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Riley L. Moson (Finie) Vide
Message(#) Sujet: Riley L. Moson (Finie) Riley L. Moson (Finie) EmptyDim 18 Nov - 23:23

identity card
Riley Lewis Moson . ♦ Feat Kellan Lutz ;

• Age, Date & Lieu De Naissance : 3 juillet 1990, à Forked River (New Jersey)
• Métier avant d'atterrir sur l'île : Militaire
• Un signe particulier ? Riley possède une tête de mort tatouée entre ses omoplates et deux cicatrices, l'une à l'arcade droite, cachée par son sourcil et l'autre plus visible, sur son flanc gauche. Il avait également un piercing au menton, enlevé depuis qu'il est à l'armée.
• Orientation sexuelle : Hétérosexuel
• Qualités : Courageux, Travailleur, Direct, Sociable, Drôle, Intelligent, Patient.
• Défauts : Mystérieux, Impitoyable, Violent, Fêtard, Infidèle, Têtu, Rancunier.
• Manies : Il n'enlève jamais la griffe de tigre accrochée autour de son cou. Il est superstitieux et agit donc comme tel au quotidien. Il fume comme un pompier, du tabac mais aussi de l'herbe...
• Ma p'tite catégorie : Les Naufragés
• Pourquoi ce groupe ? C'est une longue histoire...
• Post prédéfini [X] - Scénario [] - Inventé []
• Pourquoi ce perso/avatar ? : Parce qu'il le vaut bien !
• J'ai recensé ma célébrité ici :
[X] oui. [] pas encore.

© Anat

what about me
• Physique : Autant le dire, Riley est un jeune homme sportif que la nature a plutôt bien gâté. Il est grand et mesure 185 cm. Son ossature assez imposante et sa musculature qui l'est tout autant font qu'il pèse environ dans les 85 kg. Il a la carrure d'un joueur de football américain, avec des épaules plutôt larges, un bassin plus étroit et des jambes solides. On appelle ça une silhouette mésomorphe en clair, en forme de X. Il n'est pas gros ni bodybuildé à l'extrême mais on voit aisément qu'il est sportif et qu'il se maintient en forme. Ses muscles sont tous harmonieusement dessinés, tout au long de son corps, de ses biceps à ses mollets, en passant par ses pectoraux et ses abdominaux. On a l'impression que sa peau a été spécialement calculée et conçue pour lui donner ses formes, comme un vêtement moulant. Elle souligne à la perfection son travail. D'un teint légèrement hâlé, elle ne possède que de rares grains de beauté, au niveau du torse et des bras. Enfant, il avait de petites tâches de rousseur qui ont disparu avec l'âge et le bronzage. Riley est blond, ce qui fait que les rares poils qu'il a sur le corps sont pratiquement invisibles. De toute façon, à part sur le visage, les bras et les jambes, il s'est épilé de façon "définitive". Ses cheveux sont coupés courts, coiffés en avant de façon générale, bien qu'il lui arrive parfois d'arborer des coiffures plus extravagantes. Il aime porter une barbe finement taillée datant de quelques jours et il est vrai que ça lui donne un côté viril très attirant. Il a des sourcils de taille normale, qui viennent accentuer ses yeux d'un bleu azur. Son nez est de taille normale, assez court et droit. Ses lèvres plutôt charnues donnent à sa bouche un air boudeur. Il a une dentition parfaite, d'un blanc éclatant. De façon générale, son visage est assez anguleux, globalement inexpressif sauf quand il a la rage.

Riley a une cicatrice à l'arcade sourcilière, un souvenir de bagarre qui a mal tourné. Celle-ci est très peu visible, caché par les poils. Sa seconde cicatrice se situe sur son flanc gauche. Elle généralement masquée par son bras mais dès qu'il le lève, personne ne peut passer à côté. D'un longueur qu'à peu près dix centimètres, elle s'étend à la vertical sur plusieurs côtes. C'est à cet endroit qu'un dealeur à qui il devait de l'argent l'a frappé à coup de couteau. Il a bien failli y laisser sa vie. Quand il était plus jeune, Riley avait aussi un piercing au niveau du menton, en dessous de sa lèvre inférieure. Depuis son entrée à l'armée, il ne l'a plus jamais mis mais le trou n'a pas totalement cicatrisé. Il s'est fait tatouer une tête de mort entre les omoplates, pour ne jamais oublier qu'il voyait la mort comme un fardeau. Au niveau vestimentaire, il traîne souvent en débardeur un peu moulant, en jean et en baskets. Il lui arrive très fréquemment de mettre des t-shirts collant à ses formes ou des pantalons de l'armée avec des chaussures de randonnée. Il met également presque toujours une casquette et des lunettes de soleil. Il a une excellente vue et n'a pas donc pas besoin de lentilles de contact. A l'occasion de fêtes ou de moments importants, il n'est pas rare de le voir en chemise, avec un pantalon habillé et des chaussures toutes neuves. Mais l'opportunité ne s'est jamais présentée sur l'île. Il aime bien le vert foncé, le bleu, le noir et le blanc. Riley est allergique aux oeufs et aux piqûres d'araignées.

• Caractère : Riley a un fort tempérament qui lui joue souvent des tours. Sa personnalité a beaucoup changé depuis qu'il a vu s'envoler ses rêves de devenir sportif professionnel. Il s'est fermé aux autres, un peu à la façon d'une huître qui craint pour sa perle. Pour les autres, il est mystérieux, on ne sait pas vraiment comment lui parler, comment l'aborder. Il ne montre aucun sentiment, aucune émotion. Loin d'être associable, il lui arrive d'aller vers les gens, non pas pour se confier mais pour créer des liens. Il écoute plus qu'il ne parle. Très secret sur son histoire, sur son passé, il est apprécié sans que les gens puissent lui accorder totalement leur confiance. Une sorte de méfiance se pose, c'est simplement une forme de prudence qui peut rapidement s'estomper au détour d'une blague. Possédant un sens de l'humour aiguisé, il s'amuse de tout et de n'importe quoi, de l'humour absurde à l'humour noir. Et il aime particulièrement faire sourire, en mimant, en gesticulant, bref, en faisant le pitre. Gros fêtard par nature, il montre aussi bien des défauts. Il passe parfois pour quelqu'un d'irresponsable, voire d'immature, parce qu'il aime beaucoup boire et fumer de l'herbe. Et puis, tout est prétexte à lever le coude et à trinquer, n'importe où et n'importe quand. Les gens ne le prennent pas vraiment au sérieux, et ceux qui ont déjà fait une soirée avec lui savent également qu'il ne vaut mieux pas se le mettre à dos. Le jeune homme peut se montrer particulièrement violent lorsque la colère le prend. Il a le poing leste et une tendance à sauter à la gorge de ses rivaux. L'alcool le désinhibe plus particulièrement et fait de lui quelqu'un d'agressif, de vindicatif et d'assez dangereux. En plus, il est impitoyable, il ne ressent de pitié pour personne, encore moins pour ses ennemis, qu'ils soient éphémères ou récurrents.

