» Nemo-Gregory Sumpter "
❝ Master. × Plotting to rule the world ♛ ❞ × Ma Célébrité : Taron Egerton
× Nombre de messages : 1182
× Age du perso : 21 ans
× Job : Geôlier
× Côté love : Moi-même
(# ) Sujet: nemo ◈ he grew up, he finally became a man. Ven 17 Jan - 13:41
❝ Nemo-Gregory Steve Sumpter ❞ ♦ Feat Taron Egerton ; depuis que j'suis gosse, on m'appelle
Nemo ou Greg' ✕ j'ai déjà
20 piges ✕ je suis née le
8 mars 1994 dans un endroit nommé
l'île de l'Hydre ✕ avant j'étais
un ado feinéant bon à rien ✕ sur l'île maintenant je suis devenu plutôt
un aventurier, un espion, un curieux ✕ dans la vie d'tous les jours, on me décrit comme
sérieux, malin, calme , mais aussi très
têtu, réservé, prétentieux ✕ j'aime par-dessus tout
faire du sport, fouiner sur l'autre île, embêter les prisonniers... ✕ je déteste encore plus
devoir participer aux récoltes et autres tâches emmerdantes, je ne supporte pas non plus avoir tord ✕ personne ne le sait, mais
je suis tombé sous le charme d'une captive, qui a été relâchée, et je vais tout faire pour la retrouver ✕ je me distingue par
mon visage d'ange qui en trompera plus d'un ✕ j'avoue, mon orientation sexuelle est plutôt
100% hétéro ✕ puis en c'moment t'façon j'suis
pas intéressé ✕ mais au pire, y'a toujours des
speed-datings ici ✕ sur l'île, j'suis plutôt du genre
originaire ✕ et j'agis ainsi principalement car : je suis né sur l'hydre, c'est ma vie, mon peuple, et je veux resté un de leurs meilleurs éléments.
◈ J'ai toujours été un peu discret, réservé et renfermé sur moi-même. Durant mon adolescence, j'ai eu une période où je faisais n'importe quoi et ça n'allait pas vraiment psychologiquement. Quand j'étais gamins, j'étais plutôt isolé et timide, mais avec le temps je m'étais un peu ouvert, je suis devenu moins mystérieux. Pourtant, il faut pas se leurrer, les gens ne m'apprécient pas forcément, il y a toujours des reproches à me faire : je suis trop solitaire, je me la joue trop perso, je suis égoïste, prétentieux, narcissique, arrogant... Bon ok c'est pas complètement faux. Mais c'est comme ça que je suis, c'est comme ça que j'ai appris à m'affirmer. Les Originaires sont pas des plus modestes, on joue toujours à "qui est le plus fort, le plus intelligent". dur de rester à la hauteur, d'être digne des meilleurs sur l'Hydre. Je grandis et j'aimerais bien avoir une place importante. J'aimerais bien sortir du lot. Je me souviens quand j'étais gosse, j'étais petit en taille, maigrichon, et ces gamins un peu plus grands que moi, ils avaient l'habitude de me coincer dans un coin, et ils m'insultaient, ils me cognaient. J'étais pas capable de me défendre vraiment, mais maintenant je le suis. C'est delà que me vient l'impression que sur l'Hydre, c'est une question de la loi du "plus fort". Si tu es pas malin, si tu en n'as pas dans la tête ou dans le ventre, tu serres à rien, tu es inutile, et ta vie n'a aucun sens. Ces derniers temps, je me bats fort, je me bats avec moi-même pour exister. J'ai besoin d'exister, autrement qu'en jouant les gros durs ou les couillons de première, au milieu des captifs et devant les autres originaires. J'ai besoin d'un vrai but dans la vie, j'ai besoin d'une vraie vie. Je ne vis que dans l'ombre de moi-même, je montre le visage et le comportement de quelqu'un que je ne suis pas vraiment. Mais qui pourra me voir être réellement moi, qui pourra me faire être réellement moi ? ↯ Let's start at the very beginning .
