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Anonymous
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Je fais le mort, je fais le fier, je fais celui qui existe mais dans l'ombre du miroir je ne vois que du triste.  (isaac ) Vide
Message(#) Sujet: Je fais le mort, je fais le fier, je fais celui qui existe mais dans l'ombre du miroir je ne vois que du triste. (isaac ) Je fais le mort, je fais le fier, je fais celui qui existe mais dans l'ombre du miroir je ne vois que du triste.  (isaac ) EmptyLun 11 Mai - 2:18

❝ Isaac N-W. McAllister ❞ Feat Patrick J. Adams ;
depuis que j'suis gosse, on m'appelle Is’ ou Noa ✕ j'ai déjà 26 piges ✕ je suis née le 24 juin 1989 dans un endroit nommé Santa Fe ✕ j'ai déjà été avocat ✕ actuellement je suis légèrement paumé ✕ dans la vie d'tous les jours, on me décrit comme compréhensif, réfléchi et franc , mais aussi très manipulateur, impulsif et dépendant ✕ j'aime par-dessus tout courir sous la pluie, oublier mon quotidien de lâcheté à travers diverses occupations, observer les gens pour les analyser. ✕ je déteste encore plus assumer mes responsabilités ✕ personne ne le sait, mais mon passé est trouble ✕ je me distingue par une cicatrise dans le creux de l’épaule ✕ j'avoue, mon orientation sexuelle est plutôt hétéro✕ puis en c'moment t'façon j'suis célib ✕ vous me trouverez dans la team des Gammas , car : ce bateau tu ne pouvais pas le laisser passer. ✕ et je porte aussi le rang des Meneurs parce que : j'ai un problème avec le contrôle, j'aime pas trop me laisser aller pour me retrouver sans équilibre, sans stabilité.


    ©️ Sevenways
Merder, abandonner, sombrer...Facile à escompter, difficile de sortir d'un tel procédé. Trois étapes si aisées, perfides par leurs méfaits. Une triste réalité, mélancolique vérité. Chuter à force de regrets, la déception s'alimentant de ce coeur froid, de cet esprit las. La liberté se trouvant à travers les échappatoires, les fuites vers d'autres endroits. Mais toi t'es là, agité en cette soirée humide où la pluie vient vanter sur les baies vitrées des larmes salées. Tu les scrute d'un oeil discret, recroquevillé dans le coin de la pièce, les jambes serrés, les doigts tremblant, tenant un paquet opaque. Tu joues avec, te triturant, ton fric sale s'étendant sur le sol gelé. Ton souffle s'essouffle, tes prunelles sont dilatées, tes pensées toutes dirigées vers cette dispute qui avait éclaté en pleine matinée. Ta mère, cette paumée que la vie dévorait, elle l'avait trouvé ton sachet plastique dans ta veste, les faits s'accumulant sur ta médiocrité. Drogué! Voilà ce qu'elle avait dit. Sa voix retentissait encore dans ton crâne vide, alors que tu te grattes le bras comme pour effacer les saletés de piqures, qui marque ta peau à vif. Tu te sens sale, tellement sale. Te rappelant la réplique salé que tu lui avais offert face à cette insulte qui n'était que pure vérité. Si seulement... La porte avait claqué, les yeux s'étaient embués de sanglots dégueulasses de sentiments. Et toi tu t'étais barré avec ta fierté mal placée, abandonnant cette femme qui s'était appliquée à faire de toi cette pourriture soignée. Un homme pourri jusqu'à la moelle, avide d'avarice et de luxure. Tu ne peux t'empêcher de réprimander un rire ironique alors que tu détournes ton regard vers la baignoire, qui était empli de ces fameux petits sachets. Si seulement... Drogué mais pas que... Tu te dégoutes toi même de ta pathétique existence. Rends service à tout le monde veux tu, suicides toi, ça ira plus vite. Voilà ce que t'avais dit. Des mots acides, injustes, semblant être plus destiné à ta propre petite personne qu'à celle qui t'avais fait naître, malgré la pression d'un bâtard obstiné. A croire que tu avais récupéré plus de ces gênes. Cette pensée t'horripile, alors que tu ne supportes plus le silence pesant. Ce silence violent, omniprésent qui ramène à la surface tous tes problèmes. Tu ne le supportes plus, tu te supportes plus. Tu dérapes, tu l'ouvres puis tu attrapes l'ensemble des cachets restant dans le sachet. Et le silence semble contrefait soudainement. Et tu refais les mêmes conneries inlassablement. Un, puis deux. Peut être même un troisième. Tu ne comptes plus le nombre que tu as avalé, trop absorbé à te défoncer. Médocs, comprimés, pilules... Tu es accroc comme un gosse à ses bonbons. Sauf que toi ton bonbon est pas aussi acidulé, juste assez sucré pour te pourrir la santé. Mais c’est plus facile de consommer que de se stopper, alors tu continues de t’enfoncer. Injection, ingurgitation … Rêve ou réalité. Tes limites sont faussés, et tu te sens si léger. Tellement léger. Ca te fais limite oublier le connard que tu es, un avocat réputé et pourtant un tel enfoiré. Tu aurais peut être du retourner voir ta mère à Santa Fe elle aurait pu t’aider à lutter contre cette dépendance qui faisait de toi un damné de pêché. Mais pourtant tu t'étais précipité dans cet avion à la place de te faire pardonner. Tu as fui comme tu l'as toujours fait, les responsabilités restant le seul ennemi dont tu veux t'échapper.