Il est capable de tuer pour assouvir ses pulsions et dans une barbarie difficile à supporter pour toute personne sensée. Et il n'oublie jamais le visage de quelqu'un qui lui fait du mal. Il le mémorise dans un coin de sa tête pour construire un plan de vengeance particulièrement musclée. Très rancunier, mieux vaut ne pas être dans son collimateur. Il est adepte du proverbe "la vengeance est un plat qui se mange froid". Ce qu'on lui fait, il le rend au centuple, avec en prime un petit bonus... Il est très têtu, il ne lâche jamais son objectif, même si des murs se dressent devant lui. Sa ténacité pourrait être à son avantage, si seulement elle ne l'aveuglait pas. Cela dit, s'il y a bien une chose que l'on ne peut pas retirer à Riley c'est son courage. Il n'a pas peur de tenir tête quand c'est nécessaire et dès qu'une vie est en danger, il fonce pour la sauver. Lui-même ne ressent la peur que pour peu de choses : les araignées et la mort, bien qu'il lie étroitement les deux. Il n'aime pas l'injustice et c'est probablement ce qui le rend le plus humain. C'est un homme travailleur, qui s'investit dans ce qu'il fait et qui est productif. On peut compter sur lui pour remplir ses tâches, du moins tant qu'elles ne vont pas à l'encontre de ses idées. Il est intelligent, même s'il lui arrive de commettre des erreurs débiles. Il a un grand sens tactique et une culture conséquente. Malgré les apparences, Riley fait souvent preuve de patience, il sait attendre le temps qu'il faut pour obtenir ce qu'il veut ou mettre en place un plan afin de réaliser son objectif. Et ça contraste énormément avec son côté direct, plutôt grande-gu*ule. Il ne retient jamais ses mots et dit les choses comme il les voit, tant pis si ça blesse, même s'il met davantage de gants avec ses amis qu'avec ses ennemis...

• Pourquoi ai-je pris le sous-marin vers l'île ? : Le vol 603 avait à son bord l'assassin de mes parents, ce fumier de dealeur... Même s'il y a eu un crash et donc qu'il était donné pour mort, je n'en ai jamais eu le coeur net. J'ai attendu pendant trois ans, avec cette question qui me taraudait l'esprit. Et si cette ordure avait survécu ? Si elle coulait des jours heureux sur une plage bien exposée de ce lopin de terre ? La rage bouillait au fond de moi. Je ne voulais pas que ce type soit mort. Je voulais le trouver moi-même, déchaîner toute la haine que j'avais sur lui puis le tuer, d'une mort lente, barbare. Je m'imaginais ses cris de souffrance, peut-être même des supplications, des couinements pour tenter d'implorer ma pitié. Quelle jouissance ce serait que de lui arracher ses derniers espoirs morceau par morceau, jusqu'à ce qu'il comprenne que j'allais définitivement le saigner à blanc ! Je n'en pouvais plus d'avoir cette vision là sans savoir si un jour je la concrétiserais... Alors quand j'ai appris qu'une expédition top-secrète allait être organisée et que l'on avait besoin de militaires, je n'ai pas hésité à me porter volontaire. L'objectif annoncé était de sauver les rescapés et de les ramener à la civilisation. Je n'ai découvert que plus tard que c'était un mensonge. Reste qu'à cet instant précis où nous avons embarqué, je jubilais de pouvoir retrouver cet enfoiré et de le tuer de mes propres mains, sans pour autant savoir s'il était encore en vie... Je me devais d'en avoir le coeur net !

• Mon passé avant cette expédition : Bonjour, docteur. Je m'appelle Riley. Riley Lewis Moson, pour être plus précis. Je sais, vous êtes simplement psy et vous devez voir des gens comme moi défiler dans votre cabinet de fortune tous les jours. Des gens qui vous disent qu'ils sont tout à fait normaux, comme les autres, qu'ils ont simplement un coup de blues. Vous êtes la seconde personne à laquelle je vais confier mon histoire, la dernière en théorie. Je sais que vous êtes tenu au secret médical et que tout ce qui sera dit dans cette salle sobrement construite, n'en dépassera jamais les murs de bois. Je déteste faire les choses dans le désordre, alors comme je ne doute pas que vous avez tout le temps devant vous et que je ne vois aucune alliance à votre doigt, je vais vous donner tous les détails. Commençons par le début... Je suis né le 3 juillet 1990 à Forked River dans le New Jersey. Si nous avions été dans un endroit encore "civilisé", vous l'auriez probablement lu sur mon dossier médical, parmi d'autres détails, ma taille, mon poids... la couleur de mes cheveux... Bref, on a du vous dire mille fois qu'il était difficile de parler à un inconnu, encore plus à un psychologue. Pas pour moi. Je ne vous connais absolument pas, Docteur... Lingley. Hormis votre nom, je ne sais rien de vous. Et si cela peut vous rassurer, je ne cherche pas à vous connaître. Vous avez traversé ma route pour que je puisse me confier, me débarrasser d'un fardeau, apaiser mon esprit. Oui, je suis quelqu'un de très secret, ceux qui vous ont dit ça de moi ne vous auront pas menti, et pourtant, ça fait du bien de trouver quelqu'un à qui parler. Alors, je vais vous raconter ma vie, des choses qui ont fait ce que je suis aujourd'hui. Et quand j'aurais terminé, je partirais et vous ne me reverrez plus. Vous consignerez probablement tout cela dans un journal ou dans un coin de votre tête. Vous saurez l'essentiel de ma vie et il n'y aura plus de zone d'ombre. N'allez pas croire que j'ai grandi dans un ghetto, dans des conditions difficiles. Non, bien sûr que non, bien au contraire. Mes parents étaient des gens biens, très attachés à leur famille. Avant moi, ils ont eu trois autres enfants : deux filles, Ashley et Amy et un garçon, Mike. Respectivement, nous avions cinq, trois et deux ans d'écart. Autant dire qu'en tant que petit dernier, j'ai été chouchouté par mes parents mais aussi et surtout par mes grandes soeurs. Elles-même avaient été particulièrement chéries et choyées.

Je n'ai pas été élevé comme l'enfant roi, si vous vous posez la question... Mes parents m'ont cajolé mais ils m'ont donné une bonne éducation. Je vais me répéter mais c'était des gens biens... Mon père était architecte, il avait toujours une idée géniale pour construire tel ou tel bâtiment, j'adorais jouer avec ses maquettes, même si je me faisais gronder. Ma mère, elle, travaillait en tant qu'infirmière dans un hôpital. Elle était incroyablement belle dans sa blouse blanche et pour être sincère, elle était la seule à pouvoir me faire des piqûres pour me vacciner. J'étais un peu le petit protégé, celui qu'on essaie de garder derrière soi pour lui éviter d'être face à la cruauté du monde. Chacun se relayait à sa façon pour me préserver, comme si leur expérience de la vie avait été une véritable catastrophe pour eux alors qu'il n'en était rien. Pour autant, aucun de mes caprices n'arrivaient à aboutir. J'étais le dernier, oui, mais ça n'était pas un prétexte pour tout me céder. Bien sûr que ça me frustrait quand j'étais plus jeune. J'ai même été particulièrement têtu avec eux, une peste sur pattes... Croyez-moi je leur menais la vie dure, je testais tout le temps leur entente pour tenter de m'imposer, en vain. Ils n'ont jamais cédé. Maintenant avec le recul, j'ai pris conscience que cette façon de faire était la meilleure, elle a su me guider pour mes premières années. J'étais encore un gamin, mais j'aimais déjà les matchs de football... Je pouvais passer des après-midi entiers à regarder les retransmissions à la télé. A Noël, je voulais toujours un ballon, un uniforme et un casque. Et je m'entraînais des heures durant avec les copains... Ca aussi, les copains, vous savez, c'était une belle vie. On avait des voisins sympas, il y avait Ricky, Ted, Ryan, Kevin, Alan, Vince, Lance, Bobby... on était toute une bande de passionnés, on s'échangeait des autocollants au nom de nos joueurs préférés. Le mien, c'était John Elway, vous avez du le connaitre, il jouait dans les Broncos de Denver.

