Don't be sad, just be mad ( london )

❝ London M. VanDuncan ❞ ♦ Feat Margot Robbie ;

depuis que j'suis gosse, on m'appelle London ✕ j'ai déjà 27 piges ✕ je suis née le 31 Octobre 1987dans un endroit nommé Londres, Angleterre ✕ j'ai déjà été pseudo-vendeuse dans une boutique de souvenirs ✕ actuellement je suis ton pire cauchemar ✕ dans la vie d'tous les jours, on me décrit comme déterminée, créative et charmante, mais aussi très caractérielle, impulsive, sadique ✕ j'aime par-dessus tout terroriser, torturer, manipuler et le jus de pomme ✕ je déteste encore plus scruter les effluves de sentiments✕ personne ne le sait, mais j'ai tué ma mère à l'âge de 17 ans ✕ je me distingue par une longue cicatrise derrière l'oreille ✕ j'avoue, mon orientation sexuelle est plutôt hétéro ✕ puis en c'moment t'façon j'suis mariée à un enfoiré ✕ vous me trouverez dans la team des Hostiles , car : j'aime voir la souffrance et la vie s'écoulait entre mes doigts maigrelets ✕ et je porte aussi le rang des Sigmas parce que : on ne choisit pas son clan, mais on ne change pas sa nature.

Fair Game

Comment osait-elle? Comment pouvait-elle? La rejeter pour mieux la reprendre par la suite. La vie n'était pas ainsi, la vie n'était pas facile. Pas aussi futile. Tu la contemplais sur son lit de crevarde, s'étouffant dans ces hoquetements incessants. Crachant par instant de son propre sang. La mort l'observant, la guettant depuis plus d'un an. Elle avait demandé que tu sois à son chevet avant sa fin de damnée, mais tu la détestais, tu la méprisais pour la peine qu'elle t'avait causé. Celle de t'abandonner dans cet orphelinat paumé. Ta propre mère, celle qui se devait d'être ton modèle n'était qu'une catin aux yeux dorés. Devant faire face à sa condition de crevée pour un peu de sensibilité. Cela te faisait bien rire de la voir ainsi, cela t'ennuyait plus proprement. Ca te faisait même chier d'attendre qu'elle canne. Elle prenait de ton précieux temps comme elle avait prise tes 16 putains d'années. Egoïste petite trainée!!! Tu t'énervais en silence, écoutant les gémissements de ta future défunte mère. Impatiente, attendant la sentence qui ne venait jamais. Puis tu te déridais, puis tu te disais des choses insensées. Pourquoi ne pas la crever de suite comme ça tu lui éviterais de geindre à longueur de journée? Cela t'enlèverait bien une épine du pied. De l'achever, de la tuer. Même cela te produirait un plaisir incommensurable. Alors tu te levais d'un pas déterminé, tes yeux emplis d'une innocence de fausseté et tu te couchais auprès de celle ci. Attrapant dans ton dos un oreiller. Ton autre bras entourant sa maigre taille, tu attendais patiemment. Puis alors qu'elle abaissait sa garde, tu te mettais sur elle à califourchon, ton sourire se transformant, mutant en un sadisme incompréhensible. Et tu déposais l'oreiller sans grande difficulté, ta mère bien trop faible pour lutter. Et tu l'étouffais sans l'once d'une culpabilité, ton envie t'injectant une dose de plaisir malsaine. Tes doigts appuyant plus fortement alors que son râle t'enivrait. Tu étais comme libérée, délivrée de tes pensées. Ton simple fait suffisant à éveiller cette partie de toi, cette partie dont on s'est toujours moquée. La folle, la tarée. Tu l'étais et tu le deviendrais. Ta première victime s'étouffait et tu n'en ressentais qu'une once de joie éphémère, tu venais de gouter au pêché et tu ne pourrais plus jamais t'en passer.

Tu étais partie sans te retourner, fuyant les hautes autorités pour persévérer dans ton art ensanglanté. Mais tu t'étais perdue, et il t'avait fait te retrouver. Ce gars là, ce gars qui avait pillé ta raison et ton coeur. Il était tout aussi barré que toi, tout aussi dégénéré. Pas beaucoup de temps s'était écoulé pour que tu tombes amoureuse de ce gars là. Vous formiez un couple si imparfait, un couple de meurtrier. Un couple froid, des sourires sans éclats. Tu l'aimais et t'aurais pu te scarifier pour lui. C'était beau cette démence, cette dévotion envers l'hérésie. Trop beau pour être vrai. Vous vous étiez barrés, mais jamais vous n'aurez pensé. Que ce vol vous précipiterait droit dans un enfer que vous méritiez.

