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» SuKaLi&Ti " ❝ The STAFF. ✕ All for One ☆ ❞ × Ma Célébrité : Jessica, Evie, Keira & Taissa <3 × Nombre de messages : 1744 × Age du perso : 8 ans déjà *O* × Job : Adminettes (a) × Côté love : This heaven
| (#) Sujet: La Bouteille à la Mer, tell us ; Mer 2 Jan - 15:48 | |
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Les rescapés de l'île ont trouvé une nouvelle solution pour attirrer les secours... Il s'agit au moins une dernière petite flamme d'espoir qui brule en eux... Ainsi, chaque survivant a droit d'écrire une lettre qui sera placée dans une bouteille de verre et jetée à la mer... Il peut y dire tout ce qu'il aurait voulu raconter, décrire ou dénoncer, au monde qu'il a laissé derrière lui, ce continent immence qui le croit mort aujourd'hui. Evoquez votre vie, votre histoire sur l'île, vos regrets, vos pardons, vos découvertes, vos rencontres, vos amours, et toutes ses petites choses que vous voulez qu'elles soient su et entendu... Confiez vous à une personne présise que vous avez laissée à New York ou à Tokyo, ou adressez vous au monde entier pour qu'il sache que vous êtes encore là, que vous excistez. |
- Code:
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[spoiler]contenu de votre lettre[/spoiler] |
Dernière édition par SuKaLi le Jeu 9 Avr - 19:42, édité 4 fois | | | » Susie-Joddy Lewis Hunprey " ❝ ADMIN Crazy. × It's only the beginning ღ ❞ × Ma Célébrité : jessica marie alba <3 × Nombre de messages : 11158 × Age du perso : 26 ans - née en 1988 à NY × Job : maman à temps plein, c'est déjà bien × Côté love : lui, malgré tout
| (#) Sujet: Re: La Bouteille à la Mer, tell us ; Mer 2 Jan - 22:52 | |
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Susie avait entendu parler d'un lancement de bouteille à la mer... Au début, elle n'était pas trop pour ça... pour elle, la bouteille n'arriverait jamais entre les mains de quelqu'un.... Elle avait perdu tout espoir... Mais, voyant toutes ses personnes écrièrent leurs petits messages chacun dans leur coin, lui rendit un petit sourire... Susie décida finalement d'essayer... Elle prit alors une bouteille de verre et s'éloigna plus loin sur la plage, avant de s'asseoir sur une petite hutte de sable en face de l'océan.... - Spoiler:
Je m'appelle Susie Lewis et je suis une survivante de vol 603 New York/Tokyo... Notre avion, c'est écrasé en plein milieu du pacifique, sur une île déserte, dont nous ne connaissons pas la localisation parfaite, faisant beaucoup de mort, mais aussi beaucoup de survivant... Si vous lisez ce message, cela veut dire que nous avons de l'espoir pour l'arriver des secoure.... Susie s'arrêta d'écrire, trouvant cette idée complètement inutile... Elle regarda autour d'elle, ne sachant pas quoi faire... Puis en réfléchissant aux plus profond d'elle, elle écrivit sans plus s'arrêtée...- Spoiler:
Chère papa et maman, Je ne savais pas à qui m'adresser d'autre qu'à vous... je sais qu'on ne sait pas toujours très bien entendu, qu'il y a eut pas mal de dispute et autre et que je vous aie fait voir, mais... maintenant que j'y repense bien, j'aurais aimé que tout se passe autrement... je sais qu'on ne peut pas changer ce qui c'est passé, ni retourné en arrière, alors je voudrais juste vous dire que je suis toujours là et que compte bien rester... je pense à vous chaque seconde, chaque minute, chaque instant sur cette île et je vous oublierez jamais... Justin est avec moi et je vous promets de continuait de veillé sur lui jusqu'à l'arriver des secoure... Bien qu'il n'ait sûrement plus besoin de moi : plus je le regarde et plus je remarque à qu'elle point, il a changé, et à quel point il a grandit... je croyais ne jamais a le dire mais il s'en sort mieux que moi... Sinon pour l'instant, je vais bien, même un peut mieux que ce que je le pense... malgré tous ceux qu'on a perdus, et enduré pendant quelque semaine, je pense qu'on a passé le pire... Au début j'avoue c'était un peu dure... personne ne se parlait, on était tous renfermer dans notre coin par ce qu'il s'était passé... mais au fil des jours, des personnes sont venues me parler et petit par petit on s'est tous rapprochaient et entraider, : Un phare à était construit sur la plage, ainsi qu'une infirmerie, une chapelle et une resserve de nourriture... on a put trouver des bassins d'eau chaude, un vieux bateau et plein d'autre chose... finalement je crois qu'on s'en sort bien... j'ai fait pas mal de rencontre, donc une que je ne pourrai jamais oublier..; Il s'appelle Dean, je sais pas si il le sait mais il conte beaucoup à mes yeux... Voilà en gros ma nouvelle petite vie... vous devait vous demander pourquoi je vous raconte tout ça... mais même moi je sais pas.. . Alors, j'espère vous en dire plus le jour ou on se reverra... Et en attendant je vous embrasse tous les deux très fort !!... Votre fille, Susie Susie roula son message et après une minute d'hésitation, elle glissa délicatement ce petit morceau de papier dans la bouteille de verre... Elle se releva et s'avança doucement vers la mer... Elle regarda l'horizon sombre et tomba quelques instant dans ses rêveries avant de déposer cet objet si précieux dans la première vague qui arriva... Susie regarda la bouteille s'éloigner aux loin, avant de se retourner et de disparaître dans la forêt par un petit sentier bien tracer... * Peut être que finalement ce n'était pas une si mauvaise idée... Peut être que quelqu'un trouvera ces bouteilles et que peu être que les secours arrivera un jour... * Que des suppositions sans réponse... seul le destin nous le dira... |
Dernière édition par le Sam 5 Jan - 14:29, édité 9 fois | | | » Dakota Petrel " ❝ Regular. × My new Life is here ❧ ❞ × Ma Célébrité : dakota fanning. × Nombre de messages : 15852 × Age du perso : vingt ans. × Job : tout juste diplômée, s'orientait vers des études de biologie. × Côté love : c'est compliqué. (a)
| (#) Sujet: Re: La Bouteille à la Mer, tell us ; Jeu 3 Jan - 10:30 | |
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Dakota avait entendu parler de cette nouvelle idée pour partir de l'île : écrire une lettre qu'on glissait ensuite dans une bouteille pour la jeter à l'eau. Ca avait des bons et des mauvais côtés : ça lui permettrait de confier des choses qu'elle ne dirait peut-être jamais sur cette île. Mais en même temps elle ne voulait pas partir, elle s'était résignée à vivre sur l'île à vie.. Elle prit quand même le temps d'écrire une lettre, pensant que personne ne la trouverait jamais.. Elle faisait ça pour donner une chance de plus à ceux qui voulaient partir, mais elle ne savait même pas si elle voulait que cette bouteille soit trouvée. Tout ce qu'elle savait, c'est que la personne qui allait éventuellement trouver sa lettre ne devait pas être un "esprit sensible".. Elle commença à écrire :
- Spoiler:
La lettre de Dakota :
J'écris cette lettre début janvier 2008, sur la plage d'une île magnifique, avec mon cochon d'Inde sur mes genoux.
