•• Every time that we meet I skip a Heartbeat !! {#6.

Feat Hilary Duff	« Hilary Materson Madden » Hum... Je me présente, Hilary Materson Madden. J'ai 21 ans, je suis née le 5 avril 1990. Je suis, ou plutôt j'étais, étudiante. Je suivais deux cursus. Un en stylisme et couture, et l'autre en graphisme et typographie. Et pour arrondir mes fins de mois, je chantais dans un bar à l'angle de ma rue. Depuis le crash, on me dit que je fais partie de ceux qu'on appelle les Rebelles. Je vais à présent vous faire le récit de ma vie. Depuis ce qu'on m'a raconté de ma naissance, jusqu'au moment présent. Je naquis au bout de 7 mois de grossesse. En même temps que ma jumelle dont je n'ai appris l'existence qu'à la mort de ma mère. Nous sommes nées par césarienne, à Los Angeles dans une clinique de banlieue. Hilary naquit donc, pas forcément très très jolie. Après deux mois en couveuse, Hilary avait enfin prit la forme d'un vrai bébé. Ma mère, s'appelait Mary Heatckliff Materson. Mon Père, James Materson. Comme tous les bébés, je gazouillais dans le berceau de plastique transparent de la maternité, avant d'être transférée chez moi, dans un beau berceau en bois ornée de blanc et de rose. Déjà, je fus séparée de ma soeur. Nous n'avions que quelques jours, et déjà on nous éloignait. Elle n'était plus là. J'appris par la suite, que ce qu'avait fait mon père, avait brisé le coeur de ma mère, la séparant de la chair de sa chair, d'un petit bout d'elle, et aussi en quelques sortes, d'un petit bout de moi, et que dès ce jour là, l'amour qu'avait éprouvé ma mère à son égard s'était brisé, ou plutôt sublimé, en haine. Je grandis alors, peu à peu, pas à pas dans la résidence de mes parents. A six mois, mes premiers pas à quatre pattes firent la fierté de ma mère. Un mois plus tard je prononçais mon premier mot qui fut : Putan... En effet, à chaque fois que mon père me posait sur la table à langer il disait "Eh putan !!! J'avais deux ans quand je rentrai dans une école bien chic de LA. Je ne savais pas encore dire grand chose, a part 'putan', 'maman' et mon prénom, que je prononçais plus comme 'Hily' que comme Hilary, surnom qui me resta alors, dans la bouche de ma mère. Je ne parlais jamais de mon père qui ne s'occupait presque plus de moi. L'été suivant, mes parents se disputèrent très violemment. Leurs principes d'éducation n'étaient pas tout à fait les mêmes. De plus, la personne qui me servait de père voulait déménager à New-York. Ce fut le jour d'une grande première. James Materson, mon 'père' leva la main sur ma mère. J'ai encore quelques flash malheureux de ce moment, j'étais recroquevillée dans un coin, derrière ma mère. Je vois encore très nettement celle-ci se prendre un coup, et me tomber dessus. Je pleure très fort, et comprends la phrase qu'elle prononce, menaçante : « C'est la première et la dernière fois ». Le lendemain, Maman n'était plus là. Je me retrouvait seule avec mon père. Elle revint quelques jours plus tard avec des papiers. J'ai compris par la suite qu'elle lui avait demandé le divorce. Ils comparaissèrent alors devant le juge, et la garde revint à mon père la semaine et à ma mère le week-end, et les vacances, car abandonner la maison dans laquelle habite son enfant est un motif à la suspension de la garde. La semaine suivante mon père nous fit déménager, loin de Maman. C'est cette dernière qui m'apprit à lire. J'arrivais au CP avec un an d'avance. J'étais plus mature que la plupart des enfants de mon age, et je le reste, de par mon passé tumultueux. A cette époque la on repéra chez moi, un problème de vue... Je me coltinerai désormais une paire de lunettes. Le 23 mai 1997, ma mère est mourru d'un cancer du poumon. Elle n'avait jamais fumé. Je l'avais vu la veille. Ce jour-là, elle m'avait confié son plus grand secret. J'avais une soeur jumelle. Elle me transmit les papiers témoignant de son adoption, et ses notes concernant son parcours selon l'enquête qu'elle avait elle-même menée, et me fit jurer le plus grand secret. Je cachai ces documents à mon père, et depuis ce jour-là, mon père ne su plus rien de ce qui se passait dans ma vie, il ne voyait de mon travail à l'école que les bulletins scolaires à la fin des semestres. Nous étions installés à New-York. Ville que je détestait, parce qu'elle m'avait séparée de ma mère. Et je ne parlais plus. J'avais décidé que mon père ne méritait pas que je lui parle. Il m'a alors plusieurs fois menacée de m'envoyer en hôpital psychiatrique, mais rien