J'étais émerveillé par ses passes et surtout sa carrière. Il est de loin, le meilleur quaterback pour moi. J'avais un poster de lui dans ma chambre et avec mon frère, nous passions beaucoup de temps à nous chamailler. Lui était fan de Joe Montana, alors forcément, nous ne pouvions que nous prendre la tête. J'avais huit ans à peine que je savais déjà ce que je voulais faire plus tard. Mes parents m'ont encouragé, même si je sais qu'ils avaient un peu peur que ma carrière ne décolle jamais. Ils m'ont inscrit à un club, pour que je m'entraîne. En parallèle, je m'étais engagé auprès d'eux pour bien travailler à l'école et avoir de bonnes notes. J'ai toujours respecté mes engagements et c'est sans doute pour ça qu'ils m'ont fait confiance à ce point. Notre famille n'a jamais déménagé, ce qui fait que notre bande s'est élargie au fur et à mesure. Au début, nous étions comme tous les garçons de cet âge, très repliés sur nous, nous n'acceptions aucune fille dans notre cercle. C'était un brin ridicule, mais évidemment, plus les années passaient et plus ça devenait obsolète. Un peu de présence féminine était nécessaire dans notre groupe, ne serait-ce que pour nous encourager dans notre sport de mec... vous savez pour jouer les pom-poms girls... On jouait nos matchs sur le terrain de l'école, on avait fait un trou dans le grillage pour s'éclater des heures durant sans êtres dérangés. J'ai commencé à regarder les filles d'un autre oeil quand ma puberté a commencé. Vers... attendez que je ne dise pas de bêtises... vers 12 ou 13 ans, à peu près. Je faisais des jaloux malgré moi, parce que j'étais musclé, plus grand que les autres, et doué au football. Mais je ne savais pas m'y prendre avec l'autre sexe... Quand j'y repense, je me suis payé la médaille d'or du ridicule... et encore, elle aurait pu être en platine si j'avais fondu toutes celles que j'ai cumulé. A l'école, j'avais de bons résultats même si parfois, je l'avoue, je négligeais mes devoirs. Ce n'était pas parce que je n'étais pas bosseur, loin de là. Simplement, j'avais l'impression que ça ne me serait pas vraiment utile pour ma carrière de footballeur professionnel.

Ca ne s'est pas amélioré par la suite... Les hormones aidant, j'étais de plus en plus distrait par une fille en particulier, Jane. Elle avait... comment dire... elle avait les mêmes yeux que Nicole Kidman, vous savez, l'actrice, avec cet air affirmé, glacial et en même temps si mystérieux. Comment ne pas succomber ? Elle a été ma première petite amie. Notre histoire a duré quatre ans, toutes nos années highschool. On a rompu parce que je l'ai trompée avec sa meilleure amie. Avant que vous me jugiez, je dois vous dire que je ne l'ai pas réellement cherché, ça s'est fait naturellement, je l'aidais simplement à faire ses devoirs de maths chez elle quand ça s'est produit. Je donnais souvent des cours particuliers parce que même si je me relâchais par moments, j'avais de bonne notes et je comprenais très bien les choses. De toute façon, la fidélité, ça n'existe pas, à un moment donné, chaque homme finit par tromper sa femme, soit physiquement soit dans sa tête, en pensant à une autre. Jane ne m'a plus jamais adressé la parole, elle a même réussi à me mettre à dos quelques uns de mes amis. J'ai fini le lycée, avec de bons résultats hormis en sport où ils étaient excellents. J'avais tout pour réussir, vraiment tout. Je me suis inscrit à l'université de New York, dans la filière sportive, pour pouvoir devenir un quaterback professionnel. J'ai intégré l'équipe, avec Ted et Lance, mes deux potes de quartier. On vivait en colocation sur le campus, pour éviter d'avoir à rentrer tous les soirs. Rapidement, j'ai pu montrer l'étendue de mon talent dans l'équipe et le coach était particulièrement impressionné de m'avoir. Ravi, parce qu'autant vous le dire, il en était à sa sixième défaite consécutive en championnat. Les entraînements n'ont pas tardé à commencer. C'est vers cette période là que j'ai commencé à fumer. Au début, c'était pour faire comme les autres, et puis ça m'est devenu indispensable pour évacuer le stress. Si vous vous posez la question, oui, je fume encore... N'allez pas de me donner des leçons, vous fumez aussi, vous avez oublié votre cendrier dans le recoin là-bas.

J'ai toujours aimé le danger, prendre des risques tout ça. Je ne saurais l'expliquer. Mes parents m'ont peut-être trop protégé quand j'étais gamin. En tout cas, à l'université, j'étais une terreur, un parfait abruti aussi... C'était simple, j'avais découvert la liberté, personne n'était là pour me contrôler ou me brider. Alors je me suis lâché. Je sortais avec tout un tas de filles. La seule chose qui m'intéressait était de coucher avec, le reste me lassait très vite. A quoi bon s'embarrasser des sentiments et de tout le reste, alors qu'il me suffisait de coucher avec pour être populaire au sein de l'équipe ? J'avais l'impression que pour être reconnu et réputé, je devais adopter l'image d'un type "extra" qui avait son petit palmarès, bref, pour être "aimé", je me comportais comme le parfait petit connard de base. J'ai commencé à côtoyer d'autres personnes, loin d'être aussi loyales que mes amis de quartier. L'effet de groupe avait quelque chose de motivant. On passait beaucoup de temps sur le campus à faire les beaux. Dès qu'il y avait une femme, on lui sortait le grand jeu de compliments... le genre de petits mots bien lourds et bien pesants... Et le comble de l'ironie c'est que j'en avais tout à fait conscience. Je le faisais simplement parce que c'était dans l'air du temps. Avec les intellos, on s'amusait à leur rabattre le caquet, à leur mener la vie dure. On a du en mettre des centaines dans les bennes à ordure... L'équipe avait beaucoup d'importance pour nous mais encore plus pour l'université qui avait besoin de redorer le blason sportif en son sein. Nous étions en quelque sorte intouchables.

L'ennui avec l'université c'est que le rythme d'études diffère et s'intensifie plus ont se rapproche de la licence... il est plus lourd et demande plus d'énergie. Le coach ne nous faisait aucun cadeau, rien ne nous était épargné lors des entraînements. Il nous poussait au bout de nos limites, sans se soucier de la fatigue que nous éprouvions. Je l'admirais pour ça... et lui m'avait pris sous son aile pour faire de moi le meilleur quaterback de tous les temps. Il me disait qu'il voulait exaucer mon rêve, me mener sur les chemins de la gloire. Mais il m'en demandait toujours plus, encore et encore. Dès que je faisais une erreur ou que je commençais à montrer des marques d'épuisement, il en faisait une affaire d'état. Je n'avais pas le droit de faiblir, je devais toujours tout donner, tout le temps. Alors j'ai commencé à regarder un peu ce qui se faisait, niveaux fortifiants. Il y avait cette mixture énergisante, à base de taurine, qui donnait un max d'énergie pendant un temps limité... qu'est-ce que c'était dégueulasse... mais bon, ça dépannait bien, même si à force d'en prendre, ça ne faisait plus vraiment d'effet. Alors j'ai regardé les compléments alimentaires, les produits pour gagner en endurance. Même chose, ça fonctionnait bien au début mais c'était rapidement inefficace. Et puis dans le groupe, en discutant un peu, on m'a finalement mis sous le nez des stéroïdes... J'ai testé et j'ai adopté. Je sais, le dopage c'est mal, c'est une erreur que je n'aurais pas du commettre, mais croyez-moi je l'ai payé. Ces gélules étaient de véritables perles ! Je me sentais invincible, inépuisable. Les problèmes d'essoufflement, les erreurs, tout ça avait disparu, juste à temps pour le championnat. Je ressemblais à un surhomme, un peu comme si j'étais Dieu sur la Terre. La saison a commencé sur les chapeaux de roue, nous avons réussi à gagner nos trois premiers matchs. J'étais brillant, selon le coach. J'avais l'impression de pouvoir tout casser sur mon passage. C'est jouissif vous savez, de se sentir surpuissant, au dessus des autres.

