j’te signale que c’est toi qui est partie, que c’est toi qui m’a brisé le cœur, qui s’est servi de moi ! Alors ne viens pas pleurer que je finisse dans les bras d’une autre. Et tu sais comment sont les journalistes n’est-ce pas ? Tu en as bien profité, d’après ce que tu m’avais dit le jour de notre rupture, alors n’exagère pas. » Sa voix était calme, presque trop. Le froid commençait à se faire ressentir dans les rues, et les lumières n’éclairaient que le visage blanc de son interlocutrice. Il enchaîna « Je suis content que tu ais enfin réalisé ton rêve, faut croire que je t’ai quand même servi à quelque chose. Profite bien, c’est tout ce que je te souhaite, car il te reste certainement plus que ça. » Il resta un moment silencieux, à la regarder, et cette fois-ci c’était à son tour de ne pas la laisser parler. La toisant du regard, il tourna les talons, remis son col de veste et parti sans dire un mot, et sans laisser à la jeune femme l’occasion de se défendre. Il s’enfonça dans la pénombre pour disparaître, et sûrement rentrer chez lui, à moins que l’idée de se souler l’emporte… Ce qui risque bien d’arriver.
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