Tout autour de toi devient clair, limpide, indélébile. Le silence calmant la tempête de tes pensées, tes doigts embrumés de taches parsemées. Rouge opaque, sale, sanglant, excitant. Cette couleur t'anime, cette couleur te fait sourire. Tu t'obnubiles, tu t'extases de cette crasse. Comme un enfant à qui on aurait donner son tout premier jouet. Toi ton jouet n'est pas aussi petit, pas aussi amusant que les cliquetis incessants. Bien plus malveillant, bien plus convalescent. Il te ressemble, dans sa carrure et dans sa luxure. Vos envies banales, vos désirs exécrables. Noires et délectables. Seulement, ton jouet est ignorant, innocent. Loin de ton hérésie sanglante, loin de ton âme damnée. Puisque tu n'es qu'une atrocité aux yeux fascinants, un déchet purulent qui ne cherche qu'à satisfaire ses pêchés. Une meurtrière, une justicière à la justice si particulière. Qui purifie ce monde des paumés, des égarés, des fiévreux rescapés. Pour une beauté que seule, elle trouvait si belle. Une anarchie, une folie dans les regards vides. Voir le monde brulait voilà ce qui t'animait. Les étincelles de la mort qui brillait dans les prunelles apeurées. Le sang qui giclait sur ton visage de poupée. Les battements d'un coeur qui se perdait, qui se mourrait sous tes doigts maigrelets. Tu n'es pas normale, tu n'es pas comme ceux que la normalité contentait. Tu es vénale, phénoménale, dégénérée et complément saccagée. Une femme que la vie avait amené à se torturer, à reprendre une si jolie envie. Et tu t'oppressais, tu désirais et tu prenais. Tes doigts se baladant sur ta victime encore assoupie de ton dernier coup bas, son corps captif de ces cordes que tu avais soigneusement entouré autour de lui. Cette dernière bien trop frêle pour supporter un simple coup de lame. Faible, pathétique. Réveilles toi mon beau, fais moi plaisir! Tu te mords la lèvre face à l'insignifiance de cet étranger qui ne rendait que ton agacement permanent. Sa vulnérabilité éveillant ton anxiété. Tu voulais qu'il soit bien réveillé pour ce qui allait s'ensuivre, tu voulais qu'il ressente chacun de tes gestes dans sa chair, chaque fait qui ne ferait que l'enterrer. Mais il dormait, il somnolait dans les bras de Morphée, ce sale enfoiré!!!!! Juste assez pour t'énerver qu'un peu plus. Alors tu t'attardais, tu t'amusais. Ta main se baladant sur son torse balafré des multiples plaies que tu avais peinturé sur sa peau velouté. Puis tu la descendais plus bas, toujours plus bas, tes doigts s'accrochant à l'objet de sa masculinité. Et tu t'exécutais lentement à le caresser, exerçant une pression délectable, voyageant de haut en bas avec ton sourire en coin. En vain... Alors ton impatience te faisait faire des choses peu recommandables, choses que tu n'aurais jamais faite si ton connard de mari ne t'avait simplement pas trompé avec une blondasse paumée. Connard! Vicelard! Ta haine te fait renfermer ta poigne sur la virilité de ta victime et tu t'abaisses à sa hauteur, scrutant la laideur de celle ci. Et tu l'englobais dans ta bouche, ta langue jouant à le titiller dans sa lenteur. Et soudainement la belle au bois dormant se réveillait, les yeux exorbités par la scène qui se jouait face à elle. Et il ne criait plus, non au contraire, il se délectait. Et tu levais les yeux au ciel pour la connerie de ta victime. Lui qui hurlait à l'aide quelques heures auparavant, à présent se plaisait de sa torture outrepassée. Ignare! Et soudainement, tu mordais, ta langue faisant place à tes dents. Et ce cri horrible qui réveillait cette envie dans ton coeur atrophié. Tu souriais précipitamment remontant au visage du rescapé, tes yeux se closant conséquemment. Le connard commençait à déblatérer, à te traiter de trainée. Toi la si pure London. Ton sourire se froissait, tes lèvres retombaient et tu l'embrassais violemment. Un baiser sans désir particulier, une envie de l'aveugler. Et alors que ta bouche s'amusait de la sienne, qu'elle dansait en adéquation. tu ressortais cette lame ensanglantée. Ce poignard que tu avais soigneusement planqué. Et tu l'élançais sur l'objet de sa masculinité, le coupant dans son entièreté. Son membre tombant au sol dans un bruit sourd alors que tu te reculais et que l'homme criait, pleurait. Pauvre enfant, tu ne pourras plus t'amuser avec ta main droite. Tu ne lui laissais pas le temps de geindre, ton envie gonflant ton désir. Tu le plantais dans la cuisse puis dans la hanche machinalement, soigneusement, tournant le poignard lentement. Et l'homme menaçait de resombrer l'homme tournait de l'oeil. Et le temps te manquait, le temps t'oppressait. Tu l'achevais d'un coup sec dans la carotide, le sang perlant sur ton visage innocent. Et il crevait lentement, dans un déglutissement horripilant. Ces yeux s'injectant, sa bouche cherchant de l'air. Mais il avalait que son propre sang et la peinture que tu venais de dessiner t'excitait tellement. Que comme pour dernière image tu lui offrais ce sourire particulier, cette bouche qui avait sucé, retrouvant la lame de ton poignard pour gouter à son sang, ta langue jouant, se délectant de ce liquide métallique. Et l'étranger crevait sous tes yeux désireux d'un peu plus d'enjeux.