J'ai poussé mon premier cri il y a vingt ans déjà dans un hôpital de fortune sur l'Hydre. Petit garçon aux cheveux clairs et de grand yeux bleus, j'ai grandi sur cette île et ne l'ai d'ailleurs jamais quittée. Mes parents, les Sumpter, sont plutôt sympathiques dans leur genre. Membres du Conseil et d'autres rôles administratif sur l'île, je les ai énormément trouvé absents de ma vie, je dois même dire qu'ils n'était souvent pas là le soir quand j'étais enfant, c'est plutôt ma soeur, Kaylee, à peine plus grande que moi, qui s'occupait de me préparer mon goûter, puis le dîner et qui me lisait une histoire le soir avant de se coucher. On a toujours été très complices, elle a toujours su restaurer un peu de douceur en moi, je lui dois beaucoup. Et dans ces conditions, tout aurait pu très bien allé. Et pourtant, avec le temps, la situation n'alla pas en s'arrangeant, au contraire. Se rapprochant de l'adolescence, j'étais peut-être encore jeune, mais mais je peux dire que sa mère était une vraie paranoïaque. Je dis pas ça pour être méchant, mais il faut se rendre à l'évidence : mes parents sont des névrosés. Je crois que j'étais jamais assez bien pour eux, le vilain petit canard dans la cours des grands coqs . Je sais pas, ils parlaient de "risques", de "probabilité", ils disaient que si ça continuait comme ça, j'allais mal-tourner, que j'étais qu'un garnement, que j'aurais jamais l’étoffe pour prendre la relève dans leurs fonctions sur l'Hydre. Ils voyaient des problèmes partout, à un tel point que c'est au cause de leurs mauvais-dires, j'ai l'impression que j'ai vraiment commencer à déraper. Le soucis ? On était énormément de jeunes audacieux sur cette île et si je voulais me faire ma place, il fallait que je n'ai peur de rien. Pour m'en sortir, j'ai dû suivre les bandes, me faire respecter, et aussi faire comme tous les autres... Et croyez-le ou non, c'est passer par : fumer, boire, se droguer, se battre, c'était tous les noirs secrets des petits Originaires aux parents autoritaires et si peu présents. Je fus plonger en plein dedans. Et je sais pas, avec mon caractère, c'était pire chez moi. Les gens faisait ça pour s'amuser et rigoler, moi je le faisais pour l’adrénaline, pour me rendre plus fort, pour m'auto-détruire de l’intérieur. Je haïssais mes parents de m'avoir toujours rabaisser, de ne pas avoir cru en moi, et je me vengeais à ma façon. Je me souviens d'un jour, j'avais avait un problème avec un autre mec du bahut, pour une stupide histoire- ans, je m'étais retrouvé dans une arnaque dans un échange de clopes. Un groupe de jeunes me tomba dessus et finalement je fus retrouvé en fin de journée, dans les toilettes, presque battu à mort. C'est un peu grâce à cet évènement que j'ai eu envie de prendre mes distances par rapport au reste du groupe, je ne devais rien à personne, je n'avais rien à prouver. J'étais mieux seul avec moi même. Je ne serai pas un alpha ou un beta comme dans ma famille, je serai un solitaire qui suivrait sa propre voie, je serai un omega. ↯ They say you are who you hang with .
