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(# ) Sujet: Je ne suis pas fou [Hardy Mer 26 Déc - 16:18
identity card Hardy S. Hockins . ♦ Feat Andy Serkis;
• Age, Date & Lieu De Naissance : Personne ne connait son âge exact même lui ne s'en souvient pas exactement mais c'est très certainement proche des soixante dix ans... Il se souvient sa mère lui disant qu'il était né par un mois frais de février à Manatthan.
• Métier avant d'atterrir sur l'île : Avant l'accident d'hélicoptère qui le conduisit sur l'ile, il était chercheur pour une firme privée attachée à l'état et qui menait des expériences un peu folles...
• Un signe particulier ? Sans aucun doute son physique plus qu'atypique et cette façon dont il a de parler et de vivre en communauté. Il semble souffrir de soucis psychologiques.
• Orientation sexuelle : Il est hétérosexuel bien que complètement désintéressé par "la chose".
• Qualités : Hardy est plus que rusé... Très intelligent, il se sert de son cerveau pour mener à bien des plans de manipulations et de calculs. Il est quelqu'un de très vif, toujours sur les dents.
• Défauts : Derrière son aspect craintif et froid se cache un véritable fou. Créature mi humaine mi-monstre, Hardy se montre être complètement impulsif, il ne supporte aucune réaction allant à l'encontre de son avis, il ne supporte aucun affront. Emplie d'une frénésie destructrice la folle création de la Nature peut se montrer d'une violence sans nom, il peut tuer pour son intérêt, pour se préserver...
• Manies : Décrire toutes les manies de Hardy serait un exercice trop complexe... La créature est plein de Tocs gênants. Hardy ne peut pas se passer de dormir dans une certaine position par exemple, il doit également faire ses besoins aux mêmes heures quotidiennes et ne supporte pas de trop la lumière lorsque cette dernière vient du soleil.
• Ma p'tite catégorie : Il est un véritable "hostile"
• Pourquoi ce groupe ? Rejeté par tous et notamment par les autres du clan Fenner, il se retrouve comme un véritable pariât dans cette société qui se reconstruit. Tout comme avant, il y a des laissés-pour-compte et aujourd'hui, c'est lui que l'on traite comme un pauvre petit chien.
• Post prédéfini [X] - Scénario [] - Inventé [] • Pourquoi ce perso/avatar ? : Parce que le PV est excellent. L'idée de jouer un pariat de la sorte avec Serkis en avatar, idée grandiose !
• J'ai recensé ma célébrité ici :
[x] oui. [] pas encore.
© Avatar : TI
what about me • Physique : Avant de lire ces quelques lignes, il est de mon devoir de rédacteur de vous prévenir. Oubliez la définition que vous avez de l'Humain car Hardy n'est en rien un humain. Son apparence pourrait vous hanter durant des nuits entières... D'apparence, Hardy est une créature courbée et usée. Pas plus de cinquante centimètres de hauteur, sa peau grise et ridée vous traduit directement ce qu'il est. Aussi perfide que sa manière silencieuse de se déplacer, ses yeux plongent dans les vôtres et jamais plus vous ne pourrez être le même... Il vous fixe et vous voilà complètement médusé par tant d'horreur. Des dents qui se dressent comme des meurtrières aux tours de châteaux forts, jaunies par le temps, ces dernière pourront terroriser vos moindres recoins de vie... Grandissantes, puissantes, violentes, elles se chargeront de vous mordre, de vous croquer et de vous faire un mal affreux, parfois même jusqu'au sang. Son corps fatigué et monstrueux ne serait rien sans son crâne difforme, ses yeux globuleux et surtout, ces quelques trois mèches de cheveux qui lui reste sur le crâne. Il se refuse à les perdre car ces mèches représentent tout de même sa pseudo humanité, lorsqu'il perdra les délicieux poils capillaires, sa transformation sera terminée...