Première crise après l'arrivée :
Tu marches, tu coures, tu frappes, tu lâches. Prise, contrôle overbooké. Crise de panique. Crise de vertige. Tu trembles, tes doigts cherchent une ancre. Blanc, puis rouge. Ton visage se délabre et s'efface derrière la sueur de ton front. Tu tombes et t'effondres. Ton souffle se saccade et se broie dans tes poumons vide, creux de cet air si précieux. T'as l'impression de crever et pourtant la vie ne fait que de te narguer. De ta dépendance, de ton accoutumance. Tu es loin maintenant, tu n'as plus les pilules qui faisaient te sentir mieux. Tu es seul, las et abandonné. Comme à la naissance par ce père si orgueilleux. Tu es vide et pourtant t'as des litres à gerber. Et tu sombre sur ce sol humide, les yeux clos et le coeur origine de tourment dépendants. Elle te manque, ta drogue, elle te condamne à des mois de sobriété. Puisque tu as tout perdu, tu es juste largué dans un monde trop grand où la société ne semble plus qu'un souvenir désorganisé. Tu es là et t'y resteras pendant des jours, des semaines et des années. Loin de douter que l'enfer avait un goût aussi âpre sur ta langue en manque d'acidulé.

Retour à NY:
Retour au source. Les origines de tes pêchés. Les choses ont changées. Clic clac. Un flash. Tu clignes les yeux peu habitués. Ton corps est là et pourtant ton esprit est encore à des milliers de kilomètres, toujours sur cette île où tu t'étais crashé. Les paparazzis continuent de prendre des photos à la volée, excités par cette arrivée soudaine de spécimens tout les uns plus particuliers que les autres. Des bêtes de foires. Des expériences que la précarité avait façonnées. Tes yeux ne lâchent pas cette poupée de cire à quelques mètres de toi. Danger! Tu te recules et tu manques de te vautrer, pourtant tu restes stable, te rattrapant sans te faire trop remarquer. Elle, la jolie, elle, la brisée, elle, la vulnérable, elle, la meurtrière. Elle... Son nom te revient pas, mais tu n'arrives pas à détacher tes prunelles, absorbé. Clic clac! Putain ! Tu dérives... Souvenirs, souvenirs. Nuit agitée, flot démonté. Oublier, effacer, non ça tu peux pas ça reste ancrer. Les atrocités, la panique, le froid, la solitude,... Tu n'es plus là bas, tu es ici. L'île... Ce paquebot... Tout s'emmêle, tout devient trouble. Tu as envie de vomir. Tu trembles derechef. Saleté de faible! Faut que tu fumes! vite! Une clope. Alors tu te casses, tu essayes de fuir les lumières éphémères qui t'aveugle. Mais c'est impossible, ils sont partout. Et sans vraiment comprendre ce que tu fais, tu te retournes et bam l'impact. Elle... Encore. Tu la fixes quelques secondes impassible, et tu la détournes avec une froideur étonnante. Le désir se mutant en ignorance. Tu ne ressens rien à part ce vide en toi, tu es juste creux de tout émotion. Mort d'une certaine manière, absent. L'île t'a pris ta précieuse humanité, ne te laissant plus que les cendres d'un passé fumant.

Tout a changé, tout ne sera jamais plus pareil...

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Quand on s'est soudain retrouvés sur cette île, j’ai immédiatement…
[ ] Tenté de retrouver mes proches. On n’est définitivement rien tout seul, surtout sur une île déserte.
[X] Couru dans tous les sens pour apporter mon aide aux personnes blessées.
[ ] Perdu connaissance. Tout simplement.

Sur l’île, quand une nouvelle journée débute, je sais que je vais…
[ ] Dormir. Bronzer sur la plage. On verra si au bout d’un moment, il me reste du temps pour faire quelque chose.
[ ] Aller chasser, puiser de l’eau et rendre visite à mes voisins pour voir si tout va bien.
[X] Je sais pas ce que je ferai demain. On verra bien. Après tout, c’est le principe même du lendemain, non ?