n'y fit, je ne lui parlais pas, je ne le regardais pas. Pour moi, il n'existait pas. C'était lui qui l'avait tuée. Quelques mois plus tard, je perdis l'appétit. Je ne mangeais plus. J'avais à peine huit ans, quand il me fit interner. Comme je commençais à me remettre de mes émotions, on me permit de sortir. Je ne lui adressais toujours pas la parole, mais je mangeais de nouveau. Mais ce fut de courte durée. J'avais neuf ans et deux mois. Nous étions en voiture, et mon père percuta un arbre. Il avait trop bu. A l'arrière, je me cognait contre le fauteuil avant, et un poids, lourd, très lourds s'abattit sur moi. Je ne pus résister, et sombrai. Je sortis trois semaines plus tard de mon état comateux. Une jambe serrée dans un plâtre, fracture du tibia, et deux cicatrices encore fraiches, au poignet, et sur le front. On m'apprit dans la journée que j'étais orpheline. Je refusai l'information. Mon père n'avais jamais été à un rang très élevé dans mon coeur, mais à cet instant, je ressentis tout de même un profond manque. Le médecin respectant ma tristesse, me laissa seule, et quitta la pièce, ce fut une erreur, parce que profitant de son absence, je sortis de ma chambre en claudiquant à cause de mon plâtre surmontant la douleur qui m'en montait. Dans la salle de soins la plus proche, il n'y avait personne. Je fouillai alors dans les tiroirs, et sortis un scalpel, je le regardais, sinistrement, et tentai de m'ouvrir les veines, mais à peine avais-je dessiné deux entailles sur mon poignet gauche, que deux infirmières entrèrent dans la pièce. Une m'attrapa la main qui tenait le scalpel, l'autre s'empara de mon autre bras. Elles me firent lâcher l'instrument, et me bandèrent le bras gauche, pour stopper l'hémorragie. Je ne pourrai jamais les remercier pour leur geste, et pour m'avoir sauvé la vie. Mais cet incident, m'assura un deuxième séjour au département psychiatrie de l'hôpital. Ici, au milieu d'autres enfants atteints de psychose, je me développais, appris à surmonter ma peur de la solitude, et le manque profond que mes parents décédés avaient laissé en moi. Au bout de quelques temps, Je fus sorties du département psychiatrique. J'avais dix ans. J'avais beau être sortie de là, je n'étais pas soignée, je voyais des choses. Souvent, lorsque je touchais une personne pour la première ou la dernière fois, j'avais un flash, qui n'avait pas toujours de rapport avec cette personne, mais des souvenirs qui remontaient. Je fus à ma sortie, envoyée dans un orphelinat. Je n'y restai pas longtemps, puisqu'un mois et demi plus tard, on me convoqua dans le bureau de la directrice, et on me présenta deux adultes, Monsieur et Madame Madden. Après les démarches d'adoption, voici qu'on m'appelle : Hilary M. Madden. En effet, j'avais refusé qu'on m'enlève la dernière chose qui m'unissait à ma mère, le nom que mon père nous avait donné. Dans cette nouvelle famille, une soeur de deux ans, Octobber. J'habitais à cette époque au Japon. Les Madden étaient de passage sur New-York lors de l'adoption. Au collège on m'enleva tous les appareils et outils qui servaient à m'améliorer la vie, les lunettes et l'appareil dentaire furent désormais inutiles. Rien d'extraordinaire ne s'est produit pendant ces quatre années de ma vie. Je n'étais certes pas dans les plus calmes, mais je n'étais pas non plus LA fouteuse de m***. Je fus inscrite par mes 'parents' dans un lycée américain implanté au Japon. Tout s'y passait de la même manière et tous les lycéens ou presque étaient américains. Pour mes seize ans, mon cadeau parental fut une bague en argent incrusté d'un coeur de rubis. Ce cadeau était magnifique, mais mes activités sportives ne me permettant pas de porter de bague au doigt, je la portais autour du cou. En ce début d'année de 11th grade, Shelby Colmins, LA garce du lycée, vint me voir, moi, petite tâche sur son territoire de chasse, et sur sa réputation (Je dois avouer que je n'avais jamais été très tendre avec ce genre de fille...). Elle vint me voir, donc, et me proposa un défi. Celle qui perdrait le défi n'ouvrirait plus la bouche devant l'autre, et ne la critiquerait plus en public. Le défi, était de devenir la Miss du lycée. Je relevai le défi. Pendant les deux mois qui nous séparaient de l'émission, je n'ai rien fait de plus que de mettre mon nom sous le sien sur la liste de candidature, et de voter pour moi à l'élection. Elle était certaine de sa victoire, et moi aussi. Ce que je ne savais pas, c'est que ma meilleure