------------------------------------------------

Quand on s'est soudain retrouvés sur cette île, j’ai immédiatement…
[ ] Tenté de retrouver mes proches. On n’est définitivement rien tout seul, surtout sur une île déserte.
[ ] Couru dans tous les sens pour apporter mon aide aux personnes blessées.
[ ] Perdu connaissance. Tout simplement.
[X] Ris.

Sur l’île, quand une nouvelle journée débute, je sais que je vais…
[ ] Dormir. Bronzer sur la plage. On verra si au bout d’un moment, il me reste du temps pour faire quelque chose.
[ ] Aller chasser, puiser de l’eau et rendre visite à mes voisins pour voir si tout va bien.
[X] Je sais pas ce que je ferai demain. On verra bien. Après tout, c’est le principe même du lendemain, non ?

Les Hostiles, pour moi c’est juste…
[ ] Des abrutis qui se croient plus forts que ce qu’ils ne sont. Qu’ils viennent un peu me chercher des poux.
[ ] Des menaces ambulantes contre lesquelles il faut toujours être prêt.
[ ] Les quoi ?
[X] Mes confrères, ma famille de dégénérés.

Internet, un lit douillet ou une bonne douche sont des concepts bien lointains…
[X] Au final je me suis habitué(e) à cette vie bien plus vite que prévu.
[ ] C’est carrément pas possible. J’essaie, mais rien n’y fait, mon confort me manque énormément.
[ ] Des fois j’y pense, d’autres non. Ce serait cool, de temps en temps, de retrouver un semblant de confort, et d’intimité.

Un bateau s’approche et semble sur le point de voir la présence des habitants de l’île.
[ ] Je saute dans tous les sens, fais un feu énorme, hurle à m’en casser la voix : y’a pas moyen, je quitte cette île !
[ ] J’attends de voir ce que font les autres, après tout, faut toujours se concerter, non ?
[X] A vrai dire, j’me suis plutôt bien habitué à cette vie, donc je fais probablement semblant de pas avoir vu de bateau.

C'est nouveau, il y a des voisins, une autre île, l'Hydre...
[ ] Soyons tous potes, plus on est de fous, plus on ~~rit~~ survit !
[ ] Evitons tout contact, chacun reste dans son coin, comme ça pas de problèmes.
[X] Faisons la guerre et exterminons-nous, que les meilleurs gagnent !

« A quoi bon vivre, étant l'ombre de cet ange qui s'enfuit ? A quoi bon, sous le ciel sombre, n'être plus que de la nuit ? »
• Relationship’ :

Love : Le seul que tu es jamais aimé est celui qui t'a trahit. Celui pour qui tu aurais tout abandonné t'a simplement planté dans le dos pour te scarifier d'une si jolie plaie. L'adultère. Tu l'aimais et il t'a baisé de la pire manière. Fenner. Son nom te fait oublier ton atrocité, mais tu ne saurais jamais le pardonner.
Family : Famille? Tu l'as tué depuis bien longtemps.
Friends : Tu ne t'attardes pas vraiment sur les rapprochements. Tu es comme ça frigide, limpide. Glaciale. Pourtant il y a quelques exceptions à la règle. Deux visages familiers qui serait réanimer ton coeur défait. L'un répondant au doux nom de Jersey, l'autre Sydney.
Ex : Tu t'es dévouée à un seul homme et cet homme t'a blessé.
Hate : Il y a bien cette fille que tu méprises car elle tourne un peu trop autour de ton mari. Olympe. Cette usurpatrice rêverait de pouvoir se coltiner ton dulciné mais tu n'es pas vraiment de cette idée malgré les faits.
Other : Il te détestait, tu le haïssais. Azazel. Il te coltinait, t'accuser d'avoir changer son frère mais tu n'étais en rien l'origine de sa mutation. En tant que monstres vous vous étiez bien trouvés. Mais depuis que votre couple bas de l'aile, tu t'es rapprochée de ce demeuré pour rendre jaloux Fenner, cependant, au final, tu risques de te faire prendre à ton propre jeu.

