» Apple McAdam " ❝ Regular. × My new Life is here ❧ ❞ × Ma Célébrité : Troian Bellisario × Nombre de messages : 1720 × Age du perso : 24 ans × Job : vendeuse dans un supermarché × Côté love : Personne pour le moment. Intéressé ?
| (#) Sujet: Leelou - le cinquième élément *.* - Terminé Mer 2 Juin - 22:25 | |
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What about me ;Leelou A. Jensen ;; Feat Isabel Lucas • Age, Date && Lieu De Naissance : 8 avril 1987 à Melbourne (Australie) • Métier avant d'attérir sur l'île : Pianiste • Ma p'tite catégorie : Les rebelles • Un signe particulier ? Elle était aveugle avant le crash à la suite d'un accident de voiture. Lors de son arrivée sur l'île, elle s'est cognée fortement la tête sur le sol la laissant inconsciente plusieurs heures. Après quoi, sa vue lui fut rendu. • Qualités : Généreuse ♦ calme ♦ mystérieuse ♦ patiente ♦ rêveuse ♦ sincère ♦ sportive • Défauts : Introvertie ♦ malchanceuse ♦ franche ♦ possessive ♦ fragile ♦ sauvage ♦ influençable ♦ solitaire ♦ • Manies : Lorsqu'elle est stressée, Leelou tremble • Post prédéfinis ou non : [] Oui - [X] Non • Pourquoi ce perso/avatar ? : Isabel Lucas je l'adore. J'ai découverte cette mannequin/actrice depuis qu'elle jouait un petit rôle dans Transformers 2. J'aime bien sa philosophie, sa manière d'être, son style un peu décalée (elle aime s'habiller et se coiffer comme dans les années 60 xd)
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• Physique : Que signifie réellement le mot « beauté » ? Décrit-il mon visage, mon corps ou bien mon esprit ? Est-ce une vision déformée de la réalité dorant mon image comme celle d’une exquise peinture ? Je ne ressemble à aucune autre jeune fille pourtant mon visage reste quelconque, non que je sois dénuée de tout charme apparent, seulement je ne suis pas aussi jolie que ces femmes grandes, aux proportions parfaites, à la peau si irréprochable qu’elles semblent tout droit tirée d’un magasine. Leur démarche est élégante, leurs paroles sensées, leur regard équivoque. Je ne peux me plaindre de mon apparence mais à mes yeux, le savoir à bien plus valeur que ma silhouette blonde. Du haut de mon un mètre soixante cinq, le monde me paraît bien immense. Mon visage reste inexpressif ayant perdu ma joie de vivre. La vie me semble vide depuis l’accident. Mon âme est aussi transparente que du verre, aucunes émotions ne passent inaperçues, mon visage se charge d’en faire la traduction instantanément. Vous trouverez cela trop honnête mais les réactions de mon corps sont parfois incontrôlables. Ma petite frimousse, ovale, à était épargnée par les imperfections, ma vie ne s’est donc pas transformés en cauchemar lors de mon adolescence. Mon plus bel atout reste ma longue chevelure couleur blonde chatoyante, soyeuse, ondulant le long de mon dos pour s’arrêter au creux de mes reins dans une danse infernale. Mes yeux sont d'un bleu éclatant, presque turquoise, a la limite de l'hypnotisant, régulièrement maquillé par un petit coup de crayon très léger et de mascara afin de rendre mon regard bien plus attractif. Geste futile ? J’en conviens parfaitement. J’accepte ma féminité, ses qualités, ses défauts. J’accepte mon apparence physique, style vestimentaire classique aux couleurs pastelles afin de scier au mieux à la couleur de ma peau, aux baskets confortables me permettant de me déplacer plus facilement sur le sable fin. D’après vous, ma beauté aussi commune soit-elle, ne mériterait-elle pas d’être constatée d’un peu plus près ?