amie Ashlee avait menée une campagne discrète, dans mon dos, et dans le sien. Lorsque les résultats furent annoncés, nous étions tous réunis dans la grande salle du lycée, et nous portions tous des vêtements classes, mais à chacun sa définition du classe. Je fus élue Miss. On me donna un coup de coude, et on me poussa sur l'estrade, le présentateur qui n'était autre que le plus populaire des gars du lycée me prit la main pour m'attirer vers le centre de la scène. Tous étaient surpris, et pensaient avoir été le seul à voter pour une inconnue qui se présentait face à la reine du lycée quatre fois d'affilée. On me mit la couronne de Miss, et la ceinture. Juin de la même année, après pas mal d'heures de colle, et des devoirs supplémentaires, des expulsions pour un jour ou une semaine, et trois convocations urgentes des parents, j'obtins mon semestre non sans facilités. Le lendemain de l'annonces des résultats, le petit ami de Shelby vint me voir et m'insulta. Pour quelles raisons ? Je n'en avais aucune idée, et je n'en ai toujours pas. Bref, je ne me laissais jamais faire, et comme d'habitude, je répondis, et touchai juste. Mais la réplique fut cinglante et physique. Son poing s'abattit durement et violemment sur ma tempe. Sous le choc, je me sens atterrir par terre contre le muret de pierre. Et devinez qui vient me relever et me défendre ? Shelby Colmins elle-même. Et c'est la rupture en direct. Elle ne restera pas une minute de plus en couple avec un mec qui lève la main sur une fille. Ah ! Qu'elle est belle la solidarité féminine ! Mais de courte durée. Arrive le 22 février 2006, où la police vient à mon domicile, et m'arrête pour braquage de banque. C'est mon père qui plaide mon innocence, et coup de chance le soir du braquage, la veille, je les avais accompagnés au cinéma, malgré mon habitude à décliner leurs invitations. Mon père arriva& avec les pièces à conviction. On avait même interrogé la caissière, et le vendeur de friandises qui confirmaient m'avoir entraperçue au cinéma la veille. Je m'en tirais indemne, et mon casier judiciaire vierge. Avec un an d'avance je retourne donc à New-York pour mes études, mais surtout en Amérique pour tenter de retrouver ma soeur jumelle et lui avouer toute la vérité. Je n'avais en effet, jamais oublié son existence, et tous les soirs, je relisaient les notes de ma mère, je connaissais par coeur tous les mots inscrits sur les feuilles de papier blanc. C'est en septembre 2007 que commença ma vie en indépendance. Mes parents m'envoyaient certes de l'argent pour m'aider, mais je devais me débrouiller pour payer une bonne partie de mon loyer, et de quoi vivre toute seule. Multipliant les petits boulots, tout en suivant mes cours en fac. Mon double cursus de couture et graphisme ne me laissait pas énormément de temps pour exercer mes petits emplois. J'avais trouvé un poste de serveuse dans un Milkshake bar de 15h30 à 19h, le Chocolate.Spray, un poste de serveuse dans un restaurant de 20h à 01h les Lundi, Mardi, Jeudi, et Vendredi, le Lutece, et j'occupais mes autres soirées (Mercredi, Samedi et Dimanche) en chantant au Weekly.Irish.Pub, de 20h30 à 02h30. Je n'avais pour bosser mes cours et m'amuser que mes jours de congés que je pouvais parfois me permettre de poser, et les matins et début d'après-midi des Samedi et Dimanche. IL (LE populaire de l'université, celui pour lequel toutes les filles craquent) entra un jour pluvieux de septembre dans un bar qu'il n'avait jamais eu l'occasion de tester, le Chocolate.Spray, le milkshake bar dans lequel je travaillais. Je pris sa commande, et quand je revins lui mener sa boisson, il me demanda : - S'est-on déjà vus ? - Non, jamais... Je savais trés bien qui il était, et pensais qu'il utilisait cette approche, afin de sympathiser avec moi, et de pouvoir m'ajouter sur la liste de ses conquêtes. Mais à cet instant, le jeune homme avait été trés sincère, en effet, il n'avait jamais réellement été celui qu'il prétendait être à l'université, il ne jouait ce rôle que pour ce faire accepter et ne pas faire tache, mais je n'en savais rien. Il n'ajouta rien, et s'en alla en fin d'après-midi, sans un mot de plus, mais la semaine suivante, le même jour, à la même heure, il fit son entrée. s'assit à la même table, et commanda la même chose, puis quand je vins lui apporter son Milkshake Chocolat-Banane-Vanille-Cannelle-et-supplément-de-Chantilly, il m'attrapa le poignet comme il l'avait fait la semaine précédente, et dit : - Je suis