Je n'ai personne à qui adresser cette lettre puisque ma famille est morte, et je ne sais pas qui recevra celle-ci si elle arrive un jour quelque part. J'espère juste que cette personne ne la remettra pas à l'eau sans y jeter un coup d'oeil car c'est le seul espoir que nous avons de quitter cette île. Et même si je n'en ai pas totalement envie, je respecte le choix des autres survivants qui veulent retrouver leurs proches. Personellement, je n'ai personne a retrouvé et j'ai peur qu'une fois que les secours m'aient ramené à New York je ne revoie plus toutes ces personnes.. Mais la vie décidra pour moi, parce que je n'en suis pas capable. J'hésite même à écrire cette lettre, mais je me dis qu'en faisant ça je donne une chance de plus de partir à ceux qui le veulent. Et puis, peut-être que personne ne la lira jamais alors qu'est-ce que ça me coûte ? Et même si une personne lit cette lettre, elle pourrait peut-être me rendre quelques services..
Je suis tellement occupée à me demander ce que je dois écrire que j'en oublie de me présenter : je m'appelle Dakota Petrel. Je suis New-Yorkaise et il y a quelques temps j'habitais un joli petit pavillon dans cette ville avec mes parents et mon cochon d'Inde : Pomme. J'avais une vie comme toutes les autres filles : j'allais au "Jordan College", en 5è1, où je m'amusais beaucoup. Comme tous les autres élèves, je me moquais des professeurs et je me rends compte maintenant à quel point c'était génial, ça me manque beaucoup.. On s'amusait à donner des surnoms à nos "camarades de classe" [dixit la CPE] comme Le boeuf à face de baboin, ou le Gros bof.. Peut-être que vous pensez en ce moment : "Qu'est-ce que je fous à lire les souvenirs d'une gamine ?". Mais dites vous que cette gamine, elle a besoin de vous pour accomplir des choses qu'elle ne peut pas accomplir là où elle est. J'aimerais remercier ma professeur d'anglais pour tout ce qu'elle a fait pour moi et dire une dernière fois "Je vous emmerde" à tous mes autres professeurs.. J'aimerais aussi faire passer quelques messages à mes petits chous [="mes camarades de classe"]. Si vous pouviez ne le dire qu'à la personne concernée, enfin si vous le faites, vous seriez vraiment gentil.. Je suis vraiment désolée, j'écris cette lettre en pensant que la personne qui la trouvera m'aidera, je ne veux pas vous vexer. Je met quand même ce que je voudrais transmettre au cas où :
Pour Victoria Venin : Ma Vickynounette, tu sais quand je suis arrivée sur cette île [Demande à celui ou celle qui t'emmènes cette lettre c'est expliqué plus bas..] j'ai pensé *Ca peut pas se finir comme ça entre elle et moi*. Et apparement si, mais je n'oublierai jamais toutes ces familles qu'on a pu inventé. Je suppose que tu ne t'es pas beaucoup inquiétée pour moi, et continue comme ça ma cat'. J'espère que tu fais doublement chier les pétasses pour moi. Je passerai en enfer avant toi et je t'aime pas. Pour ma Gwenny : Je me suis dit que pour ce dernier mot de ma part tu n'aimerais pas te faire appeler *Barbabiiiip*. J'espère que tu commences à te défendre.. Te connaissant, tu as du un peu t'inquiéter à la rentrée, mais pour te rassurer Vick' était là. Ma femme, je pense à toi souvent et je porte toujours notre bracelet.. Je t'aime plus que toi à jamais. Pour Lilou-toute-choute : Toi et tes grosses joues.. Tu sais déjà tout ce que je vais te dire mais que mettre d'autres ? Tu es belle : si je te dis ça c'est pas parce que t'es ma chou [de bruxelles], c'est tout simplement parce que c'est la vérité. Je ne garde que des bons souvenirs de toi. Et n'oublie pas de ne pas faire tes devoirs de Latin ! Pour mon chou d'amour : Je crois que c'est nos conversations émoticonées sur MSN qui vont le plus me manquer. J'espère que tu arrêteras de maltraiter ton ordinateur et que tu continueras à prendre de magnifiques photos. Je te couperai la langue un jour.. [Na !] Je vais ptet' pas te dire "Je t'aime" avec tes idées mal placées.. Donc un "Je t'adore très fort" serait plus adapté pour toi. A bientôt dans mes rêves.. Tchuss'. Pour ma choupinounette : Je commence par un Je t'aime et finirait par un autre.. J'espère que tout redeviendra comme avant avec ton n'amoureux. Tu as réussi à me convaincre que c'était pour la vie, alors c'est que c'est vrai. Je t'aime encore une fois. Pour Gabichouchounettechou : Le surnom le plus long à dire est pour toi et c'est pas pour rien. Tout nos délires sont gravés à jamais dans ma mémoire. Tu peux récupérer ma choup' sans problème si tu te mets des lentilles : t'avais promis pour 2008 ! J'adore te rapeler les trucs 5000 fois, rien que pour te voir énerver.. Je vous adore : toi et ta coupe de cheveux.. Pour Françouèèè : Continues de bosser comme tu le fais, je suis toujours aussi fière de toi mon frérot de coeur. J'ai deviné qui tu aimais.. Faut dire que j'ai eu le temps d'y réfléchir [Je t'avais dit que je lâcherai pas l'affaire].. Bonne chance avec elle ! Je te souhaite que du bonheur et je te fais un bizou baveux mon roots. Pour les chous : Vous tous, arrêter le cannabis et allez faire un tour à Lambé ! Je sais, c'est bon pour la santé, mais essayez 5 fruits et légumes par jour à la place.. Vous savez tout ce que je pense de vous, et si mon as du PC pouvait supprimer mon blog et mon MSN, ce serait un ange. A tout ceux cités plus haut je souhaite une merveilleuse année ! Pour les autres : Un "Je vous emmerde" profond, en espérant que vous passiez une très mauvaise année. Maintenant que je suis plus là, il va falloir trouver une autre bête noire.. Et ça va être plus difficile ! Je vous souhaite tout le malheur du monde, et des ongles cassés.
Je voudrais encore vous demander quelque chose.. Je ne peux pas m'en empêcher. Autant que ça serve à quelque chose que quelqu'un trouve cette lettre ! En partie, j'aimerais que ce soit un homme qui trouve la lettre, parce qu'il saurait parler à un garçon. J'aimerais lui dire que j'ai trouvé quelqu'un sur l'île, sans lui faire de peine.. Si vous pouviez lui expliquer ce serait magnifique. Vous trouverez surement de meilleurs arguments que moi.. Mais dites-lui surtout qu'il est très bien comme il est et qu'il ne doit pas devenir fashion. Il s'appelle Romain : un petit casse-cou avec de beaux yeux bleus. Il s'habille avec des vêtements larges, vous le repérerez facilement dans la classe.. Je sais que je vous demande beaucoup de choses, mais je ne vous oblige pas à les faire. Je voudrais juste remettre de l'ordre dans ma vie d'avant avant de passer réellement à une nouvelle vie.