Je vais souvent sur l'île principale, fouiner un peu, elle est plus grande, plus intéressante, plus mystérieuse, c'était calme et agréable de l'explorer.Je dis "c'était", car depuis un an et demi, des intrus ont envahi l'île et on ne peut plus sy' rendre aussi librement qu'avant. Ca énerve un peu tout le monde sur l'Hydre cette histoire, mais ça nous rend très curieux en même temps. Et moi le premier. D'un côté ça m'énerve de plus pouvoir aller m'isoler sur l’autre île comme avant, mais d'un autre côté, tous ces nouveaux rescapés, ça donne un nouvel intérêt à notre quotidien. Avant, j'aimais bien me mettre de côté, dans la nature, j'étais devenu un ado un peu sauvage, je ne croisais pratiquement plus les autres originaires, je pensais ne pas avoir besoin d'eux. Je voulait tout oublier : les gens, ma soeur, mes parents... Au fond, il m'arrivait de me sentir seul et malheureux, mais je repartais aussi de bon pied, je me sentais libre. Ce n'est pas commun de pouvoir se retrouver en pleine nature, mais je devint sûrement parmi les plus habiles et discret, pour me balader ou espionner sur l'île principale. Mais avec ces nouveaux arrivants, mon quotidien de garçon-perdu changea, et paradoxalement ça apporta même plus de lumière à mes journées. L'air de rien, ça me ramena à la réalité. Ces nouvelles machinations, ces nouveaux complots, contre nos nouveaux voisins, ça me sortit de son trou et je retournais me fondre dans la masse des Originaires, pour en apprendre plus, pour gagner le droit de participer. C'est ma soeur qui fut contente que je passais plus de temps parmi eux, que j'étais plus souvent dans les alentours, au village, à la tour de garde, j'avais terriblement envie de me mêler de ces affaires qui se tramaient. Soudain, j'apparus aux yeux de tous comme un adulte, un bon petit soldat, un espion de qualité, un fils dont on peut être fier. Je renoue des liens avec mon peuple, je participe aux expéditions, je me sens grandi, je me sens utile et brave, on me considère comme un homme fort et habile, et apporte son aide, et j'aurais jamais cru redire ça un jour, mais j'étais "fier d'être un originaire, fier de faire partie de l'hydre". ↯ Change how you feel, what actions you take .
Je me souviens de notre rencontre, elle a changé ma vie du jour au lendemain. J'ai l'impression qu'à un moment, j'étais une personne, et la minute d'après, j'étais quelqu'un d'autre... Ca s'est passé il y a environ deux mois (53 jours pour être précis), en plein de l'après-midi, j'étais de garde pour surveiller les prisons, et j'ai croisé son regard bleu. En fait, des collègues sont arrivés, avec trois "recrues" de plus , trois nouveau captifs venant de l'autre île. Ils venaient de les capturer, et après avoir traversé les quelques kilomètres d'océan qui séparent les deux îles, ils avaient emmené nos chers prisonniers, les yeux bandés, directement à leur nouveau nid douillé : les cachots de l'Hydre. Ca me fait toujours parait quand ils ramènent des rescapés ici. Non pas que leur misère et leur détresse me fasse plaisir, mais ça nous amuse un peu, ça nous occupe, ça nous détend, et on se sent plus forts, plus puissants, et c'est ça qui est plaisant. On est pas sadique non plus - un petit peu - mais c'est drôle, d'avoir autant d'emprise sur des gens, et c'est sympa, de pouvoir remettre un peu d'ordre sur les îles. Comme à mon habitude, je m'apprêtait à vanner mes camardes, pour savoir si je gagnais les paris ou pas. Oui les paris, je vous explique : le but, quand des originaires partent en excursion, c'est de tenter de deviner combien de Captifs ils vont ramener et dans quelles circonstances ils les ont attrapés. Ce jour-là, j'avais parié sur "deux - l'un coincé dans un de nos pièges, l'autre carrément enlevé dans son sommeil". Apparemment je m’étais déjà trompé sur le nombre, mais si j'avais au moins une réponse de juste quant aux circonstances, je perdrais peut-être pas toute ma mise. J'avais parié toute une journée de travail demain dans la carrière, si je pouvais y échapper quelques heures, ça serait déjà ça... J'ai regardé les détenus se faire débander les yeux et se faire jeter dans les cellules. Je restais accoudé contre les barreaux, les bras croisés, attendant le verdict des paris. Puis, j'ai tourné quelques seconde la tête vers la fille qui venait d'atterrir dans la cage derrière moi. D’habitude j'accorde pas d'importance aux prisonniers ; j'aime pas, je trouve ça inutile, savoir comment ils sont, qui ils sont, quel âge ils ont... Parfois on a même des enfants, alors si on commence à ressentir de la pitié, on est pas sortis ! Quand vraiment je m'ennuis à mort, ça m'arrive de leur poser des questions, de les taquiner un peu, mais pas plus. Je sais qu'il y a des Originaires qui se permettent de les insulter ou de lever la main sur eux, j'avoue ça me fait sourire quelque fois, mais pas au point de le faire aussi. Bref, ce jour-là,trois captifs de plus, ça allait pas changer ma vie, ça allait pas chambouler mon quotidien. Et pourtant, j'ai croisé son regard, cette jolie blondinette, elle avait lair désorientée, mais elle avait aussi l'air forte. C'est bizarre, mes yeux restèrent bloqué dans les siens quelques secondes, et j'étais comme incapable de m'en détacher... « Nemo. Putaιn NEMO ! Ramène-toi... on fait les comptes . » Je fus tiré de mes pensées brusquement, et je tournais de nouveau instantanément le dos à la jeune fille, me redirigeant vers mes collègues, qu'on règle enfin cette histoire de paris. ↯ Give me a sign to get my way .