certain de t'avoir déjà vu. Je lui souris faiblement, me dégageai, et m'en retournai derrière mon comptoir. Il m'avait remarqué à l'université, je le savais, il avait même croisé mon regard. Il répéta cette comédie tous les mardi à 15h06 il entrait, commandait, et me parlait. Le deuxième Mardi de décembre, il commanda deux boissons, son habituelle, et une qu'il demanda à mon goût à moi, pour tester (soit-disant). Quand je les lui amenai, il me demanda de m'asseoir. Je commençai par protester, mais il me persuada en m'apprenant qu'il en savait beaucoup plus sur moi que je ne semblais vouloir le croire. Je m'assis intriguée. Il commença à me raconter à moi, ma propre vie, sous un angle de vue différent, et trés objectif. - Tu es Hilary Alys June Materson Madden. Tes amis t'appellent Hily, mais tu n'en as pas énormément. Ici, personne ne connait ton passé, mais tu sembles troublée. Tu habites seule dans la 83ème rue Est entre Madison et Park avenue. Tu travailles pour te payer tes études, et de quoi vivre, ici, dans le Lutece, et au Weekly Irish Pub. Tu trimes pour pouvoir suivre ton double cursus. Et certaines rumeurs laissent entendre que tu aurais déjà séjourné dans un hôpital psychiatrique. Choquée par le savoir qu'il possédait à mon propos, je me levai, et retournai derrière mon comptoir sans dire un mot. Il n'insista pas. Le mardi suivant, il revint mais ne me parla que pour me commander la même chose : deux boissons. Il ne me pria pas de m'asseoir avec lui. Et ceci dura jusqu'en février. Puis, le dernier mardi de Février, je m'assit avec lui, et lui fis un récit détaillé de ma vie. Puis sans qu'il n'eut le temps de dire quoique ce soit, je m'en allai. Le mardi suivant, je s'assis, avec nos deux boissons avant qu'il ne les commande, et il se confia à son tour. Il me raconta tout sa vie, du début à la fin, comme je l'avais fait, sans tabous, ni censure, et il me confia ses plus grands secrets, notamment le fait qu'il n'aimait pas qui il était à l'université, et que le vrai lui ressurgissait en ma compagnie à moi. Nous nous étions enfin parlé, nous avions enfin fait connaissance, et nous nous entendions à merveille. Nous nous voyions aussi à l'université, et il se détacha de plus en plus de la bande populaire, et il fut pour cela insulté et méprisé, mais il préférait rester lui-même en ma compagnie, que de jouer un rôle en leur compagnie. C'était mon meilleur ami, et rien ne nous séparait. Sa petite amie tenta de nous séparer. En effet, certaines rumeurs couraient. Il passait plus de temps assis à discuter avec moi qu'avec sa propre copine. Elle rompit, mais cela ne lui procura aucun chagrin, il s'en accommoda fort bien. Avec tout-ça, je n'avais pas eu beaucoup de temps pour chercher ma soeur, mais pendant des vacances de pâques ou je recréais le parcours de ma mère et tentais de le continuer, je saisis l'annuaire, et cherchai tous les numéros correspondant à Evans, se trouvant à New-York. Je les appelai un à un pour savoir si l'une de ces famille avaient une fille du nom de Katty. J'en trouvai deux, et posant quatre jours de congés, je pris le temps de les filer. Je passais la première matinée à pister l'une des deux, mais elle ne me ressemblait en rien... L'après-midi, je suivis la deuxième. Blonde, athlétique, de la même taille que moi, elle me ressemblait assez. J'en déduisis que c'était elle. J'avais retrouvé ma soeur, ma jumelle, ma deuxième moi. J'en étais heureuse, et mon coeur se mit à battre plus fort, manquant parfois un battement. Je la suivis toute la journée, et le deuxième jour aussi. J'observais ces attitudes, ces habitudes, et me retrouvais parfois dans certains gestes, certaines mimiques. Un moment, elle tomba, et J'allais me précipiter sur elle pour l'aider, mais mes jambes se mirent à trembler, et je me rassit sur ma chaise à un terrasse de bar. J'avais ressenti sa douleur. Notre lien avait-il permit une certaine liaison ? Je me posais des tas de questions, que j'aurais voulu partager, mais voilà, je n'en avais pas la force. Désormais, je savais déjà ou elle habitait, et ce à quoi elle ressemblait. C'était un poids en moins sur ma conscience. En Mars de la même année, mon père me demanda si je les rejoindrais pour les vacances ou non. J'acceptai. Mais à la fin de l'année, on me propose un projet de stylisme, pour fin octobre, celui-ci pouvant m'aider grandement dans mes études, je saisis l'opportunité, et me fixe un stade à atteindre avant mon départ pour Tokyo. Mais