Pour tout vous expliquer, je suis une des nombreux survivants du vol 603 New York-Tokyo. Je rêvais de visiter le Japon, et [J'hésite à mettre malheureusement..] mes parents ont voulu me faire plaisir en m'offrant le voyage : une semaine dans un hôtel 4 étoiles à Tokyo. Ils avaient économisé pendant presque un an pour ce cadeau. On a donc pris l'avion comme prévu, mais ensuite rien ne s'est passé comme on aurait voulu. Je me suis assise dans le siège 56 à côté d'un homme plutôt âgé qui avait l'air gentil. Il m'a cédé sa place à côté du hublot pour que je puisse admirer le paysage mais je n'en eut pas l'utilité car quelques minutes plus tard je m'endormais, le sourire aux lèvres.. Je fus réveillée quelques temps après par des secousses. L'homme à côté de moi tentait de me rassurer mais je ne l'écoutais pas. J'écoutais la voix du conducteur en regardant mes parents qui souriaient bizarrement. Je savais qu'il se passait quelque chose même si le conducteur ne le disait pas clairement et que mes parents me criaient que "tout allait bien". J'ai compris qu'on allait s'écraser lorsque les masques à oxygène sont apparus devant moi.. J'ai attrapé le mien en tremblant puis je me suis retournée vers mes parents. J'ai vu des gens tomber de leur sièges, d'autres se faire éjecter.. C'était vraiment horrible ! Puis j'ai perdu connaissance et lorsque je me suis réveillée j'étais dans une infirmerie improvisée et on soignait mes égratignures. Je me suis demandée où était mes parents, et on m'a fait comprendre avec tact qu'ils étaient morts. J'ai reçu du soutien de personnes que je ne connaissais que de vue..
Au début, j'étais très malheureuse de la mort de mes parents. Je le suis toujours bien sur, mais j'ai trouvé du réconfort sur cette île. Les survivants sont tous gentils et prévenant. On aide tous à la survie et on s'amuse beaucoup.. Je ne vais pas vous raconter ma vie en détail, même si j'aimerai que quelqu'un soit capable de dire ce qui se passe sur cette magnifique île, mais ça ne vous intéresse peut-être pas. Je fais chaque jour de nouvelles rencontres, et je vis une vie normale ici. Il y aura bientôt des mariages et deux survivants ont décidé de m'adopter. Si je retourne à New-York, je n'aurai plus aucun repère, ma vie est ici à présent. Pour vous montrer à quel point la vie est belle là-bas : certains survivants ont organisé un bal de Noël où tout le monde était convié. Les décorations étaient magnifiques, et on y rencontrait tout ceux que l'on connaissait. C'est pas à New-York que vous trouverez ça ! Sur cette île, j'ai trouvé l'amour, et j'ai peur de le perdre en retournant dans ma ville natale. J'ai peur de tout là-bas, ici je suis sure de moi.. C'est comme une chance de tout changer qu'on m'aurait donnée, comme si on m'avait offert d'oublier tout ce qui s'est passé avant.. Je ne sais pas comment expliquer ça et j'espère que vous comprendrez ce que je veux dire.
J'ai encore une chose à vous raconter. Pour commencer ma nouvelle vie, j'ai besoin de me délivrer de ce poids.. C'est une chose qui s'est passée en mai 2007. Victoria m'avait invité à une de ses fêtes, elle m'avait promis que ce serait une fête entre amies, sans alcool.. Et quand je suis arrivée, il y avait un monde fou, principalement des inconnus pour moi, avec, bien sur, de l'alcool. J'affirme que je ne suis pas une "moutone" mais à ce moment là, j'ai suivi tout le monde et j'ai abusé de l'alcool, surement pour "faire bien". Et lorsque je suis sortie de la salle pour rejoindre Victoria, je ne l'ai pas vu, j'ai juste rencontré un invité. On était dans le noir et je ne voyais pas ce qu'il faisait, ça me faisait peur donc j'ai voulu partir mais il m'a retenu pour me.. Enfin pour qu'on.. Au moment où j'écris, je tâche la lettre de mes larmes. Je n'arrive pas à trouver les mots pour écrire, alors je ne pense pas être capable de le dévoiler à quelqu'un sur l'île. Si vous pouviez retrouver cette personne et le livrer à la police. Je vous en demande surement trop, mais vous êtes mon dernier recours, mon seul espoir.. Je sais qu'il s'appelle Joeffrey et qu'il est de New-York.
En résumé, dans cette lettre je vous demande de passer beaucoup de temps pour une fille coincée sur une île, dont vous doutez surement. Mais vous me connaissez mieux que personne maintenant. Si vous avez lu cette lettre jusqu'à la fin, je voudrais déjà vous dire Bravo et vous dire que c'est à vous de faire ces choix : appeler les secours, ou non ? et m'aider, ou non ? Je ne peux pas vous forcer, et après tout, peut-être que personne ne recevra cette lettre. Je vous demande juste une chose : si vous ne pouvez pas m'aider, appelez les secours, quitte à perdre tous mes amis, je dois me venger.. Voilà, merci d'avoir lu cette lettre, et bonne chance pour vos choix. Quoi qu'il arrive je vous remercie vraiment du fond du coeur en vous souhaitant une bonne année !
Elle trouvait sa lettre un peu longue, mais elle n'avait pas envie de la recommencer. Elle la glissa dans la bouteille, et la regarda à travers le verre pour vérifier qu'on ne pouvait pas la lire comme ça. Elle ne voulait surtout pas qu'un survivant lise sa confession.. Elle essuya ses larmes et marcha quelques temps sur la plage, en attendant le bon moment pour la jeter à la mer.
| | | | » Invité " ❝ Invité ❞
| (#) Sujet: Re: La Bouteille à la Mer, tell us ; Ven 4 Jan - 10:18 | |
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Addie, a qui on avait parlé de cette bouteille a la mer, se dirigea vers les hauteurs de l ile, aux falaises, e=avec du papier et des crayons, et s assit, au bord de l 'immensité... Elle prit une feuille et commenca a ecrire...- Spoiler:
Mr et Mme Nixon une ile, un jour de 2008 Charity community 52767 PLeasant Valley 563 State of Iowa USA
Papa, maman
Cela fait longtemps..non? Que vous n avez plus eu de nouvelles de moi... Vous n en avez plus voulu non plus.. Du jour ou le commandant a prononcé sa sentence, mon excommunication, mon rejet, je n ai plus ete votre fille.. Je le sais , cela ne peut changer, ce n est pas votre choix... Mais, maintenant, je suis sur une ile, ou, je n en sais rien..au milieu du Pacifique. J etais partie, a Tokyo, pour oublier mon monde, pour me reconstruire... Et, je suis la, sur une ile deserte, ou j ai enfin compis quelles etaient mes priorités et ou j arrive peu a peu a regler mes compte avec le passé... Le passé...quel passé? celui qui m a forcé a abandonner mon fils, pour vous, pour ne pas etre plus souillée? je ne sais...mais, meme en l abandonnant, j ai quand meme du faire un trait sur vous...et vous sur moi... Et...malgré tout ce qu on a pu vous dire, cet enfant n etait pas le resultat d un amour non autorisé par le commandant... Je ne peux vous le dire, avec des mots, mais j espere que vous aurez compris. Cela ne s est pas fait avec ma volonté... Je t en ai voulu maman, je ne t ai pas pardonné le fait que tu me l ais toi meme pris, et , peut etre que si un jour je reviens, j arriverais a te pardonner, avec le temps, mais jamais a oublié... De ca, je ne garde qu un souvenir impartiel d une matinée de printemps juste apres mes quinze ans, il y a 19 ans... J' ai choisi un futur auquel personne n avait pensé pour moi... Je suis partie, j ai fait des etudes, je suis devenue merdecin, chirurgien, connue et reconnue... Je ne suis pas resté comme mes soeurs a la maison, je n ai pas epousé l homme auquel j etais promise, je ne suis pas devenue une parfaite femme d interieur, je n' ai plus jamais respecté les preceptes de la communauté... Mais, sincerement, je