Jouissif mais dans le même temps, j'avais un problème de conscience. Tout ce que je faisais, là, à cette université, ça ne me ressemblait pas vraiment. Je n'arrivais pas à me trouver, à mettre des mots précis sur ma personnalité. En fait, j'ai l'impression que je me cherchais sans savoir vraiment ce que je voulais trouver. Je m'en foutais, j'étais jeune, je me disais que j'aurais toute la vie devant moi pour réfléchir. C'est dans ces années là que j'ai fait la connaissance d'Hilary. Au début, elle m'a fait comprendre que si j'essayais de la draguer c'était cause perdue. J'ai eu beau lui expliquer que je n'en ferais rien, elle ne m'a pas cru. Tous les mardis, je me rendais au bar où elle travaillait, et je commandais la même chose. Elle me servait, sans épiloguer, jusqu'au jour où je lui ai dit ce que je savais sur elle, du moins ce qu'on disait sur son compte. Ce fut le déclic, quelques temps après avoir digéré cette intrusion dans sa vie privée, elle est venue me parler d'elle, de sa vie. Nous nous sommes confiés l'un à l'autre. Elle a été ma meilleure amie, celle qui en savait plus sur moi que tous les autres. Mon couple a explosé à cause d'elle, mais je m'en moquais. Comme je vous l'ai dit, les nanas ne m'intéressaient que pour leurs talents au lit... Hilary était connue sur le campus, c'était une fille bien, mais mystérieuse, comme moi. C'est probablement ce qui m'a inspiré confiance en elle. On se voyait une fois par semaine, moins vers la fin de l'année, parce qu'elle avait beaucoup d'affaires personnelles à régler. Et puis moi j'avais mes entraînements en vue du championnat. Le jour de la finale, les recruteurs étaient tous là... assis dans les gradins, leurs carnets en main. Selon le coach, ils s'arracheraient tous mon nom dès que la rencontre serait terminée. Après trois années d'entraînement acharné et beaucoup d'investissement, il ne pouvait en être autrement. La pression me paraissait insoutenable et j'ai fait la connerie de prendre plus de stéroïdes, pour être sûr d'être à la hauteur. Le match a commencé et au bout de dix minutes, j'ai senti une pression dans ma poitrine. L'air a commencé à manquer et je suis tombé dans les pommes.

Je me suis réveillé dans une chambre d'hôpital, entouré par deux médecins et un expert qui affichait une mine sévère. Ils m'ont expliqué que j'avais été contrôlé positif aux tests antidopage et que les stéroïdes trouvés dans mon sang constituaient une preuve suffisante pour disqualifier toute l'équipe. A peine, ai-je été rétabli que j'ai été convoqué par le conseil disciplinaire de l'université. Mon comportement les avait profondément agacés jusqu'à présent, mais étant quaterback, ils n'avaient jamais osé me sanctionner. Autant dire qu'avec un tel prétexte, ils s'en sont donnés à coeur joie... Je fus exclus définitivement de l'université et je ne pouvais en prime plus jouer dans une équipe sportive quelle que soit l'activité pratiquée. Cette décision fut envoyée au tribunal comme résolution amiable. J'ai ainsi évité des poursuites judiciaires et un procès. J'avais fait une énorme connerie et je l'ai payé au prix fort. A part le football je n'avais plus rien. On m'avait aussi enlevé le droit de suivre des cours à l'université... il ne me restait que mes yeux pour pleurer et pourtant je n'ai pas versé une larme. Mes parents ont tenté de me tendre la main, je leur ai tourné le dos. Plus rien ne m'importait. J'ai du passer deux semaines dans ma chambre sur le campus, où Ted et Lance avaient décidé de m'héberger clandestinement. Je me suis mis à boire et à traîner dans des coins mal famés. Je n'avais plus d'avenir, on m'a retiré la seule chose pour laquelle je me donnais à fond. Et tout le monde semblait s'en satisfaire. J'ai haï ce monde, cette société, j'ai haï ce coach qui m'avait détruit, explosé en plein vol à force de trop me mettre la pression... mais surtout je me suis haï moi, d'avoir été aussi stupide, aussi faible pour en venir à me doper. Plus rien n'avait plus d'importance... je me suis saoulé, j'ai commencé à fumer des joints à tester l'ectasy, l'héroïne. Ces sensations là elles étaient agréables au possible. Chaque trip me menait hors de la réalité. Pour payer mes doses, j'avais besoin d'argent et donc de travail. J'ai commencé à dealer, à distribuer cette m*rde aux autres. On dit qu'un drogué n'a pas conscience de sa vie et des autres, qu'il est déconnecté de la réalité. Pourtant, les visions de mes errements reviennent souvent me hanter, docteur.

Je revivais certains moments de ma vie au ralenti... Je revois l'aiguille s'enfoncer dans mon avant-bras, injecter un liquide transparent. Je ressens encore la drogue se répandre, brûler mes muscles, monter jusqu'à mon cerveau et se propager partout... Mon esprit déconnecte, s'élève... j'atteins une autre dimension, je plane, peu m'importe la direction. Je ne sais pas ce que j'espère, que peut-être l'overdose n'arrive, qu'elle mette un terme à ma vie ? Je le veux mais je n'en ai pas le courage, au fond, je sais qu'un petit espoir existe... Alors j'ai continué, je prenais des doses de plus en plus lourdes et j'ai commencé à faire des dettes à mon dealeur, un certain Coban. Je lui promettais de le rembourser dès que possible, mais l'argent me filait entre les doigts. Combien de fois me suis-je retrouvé dans une poubelle, la tête en vrac les poches vides ? Un nombre incalculable... j'étais tellement défoncé qu'on me faisait les poches. J'ai du tomber une vingtaine de kilos, je ressemblais à un cadavre. Je faisais parti d'un gang, une bande de gros bras qui enchaînaient les conneries... L'une d'elle manqua me mener en prison. Le chef du gang avait fait tuer une jeune femme, Tania, parce qu'elle couchait avec un de ses rivaux et qu'il la soupçonnait de donner des informations sur leurs planques de drogue. Je n'ai pas participé à son meurtre, et par chance, j'ai pu le prouver puisque je me trouvais à ce moment là dans un bar où des témoins ont pu confirmer. L'agent du FBI, Sìthmaith Blodwyn-Géileis fut chargée de l'enquête et me remis en liberté. Mais pour les six autres membres du gang, ce fut la prison... Je sais que c'est idiot, mais ils étaient ma seule famille à cet instant là... Je me suis juré que si je la recroisais un jour, j'allais lui faire payer ma solitude.