Le lendemain, comme je l'avais pensé, je me suis tapé la corvée de travail à la carrière, à cogner sur des cailloux à la pioche toute la journée. J'aime pas quand on doit faire ça, et c'est là que je suis content qu'on ait des Captifs pour faire le boulot à notre place - plus ils sont nombreux, moins on est appelé à filer un coup de main. Enfin, j'ai bien fini deux heures en avance, grâce aux paris de la veille, j'avais pas été trop mauvais finalement. Il était environ 18h, j'allais rentrer pour prendre une douche. Mais j'ai fait un tour par les prisons. J'étais pas de garde aujourd'hui, mais je sais pas, j'avais envie d'y passer. En arrivant là-bas, il n'y avait personne - ça arrive que personne ne surveille, physiquement du moins, car il y a toujours des petites caméras retransmises à la tour de contrôle, pour observer les cellules. J'ai jeté un coup d'oeil aux différentes cages, avec les quelques rescapés captifs un peu assoupis dedans. Ils étaient pas tous là - des fois il y en a qui sont dans les cellules d'isolement à l'intérieur. Mon regard passa de visage en visage, je n'étais pas sûr de ce que je cherchais, jusqu'à que je l’aperçoive... Je me suis accroupi près des barreaux, et je l'ai observée. Je sais qu'il a fallu que je vienne comme plusieurs fois, durant des jours, avant que j'ai enfin l'impression qu'elle me parlait librement, qu'elle se confiait à moi. Elle m'a dit son nom, Dakota. Je m’asseyais souvent non loin d'elle, à l'extérieur de sa prison, et on a finit par avoir de longues discussions, j'aimais bien essayer de la détendre un peu, parfois elle souriait un peu, et ça me faisait sourire aussi. Mes pensées n'allaient soudain que pour elle, mes rêves lui étaient dédiés, chaque instant où j'étais loin d'elle, je n'attendais que de pouvoir retourner aux prisons, pour partager un nouveau moment à quelques mètres d'elle. Je me suis mis à marchander toutes mes corvées, pour passer un maximum du côté de la surveillance des cellules. Je voulais aussi être prudent, si on avait compris mon petit jeu, ça aurait été mauvais pour moi, mais surtout mauvais pour Dakota. C'est bête, ça aurait du me rendre triste qu'elle soit tout le temps enfermée, mais j'étais content qu'elle soit là. Je l'avoue, j'ai pensé quelques fois à la faire échapper, mais les risques étaient trop grands, et le voulais-je vraiment ? Je ne savais pus où j'en étais. Moi, grand abruti arrogant, fumiste, je-m'en-foutiste, j'étais en train de vivre une idylle quasi-platonique avec une parfaite inconnue, une rescapée, qui était censée être mon ennemi. Mais, je l'aimais bien. Et qui sait, peut-être m'aimait-elle bien aussi. Peut-être me voyait-elle comme quelqu'un de bien. Je veillais de plus en plus tard le soir, pour rester avec elle, surtout que dans le noir, la visibilité des caméras était basse, et alors j'osais parfois passer mes mains entre les barreaux, pour entrelacé mes doigts avec les siens, pour glisser ma paume contre sa chevelure doré, pour frôler ne serait-ce que son visage, sa peau, ses lèvres. Je me sentais faible près d'elle. Si j'avais été fort, je serai rentré dans cette cage et je l'aurais embrassée, je n'aurais pas résisté. Ca me hantait toutes les nuits, tous les jours, est-ce que je pouvais me le permettre ? Juste une