prefere cette vie, que je me suis choisie, a une autre vie, dictée par les regles les plus strictes... J ecris tout ca, mais je ne suis meme pas sure que cela vous parviendra, par dela l océan... Je suis désolée...désolée de vous avoir fait souffrir, de ne pas avoir ete la fille que vous souhaitiez... J' ai essayé d' oublier ca, pendant des années, faisant abstraction de vous, faisant comme si vous n existiez pas... Mais, les difficultés, meme au plus profond de l esprit subsistent, et, un jour ou l autre reviennent... Je ne suis pas mariée, je n ai pas d enfants, j ai si peur, de toutes facons, que l histoire se repete... VOus m avez enlevé la seule chose qui me reliait encore un peu a vous, et, je ne reviendrais jamais, sachez le, sur tout ca... Je veux, avec cette lettre, mettre un point final a tout ca, a mes cauchemars et a mes angoisses, mais quoi qu il en soit, par dela les mers, vous etes toujours mes parents, au fond de moi, et je vous aime quand meme... Vous n avez pas idée de ce qui a pu se passer en moi il y a si longtemps, comment, une société a laquelle on faisait confiance vous trahit. Ecrire cette lettre, prendre ce crayon, est un acte qui me coute reelement, ecrire ces mots pour des personnes que je ne connais meme plus, m ouvrir a elles, et pourtant, vous etes mes parents. Ici, sur cette ile perdue au milieu du Pacifique, j ai trouvé une personne que j aime, qui, je l espere m aime... Nous n appartenons pas au meme monde, nous n avons pas le meme age, mais qu importe... Les regles sont faites pour etrre transgressées, et, je ne veux pas vivre comme les autres, comme vous. Ma vie ne s est aps deroulée comme celle des autres, et je compte que cela reste... J' ai aussi trouvé une enfant a aimer, une petite fille, qui n est pas de mon sang, mais cela ne change guere... Elle n a plus de parents, et, peut etre, serais je un jour sa mere, si elle l accepte... J' ai, ici, etrangement, reussi a regler ces vieilles histoires, en parlant, en me confiant a des gens auquel je ne me serais jamais confiée normalement, et, etrangement, ce sont eux qui m ont aidée le plus... Je ne sais plus quoi dire... Une derniere chose, j ai toujours la bague que j ai recue il y a 21 ans, elle ne me quitte pas..c est la seule chose materielle qui me reste de vous, meme si ce qu elle signifie n a pas ete respecté... Papa, maman, je vous aime, et je ne rajoute que quelques mots: Que Dieu vous garde... vous, et mes soeurs
Addie...
Addie resta , un long moment, assise..puis, elle se mit a pleurer doucement, sans s en apercevoir... Elle sut qu une partie de sa vie etait maintenant reglée, que la derniere pierre avait ete posée, que le pardon pouvait commencer... Elle mit sa feuille dans la bouteille, et resta, la bouteille entre ses mains, les cheveux au vent, a attendre, quoi?personne ne le savait. | | | | » Lizzie-Ivy Eswood Stilson " ❝ ADMIN Speedy. × Tell me your dreams ♧ ❞ × Ma Célébrité : keiraHOTknightley × Nombre de messages : 16353 × Age du perso : vingt-cinq ans. × Job : râleuse têtue et inutile. × Côté love : c'est flou.. you ?
| (#) Sujet: Re: La Bouteille à la Mer, tell us ; Sam 5 Jan - 15:57 | |
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Lizzie avait directement approuvé l'idée des bouteilles à la mer... Elle s'était emparée d'un bout de papier et d'un vieux stylo, et elle avait laissé voguait son imagination... Elle avait été dans les premiers à la distribution de bouteilles, puis elle était allée s'installer dans un coin, toute rêveuse, avec son petit objet en verre et son support pour écrire... Seule, elle pensa de long en large à ce qui était important de dire, ce qui était important que les gens sachent, ce qui serait important que ses proches apprennent... - Spoiler:
Cher Papa, chère Maman, chère Loulou, chère Gwendo et toute la bande, chère Zaza, chère Méli, cher... en fait, j'adresse cette lettre à celui ou celle qui pourra la lire...
J'ai pris le vol 603 de New York en direction de Tokyo, et, malgrés que tout le monde doit croire que tous les passagers sont morts, je suis là, nous sommes là... Notre avion s'est écrasé au milieu de Pacifique, et nous sommes désormais coincés sur une île déserte et inconnue... Il y a eu des pertes, mais nous sommes une centaine de survivants, et nous avons besoin de votre aide... Malgré tout, nous faisons de notre mieux, nous avons nos abris, nos gardes-manger, nos bains, notre chapelle et même notre phare... De plus, il n'y a pas beaucoup de conflits, chacun forme son groupe, sa petite famille, chacun est solidaire et assez serviable... Nous avons fait les fêtes de fin d'année dans une harmonie assez chaleureuse, et pour l'instant, le climat ne nous fait pas défaut... Pour ce qui est de moi, je vais bien... le soleil et les moustiques m'aggacent, mais en contre-partie, beaucoup de gens me rendent le sourire jour après jour... Je sais que si vous veniez me chercher, les personnes qui m'étaient proches en Amérique, auront du mal à me reconnaître : je suis beaucoup moins populaire, et on m'accuse souvent d'avoir un côté un peu rebelle... Mais ne vous en faîtes pas, je reste quand meme votre pitite Lizzou, malgré que la timidité et la générosité s'empare de moi au fil des semaines... Le message que je voulais avant tout faire passer à mes parentes est que je ne leur en veux pas du tout de m'avoir envoyé à Tokyo, et que je pense à eux chaque jour... Et puis, à tous mes petts potes que j'aime fort, je ne vous oublierais jamais... L'île devient peu à peu mon chez-moi, je fais de superbes découvertes et des rencontres passionnantes, puis certaines personnes son exceptionnelles... Notre vie a changé, nous avons changé... Je fais d'énormes bisous à tous ceux qui se econnaîtront.. etjuste une dernière chose : on est vivants, alors, venez nous chercher !! Merci de nous comprendre et de nous entendre... A bientôt peut-être... Lizzie Stilson
Lizzie garda son bout de papier dans ses mains pendant plusieurs minutes, puis elle le roula délicatement et elle le mit dans sa petite bouteille... Un petit sourire apparut alors sur ses lèvres, et elle se leva avec une petite fierté dans la tête et une grande joie d'espoir dans le coeur... | | | | » Jamie Brundage H. " ❝ Regular. × My new Life is here ❧ ❞ × Ma Célébrité : Evan God Peters × Nombre de messages : 15473 × Age du perso : 16 ans × Job : Les études rescapé, les études.
| (#) Sujet: Re: La Bouteille à la Mer, tell us ; Sam 17 Mai - 14:27 | |
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Jamie avait lui aussi entendu parler d'une lettre qu'il pouvait envoyer, pour recevoir du secours. Jusqu'à présent, ca n'avait pas marché. Mais il espérait qu'en en faisant une, il y aurait une chance en plus de recevoir de l'aide. Il était petit... Sa lettre ressemblerait plus à une lettre qu'on envoi à ses parents quand on est en vacances chez ses grand parents ou quand on est en colonie... Il a toujours été bon en français, et écrivait beaucoup chez lui. Il connaissait pas mal de mots et ne faisait pas trop trop de fautes...
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Salut les gens qui lise ma lettre, Bwa j'ai crashé sur une île... C'est bien hein ! Il fait chaud, je me baigne quand je veux ! Il y a même une école si on veut encore apprendre ! C'est trop bien ! J'ai pleins de nouveaux copains... Mais Maman et Papa sont plus là... Bwa heureusement que Tiny est ici. Bref on attend de l'aide on en a besoin beaucoup maintenant... Les extra terrestre vont nous envahir sinon Jamie.