il s'avéra que la semaine précédent mon départ, je n'avais pas encore terminé ce que je voulais. Je repoussai alors mon départ d'une semaine pour avoir assez de temps pour terminer. Le jour du départ, Je me lève, heureuse de retrouver ma famille après cette année vécue au dehors. IL m'accompagna à l'aéroport, me serra trés fort dans ses bras, me chuchotant quelques mots à l'oreille : - Reviens-moi vite ! tu vas me manquer. Ce à quoi je répondis : - Tu me manqueras aussi !! A dans quinze jours ! [ Cette attente fut plus longue que prévue, et dure encore. Les quinze jours se sont transformés en un mois, puis en deux, puis un an, et bientôt, trois années se seront écoulées. ] Je montai donc dans l'avion euphorique. Comme à chaque fois qu'on monte à bord d'une de ces machines volantes, une hôtesse me prit mon ticket et me montra la direction à prendre. Noooon !! Sans blague, Je ne devais pas aller dans l'autre sens, genre, reprendre la passerelle, et faire le trajet à l'envers ?? Bref ! Je m'assis à côté d'un jeune homme aux yeux clairs plutôt nerveux. Après quelques minutes, l'avion décolla, et nous nous envolâmes vers Tokyo. Durant cette traversée, l'hôtesse me proposa des boissons. Je pris un café, et lors d'une petite secousse, je le renversais sur moi et mon voisin. Après une longue liste d'excuse prononcées à son intention, je lui proposais d'aller détacher tout ça aux toilettes avant que ça sèche et que ça ne devienne indétachable. Il accepta, et me proposa sa chemise de rechange, j'acceptais. Lorsque nous arrivâmes dans les toilettes, je me rendis compte à quel point ma proposition pouvait paraître... déplacée, diront nous. Il ne devait pas être beaucoup plus agé que moi, et je ne le connaissais pas. Dans quoi m'étais-je embarquée... Mais soudain, une secousse eu lieu, et d'autres enchaînèrent. Elles ne s'arrêtaient pas. Et je vécu le crash, coincée dans les toilettes, avec celui qui s'appelait je l'appris plus tard : Brendon Evans. Bref ! Après le crash, ma vie fut à nouveau pleine de péripéties. Je fis la connaissance d'une certaine Addie, avec qui je passais énormément de temps. Je l'appréciais beaucoup, mais je l'ai perdue de vue, il y a de cela un peu plus d'un an. Elle m'avait opérée d'une infection de je ne sais trop quoi au niveau de l'appendicite... A cette même période, Susie Lewis était devenue ma grande amie, que j'eu eu l'occasion de revoir régulièrement. Ma relation avec Lizzie était pour le moins énigmatique. Je l'avais rencontrée à l'occasion d'une ballade sur les falaises. Kate, était une de celle avec qui elle avait passé des moments très mouvementés. Après nous être faites coursées par un sanglier, nous nous étions en effet réfugiées dans un arbre. Tina était devennue ma petite protégée, Je l'avais trouvée en larmes au fond de la chappelle, cherchant après ses parents décédés pendant le crash, et je comprenais sa douleur. Et Susie, m'avait présentée à sa fille, Grace. J'avais rencontré des tas de personnes, vécu une histoire d'amour avec un certain Michael Parker, dont je ne suis pas sortie indemne. Il avait perdu la mémoire, et ne me reconnaissait plus, j'ai lâché l'affaire, bien qu'un mariage avait été envisagé entre nous... Mais j'avais dix-huit ans, et j'ai rompu nos fiançailles, j'avais peur, mais l'aimais atrocement. Sa perte de mémoire, me fit l'effet d'une gifle. Et je n'essayai même pas de lui rappeler qui j'étais. Je ne le revis plus. Un ou deux autres attirèrent mon attention, mais pas plus que ça. Mon amour perdu m'avait bléssée au plus profond de moi-même, et celui qui gagnerait mon coeur aurait à le panser avant de s'en emparer. Sur l'île, j'ai retrouvé des membres de ma famille, que je ne m'attendais pas à voir, puisque j'ignorais tout d'eux, jusqu'à leur existence. Evan, Benji et Sybille étaient mes frères et soeur d'adoption. J'y ai aussi retrouvée Katty, à qui j'ai enfin pu révéler mon existence, et ses vraies origines. Mes affinités avec Katty se sont considérablement développées, et je n'imaginerais pas de vivre sans elle. C'est désormais à la vie à la mort, et s'il s'avérait qu'elle aussi m'abandonne, comme l'ont fait mes parents, je jure, que je mettrai fin à mes jours, et que quoiqu'il lui arrive, je la rejoindrai. .Love U.
« Passport » • Family Name : Materson Madden • First names : Hilary June Alys • Current name : Hilary M. Madden • Birthdate : 05.04.1990 • Birth location : Los Angeles • Residence : New-York • Job : Student . Barman . Singer

