❝ Camille-Clovis Macallan ❞ ♦ Feat Richard Harmon ;

depuis que j'suis gosse, on m'appelle Cam, Camillou, Cloclo ✕ j'ai déjà 19 piges ✕ je suis née le 19/09/1995 dans un endroit nommé New-York ✕ j'ai déjà été chômeur et sans avenir ✕ actuellement je suis glandeur professionnel de compétition et petite crapule de l'ïle ✕ dans la vie d'tous les jours, on me décrit comme Arrogant - Honnête - Téméraire , mais aussi très Bagarreur - Naïf - Blessant ✕ j'aime par-dessus tout manger des cochonneries, glander à tout bout de champ, créer la zizanie, se battre, les lutins de la forêt ✕ je déteste encore plus les personnes trop gentilles et les groupes solidaires, les animaux à l'exception des rats, les bisounours ✕ personne ne le sait, mais j'aime me curer le nez, comme tout le monde non ? ✕ je me distingue par mon nez et mon visage assez atypique ✕ j'avoue, mon orientation sexuelle est plutôt tout et rien à la fois ✕ puis en c'moment t'façon j'suis en couple avec moi même ✕ vous me trouverez dans la team des Sigma , car : a ton avis j'ai l'air d'un ange ? ✕ et je porte aussi le rang des rebelles parce que : parce que, si tu n'es pas d'accord je te mets mon poing à la figure ! (xD)

eriarnis.

Camille-Clovis ouvrit les yeux. La lueur du soleil lui avait éclairci son visage. Encore une journée qui était en train de se lever sur l'île où il avait échoué depuis maintenant deux ans. Alors qu'il mit sa main devant son visage, une mouette le survola et déféqua sur lui.

« Fais ch*er m*rde ! Saloperie de mouette si je t'attrape tu finiras sur le feu !!! »

Hurla-t-il comme si la mouette allait lui répondre ou retourner dans sa direction pour s'excuser. Il grimaça en regardant sa main, encore une journée de m*rde...comme toutes les autres depuis qu'il a dix-neuf ans. Déjà, sa vie de m*rde avait commencé dès sa naissance. Sa mère voulait une fille alors quand elle accoucha d'un garçon, cette dernière l'appela : Camille ! Son père en avait rajouté une couche en lui donnant le prénom de son grand-père : Clovis, un prénom de vieux qui sentait déjà la terre battue d'un cimetière. Pour couronner le tout, Camille portait le nom d'une marque de Whisky : Macallan. La marque de Whisky pourrait être flatteur, si sa mère ne buvait pas comme une ivrogne du matin jusqu'au soir. C'était sa « bibine » comme elle le disait si bien à Camille. Il lui ait déjà arrivé de mettre un peu d'alcool dans le biberon de son fils, parait-il « ça calme les bébés ». Rah, sa Simone, sa mère, qu'est-ce qu'il l'aimait ! Elle pouvait en dire des conneries à la minute quand elle buvait, mais c'était marrant et puis elle le laissait vivre sa vie, c'était cool ça aussi. S'était sans doute la seule personne qu'il regrettait dans ce trou pommé, perdu en plein cœur de l'océan. D'ailleurs, il n'avait plus de nouvelles d'elle depuis ses treize ans...la faute aux services sociaux envoyé par ce maudit lycée chez ses parents. Certes, Camille-Clovis n'était pas un grand travailleur, c'était même un branleur comme son père, mais le renvoyer parce qu'il était la « petite racaille », « un perturbateur », « un trublion » et même « le petit con » du lycée, c'était de la pure bêtise. Il n'aimait pas l'école depuis toujours. La première fois qu'il y mit les pieds, il en avait pleuré toute la journée. Camille n'avait jamais compris pourquoi s'était tellement utile de connaître la racine carré de 4 ou encore de connaître le règne d'un roi qui est mort depuis longtemps ? Sa mère et son père aussi pensaient la même chose. Son père, Johnny était au chômage depuis bien trop longtemps. Tellement longtemps que Camille-Clovis n'avait jamais su ce qu'il faisait avant de l'être. Cela lui permettait d'ailleurs, lors de la fameuse question : Que font tes parents dans la vie ? De répondre que son père était un astronaute, tantôt un gangster qui braque les banques ou encore un explorateur au fin fond de la forêt amazonienne. Bien évidemment, les professeurs ne le croyaient jamais mais ses petits camarades oui.