Jamie regarda sa feuille. Il l'enroula et la mit dans bouteille qu'il jeta directement a la mer. Il s'en alla en sautillant. Il ne voulait pas être triste et repenser tout ca, alors il s'en alla, content de lui... |
Dernière édition par Jamie Brundage le Sam 12 Mar - 13:01, édité 1 fois | | | » Invité " ❝ Invité ❞
| (#) Sujet: Re: La Bouteille à la Mer, tell us ; Sam 14 Mar - 18:41 | |
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L'île plaisait beaucoup à Candy mais ses parents lui manquaient, sa famille lui manquait, ses amies lui manquaient ... Elle arrivait même à regretter sa maîtresse qu'elle détestait. Se souvenait-ils d'elle ? Leur manquait-elle ? Ou alors peut-être n'avaient-ils pas remarqué son absence ? Candy s'assit sur le sable, à côté d'elle se trouvait sa valise ouverte, où elle avait tant bien que mal retrouvé les papier à lettre offert par ses parents. Elle sortit un stylo, posa le papier sur ses genoux, commença à écrire.
Le stylo ne marchait pas bien, et Candy fut obligée d'écrire sur sa main pour le faire fonctionner. - Spoiler:
S'il vous plaît, si vous trouver cette lettre, veuillez la donner à : Amanda et Jack Maxwelle 145 Prescot Lane San Francisco
Chère maman, cher papa Papa, Maman Pour mon papa chéri et ma maman adorée, Je vous écris d'abord pour vous rassurer. Je vais bien, ne vous inquiéter pas. L'avion que j'ai pris avec Tina, et tonton, s'est écrasé sur une île. Il s'est cassé en deux. J'ai eu très peur. Tout allait bien, et tout à coup, l'avion a commencé à descendre très très vite. Ensuite, il y a eu une grosse explosion ! Boum ! Tout a éclaté ! Beaucoup de gens sont morts, dont mon oncle. Mais Tina est toujours vivante et est avec moi. Depuis, personne n'est venu nous chercher. L'île est très grande et très belle. On peut se baigner dans la mer et l'eau est chaude. Il fait toujours soleil. Je m'amuse à me promener dans l'île et j'ai découvert des coins incroyables. Je joue dans la nature et je suis sage. Je me suis fait pleins d'amis. Il y a beaucoup d'enfants qui, comme moi, étaient dans l'avion. Les grands s'occupent d'organiser la survie. On a une grande réserve de nourritures avec pleins de trucs dedans, on a aussi des huttes pour dormir, ou sinon on dort dans des grottes ! C'est pas facile tout les jours mais je vais pas me plaindre, c'est surtout les grands qui travaillent. J'ai rencontré des tas de gens formidable et je sais que, sans eux, je ne serais plus là aujourd'hui. Tout le monde est gentil avec moi. Je passe la plupart de mon temps à me balader, à explorer mais ne t'inquiète pas, maman, des adultes ne surveillent. Enfin, un peu ... Vous me manquez très fort tout les deux et je pense à vous souvent.
Une larme coula sur le papier et Candy essuya rapidement sa joue. Il ne fallait pas qu'elle pleure ... Elle finit sa lettre. - Spoiler:
Je vous aime fort. Tout les deux.
P.S. : Faisez un câlin à Lucky de ma part car mon chien à moi me manque aussi. Encore une fois, je vous le dit : ne vous inquiétez pas pour moi, je vais bien. Bisous
P.P.S. : J'espère que vous n'allez pas divorcer ....
| | | | » Sybille M. Stilson " ❝ Regular. × My new Life is here ❧ ❞ × Ma Célébrité : La sublissime Eva Green, qui selon les z'Adminette, fait très peur xD × Nombre de messages : 1609 × Age du perso : 25 ans × Job : Pirate. Cela repond à votre question? × Côté love : Loin de tes yeux, les miens ne voient plus rien. Mon coeur ne bat plus sans le rythme du tien. Reviens moi, je t'en prie, les souvenirs m'assaillent...
| (#) Sujet: Re: La Bouteille à la Mer, tell us ; Mer 1 Avr - 19:18 | |
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Face à la mer, Sybille fixait l'horizon. Assise dans le sable, ses longs cheveux retenus par son bandeau, elle tenait à la main un stylo rescapé du crash. Sur un bout de papier qui était autrefois un bloc note de 100 pages, elle commença à écrire.- Spoiler:
Ile du Pacifique, perdue au milieu de l'océan. AU moment du coucher de soleil.
A tous ceux qui un jour, liront ce bout de papier. Ceci n'est pas un S.O.S, ni même une prière pour qu'on vienne me sauver, non. J'éspère simplement que, quelque part, une personne trouvera ce morceau de papier et le donnera aux prisonniers de la prison de NY. Demandez Tuker Rowle, ou même Xander Wells. Vous verrez bien. Je suis Sybille SUllivan. Mon nom vous dis quelque chose? Ca ne m'étonne pas le moins du monde! Vous pensiez sincèrement que moi, seconde du Capitaine Costello, j'allais me faire attraper et terminer ma vie en taule? Jamais. Sybille releva le stylo, un instant. Un sourire amusé aux lèvres. Puis reprit.- Spoiler:
Ou je suis? C'est simple. Là ou mon avion, le vol 603 direction Tokyo à piquer du nez. Une rescapée parmis tants d'autres. La ou je suis, on ne me connaît que sous le nom de Sybille, sauf quelques uns qui conaissent ma véritable nature. D'ailleurs, je tiens à signaler à Xander et Noah -qui se reconnaîtrons- qu'ils ont raison. L'avion, ca craint. Le bateau c'est mieux! Mais je tenais à dire à mon équipage, que la ou je suis, je vais bien. Je m'enme*de ferme sur ce paté de sable, mais je trouverais le moyen de me barrer. De venir vous sorttir de cet enfer ou Edward vous à mis. D'ailleurs, si il est à côté de vous en ce moment, frappez le pour moi. ET dites lui que sur le nouveau Liberty, il sera le souffre douleur du Capitaine Sullivan! Oui matelots, vous avez bien lu. Je reprendrais du service, je trouverais un moyen de quitter cette île. Avec de nouveaux matelots. Une certaine Candy, qui est devenu ma fille adoptive -Oui Xander, tu as gagné ton pari, j'ai finalement une enfant sur l'île- Bryan Springfield, un homme au coeur d'or. Il m'a tiré des ténèbres. ET encore d'autres, si je parviens à les convaincres. Je songe à une Mylie qui n'est autre que ma cousine, mais aussi à Lizzie et Willy Stilson. Mais l'avenir me le dira. Pour l'instant, je me contente de vous saluer de mon chateau de sable, et vous dit que vous me manquez tous énormément. Sauf Edward. Bon, d'accord, je reconnais que ce rat de cale me manque aussi. Mais moins que vous tous.
Capitaine Sybille Sullivan.