• Caractère : Complètement dévasté, presque autant que son physique, attendez vous à vous confronter à un personnage horriblement empli de folie... Chétif et craintif aux premiers abords, Hardy se montre être quelqu'un de complètement dinguo. Même s'il fait semblant d'avoir peur pour se rapprocher de ses cibles, il sait se montrer parfaitement sûr de lui pour tuer lorsque cela se montre nécessaire. Lorsqu'il décide de faire quelque chose, il n'a jamais eu l'habitude de reculer. Dans un carnet de son ancien collègue, on retrouve un témoignage. "Aujourd'hui Hockins est devenu complètement fou. Alors qu'il a trouvé un composé d'une rare puissance, il s'est montré complètement radin et avare en informations. Il n'a rien dit à personne et il est parti l'étudier tout seul. Il s'est montré violent et a mordu un des militaires lorsque ce dernier a refusé de le laisser sortir. Je crois qu'on est tous à cran mais qu'il a quelque chose de différent. Il passe plus de temps dans la forêt qu'à travailler et il semble convaincu que la mission est un échec, il sait qu'on ne viendra pas nous chercher et ne manque pas de nous le dire à chaque reprise. Il est un danger pour nous et bientôt nous allons entendre parler de lui et de ses lubies..."
• Pourquoi ai-je pris ce vol pour Tokyo ? : Il n'a jamais pris l'avion pour Tokyo. Non, lui était là bien avant que tout cela ne se produise... Depuis le début des années 1960, Hardy est un résident permanent de l'ile et pour lui, il s'agit de son territoire... Maudites expériences, maudit scientifique et maudit gouvernement américain.
• Mon passé avant de prendre l'avion : C'est par un mois de février dans une année inexacte que Hardy voit le jour. On sait en revanche qu'il s'agit d'une période où les Etats-Unis d'Amérique nageaient en pleines tensions avec l'Allemagne et surtout l'Empire du soleil levant. C'est dans un contexte politique brisé que Hardy voit le jour. En effet, dans les quartiers pauvres de Manatthan où vit la famille Hockins, on ressent parfaitement la crise politique et économique, un père pas présent et une mère alcoolique forme son éducation rapide et inexistante. C'est comme fils unique que le jeune homme aborde la vie, ses parents n'ayant aucun moyen financier, il vit dans la privation longue et alors que la publicité pour ménagère explose sur les ondes radio, il apprend à vivre sans aucun confort matériel. Son père est un militaire de carrière et très rapidement lorsque la guerre avec le Japon puis avec l'Allemagne est déclarée, c'est l'abandon définitif, le type ne reviendra jamais du front de Normandie et Hardy n'en garda aucun autre souvenir qu'une photo complètement décharnée par les effets du temps sur le papier. Alors que le jeune homme prend de l'âge, il n'aspire qu'à une seule chose, celle de devenir scientifique, la recherche le pousse à se dépasser à l'école, mais système élitiste et capitaliste oblige, le pauvre Hardy se retrouve confronté à un soucis de taille... Alors que tout semble lui sourire, qu'il devient une tête pensante de son lycée et que ses professeurs semblent séduits, le manque d'argent le fait tout quitter. Déçu par cela, il quitte le cursus scolaire pour se tourner vers plusieurs petits boulots. Ainsi, il exercera la profession de serveur, de comptable libéral et de professeur particulier. Alors qu'il déguste un café noir sans sucre comme il aime dans un bar miteux de la ville, il tombe sur les dernières pages du Times et miracle ! Une annonce l'intéresse tout particulièrement, un laboratoire privé recherche quelques scientifiques pas forcément très qualifiés pour mener à bien une mission. C'est ainsi qu'il s'engage dans le projet "Aquarius" dont le secret est total. Et c'est sur cette base qu'il s'en va sur l'ile provisoirement, du moins, au début.
• Vie après le crash : Lorsque la mission débute, les scientifiques sont très heureux de découvrir une ile vierge où ils peuvent s'adonner à des recherches viables et nouvelles. Ils creusent et découvrent de nombreuses matières mais très rapidement le secret sur cette opération est levée sur le continent américain et à coup de pression politique et financière, l'idée du projet est rapidement abandonnée. Sans prévenir l'équipe en place sur l'île, la firme met fin au projet et détruit les relais de communication. Très rapidement sur l'île, la situation des chercheurs devient critique. Aucune échappatoire n'est possible, et après de maintes et maintes tentatives de prendre contact avec les autres, ils sont définitivement perdus, rien ni personne ne viendra les sauver. Ils décident de continuer leurs recherches, on ne savait jamais... Plus ils creusent plus les catastrophes sont nombreuses, les matières qu'ils découvrent deviennent dangereuses, toxiques et ils décident de mener des expériences encore plus fatidiques qu'avant. Un jour, l'ensemble du corps scientifique décide de mener une expérience sur la matière, bien que les risques d'explosion soient énormes, ils sont décidé à le faire. Hardy et un de ses collègues s'isolent pour conduire les tests. La catastrophe ne manque pas, la base est raflée, explosée. Tous sont morts... C'est durant quelques années que la folie prend peu à peu le dessus, alors que Hardy ne lutte plus, les toxines des éléments testés font effet, elles agissent sur son corps, le transforme et en parallèle, il perd son Humanité. Il devient quelqu'un d'autre, complètement irradié par la Nature qui se déchire en lui. Son corps devient une enveloppe corporelle. Son ami le démange de plus en plus et c'est lors d'une dispute sur la façon de se nourrir que Hardy met fin aux jours de l'homme. Il développe une toxine grâce à sa connaissance de la science, une toxine qui fait perdre la tête à son ami. Complètement fou maintenant et seul, il passe son temps à explorer l'île et à détourner la nature pour qu'elle vienne à son secours, solitaire ou presque, il se met à parler tout seul, à dédoubler sa personnalité.
