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Tybalt Colt-Singleton
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Message(#) Sujet: every atom of your flesh is as dear to me as my own (grey) every atom of your flesh is as dear to me as my own (grey) EmptyDim 7 Fév - 13:40

in pain and sickness it would still be dear

When two people are under the influence of the most violent, most insane, and most transient of passions, they are required to swear that they will remain in that excited, abnormal, and exhausting condition continuously until death do them part ✻✻✻ Les minutes passent lentement pour celui qui est assis dans un café environnant. Une jambe tremble sous la table malgré le calme démontré. Inquiétude cachée, dissimulée, pour ne pas ressembler à un animal égaré. De temps en temps, les bleues plongent dans la foule, cherchent celui qui lui a donné rendez-vous, avant de se tourner sur le téléphone posé sur la table. Quelle heure est-il ? 19 heures 34. Soit cinq minutes de plus que la dernière fois que tu as regardé. Le jeune homme pousse un soupir en récupérant sa tasse de thé. Il est tentant de prendre son portable pour envoyer un message à celui qui tarde à le rejoindre mais il ne le fera pas. Il continuera à attendre en se torturant les méninges alors que Mylène Farmer chante dans ses tympans. Chanteuse adorée par la mère, qui ne change rien à ses craintes. Le chant est là pour combler le vide, pour essayer de lui faire penser à autre chose mais il ne peut pas. Ça tourne dans la caboche, pose des tonnes de questions. Où est-il ? Où allons-nous ? Les mains plongent dans les poches de son long manteau de marque. Fumer pour calmer les tremblements, pour calmer les pensées qui se chevauchent et se cognent violemment. Mal au crâne. Clope coincée entre les dents. Les céruléennes contemplent les gens se ruer dans le bâtiment pour prendre le vol qui les mènera à destination. À sa gauche, un homme se rapproche, lui demande de ne pas fumer dans le café. Dehors. Fumée crachée par une bouche entrouverte. Tybalt soupire en jetant un œil à son téléphone. Encore. Neurotoxique qui ne fonctionne pas cette fois, ne calme pas les angoisses. Ça ne marche pas. Poison consommé juste pour être consommé. Il devrait arrêter cette merde, devrait jeter le paquet qui alourdit sa poche, avale une partie de son salaire tous les mois. Bâtonnet jeté dans les égouts. Il devrait. les mains partent une nouvelle fois à la recherche du paquet rouge et blanc.

Le jeune homme retourne sur ses pas. Il tremble toujours. Angoisse qui le ronge. 20 heures 03. Les pensées se font plus sombres pour nourrir la bête enfermée sous la cage osseuse. Peur qui demande à muer, à devenir panique. Tybalt se laisse tomber sur une chaise, pousse un soupir, chasse les images qui hantent sa boîte crânienne déjà encombrée. Ça gueule dans les oreilles, empêche la mémoire de fonctionner. Conscience au second plan. Céruléennes ternies de son absence. Une main se pose soudainement sur une épaule, provoque un sursaut chez le jeune homme qui arrache ses écouteurs en tournant son regard sur la personne qui vient de le toucher. Est-ce lui ? Grey ? « Excusez-moi monsieur mais... Est-ce que tout va bien ? Je vous regarde depuis quelques minutes et vous semblez confus... » Ça se lamente dans le cœur désappointé. Ce n'est pas le mari égaré. Mais où est-il ? Où est-il ?! Amertume qui engendre la colère. « Oh mais tout va bien. » Ironie de celui qui a envie de mordre la main tendue. « Mon mari et moi devions nous rejoindre à ce terminal et ça fait une heure que je tourne en rond en espérant le voir arriver. Je ne sais pas à quelle heure nous sommes sensés embarquer, où nous allons et je me refuse à lui envoyer un message car il serait très bien capable de me répondre en étant au volant mais à part ça, tout va bien. » Fou dangereux qui se moque du code de la route. Les dents attaquent les lèvres. C'est de nouveau la peur qui s'exprime. Il a besoin d'une clope, de fumer jusqu'à en être abruti. Sans un regard pour la jeune femme, il se lève, récupère sa valise, prêt à retourner dehors pour empoisonner davantage ses poumons déjà maculés de goudrons.