PS:Thieves and Beggers never shall we die. Sortant un fond de rhum, Sybille le vida net, y rangea le mot et le stylo, reboucha le tout, et le lança le plus loins possible sur l'océan. Debout face à l'horizon, Sybille, rendue un peu ivre par le rhum et le soleil qui avait tapé sur sa tête tout au long de la journée hurla/-JE SUIS SYBILLE SULLIVAN, ET JE REVIENDRAIS VOUS CHERCHEZ! NOAH, XANDER, JE VOUS AIME!!!! | | | | » Invité " ❝ Invité ❞
| (#) Sujet: Re: La Bouteille à la Mer, tell us ; Lun 17 Aoû - 0:26 | |
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Edward ne suprit tout seul, une feuille blanche sur les genoux en appuis sur une simple planche et un stylo en main .. il commença à écrire .. - Spoiler:
Un jour; une date sans grande importante, enfin je crois. Sur une île déserte, quelque part où je vis une vie de pirate bien au calme et sur mon rocher, perché en train de regarder la mer et d'écrire, surprenant pour moi. J’ai entendu dire qu’il était possible d’écrire une lettre et de l’envoyer .. Telle une bouteille à la mer. Je ne sais pas vraiment pourquoi je prends le temps d’écrire même si mes journées se ressemblent toutes et que je ne donne aucun services pour les autres survivants mais peu importe. Un pirate a peut être aussi besoin d’écrire pour se sentir mieux .. Alors je tente. Nous verrons bien ! Nous verrons bien qui lit cette lettre. Peut être un enfant ou une personne âgée. Peut être qu’elle ne serait lu que des années après, personne ne sait et moi encore moins. Je m’appelle Edward M. Costelio. Je suis un pirate de naissance et j’ai toujours vécu sur le Liberty, le bateau pirate de mon père. Je n’ai jamais eu les pieds sur terre. Après la mort de mon père j’ai put devenir le nouveau Capitaine du Liberty, une grande fierté pour moi et à l’heure d’aujourd’hui, ça me rends complètement malade de ne plus voir le bateau, ni même de savoir où il se trouve… tellement d’histoire. J’y ai grandit. Je suis né sur ce bateau le 1er Janvier 1981 pour ce qui est de ma mort, je ne sais pas si - au moment où vous lisez cette lettre je suis encore vivant - probablement pas mais une chose est certaine tout le monde meurt un jour et étant donné que je n’ai pas pu me rendre à Tokyo pour un procès contre moi - qui m’aurait sûrement envoyé moisir derrière les barreaux jusqu’aux restant de mes jours, je suis bien heureux de me savoir sur cette île et la plus belle mort qui soit pour moi et de partir en étant ici. Pendant l’époque du Liberty j’ai rencontré une femme. L’amour de ma vie. Mais il faut croire que le destin en a décidé autrement. Sybille n’a plus voulu de moi. Je conçois que je n’étais pas un petit ami idéal et facile à vivre. Je dois avouer aussi que je me montrais violent - quelque fois et je regrette tant les coups que j’ai pu lui donner. Je suis énervée contre elle, car elle aurait dût me quitter plus tôt pour me punir et pour ne pas que je recommence .. Mais je l’aime tant que c’était impossible pour moi de la laisser partir. Je ne sais pas encore comment je fais aujourd’hui pour me dire qu’elle aime un autre que moi. Elle mérite le bonheur, je ne lui ai pas donné. Je ne dis pas que notre vie de couple n’a jamais été belle, c’est totalement faux. Mais je ne la méritais pas et elle méritait mieux que ce c** de pirate que je suis. Je ne peux concevoir ma vie sans elle mais je m’étonne à me voir vivre encore et toujours. Je suis tellement triste quand je repense aux merveilleux moments que nous vivions tous les deux. Ca me manque atrocement ! Les premiers jours comme les autres. Nos nuits d’amours qui étaient assez fréquentes tant la passion commune que nous, nous portions l’un pour l’autre. La tendresse aussi. Ces 1000 baisers que nous, nous sommes offerts. Que se soit dans ma cabine, sur le quai, sur le pont, dans un bar ou encore sur une plage - et autre endroit paradisiaque que nous avions eu la chance de voir un jour. Cette nuit .. Nous étions maitre de notre royaume. Le soleil commençait à se coucher. Nous étions en plein été et il faisait chaud cette nuit là. Nous n’avions pas fini de transpirer car nous, nous sommes offert une nuit des plus belles ! Je me souviens de la sensation que j’ai pu éprouver en ressentant la chaleur du feu sur ma peau, ses frissons et toutes les autres sensations lorsque nos deux corps nus étaient unis, parfaitement. Union charnelle si intense ! J’en ressens ce plaisir encore aujourd’hui. Je voudrais m’excuser auprès d’elle mais ce n’est pas suffisant. Sybille je t’ai déclarée mon amour quand je t’ai retrouvé sur l’île mais je sais éperdument que notre histoire est terminée. Je repense au temps d’avant et j’essaye à nouveau d’avancer. Excuse moi pour tout ce que j’ai pu faire et tout ce que je pourrais te faire dans l’avenir. Je t’aimerais éternellement. Quand tu me parlais d’avoir un enfant .. Je regrette .. J’aurais un être de chair qui pourrait me rapprocher de toi. J’étais tellement idiot, j’avais peur de la responsabilité de père. Je me savais un grand enfant.. Peut être encore pas assez mûr pour guider un petit être dans sa vie. Mais aujourd’hui je me sens prêt à être père de ton fils. Si je pouvais faire autrement, je remonterais le temps pour changer ce détail. Nous aurions ce petit garçon que tu désirais tant. Il s’appellerait Jack comme tu le disais souvent et aujourd’hui il serait un petit bout’chou de 4 ans à peine ! Pardonnes-moi. Je t’aime. Edward.
| | | | » Endreya A. Hamilton-Wayne " ❝ Failure. × It's like I'm losing my mind ϕ ❞ × Ma Célébrité : alexandra park. × Nombre de messages : 3379 × Age du perso : 24 ans. × Job : barmaid. × Côté love : ashford, forever and always, till death do us part.
| (#) Sujet: Re: La Bouteille à la Mer, tell us ; Lun 20 Déc - 1:11 | |
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Hilary se leva ce matin-là, et Alys lui avait laissé la place. Elle se leva et s'habilla avec l'envie et le besoin de se confier à quelqu'un, de raconter ce qu'elle ressentais, ce qui lui était arrivé depuis le début... Elle avait besoin d'une oreille qui l'écoute, ou même qui fasse semblant. Elle avait juste besoin de s'exprimer, juste besoin de raconter. Que ce soit à voix haute ou non, il fallait qu'elle s'exprime. Elle prit une feuille de papier et un stylo bille. Le seul auquel il restait de l'encre. Elle marcha longtemps au hasard à travers la forêt, et fini par déboucher sur la réserve de nourriture. Elle y entra, se servit de quoi manger ce matin-là plus le midi, et une bouteille de rhum. Elle l'aiderait certainement à tout raconter, plus ou moins clairement... Elle s'en alla ensuite, vers une crique, sauta sur un rocher, puis un autre, et encore un autre. Elle était dans l'interstice entre deux rocher, sur une bande de terre. Elle s'assit là, à l'ombre, et posa son papier sur ses genoux. Elle déboucha sa bouteille, et en but quelques gorgées. Elle arracha un morceau de pain avec ses dents, et mangea sans faim. Elle écrivit, entre deux gorgées, puis s'arrêta, alla se baigner et reprit. Bref, elle passa la journée sur cette bande de terre ombragée par deux rochers et une crique, à se baigner, boire, manger, et écrire. A la fin de la journée, elle enroula sa lettre la glissa dans la bouteille de rhum alors vide, la ferma avec le bouchon original, l'enfonça un maximum à l'aide d'une pierre, et se levant, monta sur un rocher, en tanguant, et lança sa bouteille à l'eau. Qu'elle parvienne à quelqu'un ou non lui était totalement égal. Tout ce qu'elle voulait s'était se confier, et le fait que ce fut à une bouteille de rhum vide n'amoindrissait pas le geste. Elle avait réussit à se libérer, entre deux gorgées et deux crise de larmes. Les souvenirs de ce qui s'était passé auparavant, avant l'île avaient rejaillit, ceux de l'île aussi... Elle s'en retourna se coucher alors que la nuit tombait, mais ne trouva le sommeil qu'après une longue attente, et dormi cette nuit-là d'un sommeil agité. La jeune fille finirait par devenir totalement associable. Et ce ne serait pas Alys qui l'aiderait...