| • Caractère : « Les âmes les plus complexes sont les plus simples à comprendre. La délicieuse Leelou pourrait être comparée à une douceur sucrée, acidulée comme un bonbon multicolore au cœur onctueux. » En tout premier lieu, sa couverture brillante, attire les regards. Cette petite blonde au tempérament de feu et au caractère bien trempé vous séduira certainement par ce côté frivole mais surtout par son physique de poupée de porcelaine pailletée. Cette petite chose fragile en apparence, réclame une attention toute particulière par vos soins. Certain se risque à s’approcher de plus près de la demoiselle sans prendre d’autre précaution que leur détermination à devenir son ami ou son ennemi. Qu’importe son titre à leur égard, elle restera graver dans l’esprit de ceux qu’elle côtoie chaque jour. Lorsque ce joli papier coloré laisse place au bonbon dur multicolore et acidulé, la personnalité de la jeune fille ressort sans conteste. Ce bonbon aux couleurs arc en ciel réserve bien des surprises. Sauvage, elle refuse de se faire approcher de trop près par les survivants, par manque de confiance et également par craintes de leurs réactions. Parfois acide, son esprit refuse toute gentillesse surtout venant d’être dont elle ne connaissait rien. Son visage reflète ses émotions les plus fortes mais jamais vous ne la verrait en perdre le contrôle. Vous la trouverez souvent seule, vacant à ses occupations sur la plage mais il lui arrivera parfois de vous apporter son aide en toute générosité. Difficile de croire que derrière cette force de caractère, ce mordant et surtout ses allures de jeune fille sauvage, se découvre une jeune fille fragile. Les peurs qu’elle ressent sont dues à son passé, un passé qu’elle s’efforce d’oublier. Par moment, des flashs lui reviennent à l’esprit, sans crier garde, dès lors qu’un mot ou une expression déclenche la remontée de ce souvenir douloureux. Dans ses moments là, elle part quelques jours se terrer dans les bois, à la recherche de solitude pour éviter de commettre l’irréparable.
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• Pourquoi ai-je pris ce vol pour Tokyo ? : L’un des membres de sa famille lui remis une enveloppe comprenant un billet d’avion pour Tokyo. Un cadeau qui fut cotisait par l’ensemble de ses parents afin qu’elle puisse voir de grands spécialistes qui venaient de terminer des essais concluant et lui permettraient peut être de voir à nouveau. Bien sur Leelou n’était au courant de rien sinon, sans aucun doute, elle l’aurait déchiré sans jamais s’y rendre. Le seul prétexte valable fut de lui annoncé un concours réservé aux pianistes qui lui permettraient peut être de remporter un prix.
• Mon passé avant de prendre l'avion : « Ne faut-il pas commencer par se haïr, lorsque l'on doit s'aimer. » Friedrich Nietzsche
L’histoire débuta par de petits yeux ronds et bleus qui regardaient le monde avec une envie de découverte et la peur au ventre d’une visite surprenante d’un nouveau monde qui s’offrait à elle. Un monde mystérieux comportant de nombreux visages dont ceux de ses parents, Hellena et Davis Jensen. Ils venaient tous deux de décrocher leur premier emploi à plein temps afin de construire leur nouvelle famille. Dès ses cinq ans, l’enfant présenta une certaine aptitude à l’écoute et choisit de jouer d’un instrument de musique, le piano. Cet instrument disproportionné, comparé à sa taille microscopique, l’émerveillé. Ce son à la fois aiguë et mélodieux lui donnait l’envie de jouer à son tour mais malgré les années, il s’avérait que sa passion ne convenait pas à son apprentissage. Les erreurs se multipliaient et bien vite ses camarades se détachaient du lot... Chaque été, les Jensen partaient en destination de Mackey afin de rendre visite à ses grands-parents tout en profitant de paysages différents de celle de sa ville natale. Au mois de décembre (été en Australie) de l’année de ses huit ans, la famille prit la route vers cette même destination, chantonnant de vieux tubes dans une voiture au format familiale et confortable. L’enfant jouait gaiement avec sa nouvelle poupée achetée exprès pour l’occasion afin qu’elle puisse s’occuper le temps de rouler les centaines de kilomètres qui les séparaient du point d’arrivé. La nuit tomba laissant les grandes routes désertiques sans illumination, seul les phares de la voiture leur permettait de voir ce qui se trouvait devant eux. Mais nul n’était à l’abri d’une surprise. Un homme qui conduisait un ancien modèle de couleur noire conduisait sans lumière pour la bonne raison qu’elles venaient de lâcher. Impossible de le repérer dans la pénombre, la famille continuait sa route. L’homme quelque peu ébréché ne prenait pas garde aux visiteurs et finit par couper la route des Jensen, percutant l’avant de la voiture. Juste ces quelques centimètres suffirent à faire tourner la voiture familiale avant d’entamer une série de tonneau. Davis détacha aussitôt la ceinture qui le protégeait pour sortir du véhicule. Il présentait des coupures au niveau de