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Jason K. Cooper
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Message(#) Sujet: « Memories », by Jason K. Cooper. « Memories », by Jason K. Cooper. EmptyVen 29 Jan - 21:05

Jason ne tient pas / plus de journal.





Dernière édition par Jason K. Cooper le Ven 10 Juin - 13:20, édité 1 fois
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Message(#) Sujet: Re: « Memories », by Jason K. Cooper. « Memories », by Jason K. Cooper. EmptyVen 10 Juin - 13:19

Ces persos qui me passent par la tête ...


Vulkàïn Walerian Yggdrasil:


Raphaël Daniel Barrow:

Magana Yasti Rolfe:



Samaël Cahal Jaegger:


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Message(#) Sujet: Re: « Memories », by Jason K. Cooper. « Memories », by Jason K. Cooper. EmptyVen 10 Juin - 13:19

identity card
Elisa J. Lehnsherr . ♦ Feat Barbara Palvin ;

• Age, Date & Lieu De Naissance : 22 ans, née un jour de Saint Valentin à Tonbridge, Angleterre.
• Métier avant d'atterrir sur l'île : Elle sortait du lycée et s'apprêtait à suivre des études de médecine, ce que Papa et Maman voulaient pour elle. Parallèlement, et depuis plusieurs années déjà, elle travaillait au black en tant que danseuse dans un bar huppé de Londres, bar que tenait un de ses amis.
• Un signe particulier ? Un as de pique tatoué sur la face interne du poignet, petit et discret. Mentalement, on pourrait penser d'elle qu'elle est nymphomane, mais nous dirons juste qu'elle aime les plaisirs les plus simples de la vie et qu'elle se rit des conséquences de ses actes. Elle agit puis pense après, un peu comme un homme en fin de compte.
• Qualités : Déterminée, fonceuse, motivée, rigoureuse, intelligente, charmeuse, surprenante.
• Défauts : Manipulatrice, égoïste, dangereuse, têtue, bornée, imprévisible.
• Manies : Elle se caresse souvent la nuque en penchant la tête sur le côté, se caresse les lèvres lorsqu'elle réfléchit ou pense à quelque chose et elle ne peut s'empêcher d'allumer du regard une personne qui lui plaît.
• Ma p'tite catégorie : Les rebelles
• Pourquoi ce groupe ? Parce qu'elle est belle et rebelle ! et pas moche et remoche.
• Post prédéfini [] - Scénario [] - Inventé [X]
• Pourquoi ce perso/avatar ? : J'aime le style de Barbara et puis sa bouille m'inspire, tout comme le lien avec Millie & William.
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what about me
• Physique : « Une chevelure souple et flottante, un regard flamboyant qui vous transperce de toutes parts, c'est ça, Elisa. Cette fille rentre dans les stéréotypes de la «bombe», si vous me permettez l'emploi de ce terme. Il n'y a qu'à la regarder pour comprendre que la majeur partie des hommes de la planète se damneraient pour avoir ses faveurs, moi le premier. J'ai eu la chance de partager de bons moments avec elle, bien sûr vous vous doutez qu'elle était trop belle pour ne rester qu'avec moi. C'est bien ça qui nous a séparés, d'ailleurs. Elle était trop jolie pour n'en faire profiter qu'un seul homme, et elle se fait charmer de toutes parts ; comment faire face ? Ses jambes s'étirent sur une sacrée longueur et ses cuisses sont parfaites, aucun défaut ! Sa peau est douce et agréable, elle sent toujours très bon. C'est qu'elle prend soin d'elle, la miss ! Ses hanches sont arrondies aux formes caractéristiques des femmes mais rien n'est proéminent au point de faire tâche, elle est proportionnée comme la plus belle des poupées du monde. Et c'est ce qu'elle serait si elle n'avait pas ce fichu caractère qui fait aussi bien rager les hommes que les rendre fous d'elle. »