Si je devais me décrire physiquement, je dirais que je suis plutôt grande, mais quand même plus petite qu'un homme de taille moyenne. Blonde, ou autre, selon mes colorations, et mes yeux sont marrons avec quelques reflets verts selon la lumière. En me regardant sur des photos, je peux constater que j'ai des formes plutôt harmonieuses, et je suis sportive. J'ai quelques cicatrices ou autres qui permettent de m'identifier... Une cicatrice en haut à droite du front, une verticale sur mon poignet, et deux autres verticales sur ce même poignet. Je me suis fait faire un tatouage peu avant de partir, quelques mois seulement. Une guitare reliée à un micro sur ma hanche droite.

Comme tout le monde, je pense avoir des qualités et des défauts. On m'a souvent décrite comme enjouée, compréhensive, dévouée, attirante, jalouse, maladroite, TRES maladroite, craintive, optimiste, généreuse, hypersensible, travailleuse, sportive, bavarde, et je dois rajouter, que j'ai horreur le premier contact physique avec une personne, ne serait-ce qu'un frôlement, parce que ce premier contact était pour moi, différent. J'ai aussi quelques petites manies. Quand je suis embarrassée ou stressée, j'attrape une mèche de cheveux, et je la tournicote entre mes doigts, tout en me mordant la lèvre inférieure, et c'est plus fort que moi. Je bégaye aussi au moindre embarras, rougis très facilement, et je danse et chante sans arrêt.