sa main et une entaille au niveau du front. Cet homme, même en état de choc, chercha à aider sa femme et sa fille. L’enfant était inconsciente, à l’arrière du véhicule. Rapidement, il appela les secours avant de s’engouffrer de nouveau dans la voiture. Il détacha son épouse et la tira à l’aide de ses forces restante pour qu’elle regagne l’air extérieur. Il restait encore leur petit ange qu’il pensait endormit, toujours vivante mais comportant une blessure sanguinolente à la base de son crâne. L’homme reprit le même chemin, tremblant de la voir ainsi et également par les nombreuses douleurs violentes qui le prenaient par intermittence mais quoiqu’il lui arrive il ne la laisserait jamais loin de lui… Les secours mirent pas moins d’une demi-heure à les rejoindre en hélicoptère pour les amener à l’hôpital le plus proche. Au final, les parents n’avaient que des blessures superficielles et une contusion dû au choc mais leur fille, elle, est restée dans le coma durant une semaine avant d’ouvrir les yeux sur un monde assombri. Leelou avait perdu l’usage de la vue. Ses médecins annoncèrent la nouvelle à Hellena et Davis avançant que ce phénomène pourrait disparaître avec le temps, que son état était dût au choc. Malgré tout, la jeune fille n’était plus la même. Son monde venait de changer et certains de ses sens augmentèrent comme le son. Ce handicap ne l’empêcha guère de continuer la musique, il lui suffisait en premier lieu d’apprendre chaque son de chaque note puis de placer ses doigts. Sa mémoire se chargerait du reste. Et si Leelou voyante n’excellait pas dans le domaine de la musique, aveugle c’était une autre histoire. Avec les années, elle grandit dans un univers sans visage et sans forme se basant uniquement sur ses souvenirs, pourtant elle se débrouillait seule, à l’aide d’une canne en guise de radar et de ses oreilles pour éviter tout risque d’accident. Il lui était bien évidemment proscrit certaines activités comme la conduite, les sports nautiques. Lorsqu’elle fut en âge d’étudier à l’université, elle choisit d’étudier loin de sa famille, à New York avec des professionnels bien moins indulgents que ceux qu’elle avait rencontrés. Quoiqu’il soit, elle vivait dans un petit studio en plein cœur de New York avec pour métier de jouer des morceaux dans un restaurant gastronomique pour accompagner les repas des célèbres/riches individus de la ville. Ce métier payait suffisamment pour qu’elle survive par ses propres moyens même si, de temps en temps, il lui fallait l’aide d’une assistante pour remplir les papiers administratifs ou autre paperasse qu’il lui était difficile de combler. Au fond, elle se détestait.
| • Vie après le crash : A la suite du crash, Leelou se cogna fortement la tête sur un arbre, la laissant inconsciente quelques heures. L’un des médecins à bord de l’appareil et toujours en vie, l’examina. Lorsque ses yeux s’ouvrirent une lumière aveuglante l’obligea à les refermer de nouveaux. Puis de nouveau, elle laissa ses paupières se relever laissant devant une vision floue mais toutefois colorée de son nouvel environnement. Aussitôt, elle prit peur, cria et chercha à se reculer le plus loin possible de ces inconnus. Ils voulaient pourtant l’aider mais elle refusa de les écouter et partis dans une direction inconnue. Impossible ! Impossible … les images revenaient. Plus les heures s’écoulaient et plus sa vision devenait nette. Tout ceci, elle l’avait oublié durant ses treize années d’obscurité absolue. Elle avait appris à découvrir un nouvel environnement par l’écoute et le touché. Même son reflet dans l’eau l’effrayait bien incapable de se reconnaître. Elle, sa propre silhouette était totalement inconnue. Un rien l’effrayait, un bruit de pas, un claquement d’eau dût aux poissons, un bruit d’ail brisant l’air au-dessus d’elle. La seule chose à laquelle, elle pouvait penser c’était de trouver u moyen rapide de partir très loin de cette île. Leelou ne voulait pas voir sa vie modifiée ni même ses habitudes d’ailleurs. Elle ne connaissait pas les expressions d’un visage, ni même les regards équivoques qui laissaient entendre un état d’esprit bien plus efficacement que des mots. Tout ceci la déboussolait alors, bien qu’il lui fallait survivre en communauté, incapable de chasser par elle-même ou bien de construire quoique ce soit, la jeune fille choisit de vivre à l’écart des autres, dans une tante isolée. Elle ne participait à aucun événement restant dans son coin et lorsqu’un survivant venait à sa rencontre, elle se protégeait en le fixant d’un regard tueur avant de lui aboyer dessus afin qu’il s’en aille au plus vite. Deux années se sont écoulées, sa manière d’agir restait la même bien que certains « parasites » comme elle s’amusait à les appeler, lui rendaient souvent visite pour lui tenir compagnie malgré ses mots toujours plus difficiles à entendre et toutes ses tentatives pour les repousser loin d’elle. Dans ces moments là, Leelou partait loin d’eux mais se faisaient vite rattraper incapable de s’en débarrasser.