- La lettre de Hilary:
Chère bouteille de rhum que j'aurais théoriquement terminée.
J'ai décidé aujourd'hui d'écrire sur ces feuilles, de me confier, tout simplement parce que j'en ressentais le besoin. Ces trois dernières années ont été difficiles, et mouvementées. J'ai plusieurs fois cru que j'allais me perdre en moi-même et au fin fond des méandres de mon esprit. Si je suis parmi vous ce soir ou ce jour, si vous pouvez trouver cette lettre, qui n'est pas forcément faîte pour cela, c'est tout simplement parce que beaucoup de gens m'ont aidé à rester en vie et à ne pas craquer ! Je vais peut-être repartir de puis le début avant d'essayer de vous faire comprendre ce que je ressens si toutefois quelqu'un reçoit ce message... Je suis Hilary M. Madden. Je fais partie des passagers du vol 603 New-York tokyo de août 2007, celui qui s'est crashé. Je fais partie des survivants. Nous sommes quelques quatre cents à être encore en vie, mais ça n'est pas grâce à moi... J'ai 21 ans, je suis née le 5 avril 1990. Avant ce crash, j'étais, étudiante. Je suivais deux cursus. Un en stylisme et couture, et l'autre en graphisme et typographie. Et pour arrondir mes fins de mois, je chantais dans un bar à l'angle de ma rue. Depuis le crash, on me dit que je fais partie de ceux qu'on appelle les Rebelles. Je suis née comme la plupart des jumeaux au bout de sept mois de grossesse. Je n'ai pas connu ma jumelle avant mes vingt ans. Ma mère, s'appelait Mary Heatckliff Materson. Mon Père, James Materson. Depuis que j'ai lu les hauts de hurlevents, je suis fière du nom de jeune fille de ma mère. J'ai toujours aimé ma mère... jusqu'à sa mort, and i'm still loving her. J'ai apprit tard dans ma vie, que le jour ou on était rentré à la maison après la maternité, mon père avait envoyé ma soeur dans une famille, et j'étais seule avec eux deux. Ma mère n'a jamais accepté l'idée que mon père ait pu lui enlever un petit bout d'elle, la chair de sa chair lui avait été ravie... J'avais trois ans quand mon père a levé pour la première et la dernière fois la main sur ma mère. Ces images restent encore aujourd'hui très nette au fond de mon esprit. Ma mère a quitté la maison et est revenue quelques jours plus tard. Mon père a déménagé à New-York, et m'a emmenée. Je suis arrivée au CP avec un an d'avance, ma mère m'avait apprit à lire depuis très jeune, et de plus j'étais plus mature que les autres. Le 23 mai 1997 est le jour ou maman est morte. Je l'ai vu, quelques heures avant sa mort. Elle m'a donné une pochette avec des papiers ; le parcours de ma soeur jumelle. Son testament stipulait que j'hériterais de tout, une fois la majorité atteinte. J'ai hérité il y a quelques mois de tous les biens de ma mère. Malheureusement, me croyant morte, mes parents adoptifs ont du en hériter... Oui, j'ai aussi un père adoptif, mais laissez-moi raconter mon histoire avant de vous poser des questions. J'avais à peu près sept ans, quand j'ai décidé de ne plus parler à mon père, je le tenais pour responsable de sa mort. Quelques mois après j'ai aussi arrêter de l'alimenter, je voulais rejoindre ma mère. J'avais huit ans lors de mon premier séjour en hôpital psychiatrique. Je ne suis pas restée très longtemps... Je suis ressorti. Je ne lui parlais toujours pas, mais au moins, je mangeais à peu près normalement. J'avais neuf ans, deux mois et dix-sept jours quand la voiture de mon père a percuté un arbre. Il était saoul (comme d'habitude) et était venu me chercher chez une « amie ». Il est mort sur le coup. Je suis restée trois semaines dans le coma. À mon réveil, sa mort m'a laissé un grand vide. J'avais neuf ans et il était la seule personne adulte de ma famille encore en vie... Lorsque j'ai su que j'étais orpheline, je suis restée sans voix, et le médecin a du prendre cela comme un signe infini de tristesse, car il m'a laissé seule dans ma chambre d'hôpital. Ce fut je crois la pire erreur de toute sa carrière. Ma chambre était près d'une salle d'op' d'urgence. J'y suis entrée, j'ai saisi un scalpel, et j'ai incisé d'un geste franc les veines de mon poignet gauche à deux reprises, et alors que je m'apprêtais à changer le scalpel de main pour faire de même de l'autre côté, deux infirmières sont entrées, et mon sauvé la vie. Voyez, quand je vous dis que sans certaines personnes je ne serais pas ici... Ce n'est pas de l'abstrait... C'est alors que je parti une deuxième fois en hôpital psychiatrique. Je n'ai jamais été réellement soignée... et je crois que c'est pour ça que certaines personnes sur cette île ont beaucoup de pouvoir sur moi... Depuis ces jours-là, je ne peux avoir avoir un contact physique avec une personne (pour le première fois) sans avoir un flash de souvenirs ou de rêves... A ma sortie de l'hôpital, je fus envoyé dans un orphelinat ou je restais peu. Deux adultes m'avaient adopté. C'était apparemment un deuxième mariage, et mon père adoptif avait d'autres enfants. J'en entendais souvent parler, mais apparemment ils devaient avoir eu une grosse dispute, parce que je ne les ai jamais vus. Bref j'ai été adoptée, et ma vie est devenue d'un seul coup beaucoup plus simple. Mon histoire leur avait été comptée, ils ne me posèrent jamais aucune question sur mon passé, et m'écoutaient avait la bonne dose d'intérêt quand j'en avais besoin. Ils habitaient au Japon. Je suis allée dans un lycée américain au lycée, et Il ne s'y est jamais rien passé de réellement très important, sinon, que j'étais punk, et que certaines personnes n'appréciaient pas... Après des heures de colles, des devoirs supplémentaires, des convocations des parents (je ne faisais pas exprès, j'avais juste du mal à me laisser marcher sur les pieds... je voulais juste ne pas me taire, ne pas faire ce que j'avais fait à mon père. Je ne voulais pas déplaire à mes parents adoptifs. Je les aimais, et les aime encore beaucoup), j'ai finalement été arrêtée pour braquage de banque. Je suis restée en prison quelques jours avant qu'on arrive finalement à prouver que ce n'était pas moi. J'avais été au cinéma avec mes parents ce soir-là (pour une fois). Si après avoir trouvé une nouvelle famille ou j'étais aussi désirée, je ne suis retournée à New-York, que pour les études, et pour retrouver ma soeur et suivre les indices et les traces que ma mère m'avait laissés. A New-York, j'allais à la fac, je travaillais, et entre les deux, j'allais chercher ma soeur. La dernière année avant le crash a été fructueuse, je l'ai aperçue, une fois, et je n'ai pas réussit à l'aborder, mais je savais qu'elle était en vie , saine et sauve, en bonne santé, et qu'elle avait une famille. Je ne voulais pas détruire les rêves qu'elle aurait pu s'être fondés. C'est aussi cette année-là que j'ai rencontré Matthyas. Je travaillais au Chocolate.spray comme tous les mardi après-midi, alors qu'IL (LE populaire de l'université, celui pour lequel toutes les filles craquent) entra un jour pluvieux de septembre dans un bar qu'il n'avait jamais