• Physique : Ni trop grand ni trop petit, le jeune et beau brun possède des yeux remplis de douceur. Les mêmes , qui pourraient faire chavirer le cœur des filles à chacun de ses passages. D'ailleurs, il en a, effectivement, fait chavirer quelques unes au cours de sa vie. Et puis, avec une allure de beau gosse comme la sienne, comment pourrait-il en être autrement aussi? Seulement voilà, le jeune homme n'aime pas trop cette étiquette qu'on a tendance à lui coller constamment - trop fortement à la peau qui plus est - et préfère, au contraire qu'on l'apprécie pour ce qu'il est réellement plutôt que pour son physique. Il avait eu, un temps les cheveux un peu long, et avec une mèche qui ne cessait de lui tomber devant les yeux. Je ne vous dis pas, alors, le nombre incalculable de fois où il se l'était remise en place. Et au bout d'un moment, il en avait eu tellement marre qu'il a décidé de tout coupé. Solution radicale en somme. Quant à ses tenues vestimentaires, on peut dire qu'elles sont toujours très soigneusement choisies. Toujours très classe notre Milo! Il est également utile important de souligner qu'il est un adepte de jogging. Tout les matins, il n'est pas rare que vous le croisiez en train de courir. Cela lui permet de se maintenir en forme - et c'est l'une des choses les plus importantes pour lui. Un esprit sain dans un corps sain comme on dit. Il est à ajouter que Milo possède quelques tatouages, dont un en forme d'étoile sur une de ses épaules.

• Caractère : Simple, modeste et aimant la vie en général, le jeune homme, il faut le dire tout de suite, n'est pas quelqu'un de foncièrement méchant... bien au contraire, il est tout ce qui est de plus gentil et attentionné. Il possède un grand cœur... il est sensible (un peu trop parfois), très protecteur et toujours prêt à aider les autres. C'est d'ailleurs une seconde nature chez lui!... Un peu timide aussi et quelque peu naïf, dans la mesure où il veut toujours voir le bon dans chaque personne. Mis à part, on ne peut pas dire qu'il manque véritablement d'humour. Et pour cause, il ne rate pas un seul instant pour faire une blague. Autant dire qu'avec lui, on ne risque pas de s'ennuyer. C'est aussi quelqu'un de fiable sur qui on pourra toujours compter, et s'appuyer en cas de coups durs. Très sociable, il apprécie toujours la compagnie d'autres personnes. Fiable donc en amitié mais aussi, et surtout, très fidèle en amour. Lorsqu'il lui arrive de tomber amoureux, c'est toujours à 100%.

Nous avons ainsi parlé de ses qualités... passons, à présent, à ses défauts voulez-vous? Et oui, comme tout être humain qui se respecte... et aussi bon soit-il... Milo a aussi des défauts. Le premier d'entre eux, et sûrement, le plus gros, étant son manque de confiance en lui. Bien qu'il ait fait un grand pas de ce côté-là afin de tenter de retrouver de l'assurance, il lui a quand même fallu des années à y parvenir. Et c’est dommage, parce que c’est quelqu’un de réellement talentueux. Un autre de ses défaut, et non des moindres, est sa tendance à rêvasser... un grand rêveur notre jeune homme en effet!... rêveur et naïf un peu... mais cela le rend d'autant plus attachant. Enfin, il faut aussi ajouter qu'il a tendance à être un peu impulsif, surtout lorsqu'on s'en prend à ceux qu'il aime. Bien qu’il veuille croire qu’il subsiste toujours du bon dans tout être, il n’en reste pas moins assez méfiant tout de même. Et en réalité, il l’est devenu à force de se faire berner continuellement.

• Mon passé avant de prendre l'avion :
« Il y a de fortes chances pour que ... pour que vous ne puissiez plus avoir d'enfant. » avait alors dit un jeune médecin, d'une toute petite clinique de Brooklyn, à une mère venant tout juste de subir une fausse couche.

