• Physique :
Ce qu'on peut dire de Sybille, c'est que c'est une femme sur laquelle les homme se sont retournés plus d'une fois quand elle marchait devant eux.Mesurant un bon mètre 74 pour une soixantaine de kilos, elle n'est filiforme ou terriblement mince. Elle à ses formes, et les assumes pleinement.Sa silhouette, avant d'arriver sur l'île du moins, était continuellement surélevée par des talons haut d'une dizaine de centimètres. Un jean fuselé moulait ses jambes, tandis qu'en haut, elle portait la plupart du temps une chemise blanche, ou des pull de haute valeurs dont la coueleur pouvait virer du noir au rouge sang. A ses oreilles, l'on peut compter deux perçages au bout desquels trônent une paire de boucles d'oreille en perle. Et, à l'oreille gauche, un troisième perçage un peu plus particulier. Un anneau d'argent symbolisant son amour pour la mer. Oui, trés romantique. Trés pirate surtout. Edward lui en avait parlé une fois, il y avait longtemps. Charmé par l'idée, elle s'était faite percée dans l'heure qui suivit. Ses cheveux sont d'un brun qui vire au roux sous le soleil. Avant l'île, ils étaient régulièrement lissés, avec de longues tresses aux perles colorées. Le tout retenu par un bandeau de soie contre son front. Désormais, avec son aterissage forcé sur l'île, elle à un peu abandonné ce côté flibustier. De son passé, elle ne conserve que ses tatouages, son piercing et ses bandeaux de soie. Elle porte la plupart du temps des jeans ou des corsaires noir, et des débardeurs. Les vêtements de luxe qu'il lui reste, elle les garde pour les grandes occasions.

• Caractère : Ironique, cassante et indépendante, tel était la jeune femme à son époque sur le Liberty. Méprisante envers tous ceux qui n'avaient pas le statut de pirate, elle était aussi sans pitié et intimidante. Après tout, il est assez rare dans un abordage de voir une jeune femme perchée sur la bastinguage, un sourire mauvais aux lèvres. Elle aimait jouer de ses atouts, particulièrement pour voler les hommes. Avide d'argent, elle en profitait pour acheter -parfois- tout ce qui avait de la valeur. Prada, Channel, Gucci ou encore Armani. Un excellent moyen de se faire passer pour une grande dame sur terre alors qu'en vrai, elle n'était qu'une pirate. Mais malgré tous ces défauts, Sybille possède quelques qualités. La première, malhonnête. Ouin chez elle c'est une qualité. Être malhonnête, c'est être imprévisible et donc, pouvoir se sortir de toute les situations possibles et imaginables. Protectrice avec les gens qu'elle aime, elle est prête à tout pour eux, surtout si il faut les protéger. Le courage est son maître mot. Certes, elle à peur de plusieurs choses, comme tout le monde! Esprits, avion, malédictions... Mais pour protéger l'homme qu'elle aime et sa famille, elle n'hésiterait pas une seconde a accomplir les pires choses possible. Sybille est aussi une jeune femme trés superstitieuse. Dû à ses nombreuses années en mer, le caractère des autres marins à déteint sur elle. Elle qui ne coryait pas aux fantômes ou aux malédictions à changé. Sauf sur l'idée qu'une femme à bord porte malheur.Ca, elle n'y croira jamais! Sociable et un minimum gentille, la jeune pirate sait s'adapter aux milieux qui s'offrent à elle. Elle possède aussi un immense sens de la répartie qui lui est trés utile quand quelqu'un cherche à la ridiculiser.

• Mon passé avant de prendre l'avion :
-Allez Sybille, parle nous un peu de toi! T'es dans l'équipage depuis des années maintenant, faut bien qu'on conaisse qui se cache derrière a chemise blanche et tes talons aiguilles!
-Est-ce que je te demande quand est-ce que tu as reçu cette balafre disgracieuse au coin du nez moi ?