► Love : Il ne connait pas ce sentiment, car l'Amour ronge l'existence
► Ex : Il n'a jamais eu d'ex, juste quelques relations sans aucun lendemain.
► Friends : Il a trouvé en les femmes du clan Fenner quelques connaissances amicales, quelques femmes qui prennent soin de lui.
► Family : La petite filette de dix ans lui plait beaucoup, elle ravive de l'humanité en lui, c'est pour cette raison qu'il rôde autour d'elle, apprend de nouveau les gestes de la société, tout cela pour s'en rapprocher et prendre soin d'elle.
► Hate : Le clan Fenner sont ses premiers ennemis, ces types sont cruels, méchants... Les autres sont détestables aussi parce qu'ils viennent sur son propre territoire, ils empiettent sur SON île.
behind the picture • Prénom/Pseudo : RedDragon aka Yoann
• Age : Dix huit ans (a)
• Pays : France
• Fréquence de connexion [../7] : Tous les jours
• Niveau moyen en Rp ? On va dire que je fais 1500 mots (a)
Spoiler: La perpétuelle remise en question. L'envie, l'horreur, puis ce rêve, ce rêve qui prend aux trippes. La mort qui tourne, qui retourne au coin de la rue. Ses bruits quand elle s'élève. Cette respiration saccadée. L'achèvement d'une vie, l'envie de périr. Westerfield se revoit. Une belle journée au milieu de cette horreur. Un peu d'eau, une bonne tasse d'un café noir et sans sucre, et tout va bien. Au dehors, alors que la ville est en feu, que des volutes épaisses s'échappent au loin, la radio fredonne encore. Et sa femme qui rentre, le bras ensanglanté d'une âme aveuglée, la moitié de son bras n'est plus en place, et la chair flotte dans l'air, calcinée. L'horreur des injures, ça se bouscule dans l'entrée, tout le monde est affolé mais seul un militaire comme lui peut prendre la situation en main. La conduire dans les hospices ne serviraient à rien, ils sont tous aux mains de ces choses qui marchent au dehors, ces créatures d'un autre monde, des créatures qui ne sont que la terrible, l'affreuse oeuvre d'un démon malsain. Dieu n'existe pas, le Diable non plus, ce virus n'a pas de cause surnaturelle, il est une création de l'Homme, et même si le militaire n'en sait rien, il en est convaincu, après tout, tout est de la faute de l'Homme, des marées noires jusqu'aux accidents en haute montagne. Le militaire ne sait que faire, il monte sa femme à l'étage, s'occupe de panser ses plaies, faisant le vas et viens entre les toilettes (où il rend) et la chambre où il nettoie sa femme en attendant la salve prochaine de vomit. Mais au fond de lui, il sait qu'avant même de s'endormir, la bonne femme sera foutue et qu'il faudra que rapidement, il se décide à prendre la plus dure des décisions. Il ne le veut pas, mais ainsi va la vie, et il s'en résout tristement. *** Lorsqu'il posa le pied à terre, après avoir repoussé les draps tachetés de transpiration et chiffonnés, Chuck se demanda si ce cauchemar allait cesser un jour. Sa réponse fut, que dans l'état actuel de sa propre conscience, la scène qu'il se jouait encore et encore et qui terminait toujours par cette balle sifflante dans le crâne de sa femme n'allait pas cesser et qu'il faudrait vivre avec ce poids en son cœur saignant. Après avoir voté avec ses voix intérieures qu'il valait mieux prendre sa douche avant d'enfiler l'uniforme, il repensa encore un peu à sa femme, et très vite, cela laissa place à d'autres choses autrement joyeuses. Il pensa d'abord à sa fille qui dans un désir de le rendre fou l'ignorait complètement, en se baladant dans le Complexe comme si, en plus d'avoir perdue sa mère, elle venait de perdre son père. Il pensa également à la journée qui s'annonçait, et cela fait, il se prit à vouloir boire, à se gaver d'un alcool fort, qu'importe la marque et la sorte, tout ferait l'affaire pourvu que son état soit celui d'un débauché. Malheureusement pour ses envies, les seules