• Caractère : « Elisa, c'est compliqué. Si vous comprenez ça, vous avez tout compris. On croit la détester mais dans le fond on ne peut pas se passer d'elle. C'est comme ça, elle est là, elle est omniprésente. On la voit en face de soi et puis elle est partout, constamment présente dans votre esprit sans même que vous ne vous en rendiez compte. Elle se propage dans vos veines comme un virus et on ne peut plus s'en défaire. C'est aussi comme ça qu'elle arrive si bien à manipuler les gens, c'est dans sa nature. Son charme naturel vous envoûte, elle séduit ses proies potentielles pour mieux qu'elles tombent dans son piège ; et bon sang, ce que c'est délicieux ! Si elle vous accorde ses faveurs, même l'espace d'une nuit, vous pourrez dire que vous avez goûté au bonheur, au plaisir dans sa forme la plus simple et la plus pure. Expérimentée malgré son jeune âge, elle sait comment faire plaisir, aussi bien à un homme qu'à une femme, c'est ce qui la rend redoutable aux yeux de tous. Parfois froide et méchante, elle redevient subitement chaleureuse et captivante au fil de son humeur, taquine et sensuelle pour redevenir la prédatrice qu'elle représente si bien. Elle est une vraie énigme à elle toute seule et c'est sans doute pour cela qu'on l'aime aussi bien qu'on la déteste, que l'on soit son ami, son amant ou son ennemi. »

• Pourquoi ai-je pris ce vol pour Tokyo ? : J'étais aux Etats-Unis depuis quelques semaines déjà histoire de prendre mes marques pour les futures études que je passerais dans ce pays, et puis la possibilité de partir au Japon - pays que je n'avais jamais visité - s'est offerte à moi quand ma mère m'a appelée pour aller la rejoindre pour les vacances. Je n'ai pas hésité bien longtemps, en fait pour tout dire je n'ai même pas hésité. Aujourd'hui ma figure maternelle était à Tokyo, demain elle serait sans doute ailleurs ; elle est comme ça. Donc j'ai fait mon balluchon, j'avais deux billets : un pour moi, l'autre pour William, mon "petit ami"' entre guillemets. En tout cas l'homme qui partageait mon lit depuis quelques temps. Je me suis pointée à l'aéroport, valise dans une main, William dans l'autre, et c'est au moment où je me suis pointée devant le panneau d'affichage des départs qu'il s'est tourné vers moi et m'a simplement murmuré « Je suis désolé, je ne peux pas. ». J'ai dardé mes prunelles bleues électriques sur lui, ai esquissé un faible sourire, et je suis partie. Sans lui. Je savais alors que notre histoire prenait fin, mais étrangement je n'étais pas triste. Nous avions passé de bons moments, très bons même, et peut-être notre temps était-il venu. Toujours est-il que ce jour-là j'ai embarqué sans lui, ce qui est mieux en fin de compte. Qui sait s'il aurait la chance de survivre à ce crash ?

• Mon passé avant de prendre l'avion : « Je ne te raconterai pas le jour de ma naissance, quel temps il faisait dehors, combien d'infirmières ont aidé ma mère à accoucher. Non, je ne te dirai rien de tout ça. Parce que je ne le sais pas. Mes parents m'ont rarement parlé des conditions de ma naissance et je n'ai pas réellement envie de le savoir. Tout ce que je sais, c'est que maintenant on fête mon anniversaire le même jour que la fête des amoureux. Ouais, le 14 février de chaque année, alors que les tourtereaux du monde entier s'invitent mutuellement au restaurant et finissent par baiser dans un hôtel de luxe, moi je vais en boîte ou en soirée et j'enchaîne les verres, les clopes et tout le reste. C'est comme ça, être née un jour de Saint Valentin force tout le monde à vous oublier. Sauf peut-être vos amis célibataires - adeptes des plans d'un soir ou deux, comme vous en fin de compte - qui se réjouissent de se voir offrir une tournée de Mojitos et autres Bloody Mary dans le bar le plus glauque de toute la cité. Voilà à quoi se résume ma vie : Sex, Drugs & Rock'n'Roll. Et c'est comme ça depuis que j'ai treize ans, depuis que ma mère nous a lâchés, Papa, Xavier et moi. Xavier - mon petit frère - n'avait alors que onze ans. Allez expliquer à un gamin de onze ans qu'il va falloir qu'il se débrouille tout seul parce que sa gentille maman se tape le tour du monde avec un golfeur professionnel qui l'a embobinée en moins de temps qu'il faut pour le dire. J'ai commencé à fréquenter des personnes pas très nettes, à m'engager dans des histoires sans lendemain, à allumer des hommes juste pour pouvoir coucher avec eux.