Les Hostiles, pour moi c’est juste…
[X] Des abrutis qui se croient plus forts que ce qu’ils ne sont. Qu’ils viennent un peu me chercher des poux.
[ ] Des menaces ambulantes contre lesquelles il faut toujours être prêt.
[ ] Les quoi ?

Internet, un lit douillet ou une bonne douche sont des concepts bien lointains…
[ ] Au final je me suis habitué(e) à cette vie bien plus vite que prévu.
[ ] C’est carrément pas possible. J’essaie, mais rien n’y fait, mon confort me manque énormément.
[X] Des fois j’y pense, d’autres non. Ce serait cool, de temps en temps, de retrouver un semblant de confort, et d’intimité.

Un bateau s’approche et semble sur le point de voir la présence des habitants de l’île.
[X] Je saute dans tous les sens, fais un feu énorme, hurle à m’en casser la voix : y’a pas moyen, je quitte cette île !
[ ] J’attends de voir ce que font les autres, après tout, faut toujours se concerter, non ?
[ ] A vrai dire, j’me suis plutôt bien habitué à cette vie, donc je fais probablement semblant de pas avoir vu de bateau.

C'est nouveau, il y a des voisins, une autre île, l'Hydre...
[ ] Soyons tous potes, plus on est de fous, plus on rit survit !
[X] Evitons tout contact, chacun reste dans son coin, comme ça pas de problèmes.
[ ] Faisons la guerre et exterminons-nous, que les meilleurs gagnent !

« Et quand il aura crevé, son enfer aura un gout de paradis tellement il aura dérouillé. »

Relationship’ :
Love : T’y crois pas vraiment à ce sentiment si fort , cette émotion qui étourdit et ravage le corps pour embrumer l’esprit. Même ça te dérange, sans doute parce que ça t’effraye plus que ça éveille ta curiosité. Alors dès que tes relations deviennent trop sérieuses, tu te barres comme le sale enfoiré que t’es. Préférant la facilité à la difficulté.
Family : La famille, une chose que tu as eu, abandonné à la naissance par un père absent, tu as appris à vivre sans cet amour si bénéfique, te débrouillant tout seul comme tu l’as toujours fait avec une simple mère pour t’aiguiller dans cette vie de cruauté.
Friends : Des visages si particuliers qui éveillent tes pensées, qui réaniment ton visage contrefait, un sourire s’égaillant sur tes lèvres pour te faire oublier ta vie de captivité. Seulement, ces visages outrepassés vont s’effacer en même temps que l’île et ces dangers.
Ex : Quelques unes par ci par là sans réelle importance, des jeunes femmes dans la plupart du temps en mal d’amour, soit tu leur rends service soit tu les engouffres. T’es pas du genre adorable, toi, t’es plutôt un de ces cons qui couchent pour mieux larguer par la suite. Ta peur de l’amour, ton détachement,… Pourtant, il y en a certaines qui résistent. Une en particulier.
Hate : Haïr est si facile surtout vu ton caractère de merde. T’es incompréhensible dans ton genre alors les gens te comprennent pas et ne cherchent pas à comprendre.
Other : Cette fille, on dirait qu’elle te suit et disons la vérité, ça t’effraye. Tu as remarqué ce regard dans ces yeux, tu as remarqué sa présence dans ce paquebot et le fait qu’elle te scrute comme une proie à dévorer. Elle est jolie cette femme, elle est même très belle, mais elle est étrange, son corps est parsemé de diverses cicatrises. Et bon Dieu, tu vas pas affronter une fille comme ça, t’es pas prêt, t’es pas comme ça. Seulement celle ci est perspicace et elle ne lâchera pas, pire elle compte t’achever et tu n’en as absolument aucune idée.

sinan bah en vrai, moi j'suis Billie / Fa ✕ en réalité j'ai 19ans ✕ j'habite du côté de Marseilleuh ✕ sur TI, vous m'verrez 7J/7 ✕ il m'semble que j'ai connu le forum par le pape ✕ ce qui m'a plu, c'est toujours aussi parfait ✕ le personnage que je vais jouer, il tue, en fait c'est un inventé de vrai de vrai (hallejulah) ✕ j'lai choisi car : il sort de mon crâne. ✕ j'vais d'ailleurs m'empresser d'aller recenser mon avatar ici j’ai énormément d'autres comptes ✕ puis comme j'suis sage, j'ai lu&signé le règlement ou pas, et j'vais peut-être même demander un parrainage si jamais j'me sens perdu(e) ✕ allez j'finis en vous disant : BOOMCHIKAWAWA héhéé .
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Jeremiah G. Archer
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❝ Success. × Forget the burdens of the past ₪ ❞
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× Ma Célébrité : Dylan O'Brien × Nombre de messages : 2394 × Age du perso : vingt-et-un × Job : bonne question ! × Côté love : nada, que dalle, le vide. (sauf peut-être une petite lueur, parfois) Je fais le mort, je fais le fier, je fais celui qui existe mais dans l'ombre du miroir je ne vois que du triste.  (isaac ) Tumblr_oaoz7zIgbW1rspleuo5_250