Je me suis donc retrouvé comme un clochard dans la rue, sans thunes pour me payer ma came, sans véritable occupation autre que de détrousser des mamies sur mon passage. Et puis un matin, j'ai sauvé la vie d'un petit garçon, prisonnier des flammes de son immeuble. J'ai été inconscient, vous pouvez le dire et le penser, je suis rentré sans protection, pour le sortir de là. Je ne sais pas pourquoi, après tout sa vie ne m'intéressait pas. Et au fond, si le feu m'avait emporté, il aurait mis un terme à mon existence, ce qui me convenait assez. Quand je suis ressorti de l'immeuble, j'ai été accueilli par un couple fou de joie, les parents du gamin. Ils m'ont serré contre eux, en ignorant l'odeur de l'alcool que je me trimballais et la crasse de mes vêtements. C'était le premier contact humain autre que celui d'une prostituée que j'avais depuis bien longtemps. La mère m'a dit que j'étais leur ange gardien, qu'aider les autres était peut-être mon destin. Elle m'a embrassé, de soulagement et m'a conseillé de sortir de mon trou. J'ai ri à ses propos, comme si elle en avait quelque chose à faire de mon existence. Mais j'ai quand même commencé à avoir quelques doutes sur ma vie. Mes parents me manquaient et j'étais sûr que de ne pas savoir où je me trouvais les mettaient dans une situation très angoissante. Inconsciemment je l'avais fait exprès, pour ne pas croiser leur regard. Je m'en voulais tellement d'avoir bousillé ma vie d'une façon aussi stupide. Je partais du principe qu'ils ne seraient plus jamais fiers de moi et le poids de la culpabilité me tenait à bonne distance.

J'ai rejoint Coban pour avoir ma dose mais il m'attendait avec deux gorilles. Il voulait son argent... que je n'avais pas. Il se mit en colère et les types me passèrent à tabac. J'ai reçu un coup de couteau dans le flanc. Il me laissa une semaine pour lui donner son fric, faute de quoi, il promit de me saigner à blanc. Le corps meurtri, le visage en sang et une large balafre sur les côtes, je me suis effondré dans une ruelle, épuisé, à l'abri des regards. J'ai vu mon visage dans l'éclat d'un miroir et je me suis demandé qui était ce type, mal coiffé, mal rasé crachant son propre liquide vital. Mes yeux étaient si vides... j'ai perdu connaissance et je me suis réveillé à l'hôpital une nouvelle fois, sans qu'il n'y ait personne à mon réveil. J'ai arraché mes perfusions et j'ai pris la fuite. On m'avait suturé le flanc. Je venais de prendre conscience que la vie n'était pas terminée, que je m'étais éloigné du droit chemin et que ma place était ailleurs, autre part qu'ici. J'ai repensé à mes parents, à la façon dont je les avais repoussés. J'ai eu mal... et en même temps honte. Ils avaient donné beaucoup pour moi, je les avais déçus. Je suis parti à pied pour Forked River, pour les retrouver. C'est ma mère qui a ouvert la porte. Je n'oublierais jamais son regard, un mélange de surprise et de soulagement. Elle m'a pris dans ses bras et m'a serré contre elle, ne retenant plus ses larmes. Avec mes vêtements sales, j'ai complètement souillé sa robe blanche. Elle qui était très à cheval sur l'hygiène... Mon père a pleuré lui aussi, c'était bien la première fois que je le voyais dans cet état. Et mon frère Mike, n'en parlons pas. Pour la première fois depuis des années, je me suis senti chez moi, utile... J'avais tiré une croix sur la drogue. Vous savez, on envoie souvent les drogués dans un centre. Moi je n'en ai pas eu besoin. J'avais la volonté d'arrêter. Bien sûr que tout a été dur, mais j'y suis parvenu, je voulais faire autre chose de ma vie. Je me suis dit que je devais arrêter maintenant et je l'ai fait.

Ashley et Amy étaient toutes les deux mariées et vivaient en Floride. Elles avaient épousé deux jumeaux et Amy avait déjà une petite fille. Mike quant à lui était toujours célibataire. Il travaillait dans un magasin d'informatique en banlieue de la ville. Mais il avait précieusement conservé les posters de nos footballeurs préférés dans sa chambre. Il n'osait pas évoquer le sujet parce qu'il savait que c'était douloureux pour moi. Et pourtant, je sentais qu'il voulait que nous jouions ensemble à se faire des passes, comme avant. Je m'y refusais. La blessure était encore bien trop douloureuse et avec ma cicatrice au flanc, je n'arrivais pas à bouger convenablement. Je me suis trouvé un petit job pour la mairie, dans les espaces verts. J'étais chargé de tailler les buissons, de tondre les pelouses, bref, un boulot tranquille, sans histoire. Du moins je le pensais... Vous allez vous dire que c'est encore un cliché et vous aurez raison. J'avais peut-être décidé de changer de voie mais pas de laisser tomber mes aventures avec les femmes. A l'école municipale, j'y ai croisé une institutrice tout ce qu'il y avait de plus charmant... vous savez, bien gaulée, très classe, bref, une cible parfaite. J'ai sorti mon numéro de Don Juan, elle a succombé et ça a débouché sur un ébat torride dans sa salle de classe alors que les enfants étaient dans la cour. Comme elle était une amante douce et inspirée, nous avons remis le couvert dans sa voiture... où son mari nous a attrapés. Nous nous sommes battus, je lui ai cassé le nez, lui m'a explosé l'arcade sourcilière... J'ai eu droit à de nouveaux points de suture. Et j'ai appris quelques jours plus tard que l'institutrice et lui avaient pris des congés sur la côte ouest, sans doute pour s'éloigner de moi. La mairie ne renouvela par mon contrat et après avoir murement réfléchi, j'ai déposé ma candidature à l'armée de terre. A part l'incident, qui fit le tour de la ville en moins de deux, j'avais retrouvé une vie paisible, attendant simplement le début de mon service.

Et pourtant, cette paix n'était que provisoire... J'étais loin de me douter que tout allait basculer à nouveau. J'avais laissé mes problèmes à New York, dans le Bronx, loin de moi, du moins, je le pensais... Un soir de mars, alors que je rentrais chez moi, j'ai remarqué que la porte d'entrée était grande ouverte. Cela ne ressemblait pas à mes parents. Je suis entré, d'abord intrigué puis inquiet quand j'ai vu des traces de sang. Comme dans un cauchemar, j'ai franchi le long couloir d'entrée pour arriver dans le salon où les corps de ma mère et de mon père baignaient dans une mare de sang. J'ai senti mon coeur s'arrêter, tirailler dans ma poitrine. Je n'ai pas pu m'empêcher de vomir... Ma mère a été tuée d'une balle dans la poitrine, mon père d'une balle dans la tête. J'ai entendu quelqu'un bouger et je me suis approché, inquiet, du canapé. Mike y était allongé, tremblant et couvert de sang. Il avait une balle logée dans le ventre, le sang n'arrêtait pas de couler. J'ai comprimé la plaie... j'ai appuyé du plus fort que j'ai pu... j'ai fait tout mon possible... je lui ai dit qu'il allait s'en sortir... qu'il était fort, que j'étais là pour lui, qu'il ne devait pas s'inquiéter... Les secours ne sont pas arrivés à temps, il est mort devant moi. Mon monde s'est effondré ce jour là. Mais mon frère eut le temps de me donner des informations sur le responsable de ce meurtre. Il me parla d'un arriéré de dettes et je n'eus aucun mal à deviner que Coban était sur mes traces, pour récupérer ce que je lui devais. Ce qu'il ignorait, c'est qu'en s'en prenant à ma famille, il venait de commettre la plus grave erreur de sa vie, la plus mortelle aussi. J'en fis une affaire personnelle... Après avoir assisté à l'enterrement et recroisé mes deux soeurs, je rejoignis mon régiment d'infanterie, la rage logée au fond du coeur comme un couteau d'acier rougi par les flammes. Et à chaque battement, j'avais cette brûlure qui me meurtrissait le thorax...