eu l'occasion de tester, le Chocolate.Spray, le milkshake bar dans lequel je travaillais. Je pris sa commande, et quand je revins lui mener sa boisson, il me demanda : - S'est-on déjà vus ? - Non, jamais... Je savais trés bien qui il était, et pensais qu'il utilisait cette approche, afin de sympathiser avec moi, et de pouvoir m'ajouter sur la liste de ses conquêtes. Mais à cet instant, le jeune homme avait été trés sincère, en effet, il n'avait jamais réellement été celui qu'il prétendait être à l'université, il ne jouait ce rôle que pour ce faire accepter et ne pas faire tache, mais je n'en savais rien. Il n'ajouta rien, et s'en alla en fin d'après-midi, sans un mot de plus, mais la semaine suivante, le même jour, à la même heure, il fit son entrée. s'assit à la même table, et commanda la même chose, puis quand je vins lui apporter son Milkshake Chocolat-Banane-Vanille-Cannelle-et-supplément-de-Chantilly, il m'attrapa le poignet comme il l'avait fait la semaine précédente, et dit : - Je suis certain de t'avoir déjà vu. Je lui souris faiblement, me dégageai, et m'en retournai derrière mon comptoir. Il m'avait remarqué à l'université, je le savais, il avait même croisé mon regard. Il répéta cette comédie tous les mardi à 15h06 il entrait, commandait, et me parlait. Le deuxième Mardi de décembre, il commanda deux boissons, son habituelle, et une qu'il demanda à mon goût à moi, pour tester (soit-disant). Quand je les lui amenai, il me demanda de m'asseoir. Je commençai par protester, mais il me persuada en m'apprenant qu'il en savait beaucoup plus sur moi que je ne semblais vouloir le croire. Je m'assis intriguée. Il commença à me raconter à moi, ma propre vie, sous un angle de vue différent, et trés objectif. - Tu es Hilary Alys June Materson Madden. Tes amis t'appellent Hily, mais tu n'en as pas énormément. Ici, personne ne connait ton passé, mais tu sembles troublée. Tu habites seule dans la 83ème rue Est entre Madison et Park avenue. Tu travailles pour te payer tes études, et de quoi vivre, ici, dans le Lutece, et au Weekly Irish Pub. Tu trimes pour pouvoir suivre ton double cursus. Et certaines rumeurs laissent entendre que tu aurais déjà séjourné dans un hôpital psychiatrique. Choquée par le savoir qu'il possédait à mon propos, je me levai, et retournai derrière mon comptoir sans dire un mot. Il n'insista pas. Le mardi suivant, il revint mais ne me parla que pour me commander la même chose : deux boissons. Il ne me pria pas de m'asseoir avec lui. Et ceci dura jusqu'en février. Puis, le dernier mardi de Février, je m'assit avec lui, et lui fis un récit détaillé de ma vie. Puis sans qu'il n'eut le temps de dire quoique ce soit, je m'en allai. Le mardi suivant, je s'assis, avec nos deux boissons avant qu'il ne les commande, et il se confia à son tour. Il me raconta tout sa vie, du début à la fin, comme je l'avais fait, sans tabous, ni censure, et il me confia ses plus grands secrets, notamment le fait qu'il n'aimait pas qui il était à l'université, et que le vrai lui ressurgissait en ma compagnie à moi. Nous nous étions enfin parlé, nous avions enfin fait connaissance, et nous nous entendions à merveille. Nous nous voyions aussi à l'université, et il se détacha de plus en plus de la bande populaire, et il fut pour cela insulté et méprisé, mais il préférait rester lui-même en ma compagnie, que de jouer un rôle en leur compagnie. C'était mon meilleur ami, et rien ne nous séparait. Sa petite amie tenta de nous séparer. En effet, certaines rumeurs couraient. Il passait plus de temps assis à discuter avec moi qu'avec sa propre copine. Elle rompit, mais cela ne lui procura aucun chagrin, il s'en accommoda fort bien. Il a aussi changé de voix cette année-là. Il avait décidé de rompre le rêve de ses parents pour vivre ses propres rêves, et je ne pouvais en rien le blâmer... C'est lui qui m'accompagna à l'aéroport, il me serra trés fort dans ses bras, me chuchotant quelques mots à l'oreille : - Reviens-moi vite ! tu vas me manquer. Ce à quoi je répondis : - Tu me manqueras aussi !! A dans quinze jours ! Cette attente fut plus longue que prévue, et dure encore. Les quinze jours se sont transformés en un mois, puis en deux, puis un an, et bientôt, trois années se seront écoulées. Je suis sur cette île depuis 1220 jours à présent. Je le sais parce que j'ai compté. Sur cette île j'ai fait des rencontres, parfois époustouflantes, parfois moins. J'ai retrouvé Katty, mon double, mon âme soeur, ma moitié. Je lui ai parlé enfin, j'ai osé l'aborder alors qu'elle pleurait sur le plage, comme je l'avais quelques jours auparavant. Il y a quelques mois, une véritable apocalypse s'est déclenchée sur l'île, nous avons eu faim, froid, la tempête, et ceux que nous avons appelés les hostiles ont réussit à fabriquer un poison qui fait jaillir le mauvais côté de la personne qui absorbe le produit, et ce pour une durée indéterminée. Tout dépend des défenses physiques et mentales de la victime. J'ai absorbé cette substance, et je suis contaminée depuis maintenant deux mois et demi. J'ai ce qu'on appellerait un dédoublement chronique de la personne. Mon deuxième moi s'appelle Alys, et elle me retient prisonnière dans mon propre corps, me laissant parfois respirer, sans doute par peur que j'explose... Elle a fait du mal à tous les gens que j'aimais. Mais par rapport à elle, je me sens si faible... Katty essaye à tout prix de m'aider, mais... je sais pas si je me sortirais de là un jour. Alys à demandé à un des hostile de la faire devenir l'une des leurs... Elle attends sans doute sa réponse. Je fais du mal aux gens sans m'en apercevoirn c'est quand je me réveille et devient moi-même que je m'en rends compte... J'ai peur, très peur de la suite. Il y a un mois et demi environ, un sous-marin s'est échoué sur notre île. Ils venaient pour nous sauver, en partie, et mon meilleur amie était venu me rejoindre... Il est à présent lui aussi sur l'île, mais j'ai évité de penser à lui un maximum de peur qu'Alys ne lui fasse souffrir peine et tourments. Je ne supporterais pas qu'il n'accepte plus de me parler à cause d'elle, à cause de moi...
Si par hasard quelqu'un trouve cette lettre, j'aimerais s'il vous plait qu'on avertisse mes parents. Je suis encore en vie. Monsieur et Madame Madden, deront je crois infiniment reconnaissant de recevoir des nouvelles de nous tous : Moi, ma petite soeur, October, leur fille et les triplets, les premiers enfants de mon père. Ils vont bien eux aussi. Evan, Benji et Sybille, sont mes demi frères et soeur par adoption. Je les aime bien. Je crois que j'ai terminé avec ma vie... Je ne compte plus les tentatives de suicide... Bref ! Nous sommes près de quatre cent. Faîtes quelque chose pour nous aider. Envoyez-nous plus qu'un sous marin ! Par pitié sortez-moi d'ici !!
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| (#) Sujet: Re: La Bouteille à la Mer, tell us ; | |
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