fois, goûter à ses lèvres, la toucher de plus près. Dakota était comme une perle fragile que j'avais envie de protéger, mais je n'avais aucune emprise sur elle, j'ai l'impression que plus je me rapprochais d'elle, plus elle me filait entre les doigts... Et finalement un jour, je me suis décidé, j'allais aller la chercher, j'allais la faire s'évader, on se cacherait quelques temps dans la brousse, puis je lui ferait regagner l'autre île. Je pouvais le faire. Je pouvais l'aider. Je pouvais lui dire que je l'aimais, je pouvais lui montrer que je l'aimais. Ce jour-là, j'ai donc attendu le soir pour aller aux prisons. A la fois tendu, et à la fois le coeur léger, j'y suis allé d'un pas sûr. Mais arrivé là-bas, les portes des cellules étaient toutes ouvertes... J'ai commencé à paniquer. Qu'est-ce qu'ils avaient fait des captifs ? qu'est-ce qu'ils avaient fait à Dakota ? J'ai cherché partout un des mecs qui étaient responsables de la surveillance aujourd'hui, je ne savais pas ce que j'allais lui dire, mais je devais savoir ce qu'il se passait. « Qu'es-ce t'as Nemo ? t'as vu un fantôme ? Oh tranquille la journée aujourd'hui, ils ont envoyé bouler les captifs ce matin . » Mon visage a commencé à pâlir. Ils ont quoi ? « Tu sais, ils les ont ramenés sur l'autre île, pour le nouveau projet là . » J'ai senti mon coeur se serrer. Elle n'était plus là, elle était partie d'ici. C'était une bonne nouvelle, non ? Elle était libre, elle n'avait plus rien à craindre. Mais alors pourquoi je me sentais encore plus mal ? ------------------------------------------------ Quand on s'est soudain retrouvés sur cette île, j’ai immédiatement… [ ] Tenté de retrouver mes proches. On n’est définitivement rien tout seul, surtout sur une île déserte. [ ] Couru dans tous les sens pour apporter mon aide aux personnes blessées. [x] Perdu connaissance. Tout simplement.Sur l’île, quand une nouvelle journée débute, je sais que je vais… [x] Dormir. Bronzer sur la plage. On verra si au bout d’un moment, il me reste du temps pour faire quelque chose. [ ] Aller chasser, puiser de l’eau et rendre visite à mes voisins pour voir si tout va bien. [ ] Je sais pas ce que je ferai demain. On verra bien. Après tout, c’est le principe même du lendemain, non ?Les hostiles, pour moi c’est juste… [x] Des abrutis qui se croient plus forts que ce qu’ils ne sont. Qu’ils viennent un peu me chercher des poux. [ ] Des menaces ambulantes contre lesquelles il faut toujours être prêt. [ ] Les quoi ?Internet, un lit douillet ou une bonne douche sont des concepts bien lointains… [x] Au final je me suis habitué(e) à cette vie bien plus vite que prévu. [ ] C’est carrément pas possible. J’essaie, mais rien n’y fait, mon confort me manque énormément. [ ] Des fois j’y pense, d’autres non. Ce serait cool, de temps en temps, de retrouver un semblant de confort, et d’intimité.Un bateau s’approche de l’île et semble sur le point de voir la présence des survivants. [ ] Je saute dans tous les sens, fais un feu énorme, hurle à m’en casser la voix : y’a pas moyen, je quitte cette île ! [ ] J’attends de voir ce que font les autres, après tout, faut toujours se concerter, non ? [x] A vrai dire, j’me suis plutôt bien habitué à cette vie, donc je fais probablement semblant de pas avoir vu de bateau.