« La mort est un état de non-existence, . . . . . . ce qui n'est pas n'existe pas, . . . . . . donc la mort n'existe pas » • Prénom/Pseudo : Jeanne • Age : 18 ans en août • Pays : France • Fréquence de connexion : [7/7] • Combien de lignes en moyenne en rps ? 30 lignes ou plus. • Ton opinion sur le forum : Fourmidiable !! • As-tu un double compte ? Si oui, qui ? Nop' • Aimerais-tu être mieux intégré au fow' par un Parrainage ? Nop'

bienvenue =D
J'aime ta fiche et encore plus l'actrice !!

Haaan Hil', ta fiche est trop bien han

Bonne continuation parmi nouuus, princesse #22

Bienvenue sur TI!
Ta fiche est juste sublime =) <3

TGV ~ Meurchiii c'est gentil . Moi n'aussi je l'aime Hilary Duff !! Ca fait trois ans que j'la tiens, et je la lâcherai pas !!!

Logiciel de mon coeur ~ C'est gentil tout plein !!! Surtout que ce compliment venu de toi compte double !! .
Princesse ? Ca aussi c'est tout mimi !!

Aurore ~ Merci c'est gentil !!

fais gaffe elle risque de s'envoler cache

Oh une Madden de plus! loove

Welocme! C'est vrai que miss H. est super :lèche:

C'est pas plutôt Re ? ^^"
* comprends pas tout xD *
Bref : Welcome !! Smile

Siiii, Nate, c'est RE, parce qu'Hilary elle a toujours été lààà ! han

Elle refait juste une nouvelle fiche danse

TGV ~ Nan, nan, crois moi !!

Océ ~ Merci !! ^^

Nate ~ Si, si, c'est 're' xD. J'fais juste ma sixième fiche, j'avais des choses à mettre à jour, et puis ça me permet de prendre un nouveau départ pour l'été !! ^^

Logiciel d'mon coeur ~ Vi j'ai toujours été là, et je s'rai toujours là (du moins c'bien partit pour xd). En tout cas c'qu'est sûr, c'est que tant que certains seront là (comme toi), je resterai !! (<- J'vais t'attribuer c't'émoticone xP).

Tinouchou ~ Merci c'est gentil, j'ai galéré avec les codes, j'en avais un de base, mais après il a fallu que je me penche plus particulièrement sur ce qu'était le CSS avant de comprendre comment ça marchait xP. J'me suis rentré tout ça à coup de marteau dans le crâne . C'est tout chou c'que tu viens d'dire !! ^^ Quand je disais à Jason, qu'il faisait partie des gens pour qui je reste, je peux te garantir que tu en fais partie aussi. Parce que Tina, c'est un rayon de soleil dans la misère, une petite fleur au milieu des ronces, un pétale de rose au milieu des épines, et une joyeuse gamine qui nous r'monte le moral. Mais par dessus tout, une personne avec qui il est agréable de RP, et de discuter (de ce que j'en ai vu). Toujours attentive, je n'oublierai jamais que tu t'es déjà pliée en quatre pour moi Ce que tu viens de dire pour moi, et entièrement valable pour toi, voire plus !! JE T'AIME TINA !!!

Hilary qui fait sa rebelle Razz

Elle est superbe ta fiche <3
Rebienvenueeeee parmi nous coeur2

Mdr! Sixième? xD Wahou! Bref, amuse toi bien ! Smile

* veux un lieeen !!!! *

•• Every time that we meet I skip a Heartbeat !! {#6. Herz

Pomme ~ Merci c'est gentil !! Moi rebelle ? point du tout xD .

Nate ~ Ouais, sixième, en moyenne, une tout les six mois xP
Un lien ?? Pas de soucis !! J'vais mettre ma fiche de liens à jour, et on se f'ra ça !!

Milo ~ Merrrrciiiiiii !!! C'est gentil