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Clovis se leva en grognant et en donnant un coup de pied dans un cailloux, il se dirigea vers le ruisseau non loin de la grotte des hostiles pour se rincer la main et surtout ses mitaines. Le jeune homme portait un look assez marginal. Il avait volé des affaires à un militaire mort sur l'île puis il avait récupéré par-ci par là des vêtements assez sombres. On pourrait le confondre avec un gothique ou un jeune militaire en train de faire sa crise de rébellion. En frottant le tissu dans l'eau avec acharnement, Cloclo se remémora sa vie passée à New-York. Ses parents vivaient dans le Bronx, il connaissait un grand nombre de délinquants de son âge, mais également des boss enfin c'est comme ça qu'il les appelait pour désigner leurs dealers et autres. Camille était recruté par eux. Il avait besoin de tune pour s'acheter des clopes, aider Simone à avoir sa « bibine » ou encore payé à Johnny un match de base-ball. Jamais, il n'avait fait cela par contrainte, il adorait la rue, ses « potes » avec qui il faisait des délits. Il aimait se sentir libre, être au-dessus des lois. Camille-Clovis se sentait dans son élément et pas comme à l'école. Il ne faisait que de changer de lycée et empirait son cas. Justement, à ses treize ans, lorsque les services sociaux l'enlevèrent de ses parents, Camille fut envoyé dans un foyer pour des adolescents en difficultés. Là-bas c'était comme la rue, il y avait les mêmes gueules, le même trafic à l'exception qu'ils avaient un bouffon pour les surveiller et plaisanter avec eux. Lui qui n'avait jamais eu ses parents sur son dos, ne se sentait pas libre. Alors, Camille s'était juré de faire vivre un enfer à son référent. L'adolescent s'amusa à lui rendre la vie impossible que ce soit en lui crachant au visage, en démontant les meubles, en mettant la musique à fond etc. Il avait tellement faire de conneries avec ce mec qu'il pourrait écrire des Essais comme cet homme là...comment il s'appelle déjà ? Ah oui comme Michel Montagne...ou Montaigne, un nom qui rappelle la nature, peu importe. La pire chose qu'il est pu faire à son référent, ce fut de sortir avec la fille de ce dernier. Elle avait le même âge que lui...Marissa...elle avait l'apparence d'un ange mais il n'en était rien. La jeune fille fumait et buvait comme tout le monde, elle fréquentait même des gens du centre dont Camille. D'ailleurs, ils eurent leur première fois ensemble. Première fois qu'il se rappelle comme si c'était hier puisque son père les a découvers et ce n'était pas joli à voir ! Son référent le fit sortir du lit en vitesse et se mit à le battre. Clovis ne s'était pas laissé faire et Marissa ne savait plus où se mettre. Résultat de ce jour, il ne vit plus jamais Marissa et il se vengea en portant plainte contre ce dernier. Après tout il n'avait pas le droit de le frapper non ? Camille eut d'autres référents, tous ne restèrent pas bien longtemps à le référer.