La police continua de me tenir informé de l'avancée de l'enquête. Il s'avéra finalement que Coban était un passager du vol 603 en direction de Tokyo. L'avion s'était écrasé quelque part, quelques jours après le meurtre. Personne n'était en mesure de dire s'il était encore vivant ou non. Le dealeur fut porté disparu, mais au fond de mon coeur, je savais que cette pourriture respirait encore. Cela me rendait malade. J'ai continué ma carrière de militaire, sans trop me soucier du reste. Pour tout vous dire, j'ai mis de côté les femmes, à part pendant les permissions quelque peu arrosées. J'ai tenté de retrouver des informations sur le site du crash mais l'information n'était pas disponible. Et puis, trois ans plus tard, on a annoncé en secret que l'on cherchait des volontaires pour une expédition de secours. L'objectif : sauver les rescapés du vol 603... L'occasion rêvée d'apaiser ma conscience.

• Vie après le naufrage : L'opération était financée par un milliardaire que l'on disait soucieux d'aider les survivants de cet horrible accident. Je me suis toujours dit que dès que l'argent était impliqué dans une histoire, ça finissait toujours mal... mais il était clair que je n'allais pas rater une seule occasion de m'y rendre. Là où tout les autres militaires semblaient refuser catégoriquement, je fus l'un des seuls de mon régiment à accepter. Et puis, quelques semaines plus tard, on m'a convoqué. Un de vos collègues a examiné mon dossier médical, on a parlé de ces problèmes de drogue. Tout au long de cet entretien, je lui ai menti par omission, c'est la plus simple des tromperies. Je lui ai dit que j'avais réussi à remonter la pente, grâce à mes parents et que je voulais aider les autres pour qu'ils soient fiers de moi. Je lui ai caché que Coban était un rescapé, il n'avait pas besoin de le savoir. L'essentiel était qu'il me juge apte à vivre dans un sous-marin, pendant quelques jours sans revoir la lumière du soleil. Et que je ne pose aucune problème à l'équipage. Mes états de service ont toujours été bons depuis que je suis entré à l'armée. Partant de ça et il a accepté de m'intégrer. Mais en réalité, docteur, si je suis ici, c'est surtout pour tuer Coban de mes propres mains. Je veux le faire souffrir, autant que moi j'ai souffert. J'ai déjà vu la mort et elle m'effraie. C'est cette peur que je veux lui instiller. Je vais rendre justice, je vais venger mes parents, mon frère. Et quand ce sera fait, là, je pourrais repartir à zéro. Je ne suis pas un psychopathe. Mais Coban est toujours en vie ici, loin de la justice, loin de la chaise électrique. Ce fêlé continue à répandre le mal, vous le savez comme moi. Quelqu'un doit l'arrêter. Tant pis si c'est mon dernier combat. Je ne manquerais pas à grand monde.

Après quelques jours de voyage, nous sommes arrivés près de cette île si mystérieuse. On ne savait pas ce que nous allions y trouver, pas vrai ? Vous avez fait le voyage pour parer à tout pétage de plombs dans le sous-marin... l'ironie c'est que l'explosion a été matérielle et non humaine. L'alarme s'est enclenchée et puis ensuite, tout s'est passé si vite. J'ai pu me faufiler hors du sous-marin, à moitié assommé par un mal de crâne horrible du à la détonation. J'ai nagé, du mieux que j'ai pu jusqu'à la surface pour retrouver de l'air... Mes poumons étaient en feu, privés d'oxygène. Un instant, je me suis vu mort, noyé par cette eau salée qui me brûlait les yeux. Et puis j'ai sorti la tête de l'eau, j'ai aspiré l'air comme s'il s'agissait de la meilleure chose à laquelle je n'ai jamais gouté. J'ai rejoint le rivage, avec d'autres. Nous étions sonnés, un brin paralysés par la tragédie que nous venions de vivre. Les sauveteurs étaient désormais des naufragés... triste sort ! Les plus vaillants et conscients d'entre nous ont commencé à s'occuper des autres pour s'assurer que tout le monde allait bien. Il y a eu des pertes, mais nous nous en sommes plutôt bien tirés. Alors comme tout semblait particulièrement délicat à mettre en place, certains ont jugé bons de prendre la tête des opérations. Ce fut le cas de Sully... ce type est le parfait archétype du petit chef pompeux et arriviste. Je ne l'aime pas, je dirais même que je le déteste. Et quand je n'aime pas quelqu'un, pas question de faire le moindre effort. J'ai une bonne raison, il donne ses ordres comme s'il était en territoire conquis. Mais en réalité, il ne connait rien du terrain, il décide au hasard et en plus il met en danger la vie des autres, j'en suis certain. Sa tête ne me revient pas et par moments, j'ai bien envie d'y écraser mon poing.

Nous nous sommes peu à peu mêlés aux rescapés du crash, en leur apportant notre aide. Le contact a été plutôt simple. Les gens semblaient ravis de nous voir, de constater que le reste du monde ne les avait pas oubliés après 3 ans de disparition. J'ai été épaté par leur façon de vivre. Ils avaient construit des habitations à la main, à la sueur de leur front dans un milieu hostile où les ennemis et les animaux sauvages pullulaient. Je ne pensais pas que ça serait possible un jour mais pour la première fois depuis l'histoire du dopage, je me suis senti heureux, bien dans ma tête. Je démarrais une nouvelle vie, avec tout mon fardeau à l'abri. Personne ici ne me connaissait, à part Coban et... Hilary ! Quand je l'ai recroisé, j'ai failli avoir une attaque. Je ne savais même pas qu'elle était dans cet avion ! En fait, en y repensant, cette période était trouble autant pour elle que pour moi. Je n'ai pas encore eu le temps de reparler avec elle parce qu'elle bouge beaucoup et que quelques semaines après mon arrivée, j'ai été piqué par une araignée... Cette foutue allergie m'a cloué au lit pendant presque trois semaines. L'ennui avec ces bestioles, c'est quand plus d'être hideuses, elles sont vicieuses. Elles s'infiltrent partout et se mettent à l'oeuvre. Les espèces tropicales sont les pires... Je dois vous dire que je suis un arachnophobe de la première heure... Le simple fait de voir une de ces bestioles me fait fuir. Je frissonne rien qu'en pensant au fait qu'elle a failli me tuer. J'ai mis beaucoup de temps à désenfler, malgré les soins constants des médecins de l'île. Je m'en suis relevé, mais ne comptez plus sur moi pour sortir sans répulsif... plutôt crever !