« ... je suis désolée ... » ajouta t-il aussitôt, tandis que les yeux de la jeune femme s'embuèrent. Il est des choses difficiles à apprendre ... et d’autant plus difficiles lorsqu'on est un jeune médecin, fraîchement sorti de l'école de médecine. C'était son tout premier accouchement - du moins le premier qu'il avait dû pratiquer seul. Il aurait bien voulu faire plus pour tenter de sauver le bébé, mais c'était, hélas, déjà bien trop tard ... l'enfant était mort avant même d'avoir été expulsé du ventre de sa mère.

Quelques mois plus tard, dans cette même clinique, et avec le même médecin qu'à l'époque, une jeune femme de vingt trois ans environs, y est admise par une froide nuit d'hivers. Tandis que tout New York dormait paisiblement, sous les éclairages rendant la ville encore plus belle, la jeune mère avait été emmenée jusqu'en salle de travail. L'accouchement dura un peu plus d'une heure et demie. On avait bien cru que l'enfant ne survivrait pas ... mais, au final, tout s'est bien passé. Un petit garçon venait de pousser son premier cri ... un joli petit bébé et en parfaite santé qui plus est. Une belle revanche sur la vie en somme!

La vie a su lui offrir une enfance des plus paisible. Et rien n'avait pu venir ternir cette si
douce quiétude. Enfin presque. Le bonheur apparaît tellement fragile parfois. Milo l’a bien compris à ses dépend. Son père - journaliste au New York Times – avait alors été porté disparu au cours d’un reportage en Afghanistan. Aussi mystérieusement que soudainement. Personne n’avait rien su de ce qui s’était passé là-bas. Si ce n’est que le jeune garçon – il n’avait qu’une dizaine d’année – avait beaucoup souffert de cette perte brutale. D’autant plus, qu’il avait toujours été très proche de lui. Et pendant longtemps, il avait cru que son père reviendrait finalement. Oui, il y avait cru longtemps… mais plus les années passaient et plus cet espoir de le revoir s’amenuisait petit à petit. Et puis, heureusement qu’il avait pu compter sur le reste de sa famille – et ses amis – pour ne pas sombrer. Parmi eux, figurait son grand-père – l’une des seules personnes au monde qui aura tant compté pour lui. L’un des seuls qui aura su le comprendre sans le juger. C’est d’ailleurs chez lui qu’il avait trouvé refuge parce que ne s’entendant pas du tout avec le nouveau mari de sa mère. Cette dernière ayant résolu de refaire sa vie un an seulement après la disparition de son père. Disons qu’il avait eu du mal à l’accepter dès le départ. Et même si les choses se sont améliorées par la suite, il était parfaitement que jamais il ne remplacerait le père qu’il avait perdu. Et il le lui avait bien fait comprendre, vous pouvez en être certain.


Fort heureusement, les années qui suivirent s’étaient déroulées de la meilleure des façons qui soit. Après de brillantes études secondaires – il avait été reçu second de sa promotion – il a finalement obtenu son diplôme. Et le choix des études n’avait pas été fait au hasard. Il s’était même imposé à lui. La zoologie. Cette passion qu’il s’était alors découverte tout jeune déjà, et qui ne l’avait plus quitté depuis. Si bien, qu’il avait décidé d’en faire son métier. Son rêve ? Travailler un jour dans un parc naturel en contact direct avec les animaux. D’ailleurs, il ne perdait rarement une occasion pour les étudier. Partout où il se rendait – et où susceptible d’en rencontrer – il avait toujours avec son appareil photo. Une autre passion ? Il faut croire que oui. Et il se souvient encore de cette virée dans le parc de Shenandoah avec quelques amis – rencontrés sur les bancs de la fac – à photographier cerfs, ours noir, ou autre marmotte d’Amérique. Il en garde un merveilleux souvenir, et sa vocation ne s’en est que plus renforcée. Et tout porte à croire qu’il y serait parvenu si… le destin n’avait pas décidé de s’en mêler…

EN CONSTRUCTION

• Vie après le crash :
ÉCRIRE ICI - SURVIE SUR L'ÎLE