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Après avoir nettoyé ses mitaines, Camille-Clovis se dirigea vers la plage. Il aperçu un des hostiles errer sur son chemin. En croisant son regard, le jeune homme lui tira la langue avant de continuer sa marche. Il aimait rendre chèvre les gens qu'il croisait, y compris le groupe qui l'avait recueillit. Ils étaient aussi pommé et aussi seul que lui. Aller chez les hostiles, c'était comme être recueillit par une famille. Une famille que l'on ne veut pas, mais comme on a pas le choix on en profite. Camille avait eu le droit à une nouvelle famille à New-York. Un couple de p'tits vieux. Au foyer, il arrivait d'avoir des visites de personnes à la recherche d'un adolescent à cajoler. Un papy et une mamie étaient venus pour trouver le petit fils idéal ou le fils idéal. Clovis était à moitié assis sur le canapé de la salle de détente. Ses pieds sur le canapé pour ne laisser personne s'approcher de lui. Son attitude réussit à attirer l'attention du papy qui lui demanda : « Tu arrives à vivre avec un nez pareil ? » , Camille le dévisagea avant de rétorquer de manière spontanée : « Et toi prêt à manger des pissenlits par la racine ? ». Si cet échange choqua la petite mamie, le fameux papy en question se mit à rire avant d'aller parler à d'autres adolescents. Quelques jours plus tard, Camille-Clovis fut adopté par ces derniers. L'adolescent ne s'était pas attendu à ça, il n'avait rien fait pour être chaleureux envers eux. Camille se retrouva alors dans une maison résidentielle dans la banlieue de New-York. Le quartier était calme, un quartier de vieux en somme. Dans cette maison, Clovis avait une chambre à lui qu'il pouvait décorer à sa guise et de nouveaux vêtements comme des polos, des pantalons en toile. Cette vision lui donnait envie de vomir, lui habillé en petit bourge ? Il ne serait pas crédible. Pourtant, il commença à faire des efforts. Il s'habilla avec ses nouveaux vêtements, se coiffa en mettant la raie sur le milieu et enleva son maquillage. Camille-Clovis resta angélique pendant.......huit heures ! Quand mamie le retrouva, Camille avait les cheveux en bataille, il avait sali ses vêtements et il mangeait des chips. La vieille dame était désespérée tandis que papy était amusé. Pour la petite anecdote, ce vieil homme s'amusait à l'appeler : « Cloclo » trouvant que le surnom lui allait bien. Camille qui n'aimait pas ce genre de surnom apprécia bizarrement. Il faut dire que papy était un homme bien, il savait être un bon vivant et profiter de la vie. Le jeune homme l'écoutait plus que mamie, peut-être parce qu'ils faisaient les quatre cents coup ensemble. Camille se sentait bien chez eux tout comme il l'était chez ses parents. D'ailleurs, il pouvait appeler Simone et Johnny. Il leur donnait de ses nouvelles. Bordel qu'est-ce qu'ils avaient bien ri quand il leur avait raconté qu'il s'était habillé en petit bourgeois. Sa mère lui avait dit qu'il allait maintenant ch*er comme un vrai petit bourgeois à force de fréquenter ces gens avant de se mettre à pleurer car Camille-Clovis lui manquait. Simone avait sans doute dû boire sa bibine puisque entre ses pleures, il pu entendre un « glouglou ». Sa mère semblait pleurer car sa « fille » lui manquait. Bien évidemment, elle en oubliait qu'il était un garçon quand elle buvait beaucoup trop. Quoi qu'il en soit, il lui promis qu'il ne changerait pas et ne les oublierait pas. En effet, rien ne changeait, il continuait à voir en douce ses mauvaises fréquentations. Papy avait beau le punir, lui faire la morale, il ne pouvait pas l'écouter, il aimait le goût du risque, du danger. Mais voilà à force de prendre ses risques, il se retrouva plusieurs fois au commissariat. Un coup il y était pour drogue, un coup pour vol, une autre fois pour bagarre. A chaque fois, papy payait sa caution. Mamie le haïssait plus que tout au moment, elle lui criait souvent dessus. Camille-Clovis n'était pas prêt à changer.