Après m'être rétabli, j'ai commencé à chercher la trace de Coban. Mon enquête m'a permis d'apprendre qu'il était bel et bien en vie et qu'il faisait partie d'un groupe de personnes nommées les Hostiles. Ces individus particulièrement agressif et violents étaient particulièrement craints par les survivants. On racontait d'atroces histoires à leur sujet. Paradoxalement, sans que j'en dise plus sur moi, les gens me parlaient et je leur répondais souvent avec humour. Ma dernière blague devait remonter à l'université... cela me faisait du bien de revivre un peu, même si je restais toujours aussi fermé. La tension avec Sully augmenta d'un cran lorsque je fis la découverte de la supercherie organisée par son frère, Cameron. Je vous l'ai dit, généralement quand il y a de l'argent en jeu, ils y a forcément des intérêts quelque part... Stendall n'était là que pour faire du fric, il se moquait pas mal de la vie des rescapés, de leur confort ou même de leur santé. Il n'avait monté cette expédition que pour avoir un retour sur investissement. La nouvelle fit rapidement le tour de notre unité. Une grande partie des soldats s'est ralliée à Cameron et ses scientifiques. Moi j'ai décidé de m'opposer à eux, de protéger ma famille d'accueil. Sully aussi mais pourtant je ne lui fais pas confiance. J'ai du mal à croire que ce type n'ait pas été au courant des plans de son propre frère... alors qu'ils étaient proches tous les deux. Sa tête ne me revient pas, ça je l'ai déjà dit je crois. Mais c'est amplement suffisant pour le soupçonner du pire. Je serais toujours là pour protéger les autres, je me sens investi de cette mission. Mais la priorité aujourd'hui reste de retrouver Coban et de l'abattre... Oui, je suis quelqu'un d'entêté, Docteur, et rien de que vous me direz ne me fera changer d'avis. Mon histoire s'arrête là. Et comme promis, je vais me lever et partir. Je ne reviendrais pas, sauf si je venais à apprendre que vous avez enfreint votre devoir de médecin... et vous imaginez bien si c'est le cas que ce ne sera pas pour échanger des civilités. Profitez de mon départ pour fumer, ça vous aidera à vous détendre un peu. Adieu, Docteur.
    Relashionship’ :
► Love : Aimer... une belle perte de temps, si vous voulez mon avis. Les sentiments, les relations poussées, tout ça c'est une source d'ennui et assez inutile qui plus est. Non... l'amour, ça n'est pas pour moi, je préfère largement les entrevues torrides qui ne durent qu'un soir ou deux mais pour lesquelles, seul mon corps doit être mis à nu et non mon coeur. A chacun sa passion !
► Ex : Quoi, je vais quand même pas vous faire la liste ! Sinon ça serait interminable... J'ai eu beaucoup d'ex, j'ai même oublié leurs noms si vous voulez savoir. Le temps passé ensemble a été agréable, mais c'est derrière moi maintenant.
► Friends : Hilary J. Materson-Madden est probablement ma meilleure amie. Du moins elle l'était avant qu'elle ne parte pour Tokyo. Je ne savais pas qu'elle était dans cet avion. Je l'ai appris en la croisant sur l'île. Il va falloir que je trouve le temps de parler avec elle. Notre amitié était belle, elle ne peut que repartir.
► Family : Le peu de famille qu'il me reste est à des bornes de moi. Mes soeurs m'ont probablement oublié, je sais qu'elles ne m'ont jamais pardonné la mort de nos parents et de Mike. Je ne leur en veux pas, moi aussi, j'ai du mal à me le pardonner. C'est pour ça que je suis là, pour venger leur disparition et pour leur faire comprendre que jamais, je n'ai voulu que ça se termine ainsi. Finalement, je les aurais toujours fait souffrir alors qu'ils m'ont chéri comme leur fils prodige...
► Hate : Coban est un mort en sursis. Je me suis juré que je le tuerais de mes mains pour l'assassinat de mes parents et je m'y tiendrais. Ce qu'il m'a fait, il le paiera au centuple, quitte à ce que ça soit barbare et écoeurant. Il a rendez-vous avec la mort.
Sully est l'arriviste par excellence, celui qui croit pouvoir donner des ordres parce que c'est "naturel". Je ne l'aime pas, il le sait. Je ne lui laisse rien passer. Et je me méfie de lui. Il est le frère de Cameron et donc il était forcément au courant de tout ce que son frère manigançait. Je finirais par en avoir le coeur net, de toute façon.
Sìthmaith... ma petite agente du FBI... Je me souviens de toi. Je n'oublie jamais un visage. Tu as jeté mes amis en taule et tu m'as mis à la merci de la rue, sans plus personne. Je n'ai pas oublié. Peut-être bien que tu ne faisais que ton boulot mais je n'aime pas qu'on touche à ma famille et je te garantis que toi aussi, tu vas payer...


Dernière édition par Riley L. Moson le Lun 26 Nov - 1:40, édité 3 fois
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Message(#) Sujet: Re: Riley L. Moson (Finie) Riley L. Moson (Finie) EmptyDim 18 Nov - 23:24

behind the picture
• Prénom/Pseudo : David
• Age : 21 ans
• Pays : France
• Fréquence de connexion [../7] : 3/7
• Niveau moyen en Rp ? 15/20 (à vous de juger)
Spoiler:

• Ton opinion sur le forum : Magnifique. J'aime beaucoup le contexte et ça fait plaisir de voir un forum aussi actif. Very Happy
• Comment as-tu connu le forum : Top Site.
• Un double compte ? Si oui, qui ? Aucun
• Souhait d'un Parrainage pour être mieux intégré ? Oui, si c'est possible. ^^
• Mot de passe du règlement :
Spoiler:




« La vengeance est un plat qui se mange froid. »





Dernière édition par Riley L. Moson le Lun 26 Nov - 1:38, édité 3 fois
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Message(#) Sujet: Re: Riley L. Moson (Finie) Riley L. Moson (Finie) EmptyLun 19 Nov - 7:56

KELLAN LUTZ bavee

Bienvenue sur TI ! hiii

Tu me gardes un petit lien au chaud? #22


Dernière édition par Lena Grant le Lun 19 Nov - 13:08, édité 1 fois
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Lizzie-Ivy Eswood Stilson
» Lizzie-Ivy Eswood Stilson "
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× Ma Célébrité : keiraHOTknightley × Nombre de messages : 16353 × Age du perso : vingt-cinq ans. × Job : râleuse têtue et inutile. × Côté love : c'est flou.. you ? #lizzielalâcheuse.


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Message(#) Sujet: Re: Riley L. Moson (Finie) Riley L. Moson (Finie) EmptyLun 19 Nov - 11:55

    Emmett ooo Bon choix d'perso ♥ Welkk' à twa sur l'île heeyy
    Good luck pour ta fiche & Bon jeu parmii nous, Riley <3
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Message(#) Sujet: Re: Riley L. Moson (Finie) Riley L. Moson (Finie) EmptyLun 19 Nov - 12:50

    Je n'aurais qu'une chose à dire : OMG JE VEUX UN LIEN mygosh
    bienvenue sur l'île beau militaire ooo
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Message(#) Sujet: Re: Riley L. Moson (Finie) Riley L. Moson (Finie) EmptyLun 19 Nov - 17:27

bienvenue en j'adooooooore ton prénom *-* même si je le trouve bien mieux pour une jeune femme (a)
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Message(#) Sujet: Re: Riley L. Moson (Finie) Riley L. Moson (Finie) EmptyLun 19 Nov - 19:00

Welcome sur TI heeyy

~

Bonne chance pour ta fiche !& N'hésite pas si t'as une question. #22

Emmett !!!! EMMETT !!!! ahhh I believe I can flyy ♪ oohh {je vais pas m'en remettre}
Il me faut un lien avec TOUT mes personnages. S'il te plaîîît ooo
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Message(#) Sujet: Re: Riley L. Moson (Finie) Riley L. Moson (Finie) EmptyLun 19 Nov - 20:08

Bienvenue sur le fofo !
Bonne continuation pour ta fiche hiii
PS: J'aime ton avatar !!!!!!!!!!!!!!! angry
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Jason K. Cooper
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× Ma Célébrité : Kevin Flamme × Nombre de messages : 6045 × Age du perso : twenty-five years old. × Job : model. you can touch my hair, it's plastic everywhere. × Côté love : je sens des boums et des bangs agiter mon cœur blessé. Riley L. Moson (Finie) 600full-kevin-flamme


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Message(#) Sujet: Re: Riley L. Moson (Finie) Riley L. Moson (Finie) EmptyVen 23 Nov - 12:32

bienv'nue parmi nous, m'sieur le militaire ! j'sais que les militaires doivent se débrouiller tout seul normalement mais si t'as besoin d'un coup d'main, une question, que j'change tes draps, lave ton linge, j'suis là #14 bonne continuation mister *-*
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Tina Henley-Madden
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× Ma Célébrité : aude'javel, ou taissa farmiga. × Nombre de messages : 13048 × Age du perso : dix-huit ans. × Job : absolument que dalle. × Côté love : tivanah 4ever.