Quelque part à Londres, j'avais quatorze ans. Je m'étais toujours fait une vision de l'amour assez romantique, assez surestimée en fin de compte. Jusqu'à ce que mes parents divorcent, je croyais en l'amour éternel, celui qui nous assigne une seule personne pour toute notre vie, qui serait la seule à partager notre intimité. Je me suis bien vite rendue compte que j'avais tort, et c'est comme ça que ma première fois avec un garçon s'est passée. À quatorze ans, on se laisse facilement embobiner par les belles paroles des beaux jeunes hommes qui ont quatre ans de plus, un corps déjà bien formé et tout ce qui va avec. Mais pas moi. Contrairement à toutes mes copines, je me sentais prête pour le faire parce que j'en avais envie, et c'est même moi qui suis allée provoquer ce garçon, à cette fête. Il s'appelait Maxim. Il était beau, grand et athlétique et lorsque je suis arrivée, c'est tout de suite lui que j'ai remarqué. Coup de chance pour moi, quelques minutes plus tard il me collait déjà dans une danse sensuelle complètement déchaînée. Une heure après, nous montions à l'étage. Je vous laisse deviner ce qui s'est passé, toujours est-il que nous n'avons pas joué au scrabble. Quatorze ans, certes c'est jeune, mais aujourd'hui encore je ne regrette rien, j'en avais tout autant envie que lui et nous avons passé un très bon moment.

J'ai continué à vivre selon ce mode pendant toutes les années qui m'ont séparée du crash. Je conciliais ma vie scolaire avec ma vie sociale, enchaînant plus de six heures de travail dans le bar d'un ami après avoir subi une journée de huit heures de cours. Etant dans une section scientifique, je ne pouvais pas me permettre d'échouer si je voulais poursuivre des études supérieures, et l'échec n'est pas un mot qui fait partie de mon vocabulaire. J'avais des facilités énormes en cours, je comprenais tout très vite, ce qui me permettait d'arriver aux examens sans avoir révisé et quand même atteindre la moyenne. J'ai enchaîné mes classes ainsi, ne travaillant qu'au strict minimum en classe, et je percevais en même temps le salaire de danseuse et divertissement dans le bar de cet ami qui m'avait engagé au black.

En dernière année de lycée, je faisais la rencontre de William, un jeune homme assez perturbé, déjanté, et tout ce que vous voudrez, mais pas moins charmant. Il devint rapidement l'homme qui partageait ma couche bien qu'il fut d'un an plus jeune que moi. J'avais dix-huit ans, il en avait dix-sept. Sa copine en avait seize mais j'ignorais qu'elle était aussi de la partie. Pour moi, notre relation me convenait très bien ; nous étions attachés l'un à l'autre sans l'être réellement et nous nous voyions souvent pour assouvir notre désir. Au départ ce n'était rien de plus. J'ai commencé à lui faire découvrir des choses dont il ne soupçonnait sans doute pas l'existence, et ça semblait le ravir énormément. Un jour où nous retombions tous les deux, épuisés, sur l'oreiller, il se pencha au-dessus de moi et murmura d'une voix suave : « Je crois que je commence à tomber amoureux de toi. », m'apprit-il. Je ne le pris pas au sérieux et nous oubliâmes tous les deux ce petit incident en plaisantant et rigolant comme des enfants. Il ne pouvait pas y avoir de sentiments entre nous, c'était impossible. Je n'étais pas comme ça. Cela dit, avec le temps et les quelques mois qui s'écoulèrent, je me suis beaucoup attachée à lui - même si j'ai vu d'autres hommes en parallèle - et je me suis jurée que s'il avait besoin de mon aide, en tant qu'amie avant tout, je serais là pour lui.