« Qui était Peter Pan ? Peut-être était-il simplement l'enfant de quelqu'un qui n'était jamais né. » •
Relashionship’ :
Love : je suis encore jeune et à vrai dire je n'ai jamais vraiment cru à l'amour. Mais une certaine jolie petite rescapée blonde pourrait bien être en train de me faire changer d'avis. Family : j'avoue, je ne porte pas mes parents dans son coeur. Vous allez me dire, c'est ce que dise tous les mecs normaux qui sortent d'une adolescence un rebelle, mais croyez-moi, les parents Sumpter, je peux plus me les voir. Heureusement, il y a ma frangine Kaylee, elle est cool et elle prend soin de moi aussi loin que je m'en souvienne. Malgré ça, je sais pas, je lui en veux un peu, elle qui a toujours été la préférée, la fille parfaite. Mais elle veut être là pour moi dès qu'elle le peut, elle ne veut pas me laisser seul, et alors je peux pas lui reprocher la moindre chose. Friends : j'ai eu beaucoup de mal à me faire des amis depuis mon enfance. Ok, traitez-moi d'associable ! N'empêche, c'est pas tout à fait vrai, parce que c'est surtout avec les autres mecs que ça a toujours coincé, cet esprit de rivalité entre nous, ça me rend fou. Mais il y a des filles avec qui le courant passe bien. Ex : bah je parlait de filles avec qui il s'entend bien juste au-dessus... voilà ! non sinon il y a d'autres demoiselles originaires aussi, j'ai beau être un peu réservé et mystérieux, il faut croire que ça plaît aux filles, donc je dis pas non moi. Hate : j'ai pas mal de personnes dans mon colimateur, j'ai pris l'habitude d'en vouloir au monde entier. Mais bon, ça va de mieux en mieux, depuis ces derniers moi, je commence à devenir potes avec quelques mecs que je trouvais crétins quand j'étais plus jeunes. Ou peut-être que c'est parce que je suis en train de devenir aussi crétin qu'eux. Other : je vais pas le cacher, je suis devenu un gros salaud e ce qui concerne les Captifs qu'on emprisonne sur l'Hydre. Franchement ils m'éclatent. Ces rescapés qui m'ont "volé" ma grande île... j'ai du mal à avoir des pensées positives pour eux.sinan bah en vrai, moi j'suis
Drice ✕ en réalité j'ai
21 ans ✕ j'habite du côté de
la France ✕ sur TI, vous m'verrez
souvent, au moins le weekend dans le pire des cas ✕ il m'semble que j'ai connu le forum par
euh... mémoire de poisson rouge, c'était il y a trop longtemps xD ✕ ce qui m'a plu, c'est
que ça n'a pas changé, je suis toujours autant impressionné du résultat à chaque fois ! ✕ le personnage que je vais jouer, il tue, en fait c'est un
inventé ✕ j'lai choisi car : je tiens Jeremy sur T.I depuis plus de 6 ans et je pourrais pas le changer ; c'est un jeune acteur qui ne m'a pas déçu en grandissant (j'ai l'impression qu'on a grandi en même temps, moi, lui et mon petit Greg) il a les airs à la fois d'un mec un peu coincé et d'un mec un peu perturbé qui peut partir en vrille et faire ce qui l'enchante. Parfait quoi ! ✕ j'vais d'ailleurs m'empresser d'aller
recenser mon avatar ici ✕
j'ai d'autres comptes ✕ puis comme j'suis sage, j'ai
lu&signé le règlement ✕ allez j'finis en vous disant :
Merci d'être encore là .
Dernière édition par Nemo-Gregory S. Sumpter le Sam 13 Juin - 15:45, édité 6 fois