✻✻✻
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Dernière édition par Tybalt Colt-Singleton le Lun 8 Fév - 17:09, édité 4 fois
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Ezequiel Singleton-Colt
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Message(#) Sujet: Re: every atom of your flesh is as dear to me as my own (grey) every atom of your flesh is as dear to me as my own (grey) EmptyDim 7 Fév - 14:52

Ta corruption était mon œuvre - Falling in love
is to become a monster. How else can you love?
so hungry, so rough, so devoted ?
(c)pathos


Les billets séjournent sur le bureau depuis quelques jours. Destination choisie, à la crainte qu’elle ne plaise pas. Il tapote le bois du bout des doigts, accroche quelques internes et leur demande conseil. Petites souris qui se faufilent avec crainte dans le bureau, se demandent d’où vient l’anxiété du boss. Eux l’ont toujours vu de marbre, l’impassible armure. Décomposé. Incapable de savoir si il a fait le bon choix. Carnet raturé de plusieurs pays, villes, des schémas d’idées, de toiles maladroites. Où iriez-vous pour les noces, qu’il demande aux gamins, attend leur réponse. Ca fuse de partout, du grand n’importe quoi. Aucun qui n’est d’accord. Tous des envies différentes. Une gosse se propose pour l’accompagner si la destination ne plait pas à l’époux. Rictus aux lippes. Elle a gagné la partie, le droit de l’accompagner pour la prochaine intervention. C’est ce dont il avait besoin, tranche d’humour.

(…) Un rendez-vous qu’il donne à Tybalt, une lettre déposée, des mots griffonnés. Il s’est déjà occupé de tout. Vacances réservées auprès des supérieurs. S’évade l’heureux, déjà à s’imaginer le soir. Les urgences ne désemplissent pas de la journée. Crachats de vie, petits étalés sur les civières. La mort rôde. Egoïste qui ne pense qu’à retrouver le sien. Des âmes qu’il soigne, des corps qu’il répare, et quelques uns qui ne passeront pas le lendemain. A son retour, ils seront morts. Accidentés. L’heure tourne rapidement. Horloge qu’il observe alors que débarquent les ambulances. Sonnerie tonitruante. Vacarme des pas, de l’agitation. Il doit partir, il ne peut pas intervenir… et son collègue prenant la suite qui n’est pas là. Un regard file en biais vers le bureau d’Ophelia. Compétente pour les reconstructions faciales. Son domaine. Blondine qu’il ne dérange pas. L’intervention est sous sa direction. Crâne explosé. Gamin. Grey n’a pas le temps de prévenir Tybalt, de lui dire de ne pas s’inquiéter. J’arrive qu’il n’écrit pas. La vie du gosse est entre ses doigts. S’écoulent les heures. Deux à tenter de sauver, coudre, réparer. Les efforts paient. La plaie se referme, la mot s’écarte du passage. Les félicitations sont pour lui. Il n’a pas le temps de les écouter, de répondre à leurs questions, plus tard. Les habits sont jetés, les autres récupérés. Bureau auquel il passe en vitesse, ramasse les billets, un maigre sac et confie la gestion des internes à la plus audacieuse de toutes. « Ne me contactez pas, à aucun moment, je ne veux rien entendre de vos jérémiades » S’exclame déjà la horde à ses ordres. « Je promets de vous ramener un objet hideux » Cavale l’amoureux en dehors de l’hôpital. La voiture crache sa fumée, les pneus saccagent la route. Portable qui tombe sous le siège. Impossible de prévenir Tybalt. Le temps est contre lui. Furie entre les autres voitures, zig-zag. Il le tuerait en voyant sa conduite. Insultes aux conducteurs trop lents. Parking de l’aéroport. La voiture dérape, frein à main. Garé comme les plus grands, heureux de sa bêtise.

Les minutes défilent au cadran. Embarquement dans vingt. Tic-tac. Une course folle. Aéroport qu’il connaît par cœur, mais la mémoire se perd. L’anxiété gagne. L’adoré qu’il n’a pas prévenu. Il court à s’en décrocher les poumons. Les globes observent, fouillent les voyageurs. Tête brune qu’il reconnaitrait entre mille. Se loge un sourire. La satisfaction de le savoir encore présent. Sournois qui se faufile dans les pas. Une main se pose à l’épaule, ferme, stoppe le fuyard. « Une dernière cigarette pour l’angoisse ? » Souffle rieur dans le cou. Se glisse un baiser. « Je suis désolé… une intervention de dernière minute » Qu’il aurait pu laisser à d’autres. Pas les enfants. Une priorité qu’il ne donne pas aux incapables de son service. « Vu le regard des gens, je dois encore avoir du sang sur le visage » ça ne fait rire que lui. L’œil barré de rouge. Même pas eu le temps de s’en débarrasser. Se versent des mots d’une autre langue. Apprentissage depuis des jours. Accent de travers. « J’ai tenté d’apprendre la langue, mais je compte sur toi pour nous aider » S’agrippe la main à la manche du plus jeune. « Dépêchons-nous » Aucune protestation n’est tolérée. Il l’emmène avec lui. Les derniers à embarquer. Destination qu’il tait pour le moment. Hublot qu’il laisse à Tybalt. Informations crachées, surprise dévoilée. Prague mentionne une voix. Prague, curiosité. Des centaines d’autres qu’il aurait pu choisir
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Message(#) Sujet: Re: every atom of your flesh is as dear to me as my own (grey) every atom of your flesh is as dear to me as my own (grey) EmptyDim 7 Fév - 21:14