À l'été de ma dix-huitième année, j'obtins mon diplôme et par la même occasion une offre d'études aux Etats-Unis, dans une fameuse université de médecine. J'ai même perçu une bourse pour subvenir à tous mes besoins, et ni d'une ni de deux, je suis partie là-bas, embarquant William au passage. Je ne savais pas s'il resterait après les vacances, toujours est-il que nous avons vu un bout de pays tous les deux, et au pire nous aurions passé de très agréables moments ensemble. Un jour que nous étions en train de siroter tranquillement un cocktail au beau milieu de Manhattan, à la terrasse d'un café, mon téléphone sonna. C'était ma voyageuse de mère. En direct de Tokyo. « Ok. Pourquoi pas. Oui. D'accord. Je ne viendrai sûrement pas seule. Oui. Prévois pour deux personnes. À bientôt. », et je raccrochais. William me regardait interloqué. « Nous partons en vacances à Tokyo, si ça te tente. ». Il me regarda avec des grands yeux et fut immédiatement emballé par l'idée. Ce ne fut qu'une fois arrivés à l'aéroport qu'il me laissa, valise en main, m'envoler toute seule, mettant un terme à plusieurs mois d'une relation compliquée et épique. D'un côté, il a eu raison, ça lui a sauvé la vie...

• Vie après le crash : « Je me réveille avec un mal de crâne immonde, et je sens une matière atroce me brûler le visage : du sable. Je tente de me relever mais mon corps est faible et je sens qu'il a été abîmé. Je ne peux pas faire de gestes brusques, ça m'énerve vite d'être affaiblie ainsi. Je me demande ce qui s'est passé. Un coup d'oeil autour de moi : une carcasse d'avion, des corps inertes sur la plage. Oui, notre avion s'est bel et bien écrasé. Je soupire, puis m'assieds. Je me sens perdue, j'aimerais paniquer mais je ne dis rien, je reste muette face à un pareil spectacle, je regarde les gens s'affairer de toutes parts et je laisse les autres me demander comment je vais sans leur fournir de réponses. Avec le temps, on se fait à tout. Désormais, j'ai appris à vivre sur l'île, j'ai appris à supporter la compagnie des autres. J'ai appris à survivre, tout simplement. Je ne dirais pas que j'aime cette vie - loin de là - mais tant bien que mal j'ai réussi à faire ce que d'autres n'ont pas fait : la supporter. »
    Relashionship’ :
► Love : Elisa n'a jamais été très douée pour les relations amoureuses, sa plus longue histoire ayant duré un an, mais une année qui fut parsemée de plusieurs coupures puis reprises, une histoire qui au final n'était pas aussi sérieuse qu'elle en avait l'air. Elle a du mal à révéler ses sentiments parce qu'elle les enfouit au plus profond d'elle pour ne pas être atteinte et brisée par ce qu'on appelle l'amour. Mais qui sait, peut-être quelqu'un changera-t-il cette facette de sa personnalité.
► Ex : Elle a eu de nombreuses relations, aussi bien avec des hommes qu'avec des filles, mais jamais rien de bien sérieux. Une fête, une soirée trop arrosée, un ex de plus pour quelques nuits ou quelques jours, et c'est tout. Il faut tout de même noter la présence de William Chet dans sa vie : ils ont commencé à se voir alors qu'il avait déjà une copine, Millie Kingsley, le jeune homme étant d'une année le cadet de la jeune femme. Mais cette histoire n'a pas duré bien longtemps, aucune attache, bien que ce cher Chet se soit engagé dans le sous-marin pour retrouver Elisa, qu'il avait abandonnée dans le hall de l'aéroport ce fameux jour de crash.
► Friends : Malgré son tempérament, Elisa a pas mal d'amis. Avec elle, c'est tout blanc ou tout noir : soit on l'adore, soit on la déteste, et c'est rare que l'on se retrouve entre les deux. Néanmoins, elle sait être là quand on a besoin d'elle et c'est une amie relativement fiable lorsqu'on la connait bien et qu'on arrive à la cerner et la supporter.
► Family : Sa famille est restée sur le Continent. Son père, avec qui elle vivait en Angleterre, est resté dans la banlieue de Londres, et sa mère voyage beaucoup à travers le monde. Elle a un petit frère qui a deux ans de moins qu'elle mais ignore où il se trouve en ce moment.
► Hate : Si Elisa sait bien comment se faire des amis, elle sait aussi se faire des ennemis. Il n'est pas rare qu'elle se fasse insulter de tous les noms mais ça lui passe au-dessus de la tête, elle s'en fiche complètement.


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• Prénom/Pseudo : Fanny / Warphan.
• Age : 18.
• Pays : France.
• Fréquence de connexion [../7] : 4/7.
• Un double compte ? Si oui, qui ? Jason.

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« Destruction leads to a very rough road but it also breeds creation. »
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