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Arrivé sur la plage, il posa son cul sur le sable, les bras autour de ses jambes tout en observant la vue. Combien de temps allaient-ils rester ici ? Il avait déjà loupé un bateau, la réponse était claire non ? Il allait finir ici comme Tarzan et Jane. Pourquoi n'avait-il pas pris ce foutu bateau ? Il avait à présent dix-neuf ans, il aurait terminé en prison. Au moins ici, il avait la liberté, papy aurait aimé cet endroit. Papy aimait voyager, profiter de la vie, mais la vie l'avait pris trop tôt...enfin trop tôt pour un vieux...soixante ans....Ce jour était survenu en pleine dispute parce que Camille-Clovis avait caché dans sa chambre deux kilos de drogue. « ça va c'est rien, c'est à un ami. » « Cloclo pas à moi ce genre d'histoire, j'ai été clair. » « Papy no stress, keep cool ! Papy ?! Bordel Papy !!!! » , Papy était en train de faire une crise cardiaque. Camille le fit asseoir sur une chaise et cria à mamie. Celle-ci accouru et appela les secours. Tout se passa très vite, le temps que les ambulances arrivent, Papy ne faisait plus partie de ce monde. Sa mort fut un grand vide...Mamie le reprochait sa mort, c'était de sa faute s'il avait eu une crise cardiaque, il n'arrêtait pas de leur en faire voir de toutes les couleurs, c'est en tout cas ce qu'elle pensait. Camille fugua pendant une semaine entière sans rien prendre, il avait besoin de se changer les idées, cette mort l'avait étrangement perturbé et rendu triste. Pour passer le temps, il avait écoulé le stock de drogue comme prévu et il était allé donner l'argent à Simone et Johnny avant de traîner sous les ponts.

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Camille était pratiquement en première classe dans cet avion à croire que mamie était pressée de s'en débarrasser. Il n'avait jamais pris l'avion, c'était sa première fois. Comme un gamin, il s'amusa à appuyer sur tous les boutons, demander de la nourriture et des boissons, prendre l'avion c'était cool en fait ! Clovis était tout content, en revanche, il l'était moins en regardant la brochure du camp de Tokyo. Il se demande comment mamie en a eu l'idée et si Papy y avait songé également ? Ces Japonais n'arriveraient pas à le faire changer, ce n'était pas parce qu'ils étaient les pro de la discipline qu'il s'exécuterait. L'avion se mit à entrer dans une zone de turbulence ce qui le fit sortir de sa rêverie. Le reste de l'histoire, tout le monde la connaît, l'avion s'écrasa et ils se retrouvèrent sur une île perdue en plein milieu de l'océan. En se réveilla, il se retrouva sous les décombres, il s'y en sorti et ne réalisa pas sur le moment où il se situait. C'était surréaliste. Il avait des blessures mais rien de bien grave. Camille-Clovis ne pu s'empêcher de rire, quelle ironie du sort non ? Il devait se retrouver dans un camp et le voilà sur une île paradisiaque ! Quelques jours après le crash, Camille-Clovis fut un être à part. Il faisait partie de ces gens marginaux qui n'en avait que faire du travail de groupe ou de solidarité. Tout ce qu'il voulait c'était de profiter de la situation que ce soit pour prendre un bain de mer, profiter du soleil pour bronzer ou encore partir à la découverte de l'île. De plus, il n'arrivait pas à apprécier tous ces gens. Le courant ne passait vraiment pas, tellement qu'il lui arrivait de s'engueuler avec rescapés et même se battre. Petit à petit, Camille-Clovis se retrouva facilement isolé. Un jour plus tard, Clovis se bagarra avec un rescapé comme à son habitude. Le lendemain, on retrouva le corps de ce rescapés la tête écrasée à plusieurs reprises contre une roche ensanglantée. Tous les regards se posèrent sur Camille-Clovis qui était devenu l'homme à abattre. Les rescapés se mirent à statuer sur son sort, il était dangereux. Fallait-il l'exécuter ou l'exiler ? Son jeune age, c'est-à-dire, ces dix-sept ans pencha en sa faveur ainsi que la nature gentille des bisounours lui permit d'être seulement exilé. Camille s'exécuta, il attrapa ses affaires et s'enfonça dans la forêt. Il était contraint de partir alors qu'il n'avait à vrai dire rien fait. Néanmoins, il savait que tôt ou tard, tous se seraient retournés contre lui, il acceptait son sort. Pour survivre, Clovis se mit à chasser et à manger des insectes avant de finir par trouver la grotte des hostiles. Là-bas, il s'y sentit tout de suite à son aise. Il était aussi monstre que lui, certes, il n'avait pas encore tué, mais cela n'allait pas tarder à se faire. En effet, Clovis suivi l'exemple des hostiles, il n'avait peur de rien et il prouvait chaque jour qu'il avait la place auprès d'eux. Camille-Clovis tourna la tête et aperçu LA mouette de tout à l'heure. Il était persuadé qu'il s'agissait de celle là, si ce n'était pas le cas, elle allait morfler pour sa copine. Cam' se leva d'un bond et couru pour attraper la mouette qui s'envola sous ses yeux.