Parler de son passé, c'est toujours un peu délicat. Sybille est née dans un hopital, il y a une vingtaine d'année de cela. Orpheline élevée par un vieux marin qui décéda alors qu'elle atteignait 10 ans, la fillette devient trés vite une gosse des rues, à traîner et mépriser les études. Comme disait à l'époque une chanson, "Quand les bars ferment et que les marins rejoignent leurs bords, je restais jusqu'au matin debout sur le port". Sybille à toujours étét passionée de bateaux. Les grands, les petits, les cargots, les yachts. Tout. Ne pouvant monter dessus regulièrement, elle se contentait de les dessiner, rêvant d'une vie meilleure par delà les océans. Jusqu'au jour ou... Tout bascula.
De grands yeux noirs, un sourire de pirate, et un bandana. Tout ce qui pouvait faire craquer la fille perdue qu'elle était. Il s'appelait Edward Costelio... Et il fit d'elle la femme la plus redouté de la mer. Devenue pirate à l'age de 18 ans, Sybille quitta tout sans un seul regret, sans un seul regard vers la terre qui l'avait porté quelques temps. Laissant tomber le crayon pour le revolver, changeant le prêt contre le pillage et l'emprunt. Certes, il y avait bien quelques petits soucis. Comme par exemple, supporter les tromperies d'Edward. "Tu est la seule que j'aime" "Oui, mais combien sont allées dans ton lit entre temps?" Toujours les même répliques, les même réconciliations violentes sur l'oreiller. Encore et toujours. Une vraie pirate ne faiblissait pas. Ce qu'elle ne fit pas une seule fois d'ailleurs. Ele tenta bien une fois de quitter le navire, mais Edward la rattrapa dans les rues de Barcelone avant qu'elle ne se perde. La route continuat, chaque jours rendant les autres plus agreables. Tempêtes, abordages, amour, baguarre, rhum. De maudits pirates qu'ils étaient.
Enfin, pour quelques temps encore. Arrivat cet espèce de Capitaine débraillé, James Spent. Il fallut qu'il se mette en tête de les poursuivre jusqu'à les arrêter et les coincer. Qu ialors se serait douté que Costelio, le capitaine si courageux et anarchiste, allait se rendre en 5 minutes? Pas Sybille. Prenant un otage, elle se contenta de s'enfuir de ce cauchemard, et d'attendre quelques jours avant de se remettre en chasse. Dans la chambre d'hotel ou les policiers étaient persuadés de la retourver, ils ne virent qu'une chambre vide de tout objet personnel, avec une simple phrase écrite au mur avec un rouge à lèvre Dior:

-Thieves and Beggars never shall we die.

Aujourd'hui encore, les marins coincés en prison parlent des noms de Sybille Sullivan et Edward Costelio avec respect. Les sunrommant encore et toujours, les 'Ann Bonny et Jack Rackam des temps Modernes.'

-Bon alors Sybille. Tu nous la dit cette histoire?
-Imagine toi que je suis comme Moïse. Sauvée des eaux. T'as rien de plus à savoir mon gars. Contente toi de me passer le rhum!

• Vie après le crash :
-Un crash, c'est vraiment terrible. Combien de morts au fait?
-Heum. Mademoiselle Sybille, je crois qu'on ferait mieux de s'occuper des vivants pour le moment... Ils sont en états de choc, vous savez.
-Au diable les vivants Monsieur le Stewart. A eux, on peut pas leur faire les poches tranquillement.
-Mais... Vous n'étiez pas censé prendre les commandes de ce groupe là?
-Tout à fait. Ils vont s'occuper des survivants, je me charge de prendre les objets brillants et chers aux autres. Après tout, sous terre ça va pas leur servir.
-Vous êtes cruelle!
-Fermez la ou je vous balance par dessus bor... Contentez vous de m'écoutez, et vous survivrez. On est d'accord ? Au fait, ou est passé le rhum?

Au départ associable, Sybille s'est vite fait à l'idée de se mettre en avant pour aider les survivants à se remette de leur émotions. C'était ça ou rester à l'écart en attirant les soupçons sur son visage si familier aux accros de la télé. Souriant auux autres, tout en jurant de construire un radeau au plus vite pour se tirer, et laisser les autres Terriens se débrouiller entre eux! Enfin, au début du moins. Car une pirate finit toujours par s'adapter, même à une île déserte. Sa première rencontre avec une jolie rebelle du nom de Lizzie la socibilsa un peu. Puis, arriva Willy. Rencontré dans un cimetière, mais un coup de foudre réciproque malgré tout.