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Message(#) Sujet: Re: Je fais le mort, je fais le fier, je fais celui qui existe mais dans l'ombre du miroir je ne vois que du triste. (isaac ) Je fais le mort, je fais le fier, je fais celui qui existe mais dans l'ombre du miroir je ne vois que du triste.  (isaac ) EmptyLun 11 Mai - 3:04

    Rebievenuuuue, Lys elle a bien changé, dit donc. futfut
    Amuse-toi bien et tu m'auras dans les pattes bientôt pour des liens héhé. héhéé
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Eulally W. Austen-Jameson
» Eulally W. Austen-Jameson "
ADMIN Speedy. × Tell me your dreams ♧ ❞
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× Ma Célébrité : elizabethCUTIEolsen. × Nombre de messages : 2408 × Age du perso : 23 yrs-old. × Job : ex-étudiante à berkeley ; étudiante à colombia. × Côté love : lui, mon presqu'fiancé. #catindesbois.


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Message(#) Sujet: Re: Je fais le mort, je fais le fier, je fais celui qui existe mais dans l'ombre du miroir je ne vois que du triste. (isaac ) Je fais le mort, je fais le fier, je fais celui qui existe mais dans l'ombre du miroir je ne vois que du triste.  (isaac ) EmptyLun 11 Mai - 11:12

    oh waii c'est fun de t'voir avec c'te bouille ooo r'bienvenue, chouw' heeyy
    en plus tout est parfait, donc bah yeah j'te valide, m'sieur l'avocat <3
    puis amuse-toi bien encore à new-york avec les gamma et avec lula
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Aliyah-Maelys E. Delford
» Aliyah-Maelys E. Delford "
ADMIN Crazy. × It's only the beginning ღ ❞
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× Ma Célébrité : adelaide kane c: × Nombre de messages : 642 × Age du perso : 21 ans - née en 1994 à dallas × Job : était étudiante à l'université de NY & serveuse au starbucks le reste du temps × Côté love : lui, depuis toujours Je fais le mort, je fais le fier, je fais celui qui existe mais dans l'ombre du miroir je ne vois que du triste.  (isaac ) Tumblr_o0hpe1jzyk1qbahz2o6_250


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Message(#) Sujet: Re: Je fais le mort, je fais le fier, je fais celui qui existe mais dans l'ombre du miroir je ne vois que du triste. (isaac ) Je fais le mort, je fais le fier, je fais celui qui existe mais dans l'ombre du miroir je ne vois que du triste.  (isaac ) EmptyMar 12 Mai - 13:10

  • r'welkkk' parmi nous, avec c'perso trop beau miam
    bon jeu chez les gamma & puis à new-york héhé #44
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» Invité "
❝ Invité ❞


Je fais le mort, je fais le fier, je fais celui qui existe mais dans l'ombre du miroir je ne vois que du triste.  (isaac ) Vide
Message(#) Sujet: Re: Je fais le mort, je fais le fier, je fais celui qui existe mais dans l'ombre du miroir je ne vois que du triste. (isaac ) Je fais le mort, je fais le fier, je fais celui qui existe mais dans l'ombre du miroir je ne vois que du triste.  (isaac ) EmptyMar 12 Mai - 14:30

tu m'tues à chaque fois avec tes persos, tes fiches et tes titres. dead
r'bienvenuuue ici bg hors contexte, j'avoue c'est chelou ; j'te souhaite un bon jeu à nyc, et évidemment, garde-moi un lien, uesh. bubulle
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Anonymous
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❝ Invité ❞


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Message(#) Sujet: Re: Je fais le mort, je fais le fier, je fais celui qui existe mais dans l'ombre du miroir je ne vois que du triste. (isaac ) Je fais le mort, je fais le fier, je fais celui qui existe mais dans l'ombre du miroir je ne vois que du triste.  (isaac ) EmptyMar 12 Mai - 16:35

Jeje < Je me trouve plus mignonne comme ça /pan/
Merci mon p'tit chat cuute

Eula < Danke ma belle & j'y compte bien wait

Ali < Merci ma belle bubulle

Aron < Promis, juré c'est pas fait exprès ouhh
très étrange What a Face mais merci bien et évidemment que je t'en garde un bwaa

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Message(#) Sujet: Re: Je fais le mort, je fais le fier, je fais celui qui existe mais dans l'ombre du miroir je ne vois que du triste. (isaac ) Je fais le mort, je fais le fier, je fais celui qui existe mais dans l'ombre du miroir je ne vois que du triste.  (isaac ) Empty

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