« Je t'aurais un jour ! Je t'aurais !!! »

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Quand on s'est soudain retrouvés sur cette île, j’ai immédiatement…
[ ] Tenté de retrouver mes proches. On n’est définitivement rien tout seul, surtout sur une île déserte.
[ ] Couru dans tous les sens pour apporter mon aide aux personnes blessées.
[ X] Perdu connaissance. Tout simplement.

Sur l’île, quand une nouvelle journée débute, je sais que je vais…
[ ] Dormir. Bronzer sur la plage. On verra si au bout d’un moment, il me reste du temps pour faire quelque chose.
[ ] Aller chasser, puiser de l’eau et rendre visite à mes voisins pour voir si tout va bien.
[ X] Je sais pas ce que je ferai demain. On verra bien. Après tout, c’est le principe même du lendemain, non ?

Les Hostiles, pour moi c’est juste…
[ ] Des abrutis qui se croient plus forts que ce qu’ils ne sont. Qu’ils viennent un peu me chercher des poux.
[X ] Des menaces ambulantes contre lesquelles il faut toujours être prêt.
[ X ] Les quoi ?

Internet, un lit douillet ou une bonne douche sont des concepts bien lointains…
[X ] Au final je me suis habitué(e) à cette vie bien plus vite que prévu.
[ ] C’est carrément pas possible. J’essaie, mais rien n’y fait, mon confort me manque énormément.
[X ] Des fois j’y pense, d’autres non. Ce serait cool, de temps en temps, de retrouver un semblant de confort, et d’intimité.

Un bateau s’approche et semble sur le point de voir la présence des habitants de l’île.
[ ] Je saute dans tous les sens, fais un feu énorme, hurle à m’en casser la voix : y’a pas moyen, je quitte cette île !
[ ] J’attends de voir ce que font les autres, après tout, faut toujours se concerter, non ?
[X ] A vrai dire, j’me suis plutôt bien habitué à cette vie, donc je fais probablement semblant de pas avoir vu de bateau.

C'est nouveau, il y a des voisins, une autre île, l'Hydre...
[ ] Soyons tous potes, plus on est de fous, plus on rit survit !
[ ] Evitons tout contact, chacun reste dans son coin, comme ça pas de problèmes.
[X ] Faisons la guerre et exterminons-nous, que les meilleurs gagnent !