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Message(#) Sujet: Re: Riley L. Moson (Finie) Riley L. Moson (Finie) EmptySam 24 Nov - 0:52

      yeeeees, un naufragé gaga
    ton personnage promet vraiment, de c'que j'ai lu j'ai hâte de voir la suite gaga Bref, bienvenuuue sur l'île miister, j'te souhaite de bien t'y amuser, &' n'oublie pas d'passer par làà ! #22
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Message(#) Sujet: Re: Riley L. Moson (Finie) Riley L. Moson (Finie) EmptySam 24 Nov - 10:32

Bienvenue sur le forum bon courage pour ta fiche.
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Chris McAdam Madden
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× Ma Célébrité : Kingston Rossdale :) × Nombre de messages : 4693 × Age du perso : 7 Ans. × Job : à l'école × Côté love : Nobody. &lt;3


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Message(#) Sujet: Re: Riley L. Moson (Finie) Riley L. Moson (Finie) EmptySam 24 Nov - 14:32

Bienvenue ici Very Happy Amuses toi bien ici grand monsieur !
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Jayden-Ross T. Holmes
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× Ma Célébrité : (#youknownothin'JonSnow) Kit Harington × Nombre de messages : 1354 × Age du perso : 28 bougies, vu le jour le 5 juin × Job : Barman au piano bar × Côté love : je sais, je ne sais plus... devrais-je l'inviter ? Riley L. Moson (Finie) Divider-79ff5755b7573cf68e2703592dd6284d


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Message(#) Sujet: Re: Riley L. Moson (Finie) Riley L. Moson (Finie) EmptySam 24 Nov - 14:44

Bienvenue ^.^
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Message(#) Sujet: Re: Riley L. Moson (Finie) Riley L. Moson (Finie) EmptyDim 25 Nov - 1:23

Lena >> Merci ! Et oui pour lien, pas de problème. dis-moi par MP ce que tu recherches. Wink

Lizzie >> Merci ! Very Happy

Melinda >> Merci. Ok pour un lien, on voit ça en MP ?

Dylan >> Merci. Comme tu le vois, Riley s'accorde très bien à un homme ! Razz

Kaylee >> Merci pour ton accueil. Si tu souhaites un lien avec tous tes personnages, j'imagine que tu sais à peu près ce que tu recherches. On voit tout ça par MP ! Very Happy

Athena >> Merci. Et j'avoue, j'aime aussi l'avatar. ^^

Jason >> MDR ! Tu peux laver mon linge, faire mon repassage et ma cuisine, ça sera parfait. Merci pour ton accueil en tout cas. Very Happy

Tina >> Rooh, merci. ^^' J'ai fini l'histoire, je m'attaque à l'exemple de RP demain. Smile

Anzu, Chris & Ichiro >> Merci pour votre accueil. Smile
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Message(#) Sujet: Re: Riley L. Moson (Finie) Riley L. Moson (Finie) EmptyDim 25 Nov - 9:58

Effectivement, j'ai des idées ! Tu vas voir tout ça dans tes mp laugh
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Message(#) Sujet: Re: Riley L. Moson (Finie) Riley L. Moson (Finie) EmptyDim 25 Nov - 12:23

Bienvenue Smile
Emmmetttttttttttttttttttt o_o Il nous faut aboooooolument un lien tout les deux Smile
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Message(#) Sujet: Re: Riley L. Moson (Finie) Riley L. Moson (Finie) EmptyDim 25 Nov - 12:24

Merci. Smile

On voit pour le lien par MP, ok ?
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Message(#) Sujet: Re: Riley L. Moson (Finie) Riley L. Moson (Finie) EmptyDim 25 Nov - 12:26

Yep pas de problème Wink
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Kate-Aelys S. Weaver
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ADMIN Funny. × Wish is not a crime ♥ ❞
Riley L. Moson (Finie) 1469056583-kapplead
× Ma Célébrité : Evie × Nombre de messages : 5771 × Age du perso : 26 ans × Job : Etudiante en droit &' serveuse × Côté love : C'est bien compliqué... Riley L. Moson (Finie) Kate-342023b


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Message(#) Sujet: Re: Riley L. Moson (Finie) Riley L. Moson (Finie) EmptyDim 25 Nov - 12:56

      Kellan Lutz wiiiiiiiiiii coeur2
    Bienvenue icii mister !! =DD
    Bonne continuation pour ta fiche !! yeahhh
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Message(#) Sujet: Re: Riley L. Moson (Finie) Riley L. Moson (Finie) EmptyDim 25 Nov - 14:32

Merci pour ton accueil. Smile
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Message(#) Sujet: Re: Riley L. Moson (Finie) Riley L. Moson (Finie) EmptyLun 26 Nov - 1:39

Je m'excuse pour le double post (pas bien !!!) mais ma fiche est terminée. Smile
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Message(#) Sujet: Re: Riley L. Moson (Finie) Riley L. Moson (Finie) EmptyLun 26 Nov - 2:10

Bienvenu à toi Wink
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Lizzie-Ivy Eswood Stilson
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ADMIN Speedy. × Tell me your dreams ♧ ❞
Riley L. Moson (Finie) 1469054805-epsirebe
× Ma Célébrité : keiraHOTknightley × Nombre de messages : 16353 × Age du perso : vingt-cinq ans. × Job : râleuse têtue et inutile. × Côté love : c'est flou.. you ? #lizzielalâcheuse.


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Message(#) Sujet: Re: Riley L. Moson (Finie) Riley L. Moson (Finie) EmptyLun 26 Nov - 10:34

    Oh yeah c'est tout bon, jolie fiche, j'te valiide coeeur
    & j'te souhaite de bien t'amuser parmii nous, Riley ♥
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Evan Madden
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× Ma Célébrité : Mike Vogel, Barbie d'Under The Dome powaa *_* × Nombre de messages : 10361 × Age du perso : 34 ans . × Job : Intreprète (Anglais, Français, Japonais , Espagnol, Allemand) × Côté love : RAS. Riley L. Moson (Finie) Tumblr_inline_nqp1ljMhmx1s6az9p_500


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Message(#) Sujet: Re: Riley L. Moson (Finie) Riley L. Moson (Finie) EmptyLun 26 Nov - 21:05

BIENVENUUUUUUUUUUUUE SUR TIIIIIIII
j'adore ton histoire hourraa
En espérant que tu t'y sentes comme chez toi bubulle
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Message(#) Sujet: Re: Riley L. Moson (Finie) Riley L. Moson (Finie) EmptyLun 26 Nov - 21:16

Hmmmmmm.... Un bagarreur hein .... hiii Bienvenue !
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