in pain and sickness it would still be dear

When two people are under the influence of the most violent, most insane, and most transient of passions, they are required to swear that they will remain in that excited, abnormal, and exhausting condition continuously until death do them part ✻✻✻ Pas qui marquent la colère. Ça cogne dans la caboche. Ça cogne sous la cage osseuse. Il a tellement mal au crâne. Les mains dans les poches. Pas pour une clope mais pour un comprimé. De la codéine. C'est peut-être de trop pour un simple mal de tête mais Tybalt s'en moque, avale sans chercher de quoi boire. Goût amer qui se mêle à la salive. Il grimace en continuant à marcher pour rejoindre la sortie, pour fumer, quand une main se pose sur son épaule. Déjà-vu désagréable avant le sourire qui se dessine aux mots prononcés. Soulagement qui chasse la colère. Il se tourne, rencontre les ambres puis la joue colorée de carmin. Le myocarde loupe un battement à la reconnaissance de ce qui macule la peau basanée. Les bleues scannent la carcasse, cherchent une blessure mais ne trouvent rien. Désolé. Une intervention de dernière minute. Vu le regard des gens, je dois encore avoir du sang sur le visage. Nouveau soupir. Le plus jeune boude celui qui plaisante. Moqueur dont les blagues ne sont pas au goût de tout le monde. La tête secouée doucement puis la manche de la chemise approchée de la face ensanglantée. « Tu aurais dû prendre le temps de te nettoyer un peu avant de me rejoindre. On risque de te prendre pour un criminel en cavale et mes menottes sont à mon bureau. » Dommage. Pas de jeux pour ceux qui ont échangé des vœux. Du pouce, il caresse tendrement la joue alors que sont prononcés des mots dans une langue qui lui est inconnue. Incompréhension. Tybalt hausse un sourcil en cherchant à reconnaître une racine, quelque chose qui lui permette de reconnaître ses origines. De vaines comparaisons qui lui donnent nul indice. « À moins que tu nous emmènes en France, je ne pense pas être d'une grande aide. Je n'arrive même pas à trouver une langue pour comparer. »

Entraîné pour embarquer. Une pensée passe en souvenir du vol 603. Celui de sa cousine. La peur gronde au ventre alors que remontent à la mémoire le nom de quelques passagers présumés décédés. Il se souvient de la peine qui avait marqué le charmant minois de Charlie quand elle avait raconté le calvaire qui avait été le leur sur cette île. Panique qui submerge. C'est l'envie soudaine de faire demi-tour, de prendre Grey par le col de son manteau et de le pousser hors de cette machine infernale mais de ça, il ne montre rien. Tempérance des émotions. Ils ne peuvent plus faire marche arrière. Impossible. La main se tend en avant, prend discrètement la manche de celui qui ouvre la marche et désigne sa place. À côté du hublot. Un rire dénonce la nervosité. « Tu sais que j'ai peur du vide ? » Ironie cinglante. Tybalt soupire. Marié qui ne cesse de se plaindre malgré les bonnes intentions de son aimé. La main se pose sur sa sœur. Caresse donnée pour accompagner les excuses. « Je suis désolé... Je me plains alors que tu as fait tout ça pour nous. » Amour qui déborde. Il aime cet homme. Fou amoureux qui ne ressent plus la présence des autres, se moque des hommes et des femmes qui les entourent. C'est violent ce qu'il ressent pour Grey. Ça brûle d'un feu qui dévorera ses ailes, le fera succomber et périr. Buste qui se penche en avant pour permettre un rapprochement. Il crève de baiser sa bouche mais son attention se détourne. Prague annoncée dans les haut-parleurs. « Prague ? Pourquoi Prague ? » Demande-t-il avec un sourire. « Et tu comptais sur moi pour nous aider avec la langue ? Je parle français, pas tchèque. » Le dos retourne contre le siège alors que les mains attachent la ceinture. Annonce du décollage.


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Dernière édition par Tybalt Colt-Singleton le Dim 7 Fév - 23:04, édité 1 fois
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Message(#) Sujet: Re: every atom of your flesh is as dear to me as my own (grey) every atom of your flesh is as dear to me as my own (grey) EmptyDim 7 Fév - 22:18

Ta corruption était mon œuvre - Falling in love
is to become a monster. How else can you love?
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Homme boudeur devant lequel il se retrouve. Mine amusante qu’il se plait à décortiquer dans chaque détail. Il est en retard, il le sait. Intervention au dernier moment, ces collègues qu’il ne pouvait pas abandonner, surtout un, l’incompétent en retard, certainement occupé à baiser la gamine du sixième étage. Visage qu’il laisse au soin de Tybalt. Sang effacé du pouce. Contact qu’il recherche, arrête la main dans la sienne, se retient d’y embrasser la chair. Pas le bon endroit, pas le bon moment.