« PHRASE DE CITATION PHRASE DE CITATION PHRASE DE CITATION »
• Relationship’ :

Love : Camille-Clovis n'a jamais connu le grand amour. Pour lui le sexe est un passe-temps, un amusement ou encore un besoin mais rien de bien sérieux pour déclarer sa flamme. Le jeune homme a toujours eu des relations sans lendemain que ce soit avec des filles et même des garçons. Pour la petite histoire, il a même couché avec des transsexuels.
Family : Il a une mère appelée Simone et un père appelé Johnny. Il n'a pas de famille sur l'île et il doit sûrement leur manqué.
Friends : Rares sont ses amis. Cependant, Camille-Clovis a un meilleur ami : Abel. Ils se sont rencontrés chez les hostiles et depuis ils font tous les coups ensemble et passe des bons moments comme des mauvais. Quand on le connaît parfaitement, Cam' est loin d'être si méchant qu'il ne le paraît et peut être une personne très fidèle.
Ex : Comme il a été dit, il n'a jamais eu véritablement de petite amie ou de petit ami, juste des aventures et des flirts.
Hate : Il ne manque pas d'ennemis comme sans doute tous les hostiles de cette île. Il n'a pas peur d'eux et s'amuse à leur faire vivre un enfer.
Other : //

sinan bah en vrai, moi j'suis Kaboom ✕ en réalité j'ai 22 ans ✕ j'habite du côté de la méditerranée ✕ sur TI, vous m'verrez 5-7/7 ✕ il m'semble que j'ai connu le forum par ça remonte il y a longtemps ✕ ce qui m'a plu, c'est tout ✕ le personnage que je vais jouer, il tue, en fait c'est un perso inventé ✕ j'lai choisi car : j'étais inspiré et que Richard Harmon est génial ✕ j'vais d'ailleurs m'empresser d'aller recenser mon avatar ici ✕ j'ai d'autres comptes ✕ puis comme j'suis sage, j'ai lu&signé le règlement ou pas, et j'vais peut-être même demander un parrainage là si jamais j'me sens perdu(e) ✕ allez j'finis en vous disant : .

Hey, re-bienvenue à toi.

J'aime beaucoup le début de ta fiche. Bonne rédaction.

J'allai dire " murphy + un personnage masculin qui porte ce prénom que j'adore: je veux un lien".
Mais vu que samuel n'est plus sur l'île .... je m'en vais déprimer. XD

Mais re bienvenue du coup.

Bon courage pour le reste de ta fiche ! ^^

Haaaaanw je suis pas validée et j'ai pas finit ma fiche (promis je vais vite le faire, me frapper pas) Mais comme c'était Richard Harmon j'étais obligé désolé

(re) Bienvenue sur le forum et surtout ... OMGAAAAAAD cet avatar, je me meurs Il faudra que tu me réserver un lien badass hein et je suis impatiente de lire ta fiche, oui du coup je te met la pression et alors !

Sur ce, bonne chance pour la fin de ta fiche, je retourne a la mienne

Merci à vous quatre

mouarf je ne sais pas si je choisis les Sigmas ou les Gammas vous me tentez tous des deux côtés je crois que je vais me faire une fin alternative le temps de méditer *out*

Sam ; Si jamais je penche pour les Sigmas on pourra toujours se faire des flash back sur l'ïle ou à NY, enfin si tu veux toujours de moi ?

Athéna' ; obligé même ! les amazones c'est la nature sauvage, Murphy ça l'est également *out* , yeah now j'ai la pression mais en allant voir sur ta fiche, j'ai constaté que j'ai fais mon mal poli en ne t'ayant pas encore souhaité la bienvenue avec un de mes persos, du coup moi aussi je vais te mettre la pression pour finir ta fiche muahahah

Bien sûr ^^
Avec plaisir o/

Super, je viendrais squatter ta fiche de lien alors

(re)bienvenue avec ce nouveau personnage on va bien s'amuser !

Merci à vous deux maintenant c'est parti pour le jeu

Honte à moi, j'ai oublié de passer ici :O

Rebienvenue &&' amuse toi bien avec ce nouveau perso

Merci Ais'

Merci Susouiiiiiiiiiiiiillle et Reine Tinou

MDR merci, j'avoue que c'est venu naturellement et yeah il nous faut un lien qui casse la baraque