bouteilles qu'on trouvait en dehors du bar étaient dans son bureau, quelques étages plus bas et il était certain qu'on ne pourrait pas le laisser se saouler, ses seconds avaient été formés pour lui ternir tête lorsqu'une envie de devenir quelqu'un d'autre lui prenait, en ce moment, ce genre de comportements douteux et immatures étaient des choses fréquentes. Il ne supportait plus l'idée de porter un poids aussi lourd sur ses épaules et il arrivait à user de tous les moyens pour rendre les autres dingues, pour qu'ils subissent un peu de son calvaire. Il avait décidé de son planning au dernier moment hier, avant de monter se pieuter. C'était l'hôpital et le laboratoire de recherches qui allait subir sa visite aujourd'hui, et ce n'était pas pour une bonne raison. Une épidémie de rhume avait été détectée, et il était hors de question que lui, le fondateur de cet Empire de désillusion, de dictature puisse avoir le nez bouché. Hypocondriaque, il pensait qu'à chaque nez bouché, il allait se taper une pneumonie, et aujourd'hui, ce genre de maladies était mortel à cent pour cent. Il devait également s'occuper de la promulgation d'une loi martiale encore plus stricte, des civils avaient été vu en dehors des bâtiments après le couvre-feu, ce qui était le meilleur moyen d'attirer zombies et autres créatures terrifiantes de la nuit. Autant dire qu'un emploi du temps comme le sien n'était pas chose aisée, et s'il avait pu être gouverneur, ministre ou président avant cette m*rde, il se serait accordé des pauses pour se détendre, jouer au golf, serrer les seins de putes entre ses doigts, ce genre de trucs embarrassants qu'un politicien adorait faire. Malheureusement, c'était terminé le temps des sextapes et des femmes à poil sur le net, aujourd'hui, la seule manière de consulter des sites pornos étaient d'en tourner un sans caméra. Du live porno, CNN aurait pu en inventer le concept s'ils n'étaient pas tous morts. Ahah. Le militaire fin prêt était descendu de sa démarche féline, jusqu'à l'étage où il prenait son petit déjeuner, en compagnie de ses meilleurs lieutenants. Cependant, ce matin, il fut seul avec lui-même. Il se fixa dans le miroir, redressa son calot et se prépara à aller affronter la harpie qui dirigeait le service médical. Il ne la connaissait pas bien, elle était relativement nouvelle sur la base mais semblait connaitre son métier comme sa poche, c'était tout naturellement que le Conseil avait décidé de la nommer à la direction du service médical, cependant, on savait tous qu'un faux pas et Chuck décidait de vous offrir un sac avec des pierres et le droit express de dégager des lieux. Après avoir avalé des œufs sans goût et un verre de lait arrosé de Whisky, il était passé par son bureau pour y prendre quelques affaires dont une arme. Il ne se baladait jamais sans car il n’avait confiance en personne, sauf sa fille et cela même si elle avait perdu son amour pour lui. Devant le bâtiment se tenait une voiturette de golf et un soldat. Ce dernier l’invita à monter, puis prit le volant. Pendant le trajet, il se grilla une cigarette parce que c’était le seul truc qui pouvait le calmer avant de se battre à coup de phrases et de mots. Il fit le vide, mais il arriva trop vite devant le portail qui séparait les installations. Il mit le pied à terre, et avant même d’entrer, il vit la jeune femme attendre sur les marches, apparemment, elle avait été prévenue. En s’approchant, il se mit à gueuler. « Il va falloir qu’on parle, ma petite dame ! »
• Ton opinion sur le forum : Vraiment somptueux :o
• Comment as-tu connu le forum : TOP SITE
• Un double compte ? Si oui, qui ? Aucun
• Souhait d'un Parrainage pour être mieux intégré ? Non merci (a)
• Mot de passe du règlement : [spoiler] CODE A TROUVER DANS LES RÈGLES
Spoiler: Code OK. By Milow'
« Mon précieux ! »