S’ébauche un sourire, un narquois joyeux se faufilant aux paroles de Tybalt. Dangereux criminel. Cavale. L’idée le fait rire. Plus encore les menottes qui retiennent son attention. « Si elles ne sont pas dans ta valise, alors de quoi l’as-tu remplie ? » Taquin qui se joue des sous-entendus, n’était pas contre l’idée des poignets liés. Plus tard certainement. S’agitent d’autres pensées à la caboche percées de milles occupations. Cavale et mort. Des images du passé reviennent soudainement, arpentent, saccagent. Les paupières sont closes un instant, le temps de tout oublier, de recaler ça au fond de sa cervelle. Ce n’est pas le moment d’y repenser, pas ces instants là, cette fraction de seconde où sa vie a basculé. Absence d’un instant. Il reprend la façade heureuse, planque le reste à l’arrière, dans les tréfonds, à son âme viciée. La France est-elle leur destination ? Pas encore. « La France sera pour plus tard. Tu sais que j’y détiens un appartement ? Il faudrait que je te le montre, qu’on trouve le temps d’y aller, même si c’est pour un weekend » Lieu gagné après un pari avec Ophelia. Lieu non visité depuis des années, à se demander l’état, à ne plus se souvenir à quoi il ressemble, quel quartier. Propriété oubliée. Gérée par d’autres.

Sa main accroche la manche, emmène le plus jeune avec lui. Réticence qu’il peut sentir, corps tendu. Il ne se doute pas de la vérité, pense que ce n’est que la peur de l’avion – peur commune à beaucoup. Vertige. Il a oublié. Gifle mentale. Abruti incapable de se souvenir de tout, des peurs primaires de l’aimé. Confusion dans le regard. Le voilà désolé, incapable de réparer la bétise. « Je peux prendre cette place si tu veux, mais je pensais… je pensais que apprécierais de planer au dessus des nuages » Ses envies qu’il a confondues avec celles de Tybalt. Voir les paysages minuscules, les couleurs de toitures, les vies grouillant en bas. Sièges inversés. La main se faufile dans celle de l’autre. Liés. Le bonheur simple de la présence de l’autre. Paume embrassée en réponse aux excuses prononcées. « Tu peux te plaindre, tu peux faire ce que tu veux, tant que tu restes à mes côtés » Déclaration des émotions sous couvert d’autres paroles. Le buste se penche en avant, manque les lèvres de peu. Hauts parleurs qui captent leur attention. Le dos s’écrase contre le siège.

Pourquoi Prague. Choix curieux pour les noces. Aucun n’y penserait, tous choisiraient les destinations connues, fréquentées, racontées. « J’ai fait la liste de toutes les destinations clichés, et pendant un instant, j’ai songé à Venise. J’ai toujours voulu y aller… » Evasif. L’Italie reste une belle intrigante. Visitée par le passé. Cavale de plusieurs jours avec Ophelia. Gamins fous. Souvenirs heureux. D’autres qu’il voudrait créer, avec Tybalt. Plus tard. « …mais Prague reste charmante, si différente de New-York… de ce que j’ai pu apercevoir des photos » Des nuits passées à chercher une ville, puis un hôtel et enfin à apprendre la langue. Perfection du voyage, organisation. « J’ai appris les bases » De quoi se débrouiller, commander, demander son chemin, mais certainement pas pour conduire une conversation, ou même en suivre une. « Il y a… dix heures de trajet… » Se prononcent difficilement les paroles. Dix heures. Longueur insoutenable. « ...et une escale à Londres » Rajout d’un couperet. Une escale inutile. Une heure entre les deux avions. Pas le choix. Toutes les compagnies offraient le même système. Un privé qu’il aurait du payer plutôt que ce vorace des airs. Décollage. Sensation grisante. Un carnet est sorti de la poche de sa veste. Celui où se joignent esquisses et notes. Bordel que lui seul comprend. Croquis de Tybalt, croquis anatomiques, croquis d’inconnus. Les pages défilent, jusqu’à celles remplies d’annotations, de mots composés d’accents complexes. « Tu as dix heures pour apprendre les bases, en espérant que ton accent soit meilleur que le mien » Clin d’œil. Le temps qu’il faut tuer. « Tu remarqueras que j'ai fait un effort sur l'écriture » Notes prises avec soin.

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