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• Relashionship’ : - Love : Dû à son handicape, elle n’avait jamais véritablement connu l’amour au sens propre du terme. Certes, elle a déjà eu des petits copains mais la relation ne durait jamais bien longtemps. Ils étaient plus intéressés par son physique que par vivre avec une aveugle. - Ex : Sur l’île, elle ne se laisse pas assez approché pour avoir eu de relations intimes avec l’un des survivants. - Friends : Ses amis sont rares puisqu’elle n’aime pas cohabité avec des inconnus. Sa peur des autres l’empêche d’être sympathique et sociable. Du coup, seul ceux qui s’accrochent et souhaitent réellement apprendre à la connaître font véritablement partie de son cercle d’amis. - Family : A sa plus grande surprise, plusieurs survivants font parties de sa famille. Elle ne reconnut que leur voix incapables de faire le lien entre leur visage et leur place dans sa famille. - Hate : Personne ne peut être apprécié par tous et Leelou ne déroge pas à cette règle surtout au vu de son caractère et de son comportement.
Behind the picture ;« I cried out with no reply And I can't feel you by my side » | • Prénom/Pseudo : • Age : majeure éwè • Pays : France • Fréquence de connexion [../7] : 7/7 • Combien de lignes en moyenne en rps ? Cela dépends surtout avec quije rps mais je dirais que ca va de 25 lignes à 90 lignes.
- Spoiler:
L’amitié ca ne se perds pas même lorsque deux personnes se retrouvent éloignées l’une de l’autre. Une amitié ca se conserve, ca se maintient afin de pouvoir en profiter longuement sinon cela voudrait dire que cette amitié n’en était pas une. Pour Katsuki, il lui était vital de compter sur certains visages familiers afin e ne pas se perdre dans un océan d’individu et de se noyer avec. Car qui dit entouré dit seul au fond, mieux vaut choisir ses amis. La brunette fit la connaissance d’un être à part entière nommée Miwako. Une jeune fille énergique qui lui ressemble sur de nombreux points si bien qu’à Hanaraki, à chaque fois qu’elles se croisaient cela donnait un cocktail détonnant qui pourrait en faire fuir plus d’un. Imaginez ces deux jeunes filles courir l’une vers l’autre en sautillant avant de comploter pour faire quelques blagues à leur camarade ? Généralement, les autres se contentaient d’observer la scène abasourdis, ne cherchant même pas à comprendre les connexions un eu trop rapide de leurs neurones qui laissaient un spectacle à la fois énergique et ridicule. Le ridicule ne tue pas il vous rend plus fort tel disait le dicton et il avait bien raison. Au fil du temps cette amitié avait grandi et puisque Kat’ ne faisait plus partie des étudiants dans la fameuse Académie, leur amitié se devait de s’accrocher même si leur rencontre se faisait de moins en moins nombreuses. Enfin, la jeune japonaise n’allait pas laisser leur amitié se détériorervoilà pourquoi, elle envoya habilement un petit mail à l’attention de Miwako pour lui donner rendez-vous. Certes leurs emplois du temps étaient bien chargés mais le week end, tout de suite, elles pouvaient souffler un peu et profiter de leur temps libre.