sinan bah en vrai, moi j'suis Jean Claude ✕ en réalité j'ai 140 ans ✕ j'habite du côté de la racaille et du béret ✕ sur TI, vous m'verrez souvent ✕ il m'semble que j'ai connu le forum par par Jackie et Michel ✕ ce qui m'a plu, c'est rien✕ le personnage que je vais jouer, il tue, en fait c'est un pv✕ j'lai choisi car : je suis faible. ✕ j'vais d'ailleurs m'empresser d'aller recenser mon avatar ici ✕ j'ai/j'ai pas d'autres comptes ✕ puis comme j'suis sage, j'ai lu&signé le règlement ~~ou pas~~, et j'vais peut-être même demander un parrainage là si jamais j'me sens perdu(e) ✕ allez j'finis en vous disant : vous êtes moches .

r'welcome, londy~~pipii~~' miam

mortel choix d'pv, c'perso est diiingue #22

& #teamvillains (a) bon courage pour ta fiche <3

Rebienvenue.

R'bienvenue et bon courage pour ta fiche yihii

HARLEY QUIIIIIINN gaga

Re-bienvenue wahh

Rebienvenue parmi nous bounce

Margot elle est sesky ! gaga

~~j'peux plus attendre j'veux voir suicide squad~~

sinon j'ai hâte que tout ça commence, j'ai hâte que tu me montres comment faire niark

-miss«m»sortdececorps-

rebienvenue monboubou préféré hon

Eulacaca < totalement margot+harley = la fin de mes ovaires humm

merci ma jolie #22

et c'est pour ça que je l'ai choisi héhéé

#badforthewin

Lydia < Merci bien #36

Mina < Danke #44

Edan < CETTE DEESSE MÊME zenn

Merci

Chris < Cimer Albert hourraa

Dada < Pire que seksy même

~~moi aussi~~ la schizophrénie c'est mal (ou l'hôpital qui se foutait de la charité mdr)
bientôt mon enfant, bientôt !!! gaga

Merci bien mon bébé chat cuute

Robbie

Rebievenue, choukette hiii

Merci bien bichette bubulle

~~encore, gosh, tu cherches l'attention là~~

London M. VanDuncan a écrit:: la schizophrénie c'est mal

COMME TU ES BONNE !!
re-bienvenue parmi nous avec ce perso' de dingue

wow quel très bon choix notre belle london re'bienvenue parmi nous avec c'scéna' bon courage pour cette nouvelle fiche de présentation & amuse toi bien avec elle chez les hostilous

Re bienvenue waiit

Jeremiam < T'as vu comment je suis belle ~~encore~~

~~C'est faux~~ Merci bien caribou de mes deux cuute

Tina < chuuuuuuut What a Face

Danke boudin bubulle

t'inquiètes pas pour ça niark

Tyty < je sais je te fais jouir What a Face

Merci love!!!!

Jace < iwantyou

Merci

Suzie < Je pouvais pas passer à côté de la belle London ! Merci ma belle et j'y compte bien gaga

Hayley < Merci mygosh

Fiche terminée calinou

REBIENVENUUUUUUUUUUUUUUUUUUUE POWAAAA papilloon

toujours à prendre des avatars de fou et des persos géniaux waiit

, hâte de voir ce que tu vas en faire comme toujours mad

valide

✎ félicitation pour ta validatiion
c'est parti, tu vas pouvoir commencer à jouer <3 tu peux dès à présent poster ta fiche de liens, mais aussi ton journal de bord, ta demande de logement, de job... tu peux aussi créer des relations prédéfinies du côté des scénarios ou de la banque de liens (: et tu as une partie pour gérer tes rps et notamment recenser tes points au fur et à mesure ♥ en plus, ça tombe bien, en ce moment on a une catégorie spéciale pour compter les jours avant l'anniversaire du forum ~~8 ans déjà~~ : animations, rps loufoques, défis, flood, quizz, soirées... oukayy

enfin, rejoins-nous aussi sur la chatbox héhé, dans les jeux, et viens voter pour TI yeah <3 ~~puis si t'es encore un peu perdu, tu peux demander un petit parrainage hein, et si ce n'est pas déjà fait, pense à recenser ton avatar~~ (a) allez j'te laisse aller poser tes bagages parmi nous (et c'est que tu peux t'étaler partouut) voilà, n'hésite pas si tu as des questions, et amuse-toi bien mon lapin #22

(#) Sujet: Re: Don't be sad, just be mad ( london )