Katsuki observait l’heure à sa montre qui lui indiquait habilement dix heures tapantes. La voilà en retard comme d’habitude mais jamais elle n’aurait pu prévoir que ces deux collocs d’amours prennent la salle de bain d’assaut avant elle avant de terminer la bouteille de jus d’orange, dernier vestige dans le frigo. Pour le démarrage de sa journée c’était très mal commencé. Enfin, elle pourrait s’acheter une petite chose à manger sur la route ou bien dans le centre commercial de Bunkyo afin de remplir son estomac et lui permettre de tenir jusqu’à midi. Sans un gain de sucre, son teint pâlirait à vue d’œil avant de la laisser sans énergie telle une pile usagée bonne à mettre u recyclage. Pas vraiment commode comme fin et surtout peu flatteuse. Son regard se portait sur les habitants à droite et à gauche déjà bien réveillé et surtout prêt à s’acheter des folies ou simplement regarder dans les rayons pour leur plus grand plaisir ; L’avantage des centres commerciaux étaient qu’ils renfermaient bon nombre de boutiques toutes plus différentes les une que les autres, offrant un large choix à leur clientèle afin de la fidéliser. Mieux encore les produits proposaient s’intéressaient à tous les âges voilà pourquoi Katsuki apprécier y passer une journée de temps en temps. Les boutiques de vêtements, de décorations, de musiques, de livres, de nourriture … tout ce choix qui la faisait rêver et qui parfois atterrissait chez elle comme par magie et ce, pour son plus grand bonheur. Toutes ces fourmis se déplacées au même rythme, patiemment, alors qu’elle se voyait déjà s’excuser. Alors, perdant patience, la jeune fille accéléra le rythme pour entrer dans la galerie commerciale déjà bien remplie et se mettre à la recherche de son amie. « Retrouvons-nous en bas des escalators » avait elle marquait dans son e-mail. Cependant, elle avait oublié que les escalators étaient au nombre de deux … son regard cherchait une silhouette connue sans vraiment prêter attention au monde autour d’elle si bien qu’un drame fut vite arrivée. Katsuki trébucha avant de tomber sur une personne qui ne lui avait rien fait. Son visage afficha un sourire trouvant la situation ridicule seulement la personne qu’elle avait renversée apprécia bien moins son attitude désinvolte.
Inconnue - « Ne pourriez-vous pas regarder devant vous ? »
Katsuki- « Je suis désolé. Madame, cela ne se reproduira plus. »
Tout ceci avec un penchement de tête vers le sol afin de lui indiquer toutes ses excuses étouffant un petit rire nerveux qui n’auraient fait qu’aggraver la situation, surtout que le regard noir de sa « victime » la dissuada de chercher de nouveaux ennuis. Vraiment cette journée commençait très mal, espérons qu’elle s’améliore par la suite. A force de recherche, Katsuki finit par retrouver une silhouette qui ne lui était pas inconnue.
• Ton opinion sur le forum : L’est beau, y un staff d’enfer, des admins de luxe /sbaff/ Il est génial ce fo’ <3 Ti forver quoi. • Comment as-tu connu le forum : Ca remonte à loin*.* Je ne sais plus :s • As-tu un double compte ? Si oui, qui ? Vouiiii, des gens bien que vous aimez ♥ ou peut être pas d’ailleurs ^^’ • Aimerais-tu être mieux intégré au fow' par un Parrainage ? Non merciiii. • Mot de passe du règlement : - Spoiler:
Rteach me how to survive there please
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Dernière édition par Leelou A. Jensen le Jeu 3 Juin - 18:21, édité 11 fois |
» Jason K. Cooper " ❝ Regular. × My new Life is here ❧ ❞ × Ma Célébrité : Kevin Flamme × Nombre de messages : 6045 × Age du perso : twenty-five years old. × Job : model. you can touch my hair, it's plastic everywhere. × Côté love : je sens des boums et des bangs agiter mon cœur blessé.
| (#) Sujet: Re: Leelou - le cinquième élément *.* - Terminé Jeu 3 Juin - 19:53 | |
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Poooomminette`Cacahouette
Je ne sais pas si je peux t'appeler comme ça xD
R'Bienvenue, mille fois encore ! Amuse toi bien avec ce nouveau personnage && puis excellent métier que